Les Fantasmes D Isabelle N° 10
LES FANTASMES DISABELLE N° 10
NOTRE SEJOUR AU CHATEAU DE LORD SIMPSON
1ère partie
Nous étions partis depuis plus de 3 heures et nous venions de dépasser Sarlat. Jessey conduisait et je métais assoupie, bien calée dans le siège confortable de la Jaguar. Il faisait très beau en cette après midi et Jessey écoutait en sourdine un CD de Joe que nous affectionnons particulièrement. Jessey avait fait la connaissance de Joe au Carlton de Cannes et depuis, Joe agrémentait nos voyages de sa musique chaloupée, mi Rap mi soul music.
En me réveillant je demandais combien de kilomètres il nous restait à parcourir avant darriver à destination. Jessey me répondit quil restait environ une cinquantaine de kilomètres avant darriver au château de Lord Simpson
Richard Simpson.
Nous avions fait connaissance de Richard Simpson il y a 8 mois environ, lors dune soirée chez notre amie Sandrine. Lord Richard Simpson était un riche milliardaire anglais de la région de Southampton. A la retraite, il avait jeté son dévolu sur la Dordogne quil affectionnait tout particulièrement. Il avait fait lacquisition il y a 9 ans, après le décès de son épouse, morte accidentellement, dun château en ruine occupé jadis par une confrérie de lordre des Prémontrés.
Il avait dépensé une fortune colossale, afin de restaurer et remeubler dans son jus du XVIII siècle ce château dont il parlait avec beaucoup de fierté.
Richard était un homme qui avait dépassé la soixantaine, très classe, très British, parlant la langue de Molière avec pratiquement aucun accent. Libertin à ses heures, il jouissait dune grande réputation dans les soirées mondaines de Paris et de Londres. Grand amateur de cigares et de whisky, il ne se séparait que rarement de son Talisker double maturation de 20 ans dâge quil faisait venir spécialement dEdimbourg.
Javais été très attirée par cet homme par son élégance de mise et par son incontournable parfum aux effluves de bois de Santal. Jessey avait très vite et très bien sympathisé avec lui. Ils aimaient parler dans leurs moments de détente, politique et affaires. Dailleurs Richard était très reconnaissant envers Jessey, qui lui avait fait acquérir un très bel immeuble avenue de Wagram à Paris. Depuis, ils étaient devenus amis, se téléphonaient souvent et déjeunaient régulièrement dans un restaurant des Champs Elysées.
Richard était ce que lon appelle un homme à femmes. Il était toujours très bien entouré ou accompagné. Il avait un faible tout particulier pour les Slaves. Sa dernière conquête fille dun très proche de Poutine, une dénommée Tatiana, avait ses faveurs depuis un certain temps. Superbe blonde aux yeux de locéan, un corps de rêve dont la classe naturelle éblouissait tout le monde. On était à 100.000 lieues des poupées russes !
Je trouvais la route un peu longue, mais jétais surtout impatiente de découvrir la propriété exceptionnelle quavait notre ami. Jétais aussi curieuse et excitée par le contexte de ce séjour. Richard nous avait dit quun jour il nous inviterait passer un week end torride ! Quentendait-il par là ?
Jappréciais au travers de mes lunettes de soleil, le paysage magnifique de la Dordogne. Nous avions déjà Jessey et moi eu loccasion de venir passer quelque temps de repos à Sarlat. Cest une ville magnifique que nous aimons beaucoup, chargée dhistoires et dévènements. Nous descendions toujours au même petit hôtel sur la place principale, la Couleuvrine., non loin du célèbre marché de Sarlat. Mon plaisir était de vaguer entre les étales des marchands de fruits et légumes régionaux.
Jessey semblait très sérieux au volant de la Jaguar. Je minquiétais auprès de lui de ce silence. Il me répondit quil avait peur de se perdre dans tous ces petits chemins très mal panneautés.
