La Spectatrice
Voici le fantasme d'une lectrice, n'hésitez pas à me contacter pour les votre !
Bonne lecture
Un soleil de plomb frappe la plage, léclat blanc de sa lumière sur le sable fin est complètement aveuglant. La plus part des visiteurs sont à leau.
Nous jouons au volley depuis plus dune heure. Avec mes trois chums, (mes lecteurs assidus les connaissent déjà) nous affrontons quatre gars que nous avons rencontrés sur la plage. Les deux équipes sont sensiblement de la même force se qui crée des échanges violents, forts et spectaculaires. Je ne suis pas le plus grand ni le meilleur à ce sport, mais comme dans tout ce que je fais je me donne à fond, je nhésite pas à plonger tête première pour sauver une balle perdu, ou encore à bloquer un tir au filet que je sais qui va mécraser la face. Bref, comme nous tous, Je joue avec passion à chacun des sets. Le match premier à cinquante, 4 contre 4, attire bien quelque curieux, quelque curieuses serait plus juste comme affirmation. Bien que je naie aucune attirance pour mes compagnons, je sais reconnaître que huit mâles dans la mi-vingtaine au physique sculpté au couteau, jouant en torse sur une plage bondée finissent par attirer les regards féminins.
La sueur brûle mes yeux, leau coule sur mon corps comme si jétais sous la douche. Ils sont finalement en en train de creuser une petite avance. 35-27 en leur faveur. 8 points ce nest pas si pire sur cinquante on est encore capable de remonter. 42- 30 incapables de combler notre retard
45-31 là on commence à être dans le trouble. 48-44 on sest rapprochés, mais pas assez, le score final est de 50- 44. Des félicitations, Des poignées de mains.
Exténués on laisse le terrain en compagnie des nouveaux amis. On cherche une place pour sasseoir et planter nos affaires. On trouve un petit coin un peu à lécart de la foule, enfin on sassoie et on ouvre le cooler. Douce récompense dans la gorge, la bière est froide et bonne.
Rafraîchi, Je remonte au bord, cest en marchant sur le sable brûlant que je remarque pour la première fois la beauté du paysage : Partout sur la plage les femmes se bronzent au soleil, mettant leurs corps en évidence.
Notre coin de plage, qui me semblait en retrait est maintenant occupé par une demi douzaine de nouvelles arrivées. Je reconnais parmi elles, une spectatrice du match de volley. Elle est accompagnée de ces deux amies et elles semblent toutes en grande conversation avec les autres gars sur la plage. A gauche de nos serviettes, deux autres filles se sont ajoutées, je ne connais pas ces deux la. Il y a deux autres encore qui semblent connaître nos adversaires de volley.
Les présentations faîtes, la conversation commence. Les filles sont courtoises et agréables. Les rafraîchissements coulent rapidement. Les femmes commencent à être de plus en plus chaleureuses, au mélange des conversations, il nest pas rare quelles saccotent sur lun des gars, ou bien quelles acceptent que nos mains glissent sur leur dos ou cuisses sans aucune gêne. Et croyez moi les gars en profitent.
Elles sont toutes dans cet état desprit qui laisse entrevoir une superbe fin de la soirée, reste à deviner qui finira avec qui ? Toutes, sauf celle que je nommerai la spectatrice. La spectatrice, est plus réservée que ses amies, les deux autres rient fort parlent tout le temps. Elle, de son côté, ne parle que très peu. Son bikini est bleu pâle avec des motifs de nuage, elle est vraiment belle. Ses cheveux châtains lui tombent un peu sous les épaules. Caché sous sa timidité, son regard était fuyant, laissant cacher quelques secrets et mystères inconnus.
Est-ce simplement parce quelle est belle ou est-ce par défi, parce quelle ne semble pas participer au jeu de séduction qui sopère autour de nous.
Déjà je me sens un peu étourdi, le mélange bière et soleil fait son effet. Je retourne au lac, nage un peu pour me rafraîchir. Je la vois sur la berge, elle est un peu à lécart du groupe. Elle se crème les bras, le ventre et les jambes ; demande à une de ses copines de lui frotter le dos. Elle se couche sur le ventre pour bronzer.
Je suis à mon tour spectateur dun spectacle délicieux. De mon point dobservation dans leau, je me régale de sa beauté. Son cul est relevé, ses jambes légèrement écartées, me laissant deviner le sillon qui mène à son sexe. Jen rêve déjà. Jimagine le goût de sa chatte sous ma langue, jentends déjà son souffle coupé dexcitation, jinvente sa jouissance prochaine. Je bande légèrement sous leau. Je détourne les yeux, me concentre à nager pour me changer les idées. Question de ne pas sortir de leau le sexe tendu.
