La Directrice Forme Une Petite Jeune Chap Ii

- Excusez moi, je ne suis pas encore habituée aux verres de contacte, je peux vous faire la bise Martine ?
- Heu, oui, si vous le voulez Eliane et je lui tends la joue, je suis troublée par cette femme sévère qui se dévoile à moi, sa tendresse nouvelle me touche.
- Bonne fête, petite fille, me dit-elle et elle pose ses lèvres tendrement sur ma joue, pas au milieu non, presqu’à toucher la commissure des miennes, elles sont chaudes et parfumées, elles s’attardent sur ma peau, la pince un peu, tendrement, cela m’électrise, je frémis.
- Vous n’ouvrez pas vôtre cadeau, me dit-elle en quittant ma joue ?
- Si, tout de suite Eliane, vous êtes gentille d’avoir pensez à moi
- Je pense à vous souvent, vous savez ?
Je déballe mon paquet mais j’ai bien entendue sa dernière phrase, je ne la regarde pas et m’exécute au ralentis en réfléchissant au sens de ses paroles, serait-elle en train de me draguer pour me faire ma fête dans le bureau comme une vielle gouine ou est-elle amoureuse de moi, ses gestes, sa façon de m’embrasser, ses paroles gentilles se bousculent dans ma tête, je me sent en confiance avec elle et je me demande si je ne suis pas attirée par elle depuis le début, malgré son manque de féminité physique et vestimentaire des jours passés, je perçois une humidité poindre dans ma culotte comme tout à l’heure quand je l’imaginais recevant les assaut fornicateurs du boss.
Le cadeau est ouvert, dans la boîte je trouve un flacon de parfum de luxe que je ne pourrais pas me payer et une chaîne en argent avec un symbole ciselé dans un médaillon, je ne connais pas ce symbole, elle est folle ou quoi, il y en a pour cher dans son cadeau, je ne sais pas quoi lui dire.
- Cela vous plait-il ?
- Oh oui Eliane, mais vous avez fait des folies, ce parfum, cette chaîne, ce médaillon, je mérite vraiment tout ça ?
- Disons que nous fêtons deux choses, d’abord vôtre fête et ensuite, vos un an de maison, année pendant laquelle je vous ai vue évoluer positivement et je pense que cela doit être souligné, le symbole sur le médaillon, est un symbole qui vous résume bien, c’est de l’écriture runique, l’écriture des vikings, qui symbolise la femme.


- Tournez-vous, je vais vous mettre la chaîne.
Je me tourne, elle me passe la chaîne autour du coup, m’effleurant du bout des doigts, je frissonne encore, elle s’en aperçoit.
- Vous avez froid, demande-elle ?
- Non non, ce sont vos mains qui m’électrisent Eliane
- Tiens donc, je vous électrise Martine ?
Elle pose ses mains sur mes épaules, les caresses délicatement puis dépose des bises sur ma nuque, je suis fébrile, j’apprécie sa douceur, elle fait naître en moi des sensations agréables, l’envie de me laisser aller avec une femme mure qui a l’air de savoir y faire.
- Faites voir ce que cela donne sur vous
Je me retourne
- Pas mal, il vous vas bien ce médaillon et le parfum, vous l’essayez aussi, petite fille ?
Je vais pour l’ouvrir mais elle s’en saisit et me tamponne le cou avec le bouchon puis en dépose une goutte entre la naissance de mes seins, elle referme le flacon et viens me humer, le coup d’abord, frôlant ma peau de son nez et de sa bouche, ses cheveux glissent sur moi dans une caresse soyeuse, petit à petit, me reniflant comme une chienne sent ses petits, elle descend vers ma poitrine, son souffle sur moi me chauffe les sens, je mouille ma culotte honteusement, sans qu’elle ne m’ai vraiment touchée, elle a pausée ses mains sur mes épaules et me fait bomber le torse pour mieux sentir mon entre seins, ses longs cheveux excitent mes pointes qui se mettent à durcir, bientôt, les tétons turgescents apparaissent à travers le tissus de mon chemisier, Eliane relève la tête et me plante son regard dans les yeux, elle a encore cette humidité dans les yeux.
- Vous sentez bon, petite fille, on en mangerai.
Je suis plus que troublée et je ne recule pas quand elle approche ses lèvres des miennes, je suis même attirée par sa bouche, irrésistiblement, elle se pose sur la mienne et nous nous embrassons tendrement, sa langue me pénètre, j’hésite un moment à faire la même chose car je sais que si je cède, ce sera comme un consentement et alors les choses irons plus loin.

