Camping Car
Jétais en ballade et je navais rien de spécial à faire, je revenais de M*** et il me revint à lesprit que les aires dautoroutes pouvaient receler des plaisirs variés. Je marrêtais donc sur plusieurs aires successives sans rien trouver de terrible. Jusquà celle du « Bois ***». Je marrêtais derrière deux voitures, cétait la fin daprès-midi. Je me dirigeais vers les toilettes et en passant, juste devant la mienne, japerçus du coin de lil le conducteur qui avait reculé son siège, en train de se toucher. Jallais me soulager, griller une cigarette et, en revenant, je vis que le gars me fixait en souriant. Nouveau coup dil: son sexe était sorti et il se masturbait. Je le dépassais et mapprêtais à monter dans mon véhicule lorsque ses feux stop sallumèrent plusieurs fois. Cétait une invite et jeus envie de me faire une gâterie. Je rebroussais chemin, il ouvrit sa vitre:
- Tu veux venir passer un moment et me caresser?
-Pourquoi pas, dis-je elle me paraît belle et impatiente.
Je montais près de lui et sans préambule, il avança son bassin et me présenta sa queue:
-Allez suce-moi, je ne demande que ça, tu as lair dun mec facile, enfourne-moi ça.
Je lui obéis mais un peu déçu car après quelques va-et-vient il me juta dans la bouche. Laventure nalla pas plus loin. Pas très sympa le type. Javais à peine quitté sa voiture quil démarra.
Je retournais vers lédicule pour me rincer la bouche et remontais dans ma voiture. A ce moment-là, un type dune quarantaine dannées se présenta à ma portière et mapostropha:
- Dis donc, tu cherches laventure? Je tai bien vu avec le mec dans la voiture il y a quelques minutes. Tu suces, tu fais la pute. Moi tu me plais bien, si tu voulais venir avec moi, on pourrait continuer et même faire mieux. Ca tintéresse? Dis pas non, tes si rouge que tu en meurs denvie. Jai mon camping-car stationné un peu plus loin, caché par le bois. Tu viens ma pute?
De lentendre me parler ainsi, jéprouvais comme chaque fois un grand trouble dans le ventre et ma bouche devenait pâteuse, jen tremblais presque.
Son camping-car était sympa, bien aménagé à larrière avec un mini cabinet de toilette, une petite banquette et un lit recouvert dun plaid, relativement large pour le type de véhicule. Dès que nous fûmes montés il se colla devant moi et menlaça. « Quest-ce que tu veux faire ma petite pute. Sucer je sais que tu connais, je tai vu, mais encore? Est-ce que tu veux baiser? Tu me plais et je crois que je t enculerais avec plaisir Tu aimerais? »
-Fais-moi ce que tu veux, si je tai suivi cest parce que jai envie que tu me traites comme tu lentends, je me donne à toi, demande-moi et je ferai ce que tu voudras, jaime quon me traite en femelle, jai envie de toi.
En réalité, outre cette envie jétais angoissé, je navais pas encore connu une telle situation et je me lançais un peu à laventure. Jétais excité et très troublé de connaître la suite.
Il continua à menlacer et chercha mes lèvres. Je les lui offris et il me roula un très long patin. Ses mains couraient sur mon corps et il entreprit de me déshabiller. Lorsque je fus nu je sentis sur ma peau ses vêtements rêches. Je frissonnais. Il défit son pantalon, puis le reste. Je sentis alors sa queue sur mon ventre entre nous. Il me prit la main pour que je la saisisse. Elle était de bonne taille, dure et humide au bout. Je commençais à le branler doucement, le décalottant, descendant la main vers ses bourses, pendantes et fraîches.
- Oui, branle-moi comme ça, doucement, tu le fais bien, encore mais arrête quand je te le dis, je veux que notre plaisir dure. Continue
encore
arrête
assieds toi sur la banquette, tu vas me sucer maintenant. Je lui obéis et pris sa queue à deux mains pour la porter à ma bouche. Je commençais à le lécher sur toute la longueur avant de la prendre entièrement en moi. Je le pompais, laspirais, tournais la langue autour du gland. Après quelques longues minutes, je marrêtais brusquement.
Je sentis un doigt me pénétrer et me fouiller, la sensation fut un peu plus pénible lorsque le second doigt accompagna le premier. Jessayais de me décontracter. Ce fut plus brutal au troisième. Il me dit quil faudrait mélargir le cul, quil pouvait mapprendre à mélargir et quil aimerait bien me goder ou me fister profond. Il me fit mettre sur le dos et sallongea sur moi. Je repris son sexe en main entre nous deux. « Je vais te baiser comme une femelle me dit-il en me pinçant les seins et en me triturant de partout. Je te mets un coussin sous le bassin, remonte- toi bien, écarte les cuisses, je vais te défoncer comme une pute et ten coller une giclée»
Il sappuyait fortement sur moi, je lembrassais encore, lui caressais le sexe et les couilles pour lexciter encore plus. Je sentis lorsquil se présenta devant mon trou, je me laissais aller mais la douleur de la pénétration était assez vive, du moins jusquà ce que son gland ait passé lanneau. Après, je my habituais, cela devint une autre sensation, celle de sentir mon ventre lourd et empli de sa queue. Il entreprit de me labourer et de rechercher son plaisir, je gémissais pour lencourager. Il sarrêta brusquement et resta bandé en mois. Il me caressa, me malaxa les fesses puis me pinça encore les seins. Je sentais le plaisir dans une certaine douleur. Il reprit ses aller et retour, de plus en plus brutalement, je le sentais sur le point de jouir, alors je me masturbais à mon tour pour membraser le ventre.
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