« Jaime beaucoup la solitude, disait Richard, si celle-ci est partagée avec une belle femme. »
Il avait été en son temps un riche propriétaire terrien au Kenya. Puis, après avoir vendu son entreprise prospère à deux de ses associés, il sétait lancé dans le Thé à un niveau mondial. Il avait ouvert de superbes centres de dégustation, à New York, Boston, Londres, Tokyo et Paris faisait partie de ses objectifs immédiats. Son affaire marchait très bien. Homme politique il avait arpenté pendant plusieurs décennies les couloirs de la Chambre des Lords. Anobli par la Reine dAngleterre suite à la campagne des Malouines où il sétait illustré, il avait conservé dans ses agendas des contacts très importants et se vantait même dêtre très intime avec le Premier Ministre de sa royale Majesté.
Richard était devenu un atout précieux pour Jessey, qui de par ses activités dans limmobilier, développait entre autres, une clientèle britannique en France. Cest ainsi quest né entre nous, une amitié singulière et mouvementée. Je sais par instinct féminin que Richard jetait parfois des regards chauds sur moi, mais jamais il navait dépassé les limites de la respectabilité, même sil savait parfaitement que nous étions un couple libertin. Cest un fait que nous aimons le piment des choses érotiques et des jeux du sexe et de lamour. Cest la vie et nous en sommes très conscients de cet avantage. Je suis une femme libre de mon corps et jassume mes besoins sexuels en toute connaissance de cause.
Je me surpris en cet instant avoir envie dun câlin. Mon ventre se serrait de désir, de pulsions. Javais presque envie, si nous nétions pas aussi prêt du but, de sauter sur mon Jessey et de lui faire sa fête.
Je poussais un soupire de frustration, que Jessey interpréta comme un soupire dexaspération
« On arrive bientôt mon cur
Ne désespère pas ! Je sais que tu es un peu fatiguée. Veux tu que je marrête quelque part prendre un café ?
« Non, mon ange, jai une sacré envie de faire pipi, mais cela peut attendre notre arrivée et puis trouver un café dans ce coin perdu
autant dire que la mission est impossible !
Jessey me regarda en coin avec un regard moqueur. Jaimais quand il prenait ces airs là ! Il était craquant. Jai toujours été dans limpossibilité de donner un âge physique à Jessey. Pas une ride, pas un seul cheveu blanc, une douceur qui collait parfaitement à sa personnalité. Pourtant Jessey était un homme qui a vécu, la vie ne lui a pas fait toujours des cadeaux. Baroudeur, homme des mers, il avait sillonné toutes les mers de notre planète. Cest un homme cultivé, fin, poli, respectueux, amoureux fou de moi autant que je puis lêtre de lui. Il est tout pour moi, ami, amant, amoureux, mari de convenance. Jai passé des heures, bouche bée à lécouter raconter ses aventures. Il a connu des grands hommes dans sa vie, qui lont marqué, cest aussi un homme décriture et un musicien accompli.
Au décès de sa femme, dans un accident davion, il avait tout abandonné, maison, famille, travail, pour aller vivre pendant plus de 2 ans et sisoler dans une tribu zoulou. Il avait rencontré Nelson Mandela dont il était très fier.
Depuis que nous nous connaissons, je laccompagne désormais le plus possible dans ses voyages à létranger. Nous sommes devenus inséparables. Nous avons vécu des histoires érotiques chacun de notre côté parfois, cela fait partie de notre jeu. Nous nous racontons tout dans le moindre détail, le moindre souffle de plaisir, la moindre émotion issue de la luxure. Je laime plus que la prunelle de mes yeux et je bénis chaque jour les Dieux davoir favorisé le croisement de nos routes.
Je sais , par expérience, que peu de femmes ont cette chance davoir un compagnon qui sait faire la part des choses, qui sait laisser la liberté daction et de décision, ce qui nentache en rien la puissance de notre amour bien au contraire. Nous y trouvons un réel équilibre et si nous sommes libertins, cest que nous avons franchi le cap de lhypocrisie dans lequel bien souvent les couples senferment et se détruisent. Nous sommes en accord total avec nos corps, nos âmes, notre cur, nos désirs, nos fantasmes, nos plaisirs que nous donne la vie.
Je fus tirée de mes pensées, lorsque Jessey annonça que nous arrivions à destination. Je redressais mon siège et observais avec plus dattention la route qui souvrait à nous. Les virages succédaient aux virages .Lendroit était verdoyant parsemé de collines abruptes, de rochers en suspension aléatoire, à mon goût.
