Les Amies De Jocelyne - Marie-Agnes Partie 1
Puisque vous le souhaitez, je vais vous parler un peu de mon amie Marie-Hélène et de mon amante Marie-Agnès qui sont la même et unique personne sorte de Jekyl et Hide du sexe.
Pour l'état civil, elle est Madame d'H, née Marie-Hélène Agnès de P, épouse de Monsieur Jean-Charles d'H, baron de G. Je devrais dire épouse de Maître d'H, puisque son époux est officier ministériel et titulaire de la plus grosse étude notariale de notre charmante petite ville que l'on s'imagine très provinciale. Elle descend d'une ancienne et très aristocrate famille qui tient ou pense détenir des privilèges issus pratiquement des croisades. Elle s'imagine assez bien d'ailleurs tenter de pénétrer à cheval dans une église
. Elle a bénéficié d'une enfance très confortable mais stricte, adolescence encadrée dans un pensionnat religieux, études relativement bonnes et mariée très tôt à un homme de quelques années son aîné issu lui aussi de l'aristocratie (même si la sienne était plus récente). Voilà brossé en gros traits sa situation qu'elle considère et reconnaît comme très privilégiée et enviable. Surtout que physiquement elle est magnifique comblée. Elle este, ce que l'on peut appeler une belle femme. Assez grande (1,68m), plutôt pas mal proportionnée, blonde (naturelle) au yeux verts superbes, une bouche assez large et charnue qui donne envie d'embrasser. Elle possède une cambrure de rein assez prononcée et il lui arrive de "sentir" assez souvent des regards se poser sur son postérieur. D'aucuns, comme les cavaliers de sa famille diraient (lorsqu'il sont entre hommes) qu'elle "a un cul de jument". J'achèverais cette courte description en précisant qu'elle n'est pas trop mal dotée en ce qui concerne la poitrine (95c).
En résumé, elle attire les regards et les envies à quarante quatre ans soit dans le "civil" par sa distinction naturelle et sa classe soit dans d'autres activités plus glauques par sa classe également, ce qui lui confère une sorte d'aura altière même quand elle subit les outrages les plus dégradants et les plus débridés imposés par ses partenaires.
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"Jocelyne vous a dit "adolescence encadrée dans un pensionnat religieux", c'était bien le cas pour ces jeunes filles de bonnes familles qui me dépucelèrent à l'aide d'une bougie au cours du premier trimestre. Comme j'étais plutôt jolie, je devins une des favorites des anciennes. A ce titre je fus très chouchoutée en contrepartie de mon apprentissage à satisfaire les goûts saphiques de mes aînées. C'est donc là que je fis mes premières armes sexuelles et je n'en regrette vraiment rien. Lors de mes études secondaires quelques flirts, sans plus, a cause certainement de problèmes d'autorité de mes parents qui m'interdisaient toutes sorties. Dans mon monde les femmes avaient l'habitude d'êtres de parfaites épouses, dignes maîtresses de maison très soumises à leurs maris. À l'image de ma mère ma destinée était toute tracée. Surtout quand après m'avoir rencontré en plusieurs occasions et disons, fréquentée sous les regards scrutateurs familiaux, Jean-Charles d'H, brillant notaire plein d'avenir, baron de surcroît, demanda ma main. Il s'en suivit une belle cérémonie, garden-party et tout ce qui s'en suit.
Mon mari était le mari parfait, plein d'égard, attentionné, brillant, galant et j'en passe. Nous remplissions fort bien nos devoirs conjugaux même si le bref plaisir que j'en éprouvais était assez éloigné de ceux ressentis avec mes camarades de pension.
Un beau dimanche d'avril, après presque un an de vie commune, je m'en souviens comme si cela était hier, après la grand-messe et le repas dominical je me préparais à passer en compagnie de mon époux un après midi semblable à beaucoup d'autre, entre oisiveté, lecture et aussi
un peu d'ennui peut être. Après avoir bu son café, Jean-Charles se servit comme d'habitude, un alcool et allumant cérémonieusement son cigare du dimanche. Après en avoir tiré quelque bouffée, il posa son regard sur moi. Me sentant observée, je levais vers lui un regard interrogateur. D'une voix posée, je l'entendis me dire :
"Ma chère, vous baisez comme un veau
.
