Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (5)

Un plaisir partagé est un plaisir double (5)

Nous n’avons pas attendu la fin du confinement et du couvre feu pour revoir nos amis. Bien que l'anniversaire d'Annie soit passé de plus de huit jours, nous avons voulu le fêter avec eux en leur payant le restaurant. Mais malheureusement toutes les auberges sont fermées j’ai essayé d’appelé Maurice le patron de l’établissement pour savoir ce qu’il en était.

« - Bonjour, c’est Chantal et nous aurions aimé fêter l’anniversaire d’une copine avec son mari chez toi, mais je pense que tu es fermé comme partout ailleurs ? »

« - Oui malheureusement mais si vous pouvez venir samedi soir. J’enfreins la loi en ouvrant pour mes fidèles clients pour ne pas mourir et fermer définitivement. Bien sur il faut que vous soyez négatifs et que vous respectez les gestes barrières. En plus je vous demanderais de rentrer votre voiture dans la cour et de passer par les cuisines car le volet de devant sera fermé. Il n’y aura que dix personnes plus vous quatre dans la grande salle. Inutile de te demander d’être discrets car je risque la fermeture de mon établissement. »

« - Tu sais que tu peux nous faire confiance, alors tu nous réserves une table de quatre pour samedi soir vers vingt heures. Bonne journée. »

Le jour venu ma petite amie est arrivée comme à son habitude toute pimpante et très sexy avec une jupe pied de poule ultra courte qui lui arrivait à mi-cuisses et un joli corsage blanc décolleté. Elle à toujours un peu de mal à cacher sa belle et opulente poitrine qui lui tire sur les boutons de son corsage. Au pied de nouvelles chaussures à haut talon rouge finissaient de l'habiller.

« - Tu es superbe ma chérie, tourne-toi que je te détaille. »

Sachant que nous allons au restaurant ce soir, je me suis habillée plus classiquement en jupe jusqu'aux genoux, des dim up et un corsage noir transparent aux épaules. Nous sommes allés Bob et moi-même dans la cuisine pour allumer les bougies de son gâteau d'anniversaire et c'est en chantant « Happy birthday Annie » que nous les avons rejoins dans la salle à manger.

C'est avec des larmes dans les yeux qu'elle nous a remercié en nous embrassant. Mon chéri à ouvert une bouteille de champagne et nous avons bu à notre belle amitié mais aussi à bonne entente en lui disant :

« - Comme nous ne savions pas quoi t'offrir nous vous payons le restaurant ce soir ! »

« - Les restaurants ne sont pas fermés ? Et tu aurais pu me le dire auparavant, je ne me serais pas habillée comme cela. »

« - S’il est fermé, mais nous y allons tout de même. Et je vais te dire que tu es superbe et très sexy ma chérie. »

« - Tu ne vois pas comme je suis courte ? »

« - Viens avec moi dans ma chambre, nous allons arranger cela. »

En me suivant elle me dit :

« - En plus je n'ai pas mis de culotte sachant que je venais chez vous, si je me baisse, tout le monde va voir mes fesses. »

J'ai retiré ma jupe pour en passer une aussi courte que la sienne.

« - Voilà maintenant tu ne dois plus être complexée, puisque je suis comme toi. Regardes dans mes dessous et prends la culotte ou le string qui te plaît. Je ne t'aurais pas proposé un soutien gorge qui aurait tous été trop petits pour toi mais un slip cela devrait aller pour toi. »

Elle souleva sa jupe pour enfiler une culotte tanga blanche de ma collection mais l'envie pour nous deux de se retrouver était trop grande, nous nous sommes enlacés et embrassés longuement, j'ai glissé mes doigts dans sa fente humide, elle en a fait de même en introduisant sa main dans ma culotte. J'ai vu également qu'elle portait des bas auto fixants tout comme moi.

« - Tu ne parles pas à André que vous êtes venus chez moi lorsqu'il était à l’hôpital, car je ne lui ai rien dit. Mais n’oublie pas d’en parler à ton mari pour ne pas qu’il nous trahisse. »

Nous sommes redescendues rejoindre nos maris en recevant des compliments d'admiration sur nos tenues sexy. Nous avons fini la bouteille de champagne en parlant de choses et d'autres, en attendant l'heure d'aller au resto.


Lorsque nous sommes arrivés en tenant compte des recommandations de Maurice, notre table était réservée, je me suis assise à côté de ma copine et en face d'André. Nous avons bu deux apéritifs avant de choisir ce que nous allons manger sur la carte. Un homme d'une soixantaine d'année assis en face de nous, n'arrêtait pas de nous regarder. Nos jupes ultra courtes faisaient leur effet. L'ambiance à la table était festive et chacun s'est mis à raconter sa petite blague. C’est mon chéri qui commença.