Quelques ruines de ci de là, laissaient imaginer que beaucoup de châtelains peuplaient cette vallée. Cette région avait une histoire qui remontait bien au-delà de la préhistoire. Difficile de ne pas imaginer cette ambiance particulière qui séchappait de chaque recoin, de chaque tas de cailloux, de ces cavernes à peine dissimulées par la végétation. Allait on au devant de lhomme des cavernes ? Je sourie à lidée dimaginer notre ami Richard en homme de Neandertal avec comme seul vêtement une peau dours jetée sur ses épaules et bien entendu
rien en dessous !
« Pourquoi souries tu ? Me demanda Jessey quelque peu intrigué. Tu vas pouvoir enfin faire ton petit pipi !
« Non ! Une simple image cest tout !
« Voila enfin le chemin qui conduit au château ! Sesclaffa ravi, mon petit cur.
Au fond de moi-même, je poussais un grand soupir de soulagement. Jétais quelque peu fatiguée par la route qui me semblait interminablement longue. La Jaguar emprunta une allée bordée de grands chênes centenaires. Au fond, dans le contre bas, on apercevait la grande grille en fer forgé, encadrée par deux immenses colonnes en pierres du pays.
Enfin, quelques instants après nous étions devant cette grille qui donnait sur une grande place bordée de plans deau absolument magnifiques. Jessey donna deux coups de klaxon et la grille mue par un automatisme discret souvrit devant nous, libérant lentrée de la propriété. Celle-ci était quelque peu cachée par deux grands cèdres du Liban dont les branches lourdes retombaient sur une pelouse méticuleusement bien taillée.
Un labrador noir vint à notre rencontre en tournoyant autour de la voiture.
Jessey eut peur que celui-ci ne sappuie sur lune des portières au risque de rayer la peinture. Nous avançâmes lentement sur le gravier crissant sous nos roues jusquà la magnifique demeure en pierres de taille, ornées de 6 tourelles à clocheton.
« Somptueux remarque Jessey en coupant le contact
« Notre ami Richard ne manque de rien dans ce petit paradis ! Continuai-je »
Sur le grand perron, un majordome en livrée lui donne lordre de séloigner. Ce que fit le chien quelque peu vexé, la queue entre les pattes. Richard sortit à son tour tirant de grandes bouffées de son inséparable pipe autrichienne. Il nous fit de sa main un signe de bienvenue alors que Jessey laissait libre le coffre de la Jaguar au Majordome, afin de charger sur un chariot nos bagages.
« Je mappelle Fabien
pour vous servir, Madame, Monsieur
bienvenue au Château ! Notre maître vous attend si vous voulez bien me suivre
Nous allâmes à la rencontre de notre ami qui nous accueillit en nous serrant fortement dans ses bras. Je reconnus en passant son éternel parfum qui me faisait craquer.
« Entrez, entrez, venez vous détendre un peu dans le salon après on vous fera faire le tour du propriétaire.
-Cest immense ! Sesclaffa Jessey en regardant les tableaux magnifiques accrochés dans le hall daccueil.
-Je vous présente ici mon grand père qui a combattu avec Lord Mountbatten. Je lui dois il est vrai une partie de ma fortune personnelle. !
Richard me tenait par le bras en nous présentant ses aïeux.
-Pas trop fatiguée ma chère Isa ?
-Un peu si, jai hâte daller me rafraîchir quelque peu
Puis-je aller tout de suite dans la chambre que tu nous as attribuée ?
-Mais bien sûr ma chérie, Allen va prendre tes bagages et te conduire dans tes appartements. Cest au premier, côté jardin.
Puis Richard héla Allen qui sortit dun vestibule. Cétait un jeune homme quelque peu handicapé qui vint prendre ma valise. Il me fit un grand sourire et balbutia quelques mots incompréhensibles en saisissant la poignée de ma valise. Je le suivis bien volontiers pressé daller satisfaire un besoin qui devenait urgent et me passer un coup deau sur la figure.