De retour à la plage, je mallonge en silence à ses cotés, le soleil me sèche. Je la contemple avec convoitise, la chaleur crée des gouttelettes qui perlent sur son dos. Elle tourne la tête et me fait face. Elle remarque sans doute que je lobserve. Ses yeux croisent les miens, loin de moi lidée de la brusquer, mais je la fixe du regard un peu plus long que nécessaire. Comme si mes yeux pouvaient briser ses défenses, je fouille les siens à la recherche des mystères cachés sous cette timidité.
Elle rougie légèrement, avant de sourire et de détourner la tête. Jai gagné la première manche. Je me tourne sur le ventre pour cacher un début dexcitation qui menace de poindre dans mon maillot.
Tous, nous continuons à boire. Les esprits séchaudent un peu, les gestes sont de moins en moins subtiles, les avances fusent de part et dautres, seule la spectatrice ny participe. Un des gars avec qui nous avons joué au volley lui passe la main le dos et pose lautre outrageusement haut sur sa cuisse.
Il se ferme, va sasseoir plus loin. La spectatrice me regarde, ses lèvres articulent un merci silencieux. Sans la quitter des yeux, je ne réponds rien et lui sourie en baissant la tête voulant dire que ce nétait rien. Une fois de plus elle rougie avant desquiver mon regard. Une nouvelle manche remportée !
Du bout du pied je caresse son mollet, si doucement que cest presque imperceptible. Elle ne me repousse pas et se laisse chatouiller. Elle semble plus détendu quau début de laprès midi. Elle rie plus facilement et se mêle maintenant à la conversation. Laprès midi se déroule sans autre accrochage. Mais je réussis à me rapprocher de plus en plus de la spectatrice, jen suis venu à ce quelle me demande lui crémer le dos, je nallais quant même pas refuser. Avec soins, mes mains glissent entre ses épaules pour étendre la crème solaire. Le retenant dune main, la spectatrice dénoue le cordon de son bikini pour laisser passer mes mains dans son dos. Puis elle se couche sur le ventre et se bronze.
Les ombres sallonge sur la plage, mais la température ne descend pas. Le mercure est toujours au dessus des trente degrés. Assis à coté delle je laisse filer le temps. Je profite de lintimité que je suis en train de crée avec la spectatrice. La température me force à regagner le lac. Jinvite la spectatrice à venir avec moi. Elle baragouine un faible oui. En direction de leau, galamment je lui tends mon bras, quelle accepte naturellement. Sans gêne, elle marche sur la plage à mes côtés en me tenant le bras. Un peu éméchés par lalcool, nous nous frayons un chemin au dédale de la foule sur la plage en chancelant.
Leau nous rafraîchi, nous nageons côte à côte.
Une petite brise forme des ondulations sur le lacs, se qui crée un halo blanc autour de ses épaules lorsque les rayons du soleil viennent sy écraser. Elle est magnifique. Nos visage sont si proche, immobiles nous restons là à nous apprivoiser. Sous leau, dune une main je parcours ses cuisses en remontant vers ses fesses. Rien nest visible de la surface, encore moins de la berge. Arrivé aux hanches, je la tire contre moi. Comme prisonnière dun désir quelle nose savouer elle me laisse la guider sans opposition aucune. Sa poitrine, vient sécraser contre mon torse nu.
Le soir tombe, je sens que je gagne la partie. Tranquillement, ses défenses tombent. Une à une jenlève les barrières de son esprit. Bientôt elle sabandonnera, jen suis sur. Nos visages sont si près, je pourrais lembrasser, mais je nen fais rien, je savoure lattente
Sans avertissement, je plaque ma main sur son entrejambe. Mes doigts se referment sur son sexe et je le maintiens solidement au creux de ma main. Surprise et confuse, la spectatrice arrête de respirer. Elle me dévisage un instant comme si elle essaie de décider de sa réaction et de la suite des événements. Son regard est entre lextase et indignation. Mais la pression sur son sexe ne se relâche pas, au contraire je serre un peu plus fort. Je sens son sexe palpité au travers du maillot. Laffrontement visuel dure bien plusieurs secondes qui me paraissent une éternité.
Elle cède
Loutrage disparaît de ses yeux, pour laisser place à une libération. Puis la spectatrice ferme les yeux laissant son corps prendre le dessus. Elle passe ses bras sur mes épaules et me tire à elle. Alors que nos bouches se découvrent, ses cuisses souvrent largement pour laisser ma main pétrir son sexe. Au travers de son maillot, je sens son clito se gorger de plaisir.
