Ma Secrétaire Éphémère

J'avais besoin d'une secrétaire, mais je n'avais pas trop de moyen à ce moment là.
Carine qui était au chômage, se proposa pour m'aider, ayant une formation de secrétaire de direction. C'était la compagne d'un copain que je connaissais depuis toujours. Grande, blonde, très distinguée, venant d'une famille bourgeoise voire noble puisque plusieurs noms se succédaient à son nom.
Elle vint classer mes papiers, relancer les impayés etc... Elle se débrouillait seule et parfois en fin de mois, elle demandait à ce que je reste au bureau pour la renseigner sur tel ou tel sujet.
Nous passions l'un derrière l'autre en nous frôlant, soit l'un, soit l'autre... Une fois pour ne pas perdre l'équilibre je la pris par les hanches. Elle était de dos mais s'arrêta et se colla à moi comme si je venais de déclancher une alerte qu'elle attendait depuis très longtemps. Mes mains toujours posées sur ses hanches, je la serrais contre moi, aussi pris par un tourbillon ma tête vint se loger dans le creux de son cou. Son bassin commença à onduler et je sentais ses fesses se frotter sur mon sexe qui enflait peu à peu. Elle mit sa tête en arrière comme pour m'encourager à continuer... Ma main de la hanche glissa sur son ventre pour la serrer un peu plus fort et mes doigts s'enfilèrent entre deux boutons de son chemiser. Au contact de sa peau, elle se mit à respirer très fort et je pouvais entendre "oh! Oui. Continue, c'est trop bon".
Toujours debout devant le bureau moi derrière elle, je déboutonnais un à un les boutons de son chemisier et je caressais maintenant son ventre en remontant vers sa poitrine ronde et pleine emprisonnée dans un soutien-gorge en dentelle. Je soulevais l'armature de ce soutif et caressais à pleine main ce fruit extraordinaire. Elle commença à gémir quand mes doigts tournèrent autour des mamelons. De l'autre main je descendis sur son ventre et glissa cette main libre sous la ceinture de sa jupe. Premier contact avec la dentelle de sa culotte que je contournais en glissant mes doigts pour atteindre son pubis et enfin atteindre son sexe plus que trempé.

Sa cyprine visqueuse inonda ma main et en caressant son clitoris les gémissements qu'elle émettait furent remplacés par des hurlements de plaisir. Son bassin ondulant sous ma caresse, elle prit mes doigts dans l'étau de ses cuisses et les serra à me faire mal. Plusieurs coups de rein violent accompagnèrent son orgasme et le liquide douçâtre coula le long de ses jambes. Epuisés, je m'assis sur le fauteuil l'entraînant avec moi. Mes doigts toujours dans son vagin, nous restâmes un bon moment dans cette position. Ses yeux étaient fermés, comme pour bien distiller ce plaisir que nous nous interdisions. Nous avons repris nos sens et... la suite véritable plus tard...