Statufiée, je dus le regarder comme s'il était un martien ou bien comme s'il avait lâché un pet incongru dans une réunion de famille. Il me demanda si j'avais bien entendu, me répéta sa phrase et me demanda si je l'avais bien comprise et assimilée. Je dus répondre comme un idiote que "Euh
oui, enfin
je ne
mais je
que voulez-vous que
". Il mit fin à mon embarras et mon manque d'à propos en me commandant :
"Déshabillez-vous Marie-Hélène !"
"Pas dans le salon quand même ! Et puis, et puis
. Mais nous sommes l'après-midi !"
"Figurez-vous ma chère que l'on ne baise pas que dans une chambre et pas ment la nuit. Allez pressez-vous
j'ai dit déshabillez-vous !"
Je pense que ton de commandement m'impressionna et j'obéis comme une âme en peine. On était loin à cette époque d'un strip-tease torride. Il se leva, me fit reculer jusqu'à la table de salle à manger et me poussant m'y fit allonger sur le dos. Il écarta mes jambes en grand et en contempla la fourche. Il me fit un compliment qui à l'époque me gêna, et me fit certainement rougir mais que je retins (pour y repenser souvent) :
"Vous avez une jolie chatte Marie-Hélène il faudra me la faire voir plus souvent".
S'étant débraguetté, il frotta un peu son sexe contre ma vulve et me pénétra. Je dois dire que je pris plus de plaisir dans cet acte effectué dans des conditions inhabituelles que dans ceux que nous pratiquions plus classiquement. Il ne s'y trompa pas et m'annonça :
"Vous resterez dans cette tenue aujourd'hui
je vous reprendrais dans la soirée".
En fin de compte je me rendis compte que je n'attendis que ce moment toute l'après midi pour pouvoir confirmer ce plaisir qui m'avais parut beaucoup plus intense. Quand nous étrennâmes un des canapés du salon je me laissais aller pour une fois à laisser échapper quelques gémissements de plaisir. J'eus la confirmation de mes interrogations, j'avais jouis plus intensivement
La troisième fois fut encore meilleure, dans notre cambre conjugale il est vrai, mais sur un fauteuil et toutes les lumières allumées.
"Vous voyez Marie-Hélène, je crois notre divorce n'est plus d'actualité ! Si je ne m', je crois que vous allez vous montrer une excellente élève, je vais vous éduquer
."
Je l'assurais de mon amour et comme cela ne semblait pas lui suffire, je précisais que je serais très heureuse de pouvoir le combler. Tout était dit !
Il fut un excellent professeur et à ses dires je fus une étudiante assidue. Il me fit l'amour dans des tas de positions assis, debout, le chevauchant (de dos et de face) en levrette, à tout heures du jour et de la nuit et il n'y eut aucune des pièces de notre demeure (reste d'un petit château autrefois imposant au beau milieu d'un parc) qui ne connu pas nos étreintes, de la cave aux greniers, même dans les WC, les garages, la remise à outils et jusqu'à la petite serre qui nous vit m'honorer. Parallèlement son attitude changea à mon égard. Une grande complicité s'installa, dans les moments les plus intenses il se mit à me tutoyer et même à me dire des horreurs. Il me manqua même de respect en m'invectivant par des propos grossiers. Je dois dire que j'en conçus un plaisir assez vif comme si une entaille se faisait jour dans ma cuirasse. Cette entaille devint une fissure puis une crevasse
. Jean-Charles en profitait pour devenir plus, je ne sais pas si le mot convient, exigeant
avec toujours quelques de nouveau à proposer. Je ne sais s'il était en train de me faire graduellement monter vers le nirvana ou me faire glisser sur la pente du vice. Je n'attendais que cela qu'il rentre de son étude, qu'il prenne des congés, que ce soit le week-end pour qu'il me comble et aussi que je le comble. Il m'imposa le port définitif de string et de soutient gorge à balconnet ou redresse sein et la suppression des collants au profit de bas avec ou sans porte-jarretelles (et tout ceci même en bonne société). Sur sa demande, et dans notre intimité s'entend, je me mis à porter des tenues plus légère, plus affriolantes voire pas de tenue du tout.
