Le Fantasme De Ma Vie
J'avoue écrire pour la première fois, vous excuserez le style gauche et sans doute inexpérimenté de ma part. Je vais vous racontez l'histoire de mon fantasme. Il s'agit d'une histoire inventée de toute pièce qui aurait du se dérouler avec une ex dont je tairai le nom. En fait, je regrette beaucoup ce qui se passait entre nous. Elle était nymphomane et moi, éjaculateur précoce. Deux personnes qui n'ont en fait rien à voir ensemble. Et pourtant... Enfin, voilà ce que j'aurai aimé vivre avec elle.
Un jour, Isabelle, une ex... vraiment bien faite... me proposa au bout de quatre mois par lettre de disposer d'elle à mon gré. Nous habitions à 200 km l'un de l'autre et nos rencontres se faisaient uniquement le weekend... Elle avait un corps... non pas de rêve mais excitant à tel point que je peux en jouir rien qu'en y pensant... Des petits seins super sensibles, un ticket de métro aguichant... et une paire de fesse à se faire damner... un cul large en somme, un peu rembourré mais surtout un cul à prendre d'urgence.
L'occasion se présenta donc un weekend où sa mère partait en vadrouille avec un mec chauve mais à la quéquette féroce. Elle m'envoya une lettre pour me prévenir. "Ma mère est absente tout le weekend, nous aurons la maison pour nous tous seuls. Trouve un scénario pour me faire jouir comme jamais." Le problème était lié à mon incapacité à tenir plus de quelques minutes... Comme on dit, à vingt ans, le sexe c'est comme le micro-ondes, ça fait ding en vingt secondes...
Bref, j'ai décidé à ce moment là de me prendre en main et de faire de cette poupée au cul de rêve mon extase pour la nuit. Je me suis entrainé et vous saurez comment par la suite.
Le samedi fatidique arriva enfin... Je vais passer au présent pour être plus proche de mon fantasme...
Il est 17h00. J'envoie un sms. "Je veux que tu m'attendes, nue avec des chaussures hauts talons..." J'ai 200km à me farcir...L'envie de baiser se fait plus forte à chaque kilomètre.
Quand j'arrive enfin chez mon ex, j'ai la bite raide dans mon slip, ça me fait un mal de chien... Il fait déjà sombre. On est en plein hiver et la température est négative... Je sonne et mon ex m'ouvre la porte après quelques secondes. Elle est nue, maquillée légèrement comme j'aime et ne porte que des chaussures à talons hauts, comme demandé. Je m'approche et l'embrasse à pleine bouche. Je tâte ses petits seins. Ils sont vraiment petits mais les tétons sont incroyablement sensibles. Je pense pouvoir la faire jouir rien qu'en la tétant suffisamment longtemps mais je réserve ça pour plus tard. Ma queue est dure mais là encore je résiste à l'envie de me faire sucer tout de suite. J'indique à ma poupée préférée de s'habiller avec une mini jupe et un petit gilet bleu boutonné sans aucun dessous. Elle revient vêtue comme je l'attends. Je lui présente alors mon premier jouet de la soirée. C'est un uf vibrant télécommandé. J'ai bien sur la commande dans ma poche et nous faisons un test. Elle approche l'objet de sa petite chatte déjà humide _ je suis persuadé qu'elle s'est doigtée en attendant mon arrivée _ et gémit quand j'appuie sur le bouton qui commande la vibration. J'arrête toute manuvre et lui indique de mettre l'objet du délit dans sa grotte secrète. Après un autre baiser profond, nous partons au restaurant.
J'ai réservé une table au bowling du coin, il y a beaucoup de monde et surtout des mâles en quête de foufounes à bourriquer... c'est pire qu'en boite. Le DJ lui-même est chaud bouillant dès qu'il entrevoit une gazelle baisable et ne manque pas de le faire savoir.
Nous nous installons tranquillement à notre table. La jupe ultra courte de mon ex fait sensation et dès qu'elle s'assoie, notre voisin de table regarde direct entre ses cuisses.
