Surprise ! Quand La Nature Se Déchaine !

C'etait une période où j'étais perdu, où j'allais de ci de là, en fait, je déprimais.
Je fus invité par un couple disons "baba-cool" que je connaissais depuis tès longtemps. Il recevait beaucoup de monde et le soir : alcool, joint était de la partie.
Comme il n'y avait plus de place dans les chambres, ils m'installèrent dans leur chambre, sur un matelas à même le sol. Au bout d'un quart d'heure, j'entendis des mouvements et des floc floc... Je leur dis :"vous baisez ? Ca m'excite drolement !".
Ils allumèrent la lumière et je fus stupéfait de voir la fille tournant le dos à son compagnon et empalée sur sa queue. Je voyais les boules et un peu de verge qui coulissait dans ce vagin dégoulinant de cyprine. Elle, d'une souplesse incroyable ondulait du bassin, la bouche entrouverte. Elle y prenait beaucoup de plaisir. Mon ragard figé sur ce spectacle me mit dans un état inimaginable. Pas gênés, ils continuaient. Les levres luisantes écartées où coulissait ce membre épais me subjuguaient, je ne le voyais pas, seulement ses mains qui lui tenaient les hanches.
"Viens" me dit-elle. Je sortit de mon lit, la queue raide prisonnière de mon slip que j'avais gardé et je m'approchais lentement... Un petit sourire de complicité m'invita à participer à la fête... Il écarta les jambes et je vins me placer entre celles-ci en rampant, puis je commençai à donner quelques coups de langue sur ses boules couvertes de mouilles. Coups de langue que je remontai vers cette chatte humide et chaude jusqu'au clitoris. Comme elle était toujours en mouvement, ma tâche n'était pas facile, mais je pus atteindre mon but et coller ma bouche sur son petit bouton.
Elle se mit à hurler et lui à gémir... Ma langue virvoltait, sur cette chatte pleine, mon visage était inondé de mouille, quand soudain, il souleva sa partenaire et sortit sa bite de son vagin. Cette bite bien faite, tendue et chaude que je pris aussitôt dans ma bouche pour recevoir une quantité énorme de sperme, que j'avalais simultanément.

Elle se pencha pour me rouler une pelle, nos langues malaxant ce jus mélangé délicieux. Une fois apaisé, elle me fit retourner et tel un serpent elle se glissa vers mon sexe tendu et me suça avec gourmandise, nous nous retrouvâmes en position 69 et je continuais à fourrer ma langue dans son vagin dilaté. Trop excité, j'explosais dans sa bouche et je recus en même temps une giclée de mouille. Quel bonheur !
Le lendemain, je les quittais, en leur promettant mon retour...