La Suite Des Aventures De Jocelyne
Je reprends mon propre récit et continue à vous narrer quelques péripéties assez chaudes de ma vie avec mon "Monsieur Guy" adoré. Il affectionnait me soumettre à ses fantaisies perverses, et moi j'adorais me livrer à ses fantasmes débridés. Nous étions fait pour nous entendre
. Le plus surprenant est qu'il n'était jamais à cours d'idées cochonnes. Parfois ses exigences étaient " à tiroir". Je veux dire qu'elles s'enchaînaient diaboliquement. Ainsi, détournant mon rôle de propriétaire, il me conduisit à une suite d'aventures particulièrement épicées. Je crois que je vous ai dit que je louais mon pavillon à Laurent et Stéphanie. Au cours d'une soirée passée avec eux et Bertrand ils firent semblant de se plaindre de leur propriétaire. Pourtant, vous pouvez me faire confiance, le loyer que je leur demandais était peu élevé voir presque symbolique. A ce point qu'il ne me le versait pas tous les mois, mais tous les trimestres. Guy trouva équitable qu'en contre partie de leur contribution financière je me mette à leur disposition la soirée de ma perception. Cette proposition fit l'unanimité de mes deux locataires comme vous pouvez le penser. Unanimité qui atteint son paroxysme lorsque Guy précisa que je serais à leur plus entière disposition. En fait, une fois par trimestre je serais leur esclave sexuelle
. L'idée, de prime abord pouvait paraître intéressante, et puis j'étais très curieuse d'expérimenter de nouvelles fantaisies, alors
. Alors, j'acceptais la suggestion de Guy qui me fit promettre d'être tout à fait docile et soumise aux désirs de mes maîtres qui pourraient, sans restriction me soumettre à toutes leurs volontés.
Donc une soirée par trimestre je devins esclave. Petite précision, pour aller jouer les soumises, je devais être bien coiffée, bien maquillée et intégralement nue sous un imperméable. Pour la circonstance il me sembla qu'un ciré noir s'imposait. C'est donc dans cette "tenue" que j'allais percevoir mon loyer.
Par la suite, je dus faire le service à table (toujours nue bien sûr) et pendant qu'ils se restauraient, je devais passer sous la table leur faire aussi bien à l'une qu'à l'autre des gâteries avec la bouche ou bien encore je devais me masturber avec ce qui leur tombais sous la main (j'eus aussi l'occasion de faire ce genre de service ailleurs, je vous raconterais
). Quand je dis "avec ce qui leur tombais sous la main" ce n'est pas exact il faisait semblant de prendre un objet au hasard. En fait ils avaient préparé cela bien soigneusement.
Comme j'avais toujours refusé de me faire prendre en photo (photo cochonne bien sûr) ils en profitèrent pour m'imposer de poser pour eux ou avec eux. Ils eurent bientôt une belle série de clichés qu'ils communiquèrent évidemment à Guy et aussi à Bertrand. J'avais curieusement très honte de cela, me voir la langue enfoncée dans la chatte de Stéphanie ou bien entrain de me faire sodomiser par la formidable pine de Laurent. Mes deux "maîtres" décidèrent que non seulement je devais être à leur entier service mais aussi que j'étais, par ricochet, au service intégral de leurs éventuels invités. Donc pour corser l'affaire deux ou trois fois ils invitèrent un couple à dîner et
je fis le service à (et sous) la table. La première fois je fus frustrée comme il n'est pas possible. J'avais servi nue, sucé les deux hommes, léché les deux femmes, subi leurs attouchements, donc je me trouvais dans un état d'excitation intense. Le rôle qui me fut dévolu ensuite fut celui
de spectatrice de leurs ébats communs avec interdiction absolue de me masturber. Les autres fois je fus admise à participer à la condition encore une fois de me laisser photographier. Contrainte et e, je commençais à m'y faire, et puis, cela plaisait tellement à Guy
.
Lors d'une de mes visites je fut reçue par Laurent qui était déjà nu. Il m'informa que Stéphanie serait absente, mais qu'en contrepartie, il avait invité des copains de travail. Je mis un petit instant à comprendre de quoi il allait s'agir. Effectivement, je crois vous avoir déjà raconté que Stéphanie et Laurent avaient d'une part une activité "au grand jour" de vendeur de journaux et vidéos aux magasins de Bertrand et d'autre part une activité plus "souterraine" d'acteurs ou assistants pour des productions pornos privées. Il me fit alors entrer dans le living ou je restais estomaquée. Il y avait quatre jeunes hommes présents. Nus également tous les quatre, ils arboraient des virilités impressionnantes. Il est vrai que pour exercer le métier de hardeur
. Parmi les quatre, il y avait deux noirs. Alors imaginez un peu des acteurs de films X
par définition très membrés et parmi eux deux hommes de couleurs à la réputation flatteuse (et je peux vous assurer qu'au cas particulier ce n'était pas usurpé) et encore, parmi ces deux là, un homme d'une carrure impressionnante avec une bite de cheval
. Autant dire que ma soirée n'allait pas être de tout repos. Elle ne le fut vraiment pas, et je regagnais le domicile conjugal les jambes écartées et l'anus défoncé. Ils me firent tout puisque Laurent me présenta comme son esclave à qui l'on pouvait tout faire endurer. Ils ne s'en privèrent pas. Ils me firent engloutir leurs queues en entier (et tant pis pour mes nausées) et à fond, sucer leurs couilles, lécher leurs culs, je fus prise, retournée, enculée (oui, surtout enculée d'ailleurs). J'en avais partout dans les mains entre les seins qu'ils triturèrent sans égards, et leurs bouches et leurs mains se posaient sur moi sans arrêt. J'étais investie à un, deux, trois ou tous les cinq et en plus ils changeaient de place sans arrêts. Le comble est qu'ils me firent tout plusieurs fois et que cela durait
durait
ils étaient très virils et très résistants. Je rentrais chez moi trempée de sueur et couverte de leur foutre gluant.
Lors de ces soirées "loyers" les deux jeunes gens s'ingéniaient à trouver des idées ou des situations perverses. J'y souscrivais avec soumission et entrain
le plus souvent.
Parfois j'étais un peu dépassée. Notamment il y eut une soirée à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Une autre facette du vice
.