Après quelques minutes, on nous sert mais le DJ met une musique qui me rend dingue : la BO de men in black. Je dis à mon ex d'aller danser sur le cube juste devant le DJ. Comme le cube est surélevé, tous ceux qui sont en train de manger ont vu directe sur sa foufoune. Je prends un pied grave d'autant que je profite de cet instant pour sortir la télécommande de l'uf et de le mettre sur une vitesse de vibration déjà bien intense. Je vois ma poupée se dandiner sur le cube sous l'effet conjoint de la musique et du vibro dans sa fente. Quand la musique est terminée, elle revient s'asseoir en face de moi et je coupe l'effet du joujou pendant notre repas. Mon ex m'indique quand même après deux coupes de champagne qu'elle a la chatte en feu... Mais ce n'est qu'un début.
La suite de la soirée se passe au cinéma. J'ai pris deux places pour un film pourri à la dernière séance. On est au total cinq dans la salle, nous, deux copines et un mec seul qui passera la séance à les draguer en pure perte.
On s'est installé au dernier rang, le rang des baiseurs mais à cette heure-ci plus personne ne surveille. Je remets en marche l'uf vibrant à la vitesse minimum. Mon ex ondule au bout de quelques minutes. J'accélère la cadence et lui demande de déboutonner son gilet ce qu'elle fait de suite. Je vois ses petits seins tout pointus dans la pénombre. Ses tétons sont gonflés à mort et je passe à la vitesse de vibration supérieure.
Le film passe vite d'autant qu'on ne l'a pas regardé.
Mon ex laisse son gilet ouvert pour sortir de la salle.
J'ai poussé le vibro à fond et mon ex me dit qu'elle est trempée. Je lui demande de me le prouver tout en m'allongeant au sol. Elle s'installe, la fente offerte à ma bouche et je la lèche comme jamais. Le vibro est à fond dans sa fente et je lui aspire le clito. Elle finit par jouir dans ma bouche.
Je lui demande alors de me déshabiller ce qu'elle fait aussitôt. Ma queue est raide mais elle ne peut y toucher sans un mot de ma part. Je lui attache les mains dans le dos avec un peu de ficelle et je sors mon second jouet : un cockring... Une fois installé sur ma queue l'objet me rend incroyablement sur de moi. Ma queue est raide comme jamais, mes couilles sont rondes et pleines. Je demande à mon ex de me sucer lentement. Je sais qu'elle est experte en la matière. D'habitude, j'ai beaucoup de mal à résister mais pas aujourd'hui.
Après un long moment de fellation sublime, j'installe mon ex sur le divan, les jambes bien écartées. J'enlève le vibro et m'introduis d'un seul coup en elle. Je la besogne longtemps et elle gémit. Le cockring fait son uvre et je tiens mon érection sans jouir. Je sors de la grotte humide de mon ex et lui aspire le clito avec force. Comme elle a toujours les mains liées dans le dos, ses seins ressortent incroyablement. Ce tableau m'excite et je la pénètre de nouveau tout en lui suçant les tétons sauvagement.
Je lui présente ma queue et elle suce avec délectation mais le moment n'est pas encore venu pour moi de lâcher mon jus. Nous partons dans sa chambre, sous les draps. Je m'allonge et elle s'empale sur mon chibre tendu. Après cinq bonnes minutes à un rythme soutenu, je lui ordonne de me donner sa chatte. Elle obéit et je la lèche sans retenue. Elle est humide comme jamais et j'ose même lui lécher l'oignon ce qui ne lui déplait pas. Ensuite elle reprend sa place et je la défonce autant que je peux mais toujours pas d'éjaculation. Elle se présente encore une fois à ma bouche. Je lui aspire le clito de nouveau et je décide de changer de position. En face du lit, il y a une armoire avec un miroir en guise de porte. Je place mon ex pour la prendre en levrette tout en regardant la scène dans le miroir. Comme je tiens encore, je présente un doigt humide sur son anus. Je sais qu'elle n'aime pas ça mais elle est tellement excitée qu'elle ne dis rien. Je quitte sa fente et lui mets deux doigts aussi profondément que possible dans la chatte tout en lui léchant l'anus. Je la sens jouir à nouveau. Son corps est couvert de sueur et je lèche ses tétons avec délice. Elle me dit qu'elle n'en peut plus. Aussi je la fait mettre à genoux, libère ses mains et et lui demande de me branler. Après quelques instants, je viens sur ses seins. Elle a du sperme partout sur la poitrine et sur le ventre. Elle ôte le cockring de ma queue et m'aspire une dernière fois. Nous nous allongeons l'un contre l'autre. Demain, je la sodomiserai et ça lui plaira sans aucun doute possible.
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