Lescalier en chêne était dune beauté à couper le souffle, tout en montant on pouvait découvrir de magnifiques peintures de lécole flamande et des tapisseries dAubusson en parfait état de conservation. Richard était un homme raffiné qui aimait les belles choses et savait les mettre en valeur. Sur le palier un grand bureau ministre trônait au milieu dun tapis iranien. Cétait là que Richard devait travailler, vu lépaisseur des dossiers disposés sur le plateau.
Je suivis Allen, qui était en short bien trop grand pour lui et en tongs. Il sarrêta devant une porte en chêne sculpté, sur laquelle était écrit « Lady for ever ». Surprise je me dis que jallais en demander la signification à notre hôte. La chambre était immense avec un superbe lit à baldaquin au milieu. Par la petite porte sur la gauche on accédait à une grande salle de bains, équipée dune baignoire sabot très originale et dune cabine de douche des plus modernes. Le carrelage était de bon goût. Je mapprochais de la fenêtre principale qui donnait sur un grand balcon clôt par des balustres à double corps. De là javais une vue sur le par cet sur la contre allée.
Je remarquais des écuries vers le fond de lallée. Dans un pré on pouvait très nettement distinguer plusieurs chevaux, une dizaine comptais-je.
Je me retournais et croisais du regard Allen, mains jointes devant lui, il attendait à priori un ordre.de ma part.
-Dis moi Allen, tu pourras me conduire aux chevaux tout à lheure ?
Allen me répondit par un grand sourire. Je pus mapercevoir quil avait un sérieux problème de dentition.
-Tu peux me laisser à présent, je vais descendre quand jaurai fini. Daccord ?
Allen à regret sen alla en reculons. Jattendis que la porte fût fermée pour me précipiter aux toilettes. Puis je descendis après mettre soulagée et rafraîchie, rejoindre Jessey et Richard restés dans le grand salon.
-Alors ma chérie, tu as pu te refaire une santé ? demanda Richard en soufflant une importante bouffée de tabac.
Jaimais lodeur de la pipe et tout particulièrement de ce clan, que Richard préparait avec du miel et du whisky !
-Justement nous tattendions pour te parler de lorganisation de votre séjour !
Je minstallais dans un fauteuil Louis XV face à la table basse où trônait déjà, du thé, des jus de fruit et des gâteaux anglais dont je raffolais particulièrement.
-Veux-tu du thé ? Oui ? Fabien va te servir
-Ton tabac sent merveilleusement bon Richard !
-Je te remercie. Bon, alors ce soir vous ne dormez pas ensemble, chacun à sa chambre, Jessey est au deuxième et toi tu es au premier
-Ah ? Tu nous sépares comme ça ! Au fait pourquoi sur ma porte il y a écrit « Lady for ever » ?
-Cest une longue histoire ! promis je te la raconterai.
-Pourquoi nous sépares tu ?
-Cela fait partie des surprises du séjour ma chérie. Nous souperons vers 19 heures dans la grande salle que tu peux voir sur ta droite. Demain nous avons une réception très britannique, nous serons demain soir une vingtaine de participants. Après demain cest la super surprise
mais je nen parle pas pour linstant !
-Le Prince Charles vient nous voir ?
- Tutut tu ne le sauras pas !
-Richard jai vu que tu avais une écurie, je me suis permise de demander à Allen de my conduire tout à lheure
Tu veux bien ?
-Tu es ici chez toi ma chérie, une belle femme comme toi, on ne peut rien lui refuser !
Je bus dun trait mon thé. Je navais quune hâte me dégourdir les jambes et faire un tour aux écuries. Richard et Jessey étaient déjà plongés dans une conversation sur la situation immobilière en France ; programme qui ne mintéressait nullement.
-Bon les garçons, je vous quitte ! Je vais faire un tour dans le parc et aux écuries. A tout à lheure !
Richard appela en anglais Allen qui ressortit de lantichambre dans laquelle il regardait la télévision.
-Al ! Tu fais visiter à cette belle blonde le parc et tu la conduis ensuite aux écuries. All right ?
Allen grommela quelques mots toujours incompréhensibles et me fit signe de le suivre. Il était déjà sur le grand perron, dont les escaliers gigantesques, bordés de balustres souvraient vers lallée centrale. Je constatais que la Jaguar avait quitté sa place et que quelquun lavait mise sur un parking derrière une haie de lauriers.
