La Faux De Fresne
Après la séance de la balançoire à tapettes, je restais longtemps médusé par linventivité érotico-rustique de la Mamée. Pour sûr, ceût été un crime de lui clouter sa planche pour protéger les poules du Mistral mauvais (voire histoire précédente)... Quelques jours plus tard à lheure bénie du caféllation, jinterpellais la Mamée sur un outil bizarrement monté, rangé sous létagère à tapette de la grange.
- Oh, Mamée, continuez juste de branlez le bandit dans la fine baptiste de ce mouchoir, arrêtez de le sucer et expliquez-moi ces deux fourches montées à chaque bout du manche de faux ...
- Eh beh, cest un très vieux manche en frêne en une seule pièce La poignée de main gauche est une petite branche de la grande branche qui fait le manche. Le frêne cest un bois très résistant, très solide, presquinusable, imputrescible et très très doux au contact ...
- Et alors, les deux fourches ?
- Oh, le Minot curieux ! Tu voudrais encore du spectacle de la Mamée qui se fait partir, eh petit Coquinou ! Donne-moi dabord ta crème comme dessert, donne à la Mamée ton bon jus de petit galopin, crache bien toute ta foutrique que je men régale.
Elle y remet la bouche et pompe, et lèche et salive sur mon pieu qui commence à tressaillir. Ses mains douces et effilées pétrissent les bourses, caressent le raphé, coulissent sur la hampe de plus en plus tuméfiée. Attention Mamée !
-Gicle tout, vas-y gicle, jen veux, jen veux encore, jen veux tous les jours, décharge dans ma bouche ...
- Aaaahhh Mamée, Aaaahhh...
Elle avale tout goulûment comme chaque jour.
- Tes un bon petit, très bon petit qui a bien mérité son spectacle après le café quand tu auras retrouvé un peu de forces.
Je restai hébété et songeur : cette vieille va finir par mépuiser, cest le cas de le dire elle me bouffe complètement, jen rêve la nuit, je divague quand jessaye de travailler, je suis accro à ses attouchements, à ses caresses, son air perpétuellement affamé de mon foutre me rend fou, son côté ingénue qui cache son côté de salope nymphomane est terriblement excitant, je deviens gérontophile!
Ce fut elle qui me fit sortir de ma torpeur :
- Allons voir nos travaux, et se donner un peu de bon temps !
- On narrête pas Mamée !
- Eh peut-être mais à mon âge le temps presse, et ce qui est pris nest plus à prendre.
Le manche de faux à deux fourches mintriguait trop et je me levais pour la suivre.
La Mamée planta dans une botte de paille la fourche à trois pointes bien en oblique, la poignée de main gauche bien au dessus presque verticale. Elle plaça les deux tapettes sur la fourche à deux branches à lautre bout du manche de faux, par les deux petits trous. Elle sortit ses seins et les coinça bien solidement dans les tapettes en grimaçant, puis se troussant, après avoir enduit de salive le bout de manche qui sert de poignée elle parvint à sy enculer en ajustant la distance des tapettes sur la longueur des deux branches de la fourche à foin pour avoir les nichons étirés à la limite du supportable. Puis à la fois empalée et à califourchon sur le manche elle commença à le faire aller et venir davant en arrière comme sil elle actionnait le levier dune vieille pompe à eau.
La poignée oscillait dans son cul alors que ses seins étaient tour à tour tirés ou relâcher. La fourche dans la paille servait de levier et darticulation. Elle accéléra ses mouvements de plus en plus frénétiquement. Peu à peu ses grognements sourds saccrurent et augmentèrent en volume. Le chat et les poules dérangés par le vacarme quelle faisait sétaient enfuis, elle haletait et continuait de se branler comme une malade, elle tremblait, hoquetait, vociférait sans ralentir ses va et vient :
- Regarde petit salaud, regarde la vielle emmanchée qui se fait venir, mate la Mamée folle du cul qui se défonce, mate la vieille en furie qui se gamahuche de toutes ses forces, regarde mes nichons qui souffrent ...
Une fois de plus je bandais comme un âne je me branlais en reluquant cette vieille folle furieuse qui jouissait en se torturant.Puis elle se cabra en hurlant son cri rauque de délivrance. Elle poussa le manche à lextrême et les seins finirent par sortir du ressort des tapettes. Elle toussait bavait, éructait en continuant de faire osciller le manche, puis elle hurla :
- Ah je nen peux plus, je viens, je jouis, je jouis .
Elle désenjamba sa monture, la projeta plus loin, plongea dans la paille le cul en lair, la culotte à mi cuisses, les mains à tripoter son sexe:
Je me chie dessus, je jouis, je me chie dessus, viens encore cracher du foutre, viens me pisser dessus lâche tout ce que tu as dans le ventre sur la Mamée.
Ses ordres étaient une invitation, je me ruais sur elle, une rasade de sperme atteignit son fessier quensuite jarrosais abondamment durine. Elle continuait de grogner.
- Vas-y pisse, pisse encore arrose la Mamée
Je pris un bouchon de paille et je la frottais sur le cul et les cuisses comme une brute, elle hurlait et commandait, en protégeant son sexe :
-Encore plus fort, frotte, étrille, je vais partir, ça monte, ça monte, je jouis encore...
Puis je la laissais pantelante, elle eut ses gestes habituels de pudeur, pour remettre de lordre dans ses vêtements, elle secoua les brins de paille de ses cheveux :
- Est-ce une galejade, ou est-ce vrai que le fresne fait aller ?
- Ce sont seulement les feuilles en infusion qui sont laxatives, Mamée !
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