J'y allais comme toujours ou presque, selon leurs ordres, uniquement vêtue, si l'on peut dire d'une par de dim-up noir sur des talons aiguilles. J'avais toujours une petite appréhension en traversant la rue. Cette fois ce fut comme les autres et je trouvais qu'ils mettaient bien longtemps à m'ouvrir. Je poireautais un peu et la porte finit par s'ouvrir. Elle s'ouvrit sur un homme nu et cagoulé. A la taille de son appendice, je reconnus Laurent. Je lui demandais d'un ton léger si c'était carnaval. Je n'aurais pas dû. Un deuxième homme surgit dans l'entrée à son tour. Disons qu'il était
vêtu de la même manière. Il s'exclama :
"Elle renaude la pouffiasse !"
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je me retrouvais brutalement retournée et plaquée contre le mur. Je fus ainsi tenue les seins et le ventre écrasés contre la cloison le temps que mes bras soient ramenés dans mon dos, mes poignets réunis et assujettis par une paire de menottes.
"Alors qu'est ce vous foutez !"
"Attends
on l'amène !"
"Allez viens
toi Qu'on prenne du bon temps !"
Cette dernière phrase m'était destinée. L'homme avait croché sa main dans la masse de mes cheveux derrière ma tête et c'est par ce moyen qu'il me guida dans mon salon. En y entrant j'y vis deux choses. Tout d'abord deux autres hommes, nus eux aussi et qui comme Laurent et l'autre portaient les même cagoules noire. L'un d'eux était très brun et très velu. Cela combiné au port de la cagoule lui donnait une allure terrifiante. Ce que je vis d'autre ce fut Stéphanie. Attachée en croix aux poutres et aux montants du passage vers la salle à manger. Son corps était en forme de X avec les jambes très écartée. Je vis avec angoisse quelque chose dépasser de ses fesses. Au fur et à mesure qu'il me faisait pénétrer dans la pièce, je reconnus avec affolement que c'était le manche d'un fouet ou quelque chose comme cela qui lui avait été profondément enfoncé dans le fondement. Toujours conduite par les cheveux l'homme me fit avancer vers ses acolytes et les tirant vers le bas me força à m'agenouiller. Il vint se placer devant moi et sans me laisser le temps de réagir, il me pressa sa verge contre les lèvres. Il était hors de question que je refuse ce qu'il voulait. Déjà, en temps "normal" quand je venais chez mes jeunes amants et locataires, c'était pour êtes docile, alors vous pensez bien aujourd'hui
avec ces types qui me faisait une peu peur
.. Les deux autres se levèrent et vinrent sa placer également devant moi ainsi que Laurent. J'avais donc les quatre hommes nus près de moi. Leurs intentions étaient on ne peu plus claires. Malgré mes poignets toujours menottés dans mon dos j'allais devoir les sucer. Je m'empressais aussi bien que je pus essayant de suivre leurs rythmes et la profondeur de leurs pénétrations. Je puis vous dire qu'il fallut que m'active sérieusement et que je salive beaucoup pour parvenir à être à la hauteur. Ils furent sans retenue et sans fioriture. J'étais là pour qu'ils me baisent la bouche, point à la ligne. Parfois ils y venaient à deux, comme pour me soumettre d'avantage. Une fois même ils demandèrent :
"Tiens la Laurent !"
Il me prit lui aussi par les cheveux (décidément
) et les trois me forcèrent la commissure des lèvres à m'en faire mal. Je parvins presque à les absorber. Tour à tour, quand même bien excité par ce que je leur avais fait, ils déchargèrent dans ma bouche et sur mon visage. Au bout des quatre éjaculations, je devais avoir le pourtour des lèvres plein de sperme ainsi que le menton, vu ce qui m'avait été expédié. Me laissant toujours agenouillée au beau milieu de mon ex-salon, ils s'offrirent un rafraîchissement. Sans oser trop lever les yeux, je vis qu'ils n'avaient que très peu débandé. Ce fut ce moment que choisit Stéphanie pour se plaindre de l'ankylose de ses épaules. La seule réponse qu'elle tira de l'assistance fut des ricanements :
"Tiens, elle a bien fait de parler, l'autre salope ! On va s'occuper de son cas !".
Je fus relevée et conduite devant elle. On me colla contre elle. Deux hommes nous poussèrent le visage l'une contre l'autre, nous encourageant "à nous rouler des pelles" tout en déclarant que "ces sales gouines devait aimer ça ce lécher le foutre dans la bouche l'une de l'autre"
. on me pesa sur les épaules, je m'agenouillais de nouveau. On me pressa la figure contre son ventre. Toujours privée de l'usage de mes mains je dus lui lécher la fente tant bien que mal. Pendant ce temps ils agitaient sans douceur le martinet dans le cul de Stéphanie. Ils le retirèrent et me firent relever. L'un d'eux me força à le sucer et s'en saisit. Il fixa le dos de Stéphanie en disant :
'Bon !... maintenant on pas aux choses sérieuses !"
Je m'exclamais :
"Ça ne vas pas ! Vous êtes malades
vous n'allez pas la fouetter ?"
"Ta gueule ! Fermes-là !... ou tu prend sa place !" fut le réponse.
Je me tint silencieuse et vis l'homme cingler une première fois les fesses de Stéphanie. Malgré les liens je la vis se cabrer. Laurent et un des hommes me firent venir à l'écart. Laurent s'allongea sur le sol. L'autre me poussa vers lui, me le fit enjamber pesa de nouveau sur mes épaules. Je m'agenouillais encore une fois au dessus de Laurent qui m'ordonna de venir ma placer au-dessus de sa bite. Je me plaçais à l'aplomb. Il se contenta de tenir son pieu bien orienté vers le ciel. L'autre appuya sur mes épaules et je m'empalais sur ce pieu que j'aimais tant (celui-là aussi). Une bourrade dans le dos me fit tomber vers l'avant. J'avais saisi
sandwich au menu ! Toujours sans délicatesse ni raffinement l'homme m'encula. Heureusement que cet endroit était maintenant rompu à cette discipline. Ils se mirent en mouvement comme des forcenés, comme s'ils n'avaient pas eu de femme pendant des lustres. Devant moi, à quelques mètres, les deux autres se relayaient pour s'occuper de Stéphanie. Il la fouettaient deux ou trois fois puis changeaient de bourreau et aussi de place. Ils la frappèrent sur les fesses, le haut de cuisses, les reins. Lorsqu'ils venaient devant là aussi ses cuisses étaient frappées, mais aussi son ventre et son pubis. Parfois ces sadiques orientaient leurs coups plus verticalement, histoire que les lanières puissent atteindre les doux replis intimes de sa vulve. J'avais la sensation que les hommes retenaient quand même leurs coups. Certes ils n'y allaient pas de mains morte, mais ils savaient se contrôler
faire souffrir un peu, oui
mais marquer, non!.... il n'empêche que Stéphanie jappais de douleur à chaque fois puis elle finit par geindre de façon presque ininterrompue. Pendant ce temps les deux hommes s'agitaient furieusement en moi. Qu'est ce que je prenais ! Malgré leur manque volontaire de douceur, je sentis que j'allais jouir malgré tout. Ils m'invectivèrent de plus belle :
"C'est bon hein salope ?"