-On commence par où demandais je à Allen. Jaimerais que lon aille aux écuries jen meurs denvie ! Tu veux bien ?
-Ouiii madame.
-Appelles moi Isa !
-Ouiii madame Isa !
-Tu as quel âge Allen ? Il y a longtemps que tu travailles ici ?
-Jai bientôt 17 ans. Je suis né au village là-bas, je travaille ici depuis que ma mère est morte il y a 4 ans !
- Il y a beaucoup de personnel au château ?
- On est 9 en tout dont 3 femmes de ménage et 1intendante !
-Il est magnifique ce château !
-Ouiii
Je suivis Allen. Je mamusais à regarder ses jambes frêles et son immense short. Nous arrivâmes devant un grand bâtiment principal qui était certainement réservé aux boxes à chevaux. Lodeur de paille et de fumier menvahit dès que je franchis la porte principale.
Je fus surprise de la propreté de cette écurie, dans les boxes, les chevaux magnifiques se mirent à me regarder, intrigués par mon intrusion. Jétais émerveillée. Je mapprochais dune barrière et me mis à caresser le museau dun magnifique Alezan.
-Il sappelle Janus
dit une voix venant du fond à droite.
Je tendis la tête pour voir qui mapportait cette précision. Dans la pénombre je vis un homme de dos en train de nettoyer la litière dun cheval. Je mapprochais de lui, suivi par Allen qui en profitait pour verser quelques seaux davoine dans les boxes. A la hauteur de la barrière, je remarquais un magnifique cheval à robe noire. Lhomme le brossait à présent. Il devait avoir la quarantaine, le béret sur la tête, le visage buriné du lad.
-Comment sappelle til? Demandais je en caressant la tête du pur sang !
- Bel Horizon !
-Il est beau
cest un pur sang ?
-Un vrai de vrai
vous êtes les amis de Sir Richard ?
- Oui on vient darriver. Vous êtes le responsable de cette écurie ?
-Le Palefrenier
Oui ! Je mappelle Jo
Jonathan pour les non intimes !
- Moi cest Isa !
- Je sais Lord Richard ma parlé de vous :
-Ah ? En bien, bien sûr ?
-Bien entendu !
-Jaimerais bien pouvoir le caresser
Je peux ?
-Soulevez le loquet et tirez-le vers vous
Jentrais quelque peu impressionnée de me trouver à côté dun magnifique pur sang arabe. Il pencha sa tête vers moi tout en mâchouillant quelques brins de paille. Je tendis la main vers Jo qui continuait à brosser le torse du cheval.
-Ne soyez pas surprise, ce beau mâle est toujours très sensible quand il voit une femme me dit il en me montrant le ventre du cheval. En effet son sexe énorme sétirait laissant apparaître un gland impressionnant et rose.
-Je lui fais cet effet ! Incroyable !
-Vous comprenez petite madame pourquoi les femmes fantasment sur les chevaux ?
Jétais comme tétanisée par ce sexe qui sérigeait devant moi. Je sentais mon ventre se crisper et une chaleur menvahir le visage signes dune excitation extrême.
-Baissez vous, vous verrez mieux. ! Osa til me dire, au risque de moffusquer Jappuyais mes deux mains sur le flanc du pur sang et me baissa pour admirer ce mandrin ainsi déployé à mes yeux !
- Vous savez quil y a des femmes qui font lamour avec des chevaux ?
-Non je ne crois pas !
-beaucoup de femmes rêvent de se faire prendre par un étalon !
-Moi cela mexcite, certes mais cela ne fait pas partie de mes possibilités.
-je vois ! dit il en regardant la finesse de mes hanches et de mes fesses.
Lhomme sentait parfaitement mon émotion et comprit mon excitation à la vue de ce mandrin noir et veineux qui sortait du ventre de Bel Horizon.
Une envie folle de saisir dans ma main ce sexe me traversa lesprit.
-Vous pouvez le caresser si vous le souhaitez
Je vous garantie quil aime cela, il sait apprécier les belles femelles !