Rapidement, mes doigts trouvent le chemin et se glissent sous la barrière de tissu. Sous leau ma main fouille son sexe. Sous la pression de mes doigts, son sexe souvre et mon index et mon majeur entrent en elle. Saccrochant à mes épaules, elle se laisse flotter dans le lac. Ses pieds ne touchent plus à terre. La spectatrice se colle contre moi, elle pose ses lèvres sur mon cou et me cajole.
Dans les derniers rayons de soleil, je masse le feu qui brûle entre ses cuisses. Son bassin ondule, porté par le plaisir. Nous nous embrassons. Soudés lun à lautre, nous restons longtemps dans le lac à nous caresser. Mes mains parcourent son corps. Ses mains découvrent le mien. Je prends ses seins. Ils sont lourds et chauds dans ma main, comme je les aime. Je bécote son cou. Nous nous laissons guider par nos sens. Le désir prend le dessus, nous oublions le temps.
Jignore combien de temps sest écoulé depuis que jai commencé à la caresser mais la plage est maintenant presque déserte. Le reste du groupe est parti, ils sont probablement déjà au camping. Le soleil a disparu mais il ne fait pas encore noir, il reste encore une faible lumière. Main dans la main, portés par un désir commun nous retournons vers la rive. Alors que nous retrouvons nos serviettes, les derniers touristes quittent la plage nous laissant seuls.
Nos corps affamés se rejoignent. Mes mains découvrent sont corps. Je passe sous son maillot mapproprie ses seins. Elle sempare de mon sexe tendu dans mon maillot. Ses mamelons durcissent sous mes caresses. Nous nous embrassons à pleine bouche. Je reprends ma maîtrise entre ses cuisses. Je masse avec fébrilité lantre de son plaisir.
Pris par une fièvre charnelle, nous roulons au sol. Le peu de tissu qui nous sépare est rapidement enlevé. Dabord le haut de son maillot libérant sa poitrine : je me régale de ses seins sous ma langue. Je les englouti, les suce, les mordille. Puis cest mon maillot qui prend le bord : ses mains caressent et cajolent mon membre. Enfin je retire la dernière frontière. Je découvre son sexe. Un pubis doux et soyeux finement taillé en pointe. Sa chatte est si trempée que jen ai les doigts poisseux. Je porte mes doigts à ma bouche et me délecte du goût de son nectar.
Jeffleure ses lèvres de mon nez et embrasse ses cuisses. Je mapproche de nouveau de sa vulve, que je lèche un bref instant, puis je méloigne encore une fois pour venir appuyer ma joue sur son ventre lisse, doux, ferme. Alors que son désir est maximum, La spectatrice ne peut plus attendre de le soulager ; elle glisse delle-même un doigt dans sa chatte et soupire daise. Je comprends le message et approche à nouveau mon visage de son entrejambe. Ayant obtenue ce quelle attendait de moi, la spectatrice cesse sa masturbation, me confie le relais.
Mais avant, en guise dencouragement, elle vient caresser mes lèvres du doigt quelle a inséré dans sa chatte ; je lengloutis et le suce. Il est couvert de mouille. Cest délicieux.
Je blottis finalement ma bouche au creux de son entrejambe. De mes doigts, jécarte ses grandes lèvres et lèche très lentement, effleurant à peine lentrée de son vagin. Puis ma langue prend de lassurance et de la vigueur dans sa chatte. Mes coups son de plus en plus forts. Aucune parcelle de son sexe nest épargnée. Dans le délire de son plaisir, la spectatrice sempare de ma queue et lengloutie dans sa bouche. Ma langue découvre lentrée de la grotte de plaisir. Jenfonce alors trois doigts dans cette dernière. Son plaisir est instantané.
Sa langue courre sur mon gland, augmentant mon plaisir en flèche. Guider par mes seuls instincts animal, je lui assène de violent coup de rein, enfonçant mon membre profondément dans sa gorge. Mes sens sont tous en éveil. Lodeur de la cyprine de la spectatrice menivre, sa vue, son goût, sa texture, mexcitent comme je ne lai jamais été. Jamais je nai vu une femme mouiller autant. Son sexe est trempé, mes doigts y glissent sans aucune difficulté. Par des allers-retours rapides, je propulse son plaisir. Trois de mes doigts entre et sorte à une vitesse folle de sa grotte de plaisir.
