Cinéma Torride
Ceci sest passé il y a environ cinq ans.
Cela faisait deux ou trois fois que nous allions mon épouse et moi au cinéma, le film nétant pas terrible, je métais mis à la caresser discrètement pendant la projection. Au début elle me faisait comprendre que cela là dérangeait, mais en insistant, elle a finit par lâcher prise et sest abandonnée à mes caresses.
Javais donc passé un bras au dessus de son épaule et de la main droite, je lui caressais le sein droit par-dessus son chemisier. Quant à ma main gauche, elle caressait ses cuisses et faisait remonter sa jupe jusquà la naissance de ses bas, elle portait des auto-fixants noirs et un string blanc.
De temps à autre, Martine faisait redescendre sa jupe car il y avait des spectateurs à quelques mètres de nous, moi, jétais excité par la situation.
Un samedi soir, je lui propose donc daller voir un film, mais elle comprend à mon léger sourire que mes intentions étaient tout autres. Je lui ai alors demandé si elle était daccord que je choisisse pour elle les vêtements quelle allait porter, elle sourit et me dit que cest ok, à condition que je nexagère pas trop sur le côté sexy.
Je choisis donc une jupe simple, correcte, juste au dessus du genou, des auto-fixants couleur chair, un soutien balconnet blanc et un chemisier blanc, je lui dis alors que je lui laisse le choix des chaussures...
Au bout de quelques instant, elle me crie, dun ton sec, et la culotte ?
Ce soir, je préfère que tu nen portes pas, si tu veux bien ! Elle me dit ok à condition que tu nen portes pas non plus ! Quà cela ne tienne lui ai-je répondu, elle fut très étonnée...
Elle avait quarante deux ans, elle est très attirante, mince, un corps très ferme pour son âge. Dans la voiture, je regardais ses cuisses, jétais déjà émoustillé à lidée de la caresser. Nous arrivons dans lentrée de la salle et je là précède pour pouvoir choisir moi-même lendroit où nous allions nous installer.
Jai privilégié une rangée dans le haut de la salle où il ny avait personne à gauche à droite et derrière nous, elle a déposé sa veste sur le siège à ma gauche, et jai fais de même.
Après les pubs et les conneries, la salle sest obscurcie et le film a commencé, jai attendu une bonne dizaine de minutes et jai posé ma main droite sur ses cuisses, elle avait les jambes croisées, je lui caressais doucement les cuisses, soudain elle modifia sa position, se laissant aller plus profondément dans le fauteuil et se pencha vers moi, son épaule touchait presque la mienne, ces mouvements, avaient fait remonter sa jupe à mi cuisses et elle avait aussi décroisé les jambes.
Je passe un bras au dessus de son épaule et ma main se pose sans effort sur son sein droit, je leffleure à peine, au travers de son chemisier, je sens le mamelon se durcir, elle regarde le film comme si rien ne se passait, sauf que jai remonté sa jupe au dessus des bas et que je caresse lintérieur des cuisses et parfois je remonte jusquà son sexe sans my attarder.
Tout à coup, je vis à ma gauche une ombre sapprocher et jentends par le bruit du fauteuil, que quelquun sest assis derrière nous, je me retourne discrètement et je vois un homme denviron cinquante-cinq ou soixante ans, occupé à se débarrasser de son manteau et à sinstaller confortablement, bizarrement, il avait tout le loisir de sasseoir ailleurs mais il a choisi le siège juste derrière moi ! Enfin, il est libre...
Je craignais que ma femme ne retire mes mains, mais on aurait dit quelle ignorait complètement la présence du quidam de derrière, la situation mexcitait davantage, jimaginais le bonhomme mater ma femme pendant que la dévoilais et la caressais.
Jai donc continué mes caresses en passant mes doigts de temps à autre sur son sexe, qui par ailleurs est complètement rasé, (cest moi qui moccupe de ce rasage) elle à très légèrement écarté les cuisses, ce qui mencourage...
Je défais un bouton de son chemisier, puis un deuxième, et je glisse ma main droite dans son corsage, je caresse un sein,,jai mis un doigt à lentrée de sa vulve qui est bien plus mouillée que je ne limaginais, et ses yeux ne quitte toujours pas lécran !
