Armelle Chef D'Équipe
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
ARMELLE, Chef déquipe
Elle y tenait à cette promotion. Armelle, une superbe blonde de 22 ans, embauchée, voici 2 ans, dans une entreprise dédiée à la préparation de commandes, avait fait des pieds et des mains pour monter dans la hiérarchie.
«des pieds et des mains», mouais, des mains, surtout..Jouant de son physique avantageux, elle avait réussi à séduire le patron, un gros homme au physique peu engageant, chauve, et âgé de plus de 50 ans.
Armelle, ambitieuse, avait surmonté son dégoût et assumait, sans aucune honte, sa réputation peu flatteuse de «salope». Réputation, car, bien sur, toutes ses collègues étaient au courant de la liaison et, si devant elle on faisait mine de ne rien savoir, par derrière, les commentaires allaient bon train.
Pour que le lecteur comprenne bien, se fasse une image de notre salope, précisons un point important. La belle aimait la moto. Elle se rendait au travail en chevauchant fièrement une grosse cylindrée quelle garait, invariablement, à côté de la place réservée au patron.
Elle appréciait, plus encore, porter une combinaison de cuir, moulante à souhait. Une tenue de salope, comme disaient ses condisciples..
Une motarde en cuir, passe encore, mais, comme si ce look provoquant ne suffisait pas, elle complétait le tableau en portant de longues cuissardes rouges qui contrastaient avec le noir de la combi.
La salope aimait la discrétion, comme on le voit.
Un matin, on demanda au personnel ( en loccurrence une trentaine de personnes, majoritairement des femmes) de se rassembler pour écouter une annonce importante.
Le patron apparut et, à la surprise générale, il était accompagné de sa «camarade» qui se tenait , fièrement, à ses côtés.
Armelle ne sétait pas changée. Elle avait conservé son cuir et, encore coiffée se son casque, toisait ses collègues avec une satisfaction évidente.
Mr Jaumard ( cétait son patronyme) expliqua que Mlle ..compte tenu de ses qualités exceptionnelles, de sa compétence, son assiduité ( bla, bla) était, à compter de ce jour, promue au rang de chef déquipe. Rien que çà.
Sans attendre les applaudissements (qui, du reste, nauraient pu être que sarcastiques), Armelle enchaîna:
- Je compte sur limplication de tout le monde. Jexige une obéissance sans faille. Je serai sans pitié avec ceux qui ne marchent pas droit. La porte, cest par là ( désignant la sortie).
Armelle exultait. En son for intérieur, elle avait peaufiné son plan de vengeance. Elle connaissait très bien ses collègues et se préparait à faire subir un enfer aux nanas qui la méprisaient.
Quant aux mecs, Il y en avait deux qui allaient vite comprendre.
En fait, deux garçons lui avaient fait des propositions malhonnêtes et, devant son refus outragé, lavaient traité de «pute du patron»
Ces deux là, elle sen chargerait en premier: promesse de motarde!
-Allez, au travail, la pause est terminée, ordonna t elle.
Tout le monde reprit son activité coutumière, affectant une indifférence feinte, vis à vis de ce changement de management.
Ce jour là, Armelle ne se changea pas. Elle se contenta de retirer son casque, remit de lordre dans sa superbe chevelure de blonde, puis, se mirant dans le miroir des vestiaires, décida de se coiffer en «petite fille», pour samuser.
Satisfaite de son look, elle sortie du vestiaire et, se tenant bien droite, campée sur ses hauts talons, elle arpenta fièrement les allées, roulant du cul dés quelle croisait des mecs, et se retournait, à chaque fois, pour observer leurs réactions.
Tout le monde affectait de ne pas la voir. Le travail continuait, rien navait changé. Du moins en apparence.
Soudain une fille apparut. Elle se dépêchait de regagner son poste de travail car, elle avait plus dune heure de retard.
Armelle se dirigea vers elle, le regard sévère.
- Toi, tu dégages, rentres chez toi et attends de mes nouvelles, compris?
- Je me casse, tinquiètes pas, je bosse pas avec une salope.