Son clito est prisonnier de ma bouche, je lécrase contre mon palais et fais rouler ma langue dessus ; tandis que mes doigts fouillent son bas ventre. Tout son corps mindique la force de son plaisir. Elle tremble, ses cuisses se referment sur mon visage, ses mains tiennent ma tête appuyée contre son sexe, elle cambre le dos. Mon sexe toujours planté au fond de la gorge elle tente de continuer à me sucer malgré lorgasme qui monte, peine perdue, elle perd le contrôle. Etouffant de plaisir, elle sort mon sexe de sa bouche, pour rendre de lair. Elle reprend difficilement son souffle tant le plaisir est grand. Je la laisse savourer cette première décharge en ralentissant le rythme de mes caresses. Lentement les tremblements de son corps sapaisent, doucement les ondulations de son bassin reviennent calmes. Prise dans son délire elle murmure des mots que je ne comprends pas.
Elle sétale de tout son long sur la serviette, profitant des dernières vagues de ce premier orgasme, je me place entre ses cuisses. Jappuie ma queue à lentrée de son sexe. Je prends et remonte ses jambes, ses mollets se posent de chaque coté de mon torse sur mes épaules. Nue, couchée sur le dos, la spectatrice offre son corps à mon regard cupide. Je la regarde. La faible lueur de la lune me donne seulement assez de lumière pour apprécier sa beauté.
Sans la prévenir, ni lavertir, je pousse un grand coup et la pénètre. Dès le premier coup de butoir, mon pieu senfonce au plus profond de son ventre. Instantanément, elle râle de plaisir.
Pour son plus grand plaisir, je reste immobile planté au fond de sa grotte. Elle ressent mon sexe palpiter au fond de sa chatte. Les battements de mon cur se répercutent le long de mon membre dressé et provoquent en elle des ondes de chaleur et de sensations enivrantes. Puis, je mactive en elle. Avec fureur, mon sexe senfonce dans les entrailles de la spectatrice; sy succède une série rapide de profonds déhanchements.
Mon gland, gonflé par le désir, tapisse les parois de son plaisir. Mes coups de reins portent son plaisir pour une seconde fois vers les sommets de lextase. Mes mains rejoignent les siennes, nos doigts senlacent. Alors que je plaque ses mains au sol, la spectatrice relève le bassin, laissant mon sexe aller encore plus loin en elle. Je mange sa poitrine avec avidité, je me régale du sel de sa sueur.
Je la conquière, je la possède. Tout son corps mappartient maintenant. Je lui assène de grands coups de queue au fond la chatte. Chaque coup de butoir lui arrache un soupir de plaisir. Notre plaisir commun est si grand que notre esprit chavire. Suivant nos corps en fusion nous roulons.
Je suis maintenant derrière elle. Les mains sur ses hanches, je profite de sa croupe bien définie. Ses râles de plaisir mexistent encore plus. Je tiens ses seins à deux mains, sentant sa lourde poitrine rebondir sous mes coups.
Elle pousse le bassin en arrière minvitant à la prendre encore plus fort. Lexcitation fait place à la frénésie. Je passe pardessus elle, mes pieds passent devant ses jambes et glissent sous son ventre. A quatre pattes dans le sable, appuyée sur les coudes, elle colle ses genoux lun contre lautre, elle ressert les cuisses. Le passage de son sexe se referme sur mon membre tendu. Elle me laisse la chevaucher à ma guise. Ses genoux senfoncent dans la plage creusant des sillons sous mes coups de reins. Son sexe forme un anneau de plaisir autour du mien, quelle sublime sensation. !
Mon ventre cogne sur ses fesses sans relâche. La spectatrice bredouille quelles que syllabes incompréhensibles mindiquant quelle jouie, Je suis, moi aussi, au bord du gouffre de plaisir.
Écrasée par la force de mes coups de reins en elle, la spectatrice sallonge sur le ventre. Mes jambes glissent sous ses cuisses, empêchant ses pieds de toucher au sol. Sa poitrine est plaquée contre le sable de la plage. Ses mains rejoignent les miennes sous son corps et maintienne solidement sa poitrine
Un passant apercevant la scène croirait à un viol, tant la passion qui nous consume est foudroyante. La spectatrice, crie son plaisir, alors que jai peine à respirer.
De violents spasmes me forcent à mallonger contre le dos de la spectatrice. Tout mon poids appuyé contre elle, je ressens son corps trembler. Les valves souvrent, un torrent de sève chaude inonde sa grotte. Je pousse encore quels que coups de rein au fond de son sexe, notre orgasme est commun et puissant. Nos corps ne sont plus que plaisir et sensation.
Rarement jai vécu une telle passion.
A suivre
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