-Je ne suis pas une jument !
- Non, vous êtes une femme et les chevaux savent faire la différence entre une femme et un homme. Croyez-moi !
Je me retins de tendre la main
Cest alors que je sentis lhomme me prendre celle-ci et la guider vers le sexe tendu, doù je pouvais voir sécouler un liquide.
-Cest quoi ce liquide ?
-Quant un cheval est excité cela se passe comme cela !
- La quantité de sperme doit être impressionnante ?
- Je vous laisse deviner !
Le cheval esquissa un pas sur le côté comme si il comprenait ce qui allait se passer. Ma main était vraiment minuscule dans la large main du palefrenier.
-Non cest idiot ! Je ne peux pas !
-Allez ! Vous en avez envie et personne ne le saura
Quelle femme na pas rêvé de caresser le sexe dun cheval ? Laissez vous faire !
Je sentis sa main se poser sur mon épaule et jabandonnais ma main à lhomme qui la posa sur le membre impressionnant du cheval. Au contact je sentis que je me liquéfiais littéralement, mon sexe devenait eau, ma respiration se saccada
Cétait impressionnant.
Alors que jenserrai à moitié ma main sur le sexe du cheval, je sentis celle du palefrenier descendre dans mon dos et se poser sur ma hanche. Je ne pouvais plus réagir. Jétais comme sur une autre planète. Ma main glissa instinctivement jusque vers le gland du cheval. La pression de la main de lhomme sur ma hanche se fit plus marquée. Je sentais dans mon cou son souffle chaud. Il sentait le tabac. Je ne résistais pas lorsquil sattaqua à la fermeture de mon jean. Quasiment baissée une main sur le flanc de Bel Horizon dont je sentais sous mes doigts les veines gonflées, lautre caressant sur toute la longueur lénorme verge noire, je sentis que lhomme baissait à présent mon jean sur mes jambes, libérant à ses yeux mes fesses blanches et menues.
Jétais dans une phase dexcitation totale, incapable de résister à cette situation inimaginable, avec une envie indescriptible de me faire prendre là, presque sauvagement, sans préambule, comme cela par cet homme que je ne connaissais pas.
Jo saccroupit derrière moi afin de baisser mon jean sur mes chevilles. Il profita pour me caresser mon entrecuisse. Pouvait-il imaginer comment ma culotte pouvait être détrempée par mon excitation ! Il posa ses deux énormes mains calleuses sur mes fesses, les prenant ensuite. Je mouillais comme une fontaine, enivrée par cette odeur de foin, de transpiration des chevaux, par tout ce contexte surprenant, par ce sexe dont je sentais les palpitations sous ma main. Lhomme prit les rebords de ma petite culotte en coton que je portais souvent avant mes règles, puis doucement la fit descendre dénudant à ses yeux mes fesses et mon sexe luisant de désir.
-Tu es vraiment belle ! Jaime les femmes au sexe rasé.
Jétais tétanisée, incapable de sortir un mot, la respiration presque coupée par lémotion qui me gagnait. Mon ventre se tordait comme à chaque fois que le désir me prenait. Jétais là, en lutte avec ma conscience qui me disait « arrêtes ! Ce nest pas ton truc et puis « cest super excitant essaies den profiter au maximum ! »
Puis sans attendre je sentis quil écartait mes fesses, mettant à sa vue, mon petit trou que je soignais toujours avec précaution et les premiers abords de ma vulve.Jai toujours eu une hygiène remarquable. Jessey savait combien jattachais une importance à la propreté de mon sexe et de mon corps en général. Tout homme qui posait sa bouche sur les lieux de plaisir pouvait le faire sans hésitation. Je suis ainsi, parrespect pour mes partenaires et pour moi. Jessey aussi est à ce titre quelquun dextrêmement délicat.
