Excessivement Anale
Cette envie de me faire sodomiser j'ai beaucoup de mal à l'expliquer. A 50 ans, j'étais encore vierge du cul. Il faut dire que je m'étais mariée très jeune avec un homme très prude et peu porté sur "la chose". Pendant des années, ma vie conjugale a été fade, sans intérêt ; mon mari ne me faisait l'amour que très rarement et c'était toujours très frustrant pour moi. En effet, il n'imaginait jamais de me prendre dans une position autre que celle du missionnaire. Les rencontres faites par l'intermédiaire d'internet furent majoritairement décevantes. Bien sûr, rapidement j'ai appris que je ne pouvais pas refuser à mes amants mon passage étroit. Ma curiosité fut satisfaite mais pour le plaisir je pouvais attendre. Pire que tout : certains éjaculaient toujours très vite, bien trop tôt pour que je puisse prendre mon plaisir.
Cette métamorphose, je la dois à ¨Patrick. Avec lui dès les premières étreintes il m'a sodomisé. Lui c'est un vicieux de première, qui ne pense qu'au cul. Il me regarde d'ailleurs tout le temps, avec une lueur obscène dans le regard. Ça me rend folle car je sais à quoi il pense. Mais je préfère un vicieux qui me baise bien, à un soit disant normal qui n'y connaît rien.
J'ai vite noté la différence. Patrick me touche de partout. Ses grandes mains jouent à me déformer les seins. Sa bouche me dévore les pointes dures. Son genou m'écarte les cuisses et se frotte contre ma motte inondée. Il glisse son visage jusqu'à mon ventre et m'offre des langues fourrées de première. J'adore cette caresse. Je pose les mollets sur ses épaules, coinçant sa tête entre mes cuisses et je laisse faire. Sa langue titille mon clitoris puis sa bouche mordille mes grandes lèvres. Je deviens folle, le corps pris de spasme Je jouis.
J'aime quand Patrick vient sur moi, sexe dressé. Qu'il me prenne d'un vigoureux coup de reins, propulsant son gland au fond de ma gaine. Je crie, serrant les cuisses autour de ses hanches, m'accrochant des deux bras à son cou.
Si j'avais fait ça aux autres, ils seraient parti sur le champ. Mais Patrick a une queue autrement trempée. Il m'encourage :
- Ouais, serre bien ta chatte ma belle, contracte la à mort, c'est bon comme ça.
C'est vrai que c'est meilleur, irrésistible même, et l'orgasme m'emporte comme une lame de fond.
J'aime qu'il me retourne sur le ventre. Sentir son ventre cogner contre mes fesses. Jamais les autres ne m'ont baisé dans cette position, mais là aussi, j'ai tout de suite aimé. Les sensations sont plus violentes et puis surtout c'est la position de la chienne qui se fait grimper, et ça j'adore. C'est alors que Patrick retire sa queue de mon sexe inondé. Il la relève simplement quelques centimètres. Cette fois, son gland se place en face de mon anus. Et à la manière dont il pousse, il est clair qu'il a l'intention de me pénétrer par derrière. Et moi en femelle soumise je suis incapable de me défendre. Mais il est trop tard : déjà son membre s'enfonce dans mon trou tabou. Je vous jure que ça fait une drôle d'impression. Le sentiment d'éclater de l'intérieur. Je gueule une nouvelle fois. J'aime dire "Non, non!" mais je sais que plus rien ne peut l'arrêter, il me prendrait de force si je me refuse. J'aime cette sensation de viol. Alors je subis sa sodomie en serrant les dents, les doigts crispés sur les draps du lit ou les coussins. Mon anus s'écarte comme jamais je n'aurais imaginé qu'il puisse le faire. L'impression première de brûlure laisse place à un étrange sentiment de plénitude. Je continue à gémir " Non, je t'en prie, arrête" mais s'il cesse ses mouvements de va-et-vient à ce moment là, je le supplierais aussitôt de recommencer.
La sensation pénible du début disparaît et mon anneau devient avide de bite.
Comment puis-je aimer me faire mettre par ce trou normalement destiné à tout autre chose qu'à l'amour? Cela reste un mystère. Il n'empêche, mon trou tabou, mon anus, est en rut. Et Patrick me comble au delà de toute espérance. J'aime qu'il soit collé contre moi et sentir son souffle rauque sur ma nuque. J'aime sentir ses mouvements devenir plus violents et plus désordonnés, quand il va bientôt craquer.
Je souhaite qu'il tienne encore une minute, qu'il ne parte pas avant que le nud de plaisir que je sens dans mes reins n'explose en un feu d'artifice intérieur. Ma jouissance est proche de la crise d'hystérie, d'autant qu'au moment exact où je m'envoie en l'air, le sperme de Patrick me coule très profondément dans l'anus.
Ah je vous jure que je ne suis pas prête de me passer du plaisir procuré par une bonne sodomie.
Lorsque je retrouve mes esprits, j'aime le voir me regarder en souriant, frottant doucement sa queue ramollie contre mes fesses et me dire :
- Eh bien toi, si tu n'aimes pas ça on te donnera autre chose.
En fait, je n'ai qu'une seule envie : le faire bander une nouvelle fois pour qu'il m'encule à nouveau
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