Puis vint la découverte de la sodomie
. La première fois fut, malgré la longue préparation de cet endroit réservé, assez pénible. Il voulut même stopper. C'est moi qui malgré la douleur lui demandais de continuer. J'avais assez d'ancêtre ayant souffert sur les champs de batailles pour pouvoir supporter une douleur passagère au derrière, sachant que de plus je satisfaisais pleinement mon conjoint qui, lui, me faisait tellement jouir. La deuxième fois ne fut que légèrement désagréable, la troisième plus tout. A la cinquième ou sixième fois je connus mon premier orgasme anal. Ce fut une révélation
Jean-Charles ne s'était pas ménagé (il ne m'avait pas ménagée non plus !). J'y pris goût
intensément
je plains celle qui n'ont pas encr. Comme aux débuts de nos ébats sexuels, toutes les mêmes pièces virent Jean-Charles me faire subir les derniers outrages pour mon grand plaisir et le sien. En plus de la sensation physique de se sentir s'ouvrir, il y avait quelque chose de cérébral, comme d'enfreindre un interdit ou de un transgresser tabou. Marie-Hélène Agnès d'H se faisait enculer comme une traînée. A la suite mon petit derrière connu également les plaisirs des godes et autres plugs. Ces péchés là, je mis un moment avant de les confesser. J'omis de mentionner que j'y prenais un plaisir intense. Une fois que je confessais l'avoir "enduré" huit fois en deux semaines, et mon curé demandais des explications sur les circonstances, je perçu comme un léger bruit étrange
. J'aurais juré que c'était comme le frottement d'un prépuce sur un gland. Le prêtre absout mes fautes, je fis une contrition assez peu sincère, puis je sortis pour faire pénitence. En fait je me dissimulais derrière un pilier. Après un petit moment, mon confesseur sortit. Subrepticement, je m dirigeais vers le confessionnal et entrouvrit la porte de la partie réservée au clergé. Aucun doute n'était permis, l'odeur qui parvenait à mes narines était celle du sperme. M. le curé s'offrait donc de petites gâteries pendant que ses paroissiennes reconnaissaient leurs péchés. Ma prochaine confession serait torride
. (Depuis j'ai pris un vif penchant à cette petite perversité)
Finalement, comme le disait Jean-Charles je devenais très portée sur la chose. Je me demandais si les femmes de mon entourage (belles surs, nièces, cousines) sous des dehors très aristocratiques et très policés l'étaient autant que moi. Après tout, je cachais bien mon jeu, moi
.
Jeu que j'avais bien caché pendant vingt-trois de fidélité inébranlable envers mon mari que je chéris comme un époux, un amant et aussi un mentor, puisque
.
Puisqu'il
me fit franchir un pallier déterminant
.
Mon époux me prévint qu'il avait trois stagiaires poursuivant leurs études notariales. Il souhaitait les inviter à déjeuner un midi. Je prévoyais donc un déjeuner que Francine notre employée de maison m'aida à préparer. Je n'aurais plus besoin d'elle ensuite et lui donnait donc congé. Jean-Charles m'avait prévenu qu'une fois nos invités partis, il ne retournerait pas à l'étude. Vu son il égrillard je compris qu'il y aurait de la galipette dans l'air. Je trouvais donc naturel qu'il me demande de mettre une paire de dim-up fumés sans le moindre slip ni string et un redresse sein sous une robe bleu marine sans manche, découvrant tout juste le genou. En apparence je serais donc bourgeoisement très "maîtresse de maison". J'en avais l'habitude. Pour le reste et la suite c'était une autre affaire et j'en avais également l'habitude
.
Les futurs notaires me firent envoyer des fleurs. J'en conclus à une excellente éducation et des principes de savoir vivre dignes de futurs officiers ministériels. À l'heure exacte prévue, ils s'annoncèrent et Jean-Charles leur ouvrit et me les présenta. Ils étaient jeunes mais assez murs quand même. Il est vrai que ce type d'étude était très long. Nous prîmes l'apéritif dans une ambiance très retenue. Les jeunes étaient très galants, très "comme il faut". Je priais donc ensuite tