Le 14 Juillet De Nathalie

Etant souvent en déplacement à cette époque, Nathalie sortait de temps en temps en boite de nuit ou dans des pianos bar en semaine.
C’était souvent le Jeudi soir car il y avait plus de monde et après il ne restait qu’une journée de boulot avant le Week-end.
Elle y allait en général avec une ou deux copines ou collègues de travail, mais très rarement seule.
Suivant la ou les filles qui l’accompagnait elle se lâchait plus ou moins.
Il n’était pas rare en effet, voir même très fréquent, que lors de ces sorties elle finisse dans les toilettes à sucer une bite ou se faire prendre vite fait.
Le plus dur était de le faire en toute discrétion par rapport à ses copines, elles la savaient mariée et ma femme ne voulait pas passer pour une pute à leurs yeux.
Certains soir elle en suçait même plusieurs dans la soirée.
D’autres fois elle suivait le mec jusqu’à chez lui pour finir dans son lit.
Parfois cela se passait juste dans la voiture, bref elle ne se privait pas de coquiner.
Elle avait bien sur ma bénédiction pour toutes ses frasques à la condition de tout me raconter après.

Ce Jeudi-là était un douze Juillet, deux jours avant le défilé sur Les Champs Elysée.
Elle avait convenu avec deux de ses collègues de sortir le soir dans une grande boite de nuit de Paris.
Ma femme devait avoir à peu près 32 ans et les deux autres filles environ 22 et 24 ans.
Elles s’étaient donné rendez-vous chez nous pour partir ensemble dans une seule voiture.
Les deux jeunes filles n’étant pas trop rassurées de conduire dans Paris, c’est donc ma femme qui a pris notre voiture pour cette sortie.
Nous avions à cette époque un gros 4X4 de sept places, difficile à garer mais pratique pour s’imposer à la circulation de la capitale.
Elle réussit à trouver une place dans une petite rue pas très loin de la boite.
La boite de nuit comportait plusieurs étages et, ou à chaque étage une musique différentes était diffusée.

Il y en avait donc pour tous les gouts.
Les trois filles s’étaient dit que si elles se perdaient de vue, elle se donnaient rendez-vous vers deux heures au bar le plus près de l’entrée.
Une fois rentré elles ont d’abord commandé un verre pour se mettre dans l’ambiance.
Peu après ma femme les a quittées pour aller dans une autre salle car la musique ici ne lui plaisait que moyennement.
En cette période de 14 Juillet, la boite de nuit foisonnait de militaire, ce qui n’était pas pour déplaire à Nathalie.
Une fois trouvé la musique qui lui plaisait, elle a commencé à danser sur la piste.
Une mini-jupe, un chemisier bien décolleté cachant difficilement sa forte poitrine avantageuse, des lèvres bien pulpeuse et bien prononcées par une touche savante de rouge à lèvres bien vif, il ne fallu que peu de temps avant que plusieurs bidasses commencent à s’intéresser à elle.
De grands sourires, des compliments, des politesses tout en se rapprochant de plus en plus d’elle.
Ils étaient plusieurs sur le coup.
L’un d’entre eux peut-être plus aguerri, mais surtout plus rapide, lui proposa de venir s’assoir à une table et prendre un verre.
Ni trop musclé, ni trop maigre une taille moyenne, physiquement pas trop mal, elle a alors accepté de le suivre.
Arrivé à une table ou plusieurs militaire étaient assis, ces derniers se sont tout de suite levés pour permettre à la « belle demoiselle » de prendre place.
Son chevalier servant s’est assis à côté d’elle plaçant aussitôt un bras autour de ses épaules et une main sur sa cuisse afin de montrer aux autres qu’il avait déjà pris une option sur elle.
La messe était dite.
Voyant cela, quelques autres sont reparti chasser vers la piste de danse.
Un des militaires resté près d’eux est alors allé leur chercher des boissons et lorsqu’il est revenu s’est très vite éclipsé voyant que le couple s’était fortement rapproché pendant son absence.