" Ooooh oui ...... Ouiiii ...... Mon Dieu ...... Ouiiiiii"
"Tu aimes ça la queue ?"
"Owwwww
Oouiiiiiiiiii
. C'est grooooos
. C'est boonnnn
.!"
"Ça te fais jouir, hein, de voir ta copine se faire fouetter ?"
"Nonn-nnnnnnnnnnn
"
"Mais si allez dis-le !"
"Ouuiiiiiiiiii
ça me fais jouir Haaaaaaaaaa ... Oh mon Dieuuuuuuuu
. C'est trop bon !....."
Le spectacle devait aussi les avoir pas mal excité car mes deux suborneurs se vidèrent de concert en gros bouillon. Pendant notre orgasme les deux autres avaient cessé de maltraiter ma pauvre Stéphanie. Cependant ils arboraient des virilités bandées comme des satyres. Je m'aperçus alors que "le velu" avait lui aussi une pine hors du commun. Je n'y avais pas pris garde tout à l'heure, enfiévrée que j'étais de sucer avidement. L'autre homme s'approcha de Stéphanie, se plaça dans son dos plia un peu les jambes et se redressa d'un coup perforant son anus. Elle cria sous l'impact. Il se mis à la besogner debout et toujours entravée. Les deux hommes se retirèrent de mes orifices distendus et me laissèrent étendue sur le coté
à même le sol
. L'autre tourmenteur de Stéphanie vint lui détacher les jambes. Ce n'était pas une mesure de mansuétude de sa part. il vint devant elle, lui releva les jambes et s'enficha dans son vagin. Elle était toujours suspendue par les bras et désormais reliée à la terre ferme par les deux queues qui la violentaient. Elle les suppliait en même temps d'arrêter et de continuer. C'est ce qu'ils firent
. Elle hurla, non plus de douleur, mais de jouissance ! Son orgasme parut démesuré
étrange
. Dès que les deux types eurent éjaculé ils la délièrent rapidement et la transportèrent sur un fauteuil ou elle s'écroula prostrée.
Les hommes s'accordèrent tranquillement une bière. Stéphanie était toujours recroquevillée sur son siège et moi toujours abandonnée sur le sol. Pas un seul instant on nous proposa à boire. J'avais pourtant soif et j'aurais bien voulu faire un peu passer la sensation collante et sirupeuse de ce qui m'enduisait l'intérieur de la bouche et la gorge. Les hommes semblèrent tenir conciliabule en nous jetant des coups d'il furtifs. Je remarquais quils avaient l'air de s'intéresser davantage à moi. Je mis cela sur le compte du plaisir qu'ils prenaient à me voir ainsi mortifiée à même le sol. J'avais sans doute partiellement raison, mais que très partiellement
. L'air décidé, ils vinrent vers moi et me relevèrent. Visiblement ils avaient quelque chose en tête. Lorsquils mentraînèrent vers l'endroit ou Stéphanie avait été immobilisée tout à l'heure, je compris leurs desseins. Je criais :
" Nonnnnnnnn, je vous en prie
nonnnnnnnn !"
Une gifle me fit taire. Je tentais de me débattre. Peine perdue, les quatre hommes réunis n'avait même pas besoin d'user de toute leur poigne pour me maîtriser. Je sentis que l'on me retirait les menottes pour me passer des sortes de larges bracelets aux poignets. On me souleva légèrement du sol et les hommes assujettirent des cordes aux bracelets. Les cordes furent tendues et on me reposa (en fait on me lâcha) sur le sol. J'avais les bras en V. ce fut au tour de mes chevilles de recevoir chacune un bracelet. Une corde les relia à des pitons vissés en bas des montants de l'ouverture. Les cordes furent passées dans les anneaux de ces deux pitons. Visiblement avec beaucoup de jubilation, deux des hommes tirèrent sur les extrémités des cordes. Mes jambes furent obligées de s'ouvrir. Je vis Stéphanie venir dire quelque chose à l'oreille de l'un d'eux puis s'éclipser. Ils se remirent à m'étirer. Ils ne cessèrent de tirer sur les cordes que lorsque mes cuisses furent écartées au maximum et que, pour prendre appui sur le sol, je ne dus reposer que sur la pointe des pieds. Ils se reculèrent pour mieux admirer leur uvre. Je suppliais de me délivrer, quémandais grâce, implorais leur pitié. Je leur promis de faire tous ce qu'ils voudraient. Cela les fit rire. Comme le dit l'un d'eux :
"De toute façon on va te faire ce qu'on veut ma belle !"
Je criais pour que l'on me secourre. Ameuter le quartier... oui voilà !... pour être délivrée de ces sadiques débiles. Je me mis à les insulter. Je n'aurais peut être pas dû. L'un d'eux me pinça le nez. Pour respirer il me fallut ouvrir la bouche. Il en profita pour m'y enfoncer un genre de grosse balle en mousse ou en latex munie de lanières. Elles furent solidement tachées sur ma nuque. Cette satanée balle bien plaquée contre mes dents m'empêchait inéluctablement de refermer la bouche. Inévitablement les sons qui voudraient sortir de ma bouche seraient irrémédiablement inarticulés et bien sûr assourdis. J'avais tout gagné ! Complètement écartelée et réduite au silence j'étais complètement à leur merci. Les larmes me virent aux yeux. Il s'en aperçurent et ironisèrent.