Et, elle repartit, sans demander son reste.
Toute la matinée fut ponctuée dincidents semblables.
La tension montait et la pause méridienne apporta une trêve.
Tandis quArmelle partit déjeuner à lextérieur ( son chéri, le vrai pas le patron) venait la chercher tous les midis. Invariablement, ils profitaient de cet intermède, non pas pour manger, mais..pour baiser sur un parking, non loin de là.
Tout le monde le savait et cétait un motif supplémentaire pour se moquer de la salope. Cétait, décidément, une nymphomane.
On les avait, du reste, repérés depuis longtemps. Entre deux voitures, la belle, à quatre pattes, jouissait dune agréable sodomie qui remplaçait avantageusement, la gamelle du midi.
Pendant que Madame prenait son pied, un conciliabule avait lieu entre ses collègues.
On décida de se rendre, en bande, sur les lieux ou la salope prenait son pied. La suite, on verra. Le but était, dores et déjà, de la surprendre en pleine action. Pour le reste, on allait improviser.
Une bande composée dune bonne moitié des employés ( hommes et femmes quasiment à égalité), se dirigea vers le parking. Il ne fut pas difficile de les retrouver: Armelle aimait parler pendant lamour.
- Je la sens, je la sens, bourre moi, je taime...Chéri, Oh oui..
Ne pas rire, ne pas faire de bruit, surtout..
On saccroupit, on avançait silencieusement, tout en progressant en direction de la victime qui, ne se doutant de rien, hurlait à pleine voix.
- Ta bite, oui dans mon cul, à fond, tu me la met bien profond!!
- Tu laimes ma bite, hein, cochonne?
Mais ce ne fut pas Armelle qui répondit à cette interrogation.
- Elle aime la bite, toutes les bites, celle du patron, surtout!
Armelle se releva immédiatement, elle avait le visage écarlate et, oubliant de relever son pantalon de cuir, apostropha le groupe.
- Bande de connards, Vous êtes tous virés.
Furieuse, elle était hors delle, blessée dans sa dignité, comme jamais.
Son copain, sétait levé, lui aussi. Protecteur, il prit Armelle dans ses bras, la bite plaquée contre ses fesses, il cachait, de ses deux mains, le minou de sa chérie.
Tout en répondant aux rires, par des insultes, le couple se reculottait, pressé de retrouver une tenue plus empreinte de dignité.
Rhabillés, les deux tourtereaux se sentaient plus forts. Ils auraient voulu se défiler mais la bande compacte leur opposait un mur infranchissable.
On les chope? Proposa t on. Allez, on les chope, décida t on.
Les deux amoureux se retrouvèrent empoignés, immobilisés par dinnombrables paires de bras qui leur interdisaient tout mouvement.
Comme deux paquets, ils furent transportés vers lentrepôt ou un châtiment redouté les attendait à coup sur.
Arrivé sur place, on se munit de liens avec lesquels on immobilisa fermement les deux coupables en leur attachant les mains derrière le dos.
Armelle fut allongée sur le ventre, sur une grande table, normalement destinée au tri des colis.
Son chéri, quant à lui, reçu le même sort, face à face avec sa chérie.De cette manière, il pourrait contempler le visage de son amie, au fur et à mesure quon la châtierait.
Pas besoin de faire preuve dimagination pour deviner le sort qui était réservé à la nouvelle «chef déquipe». Le cul exhibé de la méchante chef allait subir les pires sévices.
Armelle le craignait mais nosait pas , quand même, imaginer quon puisse porter atteinte à sa dignité. Crâneuse, jusquà labsurde, elle se rassurait en se disant quon noserait jamais ..fesser une
fille de sa classe.
Elle déchanta très vite. Un des garçons , lattrapant pas les couettes, lui roula une pelle interminable.
Au même moment, on lui baissa son pantalon de cuir et une fille tenta de lui introduire dans lanus quelque chose quelle narrivait pas à identifier.
Cétait..un concombre et de belle taille, qui plus est. Armelle hurla, la pénétration lui faisait leffet dun poignard dans le cul.