En effet leurs bouches étaient soudées l’une à l’autre depuis de longues minutes.
Avant cela ils s’étaient quand même présentés.
« Je m’appelle Pierre et toi ? »
« Nathalie »
Sitôt dit, il l’a attiré vers lui pour l’embrasser, leurs langues se sont aussitôt mélangées avec fougues sans discontinuer jusqu’à l’arrivée de leur boisson.
Ils ont bu quelques gorgées puis se sont de nouveau embrasser avec passion.
La main de Pierre s’était insinuée plus haut sur la cuisse de ma femme et lui a écarter le string pour venir lui titiller le clito.
Nathalie à force de l’embrasser était trempée, les doigts de Pierre sont rentrés sans peine dans sa chatte et il a commencé à bien la branler.
Ce traitement la stimulait beaucoup et elle soupirait de plaisir.
Debout devant leur table plusieurs de ses collègues leur tournait le dos et faisaient barrage pour éviter aux voyeurs de trop s’approcher ainsi qu’au personnel pour ne pas voir le couple qui devenait impudique.
Pierre a soudain attiré ma femme pour qu’elle vienne s’assoir sur ses genou face à lui tout en continuant de lui rouler des pelles.
Dans cette position elle avait les cuisses bien écartées et Pierre pouvait donc bien la fouiller avec ses doigts.
Il pouvait bien les rentrer loin dans sa chatte et la branler avec dextérité.
De temps en temps il sortait ses doigts trempés pour prolonger l’excitation et les donner à sucer à ma femme qui y prenait un malin plaisir tout en lui faisant son regard de salope.
Aussitôt il remettait sa main pour recommencer à la doigter.
A force de ce travail, elle s’est soudain collée à lui, la bouche contre son oreille, pour se laisser aller à une jouissance interminable en laissant échapper un long râle de plaisir.
Heureusement la musique était suffisamment forte pour que personne n’entende.
« J’ai envie de toi » lui dit-il
« Moi aussi »
« On va chercher un endroit pour être tranquille »
Joignant le geste à la parole, il lui a pris la main et ils sont allés chercher un endroit pour assouvir leur envie de sexe.
Quand ils se sont levés, ma femme a bien pu voir l’énorme bosse dans le pantalon de Pierre.
Ils se sont dirigés vers les toilettes, l’endroit était plein de monde mais aussi plein de pisse et avait une odeur loin d’être agréable.
« Mince, je doute qu’on trouve un endroit calme ici » dit-il.
« J’ai une idée » dit-elle « Ma voiture n’est pas loin et les vitres sont teintées à l’arrière, j’espère qu’on peu sortir et rentrer après »

Un coup de tampon sur la main et les voila tous les deux se dirigeant vers la voiture.
La rue était petite, assez sombre et tranquille.
Ils sont rentrés s’installer à l’arrière du 4X4 pour y être plus à l’aise.
Il a enlevé son pantalon et son caleçon.
Nathalie s’est penchée vers sa bite pour lui redonner vigueur, en a peine cinq secondes un beau sexe bien dur se dressait devant ses lèvres.
Elle l’a pris dans la bouche pour lui prodiguer une fellation d’enfer.
Sa langue courrait partout le long de sa bite s’attardant tantôt sur le gland, tantôt sur ses couilles.
Puis elle le prenait bien à fond dans sa bouche jusqu’à toucher son ventre avec le nez.
« Putain tu suce trop bien, tu va me faire jouir trop vite »
Voyant le regard déçu de ma femme il renchérit :
« Mais t’inquiète vu comment tu m’excite je ne vais pas débander, je vais te baiser après »
Ma femme a donc continué à le sucer en lui titillant bien le bout du gland avec ses doigts puis en le reprenant a fond de gorge puis en le branlant tout en lui léchant les couilles et en les gobant pour ensuite revenir lui lécher le gland.
Soudain il a attrapé la tête de ma femme pour bien l’enfoncer sur sa bite et gicler à l’intérieur.
Ça devait faire longtemps qu’il ne s’était pas vidé car elle en avait plein la bouche.