"Oh ne pleure pas !... pas maintenant ! Tu vas voir
tout à l'heure tu vas chialer pour quelque chose
surtout avec ce que Stéphanie nous a demandé !"
Je voulus croire qu'ils disaient cela pour m'effrayer encore un peu. Ce fut Laurent qui alla chercher le martinet. J'avais la chair de poule et tremblais. Ce fut juste, si l'on peu dire, me l'enfiler dans l'anus. La sodomie à laquelle m'avait pliée l'autre tout à l'heure facilita les choses. Malgré tout il me mit le manche bien profond. Sur la demande des autres il le fit disparaître entièrement
et douloureusement. Ils s'amusèrent un peu à le faire aller et venir tout en me branlant la chatte de leurs doigts et en me pinçant les nichons.
Stéphanie revint un peu rafraîchie. Elle semblait tenir quelque chose de caché dans l'un de ses mains. Elle me caressa la joue du dos d'une main et d'une voix faussement contrite me murmura onctueusement :
"Ma pauvre chérie
. Comme tu vas souffrir
. Tu n'aurais pas dû dire que cela te faisait jouir de me voir fouettée
. Tu vas déguster salope
. Je leur ai demandé d'être très sévère avec toi ma belle
."
J'aurais voulus lui dire que ce n'était pas ce que je pensais. Que c'était les deux autres qui m'avaient arraché cette phrase, que je regrettais
. Je ne pus émettre qu'un ridicule "aaawwwwww"
Tout en me parlant elle s'était mise à me caresser un sein. Du bout du doigt elle titilla le mamelon qui s'érigea sous la caresse. La douleur me fit gémir. Prenant le téton entre le pouce et l'index elle venait de le tordre. Elle fit subir le même sort à l'autre
puis au deux en même temps. Quand elle les lâcha, ils étaient raides et tout rouges. Avant que je ne puisse réaliser ce qu'elle faisait, je ressentis une morsure sur l'un d'eux. Puis vite sur l'autre aussi. Cette garce venait de me mettre une pince à chaque bout des seins. Des genres de pinces avec des dents qui s'enfoncèrent bien dans les chairs fragiles. Vu ce que j'endurais je compris pourquoi elles s'appelaient des pinces "crocodiles".
"Tu vois
pour toi c'est la cerise sur le gâteau
. Tu vas voir ce que cela fait quand ils vont te les faire bouger
. "
D'un coup sec, elle délogea le martinet de mon fondement. Elle l'essuya ensuite sur mon nez et mes yeux avant de le tendre à un des types. Elle déclara :
Bon !... moi aussi, je vais me faire enculer
. Je te laisse entre de bonnes mains
. Je vais voir si cela me fait jouir de voir ma copine se faire fouetter !"
Encore une fois je voulus crier un "noooonnnnn" de supplication
sans succès.
Laurent et un autre homme s'emparaient de Stéphanie et s'éloignèrent. Je l'entendis glousser. Il me restait le velu et celui qui m'avait (si hardiment) sodomisée. Ils disparurent de ma vue. Je restais ainsi un petit moment suspendue. Le poids de mon corps tirait affreusement sur mes bras et mes épaules. Je compris pourquoi Stéphanie s'était plainte tout à l'heure. Au moins elle avait pu, elle
.
J'entendis comme une sorte de petit sifflement et une brûlure me vrilla le bas des reins. Je venais de recevoir mon premier coup de martinet
cela faisait mal ! Le deuxième, sur les fesses me surpris aussi. Je redoutais le troisième
qui me frappa au même endroit. Stéphanie avait vu juste. Les coups à chaque fois qu'ils m'arrivaient me faisaient tressauter
et tressauter mes lolos accentuant ainsi la souffrance due aux pinces impitoyables
cerise sur le gâteau avait-elle dit
.
Je me mis à redouter les petits sifflements, sachant très bien ce qu'ils précédaient, crispant tous mes muscles. Mes reins et mes fesses furent copieusement fouettés ainsi que le haut de mes cuisses. Parfois les lanières venaient frapper l'intérieur de mes cuisses, là ou la peau es si douce et si tendre
. Je souffrais
et me mit à sangloter. Les coups étaient portés différemment comme tout à l'heure sans doute, ils devaient se relayer pour me maltraiter. Il y eu un petit répit. Ils buvaient
. J'entendais aussi Stéphanie et les deux autres baiser
. Mes tourmenteurs revinrent et se placèrent cette fois devant moi. En plus du reste je pouvais les voir ajuster leurs coups avant de les asséner. Cette fois ce furent mon bas-ventre et mon pubis qui furent fustigé ainsi que le devant de mes cuisses. A un moment donné, le velu vint m'écarter les lèvres de la chatte. Je les vis bien prendre leur temps, comme s'il savourait mon supplice à l'avance, viser
et me cingler l'entrejambe. Ils le firent plusieurs fois. Cela faisait un mal de chien !
Ils cessèrent peu après. Je les vis regarder par dessus mon épaule, comme s'il guettait un assentiment. Entre deux halètements j'entendis Stéphanie proférer:
"Oui c'est bon ! Allez-y maintenant !"
Les deux hommes s'approchèrent de moi. Avec un bel ensemble ils ôtèrent les maudites pinces qui me talaient les nénés. Le sang se remettants à circuler engendra une souffrance intense. Pour, sans soute activer cette circulation, ils me les giflèrent. D'abord assez doucement puis beaucoup plus fort
oui beaucoup. Je crus, à tort, à la fin de mon calvaire. L'un d'eux se saisit à nouveau du martinet
.
Je voulus crier "non
pas les seins". J'émis "oooonnnn
aaaaaaa
.èèèèèè einnnns".
Mes sanglots redoublèrent. Un de mes tortionnaires me caressa la chatte et l'autre s'approcha pour me dire :
"Tu as raison
pleure ! On te l'avais bien dit que tu allais chialer pour quelque chose"
Il se recula et de mes yeux agrandis par la terreur je le vis se préparer. La tension fut telle que je ne bougeais pratiquement pas quant les lanières zébrèrent mes gros seins. Je reçus encore deux ou trois coups et inversèrent les rôles. Le poilu vint me mettre trois doigts dans la chatte cependant que l'autre allait lui aussi à son tour .fustiger mes mamelles. Le plus bizarre était que malgré la douleur, j'arrivais quand même à ressentir quelque chose comme un peu de plaisir dans la masturbation qui m'était infligée.