Cependant, je vois que sa respiration est plus rapide et plus lourde, je tourne la tête vers elle, je voulais lembrasser dans le coup, elle aime ça, je vois à ce moment, sur ma droite, que le bonhomme sest avancé vers nous et quil mate tout ce qui peu voir, sa tête se trouve à cinquante centimètres de la mienne, je continue mes petits bisous sans moccuper de lui, comme il avait remarqué que je savais quil nous observait, il se fit plus courageux et sapprocha davantage, mais cette fois, de lautre côté, cest-à-dire du côté de ma femme, je sentais mon cur battre à tout rompre dans ma poitrine, et sans savoir si mon épouse avait remarqué sa présence ou non, je défis encore un bouton de son chemisier, jécartais le chemisier, et elle se trouva en soutien, jai alors dégager davantage ses seins du balconnet et je les caressais en tirant de temps à autre, sur le bout des seins, elle adore ça.
Elle à fermé les yeux pour sabandonner au plaisir, maintenant, son sexe est trempé, elle a les cuisses largement ouvertes et le gars va jusquà se pencher pour mieux voir ce qui se passe plus bas !
A mon avis il devait être pas mal excité, soudain, il avance doucement une main en direction de la poitrine de ma femme, il pose sa main sur ses seins, je retire alors mon bras, ce qui lui laisse le champ libre pour lui tripoter les seins, il les caresse, les malaxe, les presse, ma femme a toujours les yeux clos et se contente de savourer le plaisir que ces caresses lui procurent, elle a maintenant la tête sur mon épaule, jai glissé deux doigts dans son sexe et je lui branle le clito avec mon pouce, elle soulève le bassin pour que mes doigts pénètrent davantage, jen profite pour lui remonter la jupe jusquà la taille, le bas de son corps est maintenant à lair, le mec de derrière sest levé et je vois quil se penche vers ma femme et quil commence à lui embrasser les seins, moi, jai sorti mon sexe qui est tendu comme un arc et je dirige sa main pour quelle commence à me caresser la queue.
Ce quelle fait sans hésiter, je suis sur maintenant quelle à compris que je nétais plus seul, et le mec à compris aussi, si bien quil senhardit bien plus, il lui caresse aussi le sexe, introduit profondément un doigt, ce qui là fait gémir de plaisir, fait quelques aller et retour dans sa chatte, puis remonte la main vers son visage et lui caresse les lèvres avec ce même doigt, ceci ne semble pas lui faire deffet mais ne là dérange pas pour autant, il force légèrement entre ses lèvres pour lui faire ouvrir la bouche, ce quelle fait sans rechigner et il introduit son majeur trempé de foutre dans sa bouche et commence un lent mouvement de va et vient, ma femme referme les lèvres sur son doigt et joue le jeu à fond, soudain, il enleva son doigt de la bouche, se pencha vers elle, la langue en avant, il avait une langue dune longueur étonnante, il lui fourra la langue dans sa bouche dune vitesse incroyable et commença à lembrasser goulûment, elle répondit à son baiser sans problèmes.
Au bout dun petit moment, il se releva, pris son manteau et sen alla, me semblais-t-il ! Car il avait contourné la rangée et vint sasseoir à la droite de ma femme, il lui releva ensuite la jambe droite et il lui caressait lentrée de lanus, elle devenait folle, il se mouilla les doigts dans son sexe puis lui glissa un doigt dans le cul, je devais presque poser ma main sur sa bouche pour ses gémissements, de lautre main, il lui branlait le clito, à cet instant, comme je là connais bien, je commence à tirer sur le bout des seins ce qui déclancha instantanément un orgasme dune violence rare...
Il se positionna en face delle, à genoux, et se mit à la lécher sans retenue, avec une certaine brutalité, elle soulevait le bassin dans une cadence régulière, il releva la tête et je vis quil lui avait mis le pouce dans le cul, il se remis à là lécher et elle jouit à nouveau, il se releva, il avait sorti sa queue et revint sasseoir à côté delle, il saisi alors sa nuque, et il lapprocha de lui pour lembrasser à nouveau, sans quil ne fasse rien, ma femme avait saisi le sexe du gars
et le branlait, et alors, tout en se remettant dans son siège, il fit pencher ma femme sur sa queue, elle ouvrit la bouche sans hésiter et se mit à le sucer, moi je lui caressais le cul, le sexe, je lui bouffais la chatte et elle jouit une fois de plus , soudain jentendis un gargouillis dans la bouche de ma femme, je compris alors quil venait de jouir, il lui maintenait la tête sur sa bite pour lobliger à tout avaler, nayant pas le choix, cest ce quelle fit.