Afin d’éviter de tacher les sièges elle s’est resignée à tout avaler et lui a ensuite bien nettoyer le sexe.
Il bandait toujours très dur, il a pris une capote dans sa poche pour se l’enfiler sur la bite.
« Tourne toi je vais te démonter comme jamais »
Il était encore très excité.
Ma femme a retiré son string et s’est placé à quatre pattes sur le siège.
Il s’est positionné derrière elle et lui a enfoncé son gourdin jusqu’à la garde avec un grognement presque bestiale.
« Tiens prends ça salope »
Il la pilonner bien fort en lui attrapant les hanches pour pouvoir rentrer au maximum à l’intérieur à chaque coup de rein.
La vision qu’il avait des fesses de ma femme quand il la baiser devait être aphrodisiaque car elle avait l’impression que le barreau qui la défoncé devenait de plus en plus gros et de plus en plus dur à chaque coup de rein.
Pendant qu’il la prenant il a commencé à lui titiller l’anus, d’abord tout doucement en tournant bien autour de son petit trou puis lui a rentré petit à petit un doigt.
« Non pas mon cul »
« Chuttt laisse toi faire je ne te ferais pas mal »
Il a continué à lui travailler l’anus en prenant bien soin de lubrifier très souvent son doigt, soit avec sa salive soit avec la mouille qui dégoulinait de sa chatte tellement elle appréciée le traitement qu’il lui faisait subir.
Il l’a limé sans discontinuer pendant plusieurs dizaine de minutes, lui faisant prendre du plaisir plusieurs fois de suite.
A chaque jouissance son doigt s’enfonçait un peu plus dans le cul de ma femme, sa rondelle se dilatée et elle commençait à éprouver du plaisir à sentir ce doigt investir ses fesses.
A un moment il est sorti de sa chatte pour positionner sa bite devant son cul.
Il s’est enfoncé en elle tout doucement, en prenant son temps pour ne pas lui faire mal.
Une fois sa bite bien rentrée dans ses fesses, il a commencé à faire de léger va et viens puis à accélérer progressivement.
L’appréhension de ma femme s’est estompée rapidement et elle a commencé à y prendre du plaisir.
Complètement réceptive, ils se sont alors lâchés.
Elle aimait qu’il l’encule et lui a adoré lui prendre son cul.
Ses coups de rein se faisait de plus en plus virulent mais qu’importe, Nathalie sentait qu’elle allait jouir avec cette pratique.
Au bout de quelques minutes un orgasme violent l’a submergée et là, alors qu’avant à chaque jouissance elle se retenait de ne pas trop faire de bruit, elle n’a pu s’empêcher de crier pendant que lui aussi se déversait en elle.
Il s’est retiré, à enlever la capote, Nathalie s’est assise en venant se coller contre lui.
Ils ont discuté un peu avant de retourner dans la boite.
En gros elle lui a dit qu’on était libertin et qu’elle aimerait bien faire un trio avec lui et moi.
Il n’était pas contre et se sont échangé leur numéro
« Je t’enverrais un message demain pour te dire a quel caserne nous allons être au bal du 14 Juillet comme ça si ton mari est ok on s’y retrouve et on finit la nuit chez vous tous les trois »
« Ok »

De retour dans la boite de nuit, ils ont retrouvé les copains militaire de Pierre.
Le jeune frère de Pierre et un de ses copains, tous les deux militaire aussi, était arrivés rejoindre le groupe.
Sur leur genoux était assises deux filles.
« Tiens, les filles vous êtes là ? Je vous cherchais justement. » Menti Nathalie.
La plus jeune était un peu éméchée et sa copine voulait rentrer.
« Ok, si vous voulez on y va » leur dit ma femme.
Les deux jeunes militaires avaient une vingtaine d’année et voulaient venir avec les trois filles car ils avaient bien l’intention de se taper les deux plus jeunes.
A force d’insister elles ont dit oui.
Tous le monde est reparti vers la maison dans le 4X4, pendant le trajet les deux militaires faisaient le avec les filles pendant que ma femme conduisait.