Derrière moi j'entendis jouir Stéphanie et ses complices
.
Comme l'avait fait tout à l'heure les deux autres, il stoppèrent les sévices pour contempler leur orgasme. Je m'aperçus seulement à cet instant que mes bourreaux bandaient aussi
et je songeais que vraisemblablement, ils allaient passer aux plaisirs de la chair. L'homme singe passa derrière moi
à lui donc mes reins
je le redoutais un peu surtout dans cette position. Il fit sauter mon bâillon et avec brusquerie il m'ouvrit les fesses. Plaça son chibre contre mon anus
et le viola
"Aieeeeeeeeeeeeeeeeee ...... Nonnnnnnnnnnnnn
"
Quand sa bite fut encastrée totalement dans mon cul il s'arrêta. Comme je l'avais vu faire l'autre délia mes jambes, les releva et inséra sa bite bien au chaud dans mon intimité. Après quoi ils se mirent à me fourrer en cadence. Là aussi ils se montrèrent raffiné dans leur lubricité. Il était évident que je ne pouvais plus faire l'effort de trier sur mes bras trop épuisés pour contrarier les lois de l'apesanteur, alors, ils prenaient un malin plaisir à me soulever et me laisser retomber afin que je m'épale doublement sur leurs pieux tendus.
"Mon Dieu je vous en prie
. Nonnnnnnnn
Haaaaannnnnnn" haletais-je d'une voix sourde. Encore plus bizarrement que tout à l'heure malgré mes muscles endoloris, mon corps qui me cuisait je ressentais du plaisir comme si la tension et la souffrance avait exacerbé mes sensations et excité mes terminaisons nerveuses. Pourtant je ne voulais pas leur donner la joie de m'infliger du plaisir après ce qu'il m'avait fait.
"Nonn-nnnnnnnnnnn ... Arrêteeeeez ......"
A retraits lents suivi de coups de pistons brutaux, ils enfournaient leurs queues dans mon ventre et dans mes reins. Mes lamentations se muèrent en râles puis mes râles en gémissement
de plaisir. J'étais vaincue à nouveau !
"Oahhhhhhhhhhhhhhh ........ Ahhhhhhhhhhhh
. Ouiiiiiiiii" me mis-je à mugir.
Ils m'accompagnaient de "Tiens salope prends ! Prends la ma grosse bite !".
"Ohhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiii ........ " Baisez moi..... Encoooore .... Je vous en priiiie .... Plus foooort
" me mis-je à bramer,'arc-boutant tendant mon corps torturé entre eux et encourageant ses salauds à me labourer et à me défoncer la chatte et le cul plus rudement encore.
Et
" Oh mon Dieu ...... Mon Dieu ......Ohhhhhh ...Vous
. Vous m'avez déchirée le fion......... Oh mon Dieuuuuuuuuuu que c'est bon ! Oui ... S'il vous plait ..... Je le ferai ..... Je ferai encore la pute... Mais n'arrêtez pas ... Je vous en prie .... N'arrêtez pas ..... Encoooore ..... Baisez moi ...... Baisez moiiiiiiiiii ohhhhhhhhhhhhhh
."
Il s'étaient bien retenus et se lâchèrent ou plutôt me lâchèrent leur jet de foutre brûlant. C'est la seule chose que je senti avant de m'évanouir.
Dans une semi inconscience je sentis que l'on me détachait complètement et que l'on m'allongeait sur un canapé
. Nuit
.
Quand je repris conscience, Laurent et Stéphanie étaient près de moi me cajolant avec tendresse. Je me mis à pleurer à chaudes larmes. Une fois ma peur, ma tensions et mon stress évacué je me fâchais, raflais mon imper et partit en titubant.
Quinze heures de sommeil plus tard. Il me fallut tout relater à mon époux. Cette fois ce fut sans gâteries vu mon état de délabrement. Je mis plusieurs jours à ne plus me ressentir de rien. Laurent et surtout Stéphanie avait essayé de prendre de mes nouvelles j'avais refusé de leur parler. Ils étaient même venus voir Guy en cachette. Ce que je ne supportais pas c'était le piège tendu, la souffrance endurée mais surtout le plaisir issu de cette dernière. Je ne comprenais pas, cela me dépassait. Un qui fit profil bas un temps fut mon mari, qui petit à petit me dit être au regret de ne pas avoir invité à cette initiation occulte. Puis il se mit à dire qu'il aimerait assurément me voir traiter en victime. Enfin il me demanda carrément de participer à des séances sado-maso, lui en voyeur et moi en esclave martyrisée. Sons argument choc était l'orgasme extraordinaire ressentit
après
..
Je n'ai jamais rien pu refuse à mon "Monsieur Guy adoré"
. Cette fois je ne dis ni oui, ni non
. Par contre il fallut que j'aille me réconcilier avec les jeunes. Je fis d'assez bonne grâce. Se fut Stéphanie qui eut le mot de la fin :
"On se voit le trimestre prochain
pour le loyer
. Se sera plus doux".
Ce le fut effectivement !
Bien sûr il fut encore question de soumission aux désirs de mes jeunes locataires et amants, puisque c'était un des rites de perception du loyer et qu'ils s'ingéniaient à varier les plaisirs
. Cette fois là fut, comment dire ? Quelque chose de merveilleux qui me laissa un souvenir de ceux qui restent à jamais gravés. Lorsque je sonnais à la porte, nue sous mon ciré et avec des talons hauts comme je vous l'ai déjà dit lorsque qu'aucune tenue particulière ne m'était réclamée ce ne fut pas Laurent qui vint m'ouvrit comme à l'accoutumée, mais Stéphanie. Elle était aussi nue que moi et c'était faite drôlement jolie. Elle me débarrassa de mon ciré et me prit gentiment par la taille. Cette entrée en matière différait on ne plus de certaines fois dont celle que je viens de vous narrer. Enlacée nous rentrâmes dans le salon. Deux femmes étaient présentes sur le canapé. Deux femmes nues
. Deux femmes qui se bécotaient et se caressaient
. Elles se tournèrent vers nous. Je connaissais l'une
Annick, dans j'avais fait "la connaissance" quelque temps auparavant, et je reconnus l'autre
. La blonde
LA blonde, celle qui m'avait plut sur les vidéos de Guy. LA blonde magnifique entrevue
la femme du notaire
en chair et en os (plutôt en chair). Ouahouuuu ! Elles se levèrent toutes les deux. Annick s'approcha de moi et me déposa un baiser léger sur les lèvres en guise de bienvenue. Elle me présenta la nouvelle venue
Marie-Agnès
. De superbes yeux verts sondèrent les miens dans un regard plein de sensualité et de promesses voluptueuses. Je suis certaine qu'à cet instant nous nous somme mutuellement demandé si nous devions nous embrasser tout de suite ou si nos devions attendre un peu. Stéphanie intervint :
"Hèèè doucement les filles ! Je vous rappelle que Jocelyne est à MON service
. Elle n'obéira qu'à mes ordres."
