Premier Pas Vers Le Libertinage
Je mappelle Laetitia jai 22 ans et jai eu loccasion il y a maintenant un ans et demi daller passer une année en Angleterre en tant que jeune fille au pair. Jarrivais dans la maison dun couple plutôt fortuné habitant la banlieue de Londres, la femme devait avoir dans les 35 ans et était très séduisante avec des cheveux blond une peau très pale et une taille très élancée (environs 1m75) tandis que son mari devais avoir dans les 45 ans et était très occupé par son travaille dans le domaine de la finance.
Je logeais dans une jolie petite chambre qui possédait une petite salle de bain avec douche, wc et salle de bain. Les premières semaines se passèrent sans incident notable le couple étant très prévenants envers moi et ma tache qui ne considérait quà amener leurs deux petites filles à lécole et à leur parler un peu en français me laissait pas mal de temps libre. Ceci me permis de minscrire dans la fac du quartier afin de nouer quelques relations. Je fus ainsi très vite conviée à des soirées auquel mes hôtes me permettaient de participer sans aucun problème à condition que je remplisse mes obligations en retour.
Ainsi un mardi soir je me rendis dans un pub avec ma bande damis afin de suivre le match de coupe dEurope du club de Chelsea. Je ne suivais habituellement très peu le foot mais la ferveur locale me mis rapidement dans lambiance. La victoire aidant je bu plus de bière que de raison et je ne rentrais à la maison que tard dans la nuit. Aussi le lendemain matin le réveille fut particulièrement difficile et rien ne sarrangea lorsque je constata quil était déjà 7h45 passé alors que je devais amener les petites à lécole pour 8h00. Je me leva dun bond et enfilant mes vêtement à toute vitesse je me chargea de les réveiller, de les faire déjeuner et de les préparer. Pour ne rien arranger le temps était ce jour la exécrable.
Aussi je ne fus pas mécontente lorsque après les avoir déposées à lécole je pus enfin rentrer et me mettre au chaud.
- Ne tinquiètes pas cela ne me gène pas nous sommes toutes faites de la même façon et puis cest de ma faute si je nai pas poussé le verrou.
Pendant quelle me parlait je narrivais pas à détachée mon regard de son sexe. Il faut dire que cétait la première fois que je voyais un autre vagin que le miens et que celui-ci était parfaitement mis en évidence par sa toison admirablement taillée en forme de ticket de métro et ses grande lèvres biens rouges qui se détachaient clairement sur sa peau très pale. Elle dut remarquer mon trouble car elle repris :
- Ca te plais ? Tu peux toucher si tu veux.
Alors elle pris ma main et la guida vers son entrejambe. Cétait à la fois doux et chaud puis elle descendit encore un peu et mes doigts effleurèrent son entrejambe dont le sexe humide trahissait son excitation. Sa voix se fit enfiévrée et elle me glissa à loreille :
- As-tu déjà fais lamour avec une femme ?
Elle ne me laissa toujours pas le temps de répondre puis elle posa ses lèvres sur les miennes mentraînant dans un fougueux baiser. Je répondis à son baiser et nos langues se mêlèrent, cétait bon comme un homme sauf quen plus elle sentait bon. Voyant que je réagissais favorablement elle commença à défaire la ceinture de mon peignoir et à me dégager les épaules tout en membrassant dans le cou. Le vêtement tombât alors à mes pieds nous laissant nues lune contre lautre.
Elle me laissa tranquillement reprendre mes esprits puis elle me proposa de mépiler le sexe tout en me disant que les hommes adoraient ça. Il faut dire quayant des origine portugaise jai le poil très fournis et foncé. Je me retrouvais donc assise sur le rebord de la baignoire pendant que ma patronne soccupait de mon sexe accroupi devant moi. Elle enleva dabord le plus gros à laide de ciseau à bout rond puis commença à étaler la cire sur mon pubis. Elle était très douce et procédait par petites touche ce qui rendait la douleur facilement supportable. Alors les minutes passèrent et la fatigue aidant je commençait bientôt à me laisser aller tout en sentant ma chatte mouiller abondamment. Elle mépila intégralement le sexe ne laissant pas le moindre poil car elle me disait trouver ça jolie sur les jeunes femmes comme moi. Une foi son travaille terminé elle me rinça puis menduisit tout le corps dune crème apaisante à lodeur damande. Son massage décupla encore mon excitation et je lui glissais à loreille :
- Jai envie de vous.
Alors elle me prit par la main et mentraîna jusquà sa chambre à coucher. Nous nous jetâmes sur le lit encore défait puis nous nous embrassâmes langoureusement. Elle se mis en 69 au dessus de moi et commença à lécher ma chatte avec entrain. Javais la sienne à quelques centimètres de mon visage et je ne résistai pas longtemps à lenvie dy fourrer la langue à mon tour.
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