Ses deux collègues devenaient moins réceptives et commençaient à regretter de leur avoir dit oui.
Arrivé à la maison, les quatre sont descendus du 4X4 pendant que ma femme le rentrait dans le garage.
Ils discutaient dans la rue et les filles ne voulaient plus les emmener avec elles.
Faisant comme si de rien n’était, ma femme leur à dit qu’elle rentrait se coucher en leur souhaitant une bonne nuit.
Ils ont continué à discuter devant la porte encore quelques minutes puis des portières ont claquées et la voiture des filles est partie.
Avant de se coucher Nathalie est aller prendre une douche car elle avait beaucoup transpirée.
En sortant elle a entendu des gens parler devant la maison, intriguée elle est sortie discrètement.
Les deux jeunes militaires étaient là, laissé en plan par les deux filles.
« Bein vous n’êtes pas parti avec les filles ? »
« Non elles n’ont pas voulu qu’on reparte avec elles »
« Aie, il est plus de trois heures du mat et à cette heure il n’y a plus de RER » « Vous allez rentrer comment ? »
« Bein…. On ne sait pas trop, on ne sait même pas ou on se trouve »
« Allez, rentrez chez moi, je ne vais pas vous laisser dormir dehors »
« Oh c’est gentil madame, merci beaucoup »
Une fois dans la maison ma femme s’est aperçue qu’elle était sortie avec un peignoir très court et mal ajusté en haut ce qui fait que sa poitrine n’était pas trop cachée.
« Vous voulez prendre une douche avant de dormir. »
« Volontiers madame »
Elle leur a donner le nécessaire et ils sont allés tous les deux dans la salle de bain.
Ma femme s’était servi un verre en attendant.
Je ne sais pas ou je vais les faire dormir, la deuxième chambre est en travaux et les laisser seul en bas dans le canapé ne m’enchante guerre, ils pourraient fouiller, voir voler des trucs sans que je m’en aperçoive.
Environ 10 à 15 minutes après ils sont ressorti tout frais et juste en caleçon.
La vue de ces deux jeunes militaires bien musclés et juste en caleçon lui plaisait assez.
Une petite idée commençait à lui trotter dans la tête.
Il est vrai que penser qu’elle allait passer la nuit sous le même toit que ces deux jeunes males bourrés de testostérone et certainement plein de vigueur, commençait à lui redonner des idées.
Après tout ça n’arrive pas si souvent ce genre de situation.
« Vous voulez boire un verre avant d’aller au lit ? »
« Avec plaisir madame, merci »
« Bon cesser de m’appeler madame, je me prénomme Nathalie, au fait vous c’est comment ? »
« Didier et Sébastien »
Didier était le frère de Pierre et était plus dégourdi que son copain.
En buvant leur verre ses yeux se promener sur les cuisses et le décolleté de Nathalie.
Une fois les boissons terminés ma femme leur a proposé d’aller se coucher car il commençait à se faire tard.
« On dort où ? »
« Montez, je vais vous donner une couverture et un oreiller et vous dormirais dans ma chambre sur la moquette »
Nathalie les a précédées dans l’escalier pour leur montrer la chambre.
La vue de ses fesses qui se trémoussaient en montant à l’étage les a sans doute émoustillés car les caleçons des deux garçons avaient pris quelques formes une fois arrivé devant la chambre.
Elle est rentrée dans la pièce, a ouvert l’armoire pour attr tout en haut de quoi les faire dormir.
Elle s’est mise sur la pointe des pieds pour atteindre le haut de l’armoire ce qui n’a fait qu’empirer le volume des caleçons.
En effet, le fait de lever les bras a fait remonter le peignoir si haut que l’on pouvait voir presque entièrement le globe de ses fesses.
« Tenez » dit-elle en se retournant avec un large sourire et en leur donnant leur couchage.
Toujours en se trémoussant, elle s’est dirigée vers le lit pour s’y assoir, remonter le drap jusqu’à son ventre et ôter son peignoir.