En souriant avec volupté Marie-Agnès répartit :
"Bien sûr Stéphanie chérie
j'espère que tes ordres lui donnerons quand même l'occasion de s'user la langue
."
"Ne t'inquiète pas ! Elle est là pour ça !"
Je ne demandais pas mieux, je fus déçue
car Stéphanie continua :
"Mais
soyons un peu cruelles
faisons là languir un peu
depuis le temps qu'elle attends de faire ta connaissance
. Il va falloir qu'elle soit très soumise
avant !".
J'avais compris, si je voulais arriver à mes fins, il me faudrait passer par leurs caprices à toutes les trois. Stéphanie me désigna un gode-ceinture posé sur la table. Elle me demanda de le passer. Une fois nantie de ce substitut de membre masculin; elle me précisa ce qu'elle attendais de moi.
"Pendant que nous allons nous occuper toutes les deux, tu vas faire l'amour à Annick ! Fait cela bien
je te préviens que j'ai toujours le martinet de l'autre jour
"
Honnêtement et bien qu'adorant Annick, j'aurais préféré Marie-Agnès. Mais je devais me plier aux exigences de Stéphanie. Après tout cette petite garce avait peut-être raison. Les choses seraient encore meilleures après une attente excitante. Annick vint vers moi et m'embrassa longuement à pleine bouche et me demanda de "venir lui faire du bien". Comme les deux autres avaient prit place sur le canapé, elle s'agenouilla perpendiculairement à la table du salon, s'y accouda derrière levé. Ainsi elle souhaitait se fraie prendre tout en se rinçant l'il. J'humectai de salive le sexe improvisé et lui insérais précautionneusement dans le vagin. Je me mis à la limer lentement. Devant nous les deux autres femmes s'échangeaient des baisers enflammés, nous faisant admirer le ballet de leurs langues agiles qui s'enroulaient l'une autour de l'autre. Elles se caressaient aussi les seins en se suçant les pointes. Finalement elles se mirent à se doigter réciproquement. Enfin, tandis que je besognais toujours Annick, elles se placèrent de façon à imbriquer leurs fourches l'une dans l'autre. De cette manière elle se retrouvèrent chatte contre chatte et clito contre clito. Elle ce frottèrent l'une à l'autre avec chaleur. Annick commença à gémir sourdement sous mes coups de reins. Comme je la savais sensible de ce coté, je lui mis mon pouce dans le cul, comme les hommes aiment nous le faire souvent. Ce fut très favorablement accueilli. Pour faire bonne mesure, passant la main sous elle je lui agaçais son bouton d'amour. J'aimais bien Annick et le plaisir que je lui donnais. Je ne me retint plus et la bourrait totalement. Je finis par lui arracher une bel orgasme sous le nez des deux autres qui c'étaient envoyées au septième ciel un peu auparavant. Avec douceur je me désunis d'elle et retirais mes attributs masculins.
Stéphanie décida que nous passerions ensuite dans sa chambre. En y entrant, je sentis que Marie-Agnès me prenait par le coude.
"Dis donc, toi
je ne sait même pas comment tu embrasses ?"
Je lui tendis mes lèvres, ma langue, tout mon être. Elle mit tant de perversité dans ce baiser que je sus à cet instant a consent à toute ses demandes. Pour elle, et en cela elle s'ajoutait à Guy et Bertrand, je vendrais mon âme au diable
à moins que ce déjà fait
. Elle pourrait aussi faire de moi ce qu'elle voudrait
même les choses les pires. En attendant, nous nous plaçâmes en carré comme l'avait décidé Stéphanie. Cette dernière avait choisi de déguster Marie-Agnès qui faisait la même chose à Annick. Pour me remercier de ma prestation de tout à l'heure ma tendre Annick me brouta l'entre cuisse. Ainsi placées, il ne me restait plus qu'à honorer de ma langue la maîtresse de maison. Nous nous déchaînâmes toutes les quatre. Nos langues passaient de nos chattes à nos clitoris enfiévrés. De ces derniers elles venaient s'enfoncer lascivement dans nos illets palpitants et de là elles rejoignaient leurs orifices d'origine pour y recueillir les témoignages du plaisir que nous nous procurions. Je fus la première à larguer les amarres pour les rivages du bonheur. J'avais du retard à rattr
. A la suite les unes des autres mes camarades de jeu s'abîmèrent dans l'orgasme.
Nous redescendîmes, Stéphanie nous offrit le champagne.
Stéphanie posa la question suivante à Marie-Agnès en me désignant :
"Crois-tu qu'elle te mérite ?"
Avec un sourire démoniaque et un regard cynique elle répondit :
"Oh !... pas encore
j'aimerai beaucoup la voir se branler !"
"Tu as entendu ?" me questionna Stéphanie.
Oui, bien sûr que j'avais entendu
il me fallut sacrifier à cette nouvelle épreuve. Suivant leurs instructions, je me plaçais, en face qu canapé ou elles s'installèrent, dans un fauteuil et écartant les cuisses après les avoir relevées j'usais du vibromasseur que m'avait fourni Stéphanie. En face de moi elles continuaient à déguster le fin breuvage tout en se roulant des patin à qui mieux-mieux. J'entendis Annick demander à Stéphanie si elle n'avait pas plus gros. L'objet qui me remplissait le vagin était pourtant djà de belle taille
. Stéphanie répondis favorablement à la demande de son amie et revint avec un engin impressionnant que je dus utiliser séance tenante. Je les entendis chuchoter et pouffer. Stéphanie d'un ton hypocrite et perfide me demanda :
"Tu sais, Marie-Agnès aimerait quelque chose ! Que tu changes de trou
!