Le bonhomme se rajusta, moi aussi, mais ma femme le fit quelques instants plus tard.
Le type se pencha vers nous et nous dit bonsoir à vous deux, il nous a sourit et il sen est allé.
Nous avons quitté la salle quelques minutes après, jétais détendu et Martine nétait pas encore descendue sur terre, je lui demande : ça ta plu ? Elle me répondit quelle avait un peu honte mais que cétait quand même super.
Tout en marchant en direction de la voiture, nous passons devant une taverne qui sappelle La grignotte puisque nous sortions du cinéma "caméo" (certain auront donc compris que cela cest passé à Namur.
Juste en passant, je jette un coup dil dans le bistrot et il me semble apercevoir au bar, notre complice de tout à lheure, je propose à mon épouse dentrer prendre un verre et elle accepte, je fais passer ma femme devant moi, nous passons derrière lui et je propose de nous installer une ou deux tables plus loin, ce quon fit. Martine tournait presque le dos au gars, moi jattendais quil se retourne tout en me demandant si ma femme avait vu son visage, ce que je ne pense pas, Jean, puisque cest son prénom, se retourne, regarde ma femme en commencent par jeter un coup dil sur ses jambes, puis remonte et je vois linterrogation naître dans ses yeux, ensuite il me regarde, je lui souris et il se détend (il devait se dire, oui cest bien eux !).
Cétait un gars très net, soigné et paraissais plus jeune que son âge, il avait en fait soixante-trois ans. Je regarde mon épouse et lui dis à voix basse, tu vois le mec qui prend un verre au comptoir, et bien cest le gars du cinoche elle se retourne le plus discrètement possible et regarde dans sa direction, mais au même moment, Jean fait la même chose et leurs regards se croisent très vite !
Ma femme détourne la tête et me regarde en disant : tu es sur ? Certain ! Dis-je, elle était rouge de honte, je lui demande alors si elle se sent mal à laise et me répond que lui ne la peut-être pas reconnu, je me mets à rire et elle comprit que cétait pas la peine de se raconter des histoires.
Je lui dis alors : on linvite à prendre un pot ? Elle ne sait quoi répondre, elle me regarde, en hésitant entre oui et non, toute confuse et toujours les joues roses, je me lève et me dirige vers Jean, je mappuie sur le comptoir, lui dis bonsoir et lui propose de prendre un verre avec nous, il accepte en souriant et me suis, arrivé à hauteur de notre table, je lui indique la banquette où était assise Martine, mon épouse recule et se réfugie au bout du siège, Jean pris place et jappelle le garçon pour commander.
Mon épouse était tétanisée, figée sur place ! Jean nous demande nos prénoms, il nous dit le sien et nous échangeons des banalités, il était retraité et ancien indépendant, ils nous proposa ensuite de se tutoyer, je dis que pour moi pas de problème, il regarda Martine et elle fit un signe de la tête, voulant dire oui, mais sans le regarder. Après quelques minutes mon épouse commençait à se détendre, je la voyais rassurée par la classe et léducation de Jean, il se leva en sexcusant pour un instant, et disparu au sous-sol vers les toilettes. Je dis alors à Martine, tu te sens un peu mieux ? Elle me répondit que oui et que de toutes façon elle navait pas de quoi avoir honte ! Je fus tout à fait daccord avec elle.
Jean revint et pris place, mais cette foi, plus près de Martine, elle me regarda et je vis dans ses yeux un peu dangoisse, je lui ai souris pour la détendre.
Il me vint alors une idée, je me lève, mexcuse à mon tour et me dirige vers les toilettes, je ne sais trop ce que jespérais mais je me laissais le droit de découvrir une éventuelle surprise, ou rien du tout, qui sait ?
Je pensais justement que les banquettes étant très proches de la table, on pouvait faire pas mal de choses par-dessous, sans que personne ne se doute de quelque chose, je pris mon temps et je finis par remonter, je marchais doucement pour pouvoir avoir le temps de voir, si toutefois il y avait quelque chose à voir...