Les deux militaires ne pouvaient pas ignorer la vue qu’elle leur offrait : ses seins lourds et volumineux avec les tétons érigés.
Maintenant c’était acquis, les caleçons étaient tendus à l’extrême.
Comme si de rien n’était, ma femme a déposé son peignoir à coté du lit et s’est recouvert le torse avec le drap.
« Il est grand ton lit, on peut tenir à trois dedans je suis sûr, en plus ce serait plus confortable » « Tu sais nous à la caserne les lits ne sont pas top, alors pour une fois que l’on pourrait dormir dans un vrai lit… »
« Mais là je suis toute nue »
« Ça ne nous gêne pas tu sais »
« Vous serais sage ? »
« Cela dépend de toi » répondit Didier.
« Il est vrai que quand je vois la forme de vos caleçons, on risque d’avoir une nuit agitée »
Elle a alors passée doucement sa langue sur sa lèvre supérieure puis s’est mordillée la lèvre inférieur en prenant un air des plus salope.
Le feu vert était donné.
Ils se sont approchés de chaque coté du lit pour enlever complétement le drap qui recouvrait ma femme et pouvoir ainsi découvrir son corps nu.
Leur mains se sont promenées partout sur son corps, les cuisses, le ventre, les seins et le sexe.
Elle a écarté légèrement les jambes pour faciliter le passage de quelques doigts.
Chacune de ses deux mains s’est dirigée vers les caleçons si prometteur, pour les descendre et attr la bite bien dure qui se trouvait enfermée dedans.
Elle les a branlés doucement pour bien jauger la taille de leur sexe.
Ils bandaient très dur tous les deux.
« Allonger vous j’ai envie de vous sucer »
Pas besoin de leur dire deux fois.
Les deux sexe étaient quasiment du même gabarit, au moins 18cm et bien 5cm de diamètre, un peu plus gros que celui de Pierre.
Nathalie a commencé à sucer Didier pendant qu’elle branlée Sébastien puis a alternée.
Sa bouche allait d’une bite à l’autre pour les sucer.
Elle leur a fait subir ce sort pendant un long moment.
« Putain tu suce trop bien » lui dit Didier.
« C’est clair, en plus on va certainement passer un meilleur moment qui si on était partis avec les deux autres pétasse » renchérit Sébastien.
Ma femme prenait beaucoup de plaisir à sucer ces deux belles bites.
A un moment elle les a fait se rapprocher pour pouvoir les sucer en même temps et les prendre ensemble dans sa bouche.
Les deux glands se trouvaient à l’entrée de sa bouche, elle avait du mal à les prendre en même temps alors elle passait bien sa langue tout autour en posant ses lèvres dessus et en aspirant comme si elle voulait aspirer toute la sève qui était en eux.
Un liquide séminal commençait à suinter de leur gland tellement la pipe prodiguée par ma femme les excitaient.
Leur bite était très dure et semblaient encore prendre du volume.
D’un coup alors qu’elle avait encore la bouche bien ouverte, simultanément, deux giclées de sperme sont venues s’écraser on fond de sa gorge.
Un peu surprise de les sentir exploser en même temps, mais heureuse du résultat de sa fellation, elle a gardé la bouche ouverte pour continuer à recueillir les flots de sperme que ces deux jeunes males lui déversaient au fond de sa gorge.
Au moins cinq giclées chacun.
Cela faisait une tel quantité de sperme qu’elle a dû s’y reprendre en plusieurs fois pour tout avaler.
Elle a continué à les lécher pour bien nettoyer leur sexe et aspirer les dernières gouttes de sperme qui sortaient de leur méat.
Didier s’est relevé et à demander à ma femme si elle avait des capote.
Les bites des deux comparses étaient toujours au maximum de leur forme, bien dur et bien droite.
Nathalie a attrapé une boite de préservatif dans le tiroir de sa table de nuit pour lui donner.
« T’es équipé toi dit donc » lui dit Sébastien.