On stoppa le supplice lorsque une bonne dizaine de centimètres lui fut introduit. En tentant de détendre son anus, la douleur sestompa mais la honte demeura. Armelle, la bombe atomique, était allongée sur le ventre, une courgette plantée dans le cul, à la vue de tous.
La malheureuse navait plus quune obsession: se débarrasser de cet objet immonde qui la profanait.
Absurdement, elle se mit à battre des jambes frénétiquement, ses cuissardes battaient lair en tout sens. Elle levait puis baissait son bassin, poussait fort avec son cul, un pet salvateur allait peut être éjecter le légume..
Mais lobjet obscène restait solidement planté, la déshonorant devant toute son équipe.
Estimant que lhumiliation de la chef déquipe nouvellement promue, avait été accomplie, on décida, dun commun accord, den rester là.
Toute le monde retourna à son travail, laissant Armelle ligotée à son banc de , une courgette de 20 centimètres, émergeant de son magnifique fessier.
Fort heureusement, le patron eut lheureuse idée de faire son entrée. Il poussa un cri de surprise à la vue de létrange spectacle. Il sexclama:
- Qui tas fait çà? ( il sadressait à Armelle, son compagnon intéressait moins, on sen doute)
Sa maîtresse ne répondit pas directement à la question. Sa seule obsession était ce maudit concombre!
- Retire moi çà, je nen veux plus!
Délicatement, Mr Jaumard, sexécuta et se retrouva avec un concombre entre les mains. Lextrémité était taché de..merde. Un peu dégoutté, il..partit en direction des WC, pour se laver les mains.
- Je reviens mon cur, ne tinquiète pas.
- Non, ne me laisse pas, je veux que tu me détaches, je nen peux plus.
Elle agitait ses cuissardes rouges en signe dimpatience.
Maladroit, il ne parvenait pas à dénouer les liens..
- Je vais chercher un cuter, je reviens très vite, ma douceur.
Cétait interminable. Armelle avait envie de chier. Le «gode» avait stimulé ses sphincters.
Elle serrait les fesses avec énergie. Ne pas déféquer, non pas çà, pas çà en plus.
( Les tortionnaires ne la quittaient pas des yeux et voir la chef détestée chier en public ne leur aurait pas déplu)
Lorsque le patron revint, il était trop tard.
Un boudin immonde émergeait (en lieu et place du légume) et une odeur déplaisante environnait nos deux amis.
A peine détachée, Armelle sauta sur ses jambes mais, une fois en position verticale, réalisa quelle devrait attendre avant de remettre son cuir, et pour cause.
Les mains cachant son sexe, elle supplia quon la ..torche.
Comme Le patron hésitait, Son amoureux ( assez discret jusque là), se proposa. On le détacha, il se précipita, alors, vers les toilettes et revint les bras chargés dun seau, dune éponge et dun rouleau de papier. Rien que çà.
Armelle, invitée à se pencher en avant, du subir un «lessivage» en règle de son «cul damour», exécuté consciencieusement par lhomme de sa vie.
Lhumiliation était totale, au-delà de tout ce quelle aurait pu imaginer.
Les employés ( Hommes et femmes) ne pouvaient plus retenir leur hilarité. Un fou rire général, incontrôlable, envahissait lentrepôt.
Lorsque Armelle sentit le contact protecteur de son cuir adoré, elle ressentit un soulagement indicible. Revêtue, enfin, de sa carapace de cuir, elle navait quune hâte: Insulter cette bande de salops, leur hurler dessus, en un mot, se défouler.
Telle une furie, elle clopina ( on se rappelle que ses bottes avaient 10 cm de talon), en direction de la bande de rieurs et simmobilisa devant eux, les poings sur les hanches.
Au moment de prendre la parole, elle..éclata en sanglots. Les nerfs avaient lâché, elle se cacha le visage avec ses mains gantées de cuir rouge (assortis aux cuissardes).
Elle fit demi tour et senfuit vers la sortie, accompagnée par un vacarme insupportable de sifflets dont elle garda longtemps, très longtemps, le souvenir.
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