« -Qu'est ce qui est dur et sec et qui ressort mou et trempé ? »

D'une seule voix notre réponse fût :

« - Une bite »

« - Bandes d'obsédés c'est un biscuit dans du café. »

« - Et toi André, tu en as une ? »

« - Quel est le plus petit filet de pêche au monde ? »

« - Nous donnons notre langue au chat ? »

« Le string car il peut contenir une moule, une raie, et un barbu et souvent un maquereau qui tourne autour. »

« - Pas mal à toi Chantal. »

« Quelle est la durée de vie d'une moule ? »

« - Je dirais le temps qu'elle soit dégustée » dit André.

« -Douze ou treize ans, car après il y a des poils et ça s'appelle une chatte. »

« - Et toi Annie tu en connais une ? »

« - Les hommes c'est comme une tempête de neige, on ne sait jamais combien de centimètres on aura, ni combien de temps cela va durer. »

« - Ca sent le vécu, hé ! Bien je vois que nous sommes tous des cochons qui ne pensent qu’à cela. »

Le gars continuait à nous mater, j'en ai fais part à l'oreille de ma copine.

« - Regardes le type en face de nous, il n'arrête pas de nous regarder nos cuisses sous la table, tu crois qu'il voit quelque chose ? »

« - Il ne peut pas voir notre bête puisque nous avons toutes les deux une culotte. »

« - Tu m'accompagnes aux toilettes ? »

« - Oui, de rire cela m'a donné envie de pisser »

« - Cela te dirait de jouer un peu ? Tu serais d'accord d’enlever notre culotte, et d'observer sa réaction.
»

« - Je suis venue chez toi sans culotte, tu m'en as fait mettre une et maintenant tu veux que je la retire ? »

« - Je ne savais pas que ce vieux cochon materait nos cuisses, sois cool, amusons-nous un peu, c'est excitant. »

Nous retirons notre culotte pour la mettre dans notre sac et nous retournons auprès de nos maris. Ils avaient commandé pendant notre absence une nouvelle bouteille de vin.

« - Servez-nous à boire nous avons soif » dit Annie.

Elle a bu son verre pratiquement d'une seule traite. Un moment après l'alcool a commencé à lui faire de l'effet.

« - Vous n'avez pas chaud vous ? »

Elle retira sa veste, montrant son décolleté et le joli nid de pigeon que forme ses seins sortant de son soutien gorge, un peu petit pour sa jolie poitrine. Elle gesticulait tellement que je voyais sa jupe remonter jusqu'au haut de ses bas. Mes yeux croisèrent ceux de notre sexagénaire qui me montra son pouce levé comme pour me dire «super ». C'était sur maintenant qu'il voyait l’orfèvrerie de ma copine. A mon tour, j’ai écarté mes cuisses, pour lui offrir la mienne. Malgré son âge, il aimerait certainement faire reluire notre argenterie. J'ai donné un petit coup de pied à Annie sous la table pour qu'elle regarde notre voyeur, il bougeait sur sa chaise cherchant la meilleure place et la meilleure vue. J'ai glissé ma main sous ma jupe pour me caresser la cramouille. Bob avait remarqué notre petit manège à toutes les deux, nos sourires complices et notre difficulté parfois à suivre la conversation. Je l'ai vu plusieurs fois se retourner pour regarder notre papy, il a même laissé tomber sa serviette pour regarder sous la table ce qui se passait. Il avait la preuve maintenant en voyant entre nos cuisses ouvertes, notre foufoune à l'air libre que nous faisions du gringue à ce sexagénaire. André lui pensait que nous étions pompettes, il n'avait d'ailleurs pas tout à fait tord. Nous rajustons nos jupes car la serveuse arrivait avec le gâteau d’anniversaire d’Annie scintillant de mille feux d'artifices que nous avions commandé.
Toute la salle s'est mise à applaudir. J'ai sorti un petit cadeau de mon sac pour lui offrir.

« - Bon anniversaire ma chérie. »

Elle m'embrassa avant de l'ouvrir. C'était un string rouge transparent.