Pendant ce temps Didier a enfilé une capote et a fait se mettre à quatre patte ma femme entre les cuisse de Sébastien pour qu’elle le suce et pouvoir la baiser en levrette.
Elle était trempée d’excitation.
Didier l’a pénétré sans aucun mal et a commencé à s’activer à grand coup de rein dans sa chatte.
Sébastien qui n’avait pas débandé nous plus, continuait à se faire bouffer la bite par ma femme.
Elle le prenait bien à fond puis le ressortait de sa bouche pour lui lécher la hampe en descendant jusqu’aux couilles qu’elle prenait complétement dans sa bouche.
Elle remontait ensuite pour l’avaler entièrement à nouveau.
Didier la pilonnait bien à fond à un rythme effréné.
Il allait et venait à l’intérieur de ma femme de tout son long.
Elle a vite eu un très gros orgasme qu’elle a extériorisée par un grand râle qui n’en finissait pas.
Didier et Sébastien ont échangé leur place.
« Tu va voir Seb, elle est trop bonne à baiser »
Ce dernier à son tour a chevauché ma femme en la tenant fermement par les hanches et lui assener de grands coups de boutoir, il l’a faite jouir trois fois de suite tellement elle se sentait remplie par ce pieu dur comme du béton qui la pilonnait.
Ils ont alterné a se rythme pendant plusieurs heures, éjaculant 3 ou 4 fois chacun sans jamais débander.
Ma femme, elle, ne comptait plus ses orgasmes entre 15 et 20 sans doute.
Vers sept heures du matin ils se sont affalé tous les trois sur le lit exténué par tant de sexe.
Nathalie s’est calée entre ces deux étalons pour s’endormir, son sexe était brulant d’avoir autant était assailli par ces deux males en rut.

Plusieurs heures plus tard ils se sont réveillés presque en même temps.
Bien évidemment Didier et Sébastien avait une gaule digne de ce nom.
Ils ont commencé à caresser Nathalie qui les a vite stoppés car son sexe était encore endolori par tous les assauts qu’elle avait subi la veille.
« Non j’en peu plus, j’ai la chatte en feu et en plus mon homme rentre ce soir de déplacement » « Il faut qu’il puisse profiter de moi aussi ».
Déçu mais compréhensif, ils se sont levés.
« On peut reprendre une douche ? »
« Bien sûr, pendant ce temps je prépare un café »
Chacun leur tour ils sont allé se doucher ressortant aussi nu qu’ils étaient rentrés.
A poil tous les trois, ils discutaient en prenant le café dans le canapé.
A voir ma femme nue assise entre eux, leur sexe s’est redressé progressivement jusqu’à être complétement tendu.
« Tu ne veux vraiment pas qu’on remette ça ? »
« Non il faut vraiment que je laisse ma petite chatte se reposer » « Si vous voulez je veux bien vous sucer une dernière fois »
Ils se sont levés aussitôt pour lui faire face et qu’elle puisse les pomper.
Elle les prenait chacun leur tour dans la bouche en branlant l’autre.
Elle a essayé à nouveau de les gober tous les deux et a réussie à enfourner ces deux grosse bite en même temps dans sa bouche.
Elle les branlait bien avec ses deux mains tout en suçant leur gland avec délectation.
Sentir la langue et les mains de ma femme se promener partout sur leur bite, leur couilles, leur gland parfois même jusqu’à l’entrée de leur anus, n’allait pas tarder à les faire éjaculer.
Sébastien en premier à attr la tête de ma femme pour bien la bloquer sur sa bite et lui envoyer plusieurs jets de sperme au fond de la gorge, une fois tout avalé, elle lui a bien nettoyer la bite avant de passer a celle de Didier qui lui a fait subir le même sort et s’est vidé au plus profond de sa bouche.
Dommage que mon homme ne soit pas là, il aurait adoré venir m’embrasser se dit-elle.

Une fois tous le monde habillé, ma femme a déposé les deux militaires à la gare RER la plus proche puis et rentrée se reposer en m’attendant.

Il lui fallait du repos car demain c’est le 14 Juillet…

A suivre.