Sa langue se posa sur mon anus, que je sentais palpiter, se contracter et se relâcher sous ces caresses, le léchant, lembrassant. Jaimais quun homme me lèche ainsi. Je ne pus retenir un premier orgasme qui se déclencha brutalement. Je lavais sentis me crisper le ventre dans des pulsions terribles, il me coupa en deux au moment où sa langue descendit vers ma petite chatte à la recherche de mon petit clito tout tendu. Jessey aimait mon sexe parce quil ressemblait aussi et surtout à celui dune adolescente. Mes lèvres sont comme des pétales de fleur. Jadore mon sexe je le trouve beau. Tous mes partenaires ont toujours eu un agréable compliment en le découvrant et en le caressant. Cest une invite à lamour me dit souvent Jessey .Jaime me les regarder souvent dans une glace, surtout lorsque je mépile.
La langue du palefrenier fouillait à présent mon sexe, avec avidité, je sentais sa salive se mêler avec mon plaisir, suçant toute la cyprine qui sen écoulait abondamment. Jaime quun homme mhonore de cette façon. Il n y a rien de plus agréable que se sentir femelle et se faire lécher le sexe et lanus par un homme excité.
-Tu mouilles super bien, pour un petit cul comme le tien
A cet instant présent alors que ma main sétait crispée sur le sexe du cheval, javais envie dune pénétration
Mon sexe était littéralement en feu, la situation présente mavait excitée au plus haut point. Lhomme après mavoir sucé une nouvelle fois se releva. Jentendis le cliquetis de son ceinturon quil dégrafait, puis le zip de sa braguette.Je devinais quil sortait ainsi son sexe afin de me conquérir. Jallais être prise comme cela, par cet inconnu que je connaissais depuis peu et pas du tout. Javais envie de remonter ma culotte et me de me sauver et échapper à cette pénétration qui nallait pas tarder, mais il fallait que lon éteigne le feu allumé dans mon ventre. Je ne maîtrisais plus rien quune seule envie menvahissait le corps et lesprit : me faire prendre. Je sentis se présenter entre mes fesses, un sexe que jestimais impressionnant aussi, très dur. Son gland butait contre mon périnée détrempé
Je lâchais le sexe du cheval pour glisser ma main entre mes jambes emprisonnées par mon jean et ma culotte abaissées à mes chevilles. Si je ne le guidais pas il allait me déchirer, tellement il était en train de pousser à la recherche de lentrée de sa source de plaisir Son souffle court et saccadé résonnait dans le boxe et accentuait la démesure de ce coït. Je saisis son membre hors norme et le présentait à lentrée de ma vulve. Mon sexe est étroit, ce que les hommes apprécient. Puis des deux mains à présent jécartais mes deux joues de fesse afin de favoriser sa pénétration. Il me remplit totalement me pénétrant lentement Il respirait de plus en plus fort, conscient quil avait un privilège inimaginable de saillir une belle jeune femme blonde sans préambule ! Que pouvait-il penser en cet instant ? Nous nétions plus des êtres humains mais des sexes surexcités ! Malgré que mon vagin soit abondamment lubrifié par mon excitation, je le sentais comme un bâton senfoncer jusquau fond de moi. Je poussais un cri lorsquil butta contre le fond de mon vagin distendu. Il mit ses deux mains calleuses sur mes hanches et je sentis ses bourses gonflées contre mon sexe, ce qui déclencha de nouvelles pulsions dans mon ventre. Jaimais sentir les bourses dun homme buter contre mon clito. Il était à présent entièrement enfoncé en moi, appréciant létui dans lequel il était, chaud, humide, serré. Jaimais. Jaimais cette prise de mon sexe. Javais envie quil ressente combien javais à présent envie de jouir dexploser sur ce membre planté de façon indécente en moi. Puis il se mit à me pilonner. Jentendais de façon amplifiée dans ce boxe les battements de son ventre contre mes fesses et les bruits de succions que faisait mon sexe à chaque poussée et à chaque retrait Je sentais très distinctement son gland frotter contre la paroi excitée de mon vagin. Alors quil me secouait littéralement dans cette saillie presque chevaleresque, je pouvais apercevoir entre mes longs cheveux retournés devant mon visage, lénorme sexe du cheval en érection, provocateur, attirant, enchanteur. Limage intermittente, du sexe à ma vue et des poussées extraordinaires de lhomme de ses mains puissantes plantées dans mes hanches comme des griffes, déclancha un nouvel orgasme, terrible, puissant, incontrôlable. Je ne pus retenir un cri aigu de femelle honorée. Lhomme me besognait, frappant son ventre contre mes fesses avec vigueur. Je sentais entre mes jambes battre ses bourses pendantes