« - Comme nous avons vu que tu portais rarement une petite culotte, nous voulions t'en offrir une. »

« - Tu exagères, alors que c'est toi qui me pousse à ne pas en mettre. »

Nous avons eu le droit à une coupe de bulle offerte par la maison. Ce mauvais champagne m'a achevé, je ne savais pas si j’étais encore capable de tenir sur mes jambes sans tituber. Mon chéri demanda à la serveuse une assiette à dessert supplémentaire, il y déposa une part de gâteau qu'il est allé porter à notre petit vieux. Il lui a parlé un bon moment avant d'aller payer la note. André et Annie nous ont chaleureusement remerciés et c'est au bras de mon chéri que j'ai quitté le restaurant. (J’avais peur de chanceler) n'ayant plus rien à mater, notre vétéran est sorti pratiquement en même temps que nous. J'ai invité ma copine à s'asseoir à côté de mon mari et je me suis mise à l'arrière de la voiture en m'appuyant sur André. En cours de route je voyais mon homme regarder sans cesse dans le rétro, je me suis retournée plusieurs fois, il y avait une voiture qui nous suivait. J'ai compris lorsqu’il a changé de direction qu'il nous emmenait au lieu dit "la sablonnière". Nous y sommes souvent rendues avec mon mari pour qu’il m'exhibe devant des voyeurs et pas plus tard qu’il y a une semaine lorsque l’on s’ennuyait à la maison avec le confinement.

Nous sommes garés, les veilleuses allumées, signe de reconnaissance pour les hommes qui traînent dans le coin qu'il y a une nana à bord.

« - Que faisons-nous là » demanda André ? »

« - C'est pour rappeler notre jeunesse, lorsque nous faisions l'amour dans la voiture, tu t’en souviens ? .» Répliqua Bob.

Sur ce j'ai embrassé André en lui caressant le sexe par-dessus son pantalon. Ma copine enlaça mon mari de ses deux bras et se bouffèrent le museau. J'ai descendu la brayette de mon chevalier servant en passant ma main dans son slip. J’ai fait grimper sa virilité assez rapidement. Devant nous, mon chéri avait passé ses deux mains sous le corsage d'Annie en lui dégrafant son soutien gorge. Ses seins jaillirent de leur carcan. Bob déboutonna les premiers boutons de son caraco et sa belle et opulente poitrine émergea dans l'obscurité. Puis il plongea sa tête entre ses gros seins en serrant ses tétons entre ses doigts. J'ai demandé à André de retirer son pantalon, (pas trop facile en voiture) et maintenant qu'il bandait, je me suis mise à califourchon sur lui, guidant son berlingot dans ma bonbonnière pour m'empaler dessus. Soudain il s'écria :

« - Il y a un mec qui nous regarde par la vitre. »

« - Calme-toi André nous sommes ici sur un parking de voyeurs, il y a des gars qui attendent parfois plusieurs heures qu'un couple vienne exhiber leur femme et même parfois leur offrir. Ne l’inquiètes pas et continue à me baiser. »

Pour le détendre, je lui ai pris la tête entre mes mains et je lui ai appliquer mes lèvres contre les siennes en lui roulant un patin. J'ai reconnu au travers la vitre notre sexagénaire que mon chéri avait invité à nous suivre. ( Je connais mon mari, si le papy était là c’est qu’il l’avait convié à nous suivre. Il allait d'une vitre à l'autre pour regarder tantôt ma copine tantôt moi. Annie aussi était passée aux choses sérieuses, à genoux sur son siège, elle avait baissé le pantalon de mon chéri en lui faisant un pompier. Le cul en buse sur son siège, mon homme lui souleva sa jupe jusqu'en haut du dos et passant sa main par-dessous son ventre il lui caressait son bouton de rose. J'ai retiré mon chemisier et je me suis enfiler sur la verge d'André dans l'autre sens, il souleva mon soutien gorge sans le dégrafer et posa ses grosses mains sur mes nichons. ( Vous aussi vous voyez mes seins sur mon avatar, comment les trouvez-vous ? ) Un gars venait de rejoindre notre papy. Chaque fois que nous sommes venus ici, que ce soit à n'importe quelle heure de la nuit où de la journée, nous avons toujours eu un voyeur sortant de ne savons pas où pour venir me mater. Le dernier arrivant était un habitué des lieux, il avait une torche et balayait l'habitacle de la voiture en se masturbant. Annie avait le cul collé contre la vitre et notre papy avait lui aussi sorti bite et se branlait. Il n'y avait que l'épaisseur de la vitre qui séparait son gland de la pépette de ma copine. C'était autre chose pour lui de voir sa chatoune en gros plan que de la zieuter de loin sous la table du restaurant. L'homme me montrait sa bite en érection en me faisant comprendre qu'il avait envie que je le suce. Ne répondant pas à ses avances, il continua à se branler et son sperme gicla sur la vitre de la voiture, tandis qu'André venait de décharger le sien dans ma choupinette. J’ai sorti son sexe de mon fourreau et comme Annie je me suis mise à genoux sur le siège pour lui engouffrer sa bite encore gluante dans ma bouche. En habituée des lieux et en toute complicité avec le voyeur, je lui montrais l'impudicité de mes charmes à la lumière de sa torche. Surexcité, il frappait à ma vitre pour que je lui ouvre. Annie s'allongea tant bien que mal sur les deux sièges avant. Ce ne devait pas être bien confortable avec le frein à main, le levier de vitesse et le cul entre les sièges, elle est arrivée à trouver une position scabreuse avec une jambe sur le tableau de bord et la seconde sur le dossier du siège du conducteur. Mon chéri à du sortir de la voiture pour aider Annie à bien se positionner. Les cuisses grandes ouvertes, son abricot révélait sa chair juteuse jusqu'au noyau que les voyeurs devaient voir placés aux premières loges du show que leur offrait Annie. Mon homme au dehors de la voiture s'est agenouillée devant sa sainte chapelle pour se délecter de l'eau bénite qui s'en dégageait. Il quitta son pantalon et son slip, se l'amena à lui en la tirant par les fesses et la baisa devant nos curieux de service. Ses gros seins bougeaient en cadence avec les coups de rein de mon chéri. Nous étions-nous aussi en bonne place André et moi pour regarder mon mari et la femme d'André s'envoyer en l'air. Annie avait les yeux fermés et faisait abstraction de tous ces regards pointés sur elle, ne pensant qu'à prendre son plaisir. Son homme lui caressait doucement les seins par-dessus le siège pendant que le mien la pilonnait en profondeur. Puis ce fût le moment crucial, Bob déchargea au fond de son vagin, toute sa semence. Ils restèrent à savourer cet instant délicieux un petit moment avant de se retirer. Notre papy continuait à se branler devant la tchoune accueillante de ma copine, son jet de sperme gicla sur ses cuisses.