Immédiatement ladite Marie-Agnès conseilla en riant :
"Suce le ça passera mieux !"
Je sortis le gros objet de mon intimité et effectivement l'enduisit de salive. Après m'être suffisamment écarté la rondelle et distendu les muqueuses je parvins, non sans mal, à me rentrer l'ustensile dans le cul. Au bout de quelques instants, Marie-Agnès se leva et empoigna le vibromasseur pour m'en poignarder le trou de balle. Stéphanie et Annick pendant ce temps s'étaient mise en position de soixante neuf et s'en donnait à coeur joie. Marie-Agnès me masturba le fion un moment puis cessant me souffla :
"Allez
viens
."
Avec un bonheur indicible, je la suivis jusqu'à l'autre canapé ou elle me fit allonger. Elle m'enjamba ensuite pour se placer dans la même posture que nos deux amies. Enfin, je pus poser ma bouche sur sa vulve épilée (point commun entre nous quatre), enfin je pus aspirer son clitoris, enfin mes mains purent se saisir de ses seins lourds et satinés, enfin ma langue pu se glisser dans les replis délicat de son sexe, enfin ma langue pu défroisser l'orée fripée de ses reins. Et le pire
enfin, je veux dire le plus formidable c'est que cette superbe femme me rendait la pareille
divinement. Nous faisions l'amour comme des démentes, comme si plus rien n'existait autour de nous. Ma langue la parcourait du pubis jusqu'en haut de la raie, s'enfonçant dès qu'un orifice passait à sa portée. Souvent, son bassin se plaquais à mon visage et le trempais de mouille, son jus me coulais dans la bouche et je buvais
buvais
. Elle aussi me faisait du bien, beaucoup de bien. Elle avait une façon bien à elle de s'occuper de mon petit bouton qui me rendait folle, surtout qu'elle y ajoutait l'introduction de quelques doigt dans mon anus. Son savoir-faire dénotait beaucoup d'expérience et je me tordais sous elle. Au moment où elle sentit que j'allais jouir, elle se laissa aller elle aussi. Ce fut extraordinaire d'intensité
et le plaisir me laissa épuisée tant mon corps avait vibré. Nos deux amies avait prit leur pied, elles aussi, un peu avant nous et nous couvèrent de ses yeux en ce cajolant. Nous passâmes un temps assez long à long à nous caresser et nous embrasser toutes les quatre. Puis Marie-Agnès s'empara du gode-ceinture et décida de sodomiser Annick qui loin de refuser cet hommage anal, s'en félicita plutôt. Tout en matant la scène, je fis l'amour avec Stéphanie.
Voilà, j'avais fait la connaissance de cette femme qui m'avait tant plut en image. Dois-je vous préciser que je la revit ? Vous lavez deviné, sans doute
bien sûr que je la revis, et cela dans pas mal de circonstances. Je la revis lors de séance de photos pornos ou de vidéo du même type à la plus grande joie de JT qui trouva en nous des modèles "dévouées". Je la revis aussi dans les souterrains du château de Charles lors de ses fameuses soirées ou nous étions mises à la disposition de groupe d'hommes plus ou moins nombreux. Je pus constater que si elle excellait dans les rapports saphiques, elle brillait aussi dans des rapports plus classiques, si tant est que le fait de forniquer avec quatre ou cinq partenaires puisse supporter l'adjectif de "classique". Je la revis aussi chez elle, seule avant que les opérations de Guy ne lui redonnent une meilleure mobilité, en couple après. La première fois, je fus impressionnée par sa demeure. Je ne sais pas comment on peut appeler cela, petit château, manoir, hôtel particulier
. Le tout dans un parc superbe et en fait pas vraiment très loin du centre ville. La première fois elle m'attendais sur les marches de son perron et me fit les honneurs de son logis, enfin de deux ou trois pièces
. La deuxième fois je fus accueillie par un majordome. Gilet rayé, impassibilité et un impeccable "si Madame veut bien me suivre" teinté d'un léger accent. Je fus conduite au salon ou un homme semblait m'attendre. Il se leva, se présenta. Jean-Charles d'H
je me trouvais face au mari de Marie-Agnès. Il demanda à son majordome :
"John, débarrassez Madame !"
Le majordome m'aida à retirer mon manteau et me le conserva. En me regardant, maître d'H parut déconcerté :
"Mais
mais enfin
qu'est ce que cela signifie ?"
Je le regardais, ahurie que voulait-il dire.
"Vous n'êtes pas
enfin, vous êtes HABILLEE
. Marie-Hélène !.... Marie-Hélène venez ici immédiatement !"
Interloquée, j'entendis un bruit de talons et Marie-Agnès fit son apparition. Superbe, parfaitement coiffée et maquillée, mais
nue à l'exception d'un porte-jarretelles noir et de bas fumé. Elle vint vers moi me fit la bise. Nos effusions n'allèrent pas plus loin. Son mari la somma de s'expliquer. Comment ce faisait-il que je sois venue habillée ! Marie-Agnès bredouilla qu'elle ne m'avait pas prévenue de la présence de son mari et que, tous les trois, nous
.
"Vous savez ce qui va se passer n'est ce pas ? En position !... John !.... administrez une solide fessée à Madame !".
Devant mes yeux écarquillés, je vis Marie-Agnès, se pencher par-dessus le dossier d'un fauteuil et le majordome s'approcher. Il ne cessa de la fesser que lorsque ses fesses furent bien rouges. Quand mon amie se fut relevée, son époux la pria :
"Déshabillez votre amie maintenant !"
Complètement dépassée par les évènements, je la vis s'approcher de moi, me faire lever et avec des gestes très tendres me priver de mes vêtements. Une fois que je fus dans la même tenue qu'elle, elle me murmura à l'oreille :
"Viens
viens sucer Jean-Charles
. Je vais m'occuper de toi pendant ce temps là !"