En passant à leur hauteur, je vis que Jean avait posé la main sous la table, qui disparaissait sans doute sur les cuisses de Martine, je repris ma place et fit comme si de rien nétait, je vis que ma femme était de nouveau rose et crispée, elle passa aussi une main sous la table et je là vis faire des efforts pour enlever la main de lhomme qui la tripotait, mais impossible, il était plus fort, elle abandonna la lutte et se résigna, je voyais le bras de Jean bouger légèrement de haut en bas, Martine se détendit et se laissa aller dans le fauteuil.
Je me levai pour prendre mon portefeuilles mais en fait, je voulais voir se qui se passait entre eux, ma femme avait posé une cuisse sur celle de Jean, et en me rasseyant, je senti le genou de Martine, elle avait les cuisses largement ouvertes, je vis alors deux jeunes hommes assis sur des tabourets au bar, ils se trouvaient juste dans la projection de Jean et Martine, à mon avis, ils mataient un méchant coup ! Je me suis alors déplacé sur la banquette pour quils puissent voir encore mieux...
Martine ondulait doucement et fermait les yeux de temps à autre, un peu plus tard, elle fixait les gars dans les yeux, mais ils nosaient soutenir son regard.
Jean se mis à chuchoter à loreille de mon épouse, elle sourit, se leva, Jean la laissa passer et elle se dirigea vers les toilette, quand elle revint, je vis quelle avait défait un bouton en plus, mais lorsquelle passa sous les spot, jai tout de suite remarqué quelle avait enlevé son soutien.
Par transparence, on distinguait facilement ses seins, elle sest rassise, Jean à passé alors son bras par-dessus ses épaule, il passa la main sous son bras pour lui peloter le sein droit, les gars derrière nous nen pouvaient plus, le plus grand sest dirigé vers les toilettes, il portait un pantalon en lin, on pouvait aisément voir la bosse au niveau de sa braguette !
Jean nous proposa ensuite de nous rendre tous les trois dans un endroit quil connaissait et pas loin doù nous nous trouvions, il précisa que cet endroit était parfait pour les jeux exib. Et voyeur, ma femme dit tout de suite, pourquoi pas ? Il nest que minuit ! Ok dis-je alors, cest parti !
Jean monta avec nous en voiture et choisi de sinstaller à larrière, nous prîmes lautoroute en direction de Charleroi, ensuite une sortie vers Epignies ensuite remonter sur lautoroute pour terminer sur un parking.
Il était un peu éclairé, il y avait trois voitures garée sur les emplacements mais personne à lintérieur, finalement, le parking semblait désert, je dis alors à Jean, il ny a personne ici Jean ? Tinquiète me dit-il ce serait bien la première foi ! Il avait pas mal dexpérience le Jean...
Il demanda à Martine de laisser aller son dossier en position couchette mais pas complètement, ce quelle fit en bon élève ! Elle demanda alors à jean sil ny avait pas de danger à traîner là ? Jean la rassura en expliquant que non et que sétaient souvent les mêmes personnes qui se trouvaient là, mais où sont ces personnes dont tu parles ? dit-elle alors ? Il faut attendre un peu, mets-toi à laise lui dit-il, ne sachant trop quoi faire, elle déboutonna complètement son chemisier, Jean se pencha vers elle et pris ses seins à deux main en ajoutant, :
-tu me fais de nouveau bander salope !!!
Jean me demanda dallumer le plafonnier, ce que je fis, je vis alors que quelque chose bougeais dans la végétation, Jean me dit à cet instant de verrouiller les portes par pure précaution. Dans mon rétro, je voyais un type se diriger vers nous, il arrivait doucement, Jean se pencha davantage sur Martine et il fit remonter sa jupe en lui demandant de se soulever un peu, il remonta sa jupe jusquà la taille, il tira sur son chemisier pour le sortir de dessous la jupe et lui enleva complètement.
Le voyeur était maintenant juste entre les deux portières droites, je demandai à Jean ce quil attendait, et jean me dit que le gars voulais être sur quil ne risquait pas de se faire jeter. Au bout dun moment, il savança au niveau de la vitre de Martine, jean lui dit alors de poser les jambes sur le tableau de bord, elle sexécuta et à mon tour, je lui demande des les écarter.
Le gars a maintenant le visage collé sur la vitre, Jean, dun ton autoritaire, ordonna à Martine de se masturber, dune main elle ouvrait sa vulve, et de lautre elle branlait son clito, elle était visiblement très excitée, jai découvert que le fait dêtre dominée lui plaisait au plus haut point.