« - Excusez-moi c’est parti tout seul. » Lui dit-il en lui présentant un mouchoir en papier pour qu’elle s’essuie.

Puis se tournant vers nous il nous remercia pour l’agréable soirée qu’il avait passée.

« Bravo mesdames vous êtes superbes et merci également à vos maris de vous exhiber ainsi toutes nues devant moi. »

Ne perdant pas le nord l’autre voyeur à voulu prendre la place de Bob entre les cuisses de ma copine, mais mon mari le repoussa vivement.

« - Ma copine n'est pas une pute, elle ne t’a pas invité alors sort de là, c'est déjà pas mal qu'elle vous a offert son corps nu pour te branler. Le spectacle est terminé tu peux remballer ta marchandise. »

Nous sommes tous rhabillés avant de reprendre la route. Arrivés à la maison alors que nous pensions se retrouver à quatre dans le même lit comme la dernière fois, André prétextant qu'il était fatigué à voulu rentrer chez lui.

Nous sommes dit au revoir, Annie un peu déçue car je pense qu'elle aurait bien voulu passer la nuit avec nous, nous nous sommes embrassés en nous remerciant pour le restaurant. Mon chéri et moi nous nous sommes posé des questions en se demandant si nous n'avions pas été trop loin en amenant nos amis sur ce parking de voyeurs. Bob me dit :

« - Il m'a fallut plus de deux ans pour que je t’amène à devenir libertine alors que nous voulons convaincre nos amis à le devenir en moins de deux mois. Par contre Annie bien qu'elle ne soit pas toujours d'accord elle cède facilement. Elle s'est fait dépuceler le fion lorsque je l'ai sodomisé, elle aime le cunnilingus, elle ne porte plus de culotte, nous avons fait une journée naturiste chez elle, elle s'est mise facilement à poil, sans rechigner devant des étrangers et je pense que ce sera très facile avec elle par contre avec André nous aurons plus de difficultés, ce sera à toi ma chérie d’essayer de le dévergonder pour qu’il ait plus d ‘attirance envers toi. »

« - Tu sais, je crois qu'avec nous elle a trouvé de nouvelles sensations et d'insolites façons de prendre du plaisir, car avec son mari qui n'aime pas le cunni s'est un peu limité, moi je le vois bien lorsque je suis avec lui mis à part de me baiser ! Il ne me fait pas jouir. Tu as raison il va falloir que je prenne les commandes en lui collant ma chatte sur le nez pour qu’il me fasse un cunnilingus »

« Nous allons avoir du mal avant qu'il ne devienne un vrai libertin il nous faudra s'armer de patience. »

« - J'espère qu'il n'est pas jaloux et qu'il ne reproche pas à Annie de s'être mise à poil devant ces voyeurs, heureusement que tu ne l'as pas laissé se faire baiser par l'un d'eux pour le moment. »

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