javais envie de le sentir exploser en moi
Moment délicieux que nous autres femmes attendons avec délice, celui de sentir son vagin sinonder de semence chaude, tiède, collante, savoureuse. Il accéléra le rythme me faisant comprendre quil était au bord dune jouissance spectaculaire. Mes fesses menues étaient défoncées par ce membre que je sentais prendre des proportions incroyables, envahissantes. Puis il me plaqua en poussant un cri rauque contre son ventre senfonçant au plus profond de mes entrailles, me défonçant comme je laimais dans ces situations. Je sentis un soubresaut et il éjacula au fond de mon vagin avec une puissance que javais peu connue chez un homme. Il narrêta pas de me combler de son sperme qui tapissait avec une infinie douceur mon sexe enflammé. Lextase me prenait.. Jéclatais dans un nouvel orgasme qui me coupa le souffle. Les deux mains appuyées sur le flanc frissonnant du pur sang, lui-même excité à priori par cette saillie sous ses yeux, je dégustais cette explosion. Cétait un pied incroyable que je venais de prendre alors que jétais loin dimaginer que cette situation particulière pouvait arriver.
Je sentis le palefrenier se retirer de moi. Je me redressais et je sentis son sperme couler en longues dégoulinades de mon sexe et sécraser sur ma petite culotte. Je mis ma main sous mon sexe afin de retenir le liquide qui à présent était de plus en plus abondant, gluant, collant. Je lui demandais sil navait pas un mouchoir avec lui afin que je puisse messuyer les fesses. Il me tendit, alors quil avait déjà rajusté son pantalon de velours, un morceau de papier toilette. Jessuyais ce que je pouvais. Lodeur du sperme remontait jusquà mes narines. Je fis comme une couche avec un grand morceau de papier et je replaçais ma culotte. A cet instant jentendis comme un ahanement venir de la porte du boxe et levant les yeux médusés je vis Allen, le sexe à la main, lagitant dans une branlette me fixant de ses yeux exorbités. Lhomme et moi nous avions oublié la présence dAllen à nos côtés
Il se branlait de plus en plus vite dégageant parfois un jeune sexe dune grandeur très moyenne
Allen avait regardé notre saillie et voulait sapaiser. Avant de refermer mon Jean, je lentrouvris en le regardant, puis jabaissais ma culotte blanche dévoilant mon pubis où seuls quelques poils blonds lornaient. Il me fixait avec frénésie, agitant sa main .Je savais que cela allait lexciter et le faire jouir
ce qui arriva, je vis un jet blanchâtre exploser de son gland et atterrir devant lui sur la paille. Il expulsait en trois jets une dose que jestimais impressionnante de sperme. Lui aussi avait droit de prendre son pied.
Je mapprochais de lui alors quil remettait son sexe dans son short.
-Promets moi Allen que tu ne diras à personne ce que tu as vu
promis
-Ouiii madame.
Je me retournais vers lhomme qui avait repris son brossage de Bel Horizon.
-Je compte également sur votre discrétion Jo ?
-Vous pouvez compter sur moi et vous pouvez revenir quand vous voulez !
-Peut être :
Je demandais à Allen de me faire à présent visiter le parc. Lodeur du sperme qui se séchait dans ma culotte pouvait trahir mon faux pas. Il fallait que je puisse rejoindre ma chambre sans que Richard ou Jessey me croise. Allen me fit comprendre quil y avait une entrée latérale qui menait au premier.
-Tu as déjà vu des gens faire lamour comme cela Allen ?
-Non Madame, mais vous êtes vraiment très belle
-Tu te caresses souvent comme tu las fait devant moi ?
-Quand je suis seul dans ma chambre
-Tu as de quoi à présent meubler tes fantasmes
-Jaimerais bien vous revoir faire lamour comme ça !
-Peut être
mais à présent montre moi le parc sil te plait.
ISA pour nous écrire john-riley@afrik.com
Suite dans LES FANTASMES DISABELLE N°11
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