Elle caresse ma langue avec la sienne et je lui rends son baisé, pénètre sa bouche, je pose mes mains sur ses hanches, elle m’attire contre elle et nous nous roulons une pelle d’enfer, frottant nos poitrines, nos ventres, elle glisse une jambe entre les mienne et son genoux sous ma jupe remonte vers mon sexe en frottant mes cuisses que j’écarte légèrement, je cède, je vais me donner à une femme, je le sais, je le veux maintenant, j’en ai envie, je la veux, elle, cette femme de vingt ans mon aînée, sévère et douce à la fois, je ne sais pas encore si je suis lesbienne ou si cela sera le plaisir d’un soir mais je suis prête à tout lui donner, tout lui faire.
J’ai aussi remonté mon genou entre ses cuisses et elle se frotte la vulve dessus comme moi, étant en jupe, je prends certainement plus de plaisir qu’elle à cette masturbation, il n’y a que le rempart de ma culotte mouillée entre ma vulve et sa jambe, qu’elle bouge contre mon sexe, troublée et excitée par tout ce qui vient de ce passer entre nous deux, j’ai un premier orgasme fulgurant et je me liquéfie sur elle.
- Hooo, Pardon Eliane, j’ai abusé de la situation, j’ai pris mon plaisir comme une égoïste
- Ne t’excuse pas mignonne, c’est ta fête aujourd’hui, tu me permets de te tutoyer ?
- Oui, bien sur et moi, je peux ?
- Mais oui, petite fille, tu viens de jouir sur ma jambe, regarde la belle tâche que tu m’as fais, nous sommes amies maintenant, buvons du champagne.
- Tu en as ?
- Et hop, dit-elle en sortant une bouteille et des coupes de son “baise en ville“
- Je suis certaine que tu n’es pas une égoïste et que tu sauras bien t’occuper de moi, dit-elle en faisant sauter le bouchon, elle remplit les verres et nous trinquons
- Bonne fête Martine, bravo pour ton année passée ici et bravo pour ton humidité sur ma jambe.
- Tu sais, je ne suis pas lesbienne, je ne sais pas comment cela ce passe entre femmes, là c’était, disons, masturbatoire
- Moi, je le suis et je t’apprendrai et puis rassure toi, les femmes se connaissent bien, elles connaissent leur corps, mieux que ces salauds de mecs.

- Tu n’aimes pas les hommes du tout ?
- Si, mais pas au lit, ils ne savent pas donner du plaisir à une femme, eux, sont égoïstes, ils te fourrent, te balance la sauce dans le vagin ou dans la bouche et après, tu te démerdes toute seule pour te finir.
- Embrasse-moi, parlons d’autres choses
Nous avons fini nos verres en discutant, je me sens bien et pleine d’envie, je couche Eliane sur le bureau et ma bouche s’écrase contre la sienne, nos langues se mélangent, pétillantes de champagne, je me mets à lui caresser la poitrine, je n’ai jamais imaginé que je ferais ça un jour à une femme mais là, j’en ai envie, envie de la voir aussi, cette poitrine généreuse aux tétons pointant sous le tissus du débardeur.
Je passe ma main dessous, c’est chaud, je lui remonte son soutif, ils sortent, deux beaux nichons avec une grande auréole marron et des bouts bandés, des grosses tétines, je les pince, elle aime, je quitte sa bouche pour les téter, je les aspire, les malaxe entre mes lèvres, les mordille aussi un peu, Eliane gémie de plaisir, je devrais maintenant descendre ma main vers son sexe, je le sais mais je suis un peu pudique avec elle, passer à l’acte comme ça, je ne peux pas, je n’ai touché qu’une fois le sexe d’une fille, à part le mien, pourtant je sais comment cela fonctionne, où toucher pour faire du bien mais je n’arrive pas à franchir le pas, je lui caresse le ventre mais pas plus bas, elle réclame silencieusement les caresses qui font jouir en bougeant son bas ventre, en écartant les cuisses mais je ne m’y résous pas.

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