Elle m'entraîna par la taille vers son mari qui avait prit place dans un immense fauteuil. Toujours abasourdie, je me laisser guider sans résister. Après tout j'avais quand même taillé pas mal de pipes ces temps-ci et parfois à de parfaits inconnus, alors
le mari de mon amie
. Je lui ouvris son pantalon. Il avait une belle queue, pas monstrueuse, mais fort correcte. Je me mis à l'ouvrage pendant que Marie-Agnès, me plongeait deux doigts dans la vagin et le pouce correspondant dans l'oignon. De son autre main, elle me flatta les seins. J'amenais Jean-Charles d'H à me jouir assez vite dans la bouche. Je partageais son foutre avec mon amie qui s'était rapprochée à l'instant critique. Ce fut encore elle ensuite qui me sollicita :
"Jean-Charles voudrait t'enculer
. Je me mettrais dessous
. Tu veux bien
Dis ? "
Nous allâmes dans une chambre, ou Jean-Charles me sodomisa, fort bien d'ailleurs, pendant que son épouse se glissait sous moi pour me brouter la chatte, fort bien aussi
. Jean-Charles était également un spécialiste de la chose, un genre orfèvre
. Le couple infernal me fit jouir intensément. Puis Jean-Charles s'éclipsa :
"Mesdames, je vous laisse
j'ai du travail à l'étude
amusez-vous bien ! Jocelyne j'ai été absolument ravi de faire votre connaissance
vous avez un cul délicieux !... et vous sucez bien ! J'espère que nous nous reverrons ! Pensez à l'inviter souvent mon amie !".
Effectivement
d'abord nous nous amusâmes
beaucoup. Marie-Agnès me demanda si je voulais "essayer" son majordome, qui selon ses dires "tenait" bien. Je ne voulu pas, préférant égoïstement notre intimité. Effectivement ensuite, je revus Jean-Charles, chez lui pour quelques parties spéciales ou lui aussi dans les soirées du château ou il faisait partie avec Charles, Fred et autres de ce groupe de dépravés libertins.
Marie-Agnès m'avoua que c'est elle qui avait manigancé toute la mise en scène, le faux courroux de son mari
la fessée
et la suite dont elle ne m'avait pas soufflé mot
avant.
Je ne lui en voulu pas, m'étonnant simplement du rôle de son employé de maison. Cela l'amusa et en riant me dit que "je ne savais pas tout".
Elle et son mari organisaient des petites soirées un peu spéciales. Ils recevaient pour dîner des amis en couple ou non. Pour faire le service ils embauchaient des extras. Mais des extras un peu particuliers
comme Annick qui venait souvent. La particularité de ses extras était de servir les convives en tenue plus que légère, sinon nue et de laisser les invités exercer toutes les privautés possibles et imaginables. Entre chaque plat, il arrivait qu'en guise de spectacle le fameux majordome, vu ses capacités de résistance, sodomise la servante. Il arrivait aussi que parfois, l'extra joue le rôle de maîtresse de maison en compagnie de Jean-Charles. Dans ce cas c'était Marie-Agnès, elle-même qui faisait le service
majordome compris. Elle s'ingéniait même à une légère bévue pour permettre au maître de maison de lui ou de lui faire infliger une fessée corsée devant tout le monde. Elle me demanda de participer à ses soirées. J'en demandais l'autorisation à Guy
qui me la donna, vous pensez bien ! En échange, Marie-Agnès vint "faire connaissance" de mon mari.
Lors de la première soirée, je n'étais pas rassurée. En fait juste avec des bas et un petit tablier, cela se passa mieux que prévu. Bien que fut très frustrant puisque je ne fus QUE tripotée par toute l'assemblée. La deuxième fois mes "employeurs" me prièrent de passer sous la table pour faire des gâteries aux invités, hommes et femmes
. La troisième fois, je servis en duo avec Annick. Il y avait trois couples plus leurs hôtes. A la fin du repas Jean-Charles pria les hommes de se faire Marie-Agnès par les trois orifices simultanément. Une des femmes fut tirée au sort. Elle devrait se faire sodomiser par John pendant qu'elle sucerait Jean-Charles. Les deux autres femmes
se verraient assouvies par Annick et moi tandis que pour nous deux
rien ! il n'empêche qu'une fois les gens partis nous nous jetâmes l'une sur l'autre avec Annick sous les yeux de Monsieur et Madame d'H. Par la suite je jouais le rôle de "madame". Je fus assez sévère avec mon employée Marie-Agnès qui du entre autre, lécher tous les culs de l'assistance. Il y eut aussi une fois ou je remarquais que Jean-Charles me reluquait les fesses avec insistance. Il me demanda de le suivre dans son bureau. Il prit le téléphone et appela Guy. Je ne fus donc témoin que d'une partie de leur conversation.
"Allo cher ami !.... Jean-Charles d'H
comment allez vous ?"
"
"
"J'ai près moi votre charmante épouse que vous bien voulu nous confier, ou mieux, disons nous prêter pour la soirée. "
"
"
"Dites-moi, savez-vous que je lui trouve un fessier remarquable ?"
"
"
"Si, si
bien entendu
je l'ai déjà prise de ce coté avec bonheur ! Mais dites-moi ne pensez vous pas que son arrière-train appelle la fessée ? Ne lui avez-vous jamais imposé cette exercice ?"
"
"
"Alors là !... Si le cur m'en dit !... vous pensez !... vraiment vous me comblez ! vous permettez une seconde
. Tu as entendu petit salope, ton mari viens de me proposer de te fesser aussi souvent que j'en aurais envie
."
Et sur ces bonnes paroles il raccrocha après quelques politesses d'usages et la promesse de tenir informé mon époux de mon comportement. C'est donc courbée sur le bureau du Jean-Charles que je connus ma première, humiliante et cuisante fessée. Ce jour là les invités furent amusés de mon postérieur tout rouge. Dans cette même soirée, je fus aussi, entre les plats, livrée à John qui m'encula à chaque fois accoudée entre deux convives différents qui purent me manipuler les seins tout à leur convenance.
En définitives, Guy et Jean-Charles sympathisèrent et devinrent de vrais amis qui partagèrent beaucoup de choses
. femmes y compris bien évidemment que non seulement il partagèrent, mais firent partager à d'autre. Bertrand, par exemple fut ravit de se voir Marie-Agnès offerte sur un plateau
.
Je m'aperçois que je vous ai beaucoup parlé de Marie-Agnès. Voulez-vous que je vous en parle un peu plus
enfin de ce qu'elle m'a relaté elle-même puisque je crois qu'elle a des jardins cachés
.
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