Retour Du Maroc
Cette semaine au Maroc fut pour moi une révélation, j'étais vraiment faite pour être femme. A la demande de Saïd j'accepte d'aller vivre chez lui.
François nous avoue être marié mais avoir beaucoup aimé notre rencontre... Nous restons en contact au retour du séjour.
Quelques temps plus tard, nous sommes invités chez lui pour un W.E. afin nous dit-il de faire connaissance de son épouse... Il demande à Saïd de me faire très séduisante.
Nous arrivons chez eux, mon amant vêtu d'un fin pantalon de satin noir, d'un chemisier de soie rouge. Moi un tailleur saumon dessous une guêpière blanche bas blancs.
François nous accueille avec un tendre sourire nous remercie pour notre venue. Il pose ses mains sur les reins de Saïd en nous guidant vers la terrasse de la maison. Une femme superbe vient vers nous vêtue d'une longue robe bleu nuit très décolletée.
- Je vous présente Anne dit-il.
Elle serre la main de Saïd puis s'approche de moi. Je lui tend la mienne quelle prend doucement.
- Entre femme... faisons nous la bise.
Ses lèvres effleurent ma joue.
- je suis ravie de vous connaître, Jackie, François m'a tellement parlé de vous... Je dois avouer que je ne suis pas déçue... Venez je vous guide vers votre chambre.
Elle prend ma main et me guide vers cette magnifique demeure.
Je me retourne vers Saïd, celui-ci est toujours avec François.
-Venez Jackie, les hommes... ont toujours des choses importantes à ce dire.
Nous montons à l'étage, elle ouvre une chambre décorée avec goût.
- Humm Anne c'est superbe et quel goût.
Elle est derrière moi presque à me toucher...
- Merci et avec to..Vous cette chambre est encore plus belle.
- Anne tu..Tu peux me tutoyer.
Ses lèvres frôlent mon oreille et me remercient dans un souffle. Cette situation me gène, à moins que ce soit le trouble qui fait battre doucement mon coeur.
Je découvre un paquet sur le lit.
- oui Jackie, c'est un cadeau de bien venu.
Je me tourne vers elle, découvre qu'elle aussi semble troublée.
- Je peux l'ouvrir maintenant?
- oui j'ai besoin de connaître ton avis.
Lentement je l'ouvre et ho! Découvre un long déshabillé de soie rose transparent bordé de dentelle gris perle.
- mais Anne c'est trop beau il ne fallait pas !
Mes doigts caressent la soie si douce, si soyeuse.
Je la remercie de nouveau lui offrant ma joue. Ses lèvres si posent, sa main caressent mon dos. Nos corps se frôlent, sa bouche glisse vers la mienne tremblante.
Je ne veux pas céder trop vite.
- Anne si to..Ton mari nous surprenais?
- Rassure toi, je crois qu'il doit être occupé...Mais tu as raison, vient je te fais visiter la maison, commençons par le parc.
Là aussi le paysage est sublime, tellement calme reposant, puis nous revenons vers la maison.
En passant devant le bureau de François la porte est mal fermée, j'y glisse un il.
Ho !! Je le découvre vêtu d'une guêpière et bas noirs à genoux en train de sucer Saïd lui même vêtu d'une guêpière rouge.
Anne derrière moi se colle à mon dos et mets sa main sur ma bouche.
- Ne fait pas de bruit, regarde comme ils sont beaux.
La surprise passée, j'avoue que le spectacle est troublant. Le corps d'Anne collé à mon dos augmente la montée d'un désir envoûtant. Ses lèvres effleurent ma nuque, ses mains glissent vers mes seins siliconés. Son bassin ondule contre ma croupe et réveille en moi du désir. Je pose ma nuque sur son épaule et me laisse guider lentement. Anne caresse mes seins, ses lèvres mordillent mon oreille.
Dans le bureau les mains de Saïd caressent les cheveux de François, son sexe va de plus en plus vite dans sa bouche. Saïd pousse un râle et plonge dans les lèvres serrées. François le garde longtemps puis doucement laisse sortir la tige luisante.
Saïd va vers le canapé et si agenouille offrant sa croupe.
La voix d'Anne me sort de ce spectacle.
- Viens laissons les tranquille.
Sa main me guide vers l'étage, vers notre chambre.
Elle est là devant moi, mon coeur bat très fort. Sa bouche trouve la mienne qui cède de désir. Ses doigts ouvre ma veste puis fait glisser ma courte jupe. Elle découvre ma guêpière et mes bas blancs et ma fine culotte laissant deviner mon émoi.
- Anne tu dois savoir que je ne suis pas tout à fait une...
- Oui François me la dit, mets ton cadeau je reviens.
Je revêts le fin déshabillé, tire les rideaux et m'allonge sur les draps.
Anne entre vêtue d'un long déshabillé de soie noir bas noirs. Elle s'allonge près de moi, nos bouches se retrouvent. Ses doigts caressent mon corps finement vêtu puis se posent sur ma fine culotte. Elle trouve les rubans fermant la fente quelle tire.
Mon sexe tendu jaillit de son écrin de soie. Ses doigts le flattent l'enrobent le rendent plus dur.
Sa bouche descend et ses lèvres se posent sur mon sexe offert. Ses joues se creusent et m'aspirent. Anne s'agenouille sur moi et guide mon sexe vers son ventre. Elle s'allonge sur moi, reprend mes lèvres et mon sexe dur glisse dans son écrin trempé.
Nos bouches se dévorent, nos corps s'affolent. Ce ballet me guide rapidement vers l'explosion.
- Humm oui Jackie, vient, j'ai trop envie.
Quand un de ses doigts frôle mon illet, mon corps se crispe et laisse jaillir cette sève.
Anne m'écrase pour tout boire, tout garder.
Nous retombons haletantes de désir. Nos doigts enlacés gouttent encore ces moments de plaisir.
Anne se lève va vers la salle d'eau. Quand elle réaparait les pans de son fin déshabillé laisse apparaître un gode fixé devant son pubis.
- Il faut s'occuper de ce petit sexe de femme qui réclame me murmure-t-elle.
Doucement elle met une noisette de crème devant mon étui et son doigt l'étale. A nouveau une autre noisette glisse plus loin en moi sous les mouvements de son doigt. Jouvre mes cuisses pour l'aider.
Anne s'allonge sur moi son gode bute dans ma raie. Je guide ce corps que je trouve très ressemblant. Mon bassin se soulève et le gode force mon anneau huilé. Lentement je le sens se glisser au fond de moi ! Le ventre d'Anne est maintenant collé à mes fesses.
Mes cuisses finement gainées entourent ses hanches montrant à Anne que je suis toute à elle. Son bassin monte et descend en moi énervant mon fourreau. Ma tête roule sur l'oreiller, mon souffle devient court. Une onde de chaleur monte en moi me guidant vers ce plaisir suprême.
- Ho Anne tu me rend folle c'est trop bon.... Hummm oui comme j'aime ton corps, ton sexe.
De doux frissons secouent mon corps me portant vers un plaisir encore inconnu. Je pousse de petits râles la guidant dans son ballet en moi.
- Ho Jackie c'est sublime.
Anne prend ma bouche et lentement, profondément pousse son gode au fond de mon puit d'amour. Nos corps sont secoués par de longs frissons sans vouloir cesser.
Mes cuisses repues s'écartent et glissent sur les draps libérant Anne qui elle aussi s'allonge épuisée.
Quand elle ôte le gode je découvre qu'il était double et qu'elle aussi était comblée.
Le sommeil réparateur nous surprend.
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