Jean fit alors tourné la roulette du siège pour le positionner complètement en couchette, puis il att les jambes de ma femme,et les releva, il lui ordonna de continuer de se branler, dans cette position, on avait une vue imprenable sur son sexe et le reste, Jean me dit, caresse-lui son petit trou, je lui écartais les fesses et commençait doucement à lui doigter le cul, Jean dit alors : mets-lui ton doigt dans le cul, il a baissé son froc et Martine le suce, ouvre un peu la vitre me dit-il, je vis à cet instant quil y avait trois mecs collés à la vitre, ouvre davantage ! Et je descends encore un peu la vitre, un des gars a passé un bras et pelote les nichons de Martine, sans retenue et la limite de la violence, Jean dun ton sévère sécria -doucement ! Ou tu dégages !!!
Le gars le regarda et se calma brusquement, de ma propre initiative, je fis descendre complètement la vitre, Jean ma regardé et ma dit en souriant, (tapprends vite !)
Les mains se croisaient, les trois mecs la pelotaient, lui ouvraient la chatte, pénétraient le sexe de Martine, elle nen pouvait plus, elle branlais Jean qui nétait pas loin de jouir...Un des gars avait sorti sa bite et se branlait en regardant le spectacle, il était tout près, il saisit la main droite de ma femme, et la posa sur son sexe, elle commença à le branler frénétiquement , en quelques secondes, il éjacula sur la poitrine de Martine et sur son ventre, le suivant se mis aussi à se branler la bite, son sexe était carrément à lintérieur de la voiture, Jean ordonna : aller, suce sa queue, salope, elle se relève et engloutit la bite du gars, Jean approcha et pendant que ma femme le suçait, il saisi la base du sexe du voyeur et le branla à toute vitesse, je vis quil jouit dans la bouche de Martine,car Jean lui tenait la tête de lautre main , le gars disparu et il restait un mec plus jeune qui tenait son sexe en main, il semblait plus timide que les autres, Jean fit mettre Martine à genoux sur le siège et face à lui, elle se remit à sucer son maître, lautre gars avait un superbe vue sur le cul de Martine , jean lui fit signe avec la tête de sapprocher et il ne se fit pas prier !
Il tripotait tant qui pouvait ses fesses, son petit trou, il allongeait le bras pour lui peloter les nichons, tout à coup, jean fit retourner Martine sur elle-même, quand elle releva la tête, elle avait la bouche à dix centimètres de sa bite, Jean lui dit pompe le aller !elle le suçait avec cur, Jean me demanda alors si javais des capotes ?
Jouvris le vide-poche, jen pris une et lui passai. Jean dit alors à Martine de me sucer, elle sexécuta ! Cétait délicieux
mais elle avait les fesses tournées vers la vitre, elle était à genoux, Jean passa la capote au jeune gars, et lui dit dun ton sévère, mets ça ! Le gars sexécuta, non sans mal, car Jean vérifiait si tout était bien en place. Il dit alors au gars douvrir la porte, à ce moment, ma femme dit, non, pas un inconnu ! Ne tinquiète dis-je, il est bien protégé, et elle se remit à me sucer. Jean saisi les fesses de Martine, les écarta, et dit au gars, baise là, allez, baise cette salope, elle demande que ça ! Le gars guida sa bite à lentrée de sa fente, et là pénétra dun coup, ce qui fit gémir Martine, il la baisait avec virulence, pendant ce temps, Jean lui doigtait le cul en le mouillant de sa salive, il dit alors au jeune homme : mets-lui dans le cul maintenant ! Mais doucement, si tu lui fais mal, je tarrache les couilles ! jétais écroulé de rire
Le mec lencula doucement puis repris ses vas et viens énergiques, tout cela mavait terriblement excité, et jéjaculais dans la bouche de Martine, qui avalât tout, Jean sapprocha de nous et dit, suce moi aussi ! Au moment ou elle mit la bite de Jean en bouche, il jouit aussi, le jeune poussait de gémissements de plaisir derrière Martine, en se vidant dans la capote.
Voilà, cest fini, inutile de dire que Jean est devenu notre ami intime, et lest toujours depuis ces années. Mais jai dautres moments encore plus salaces à vous conter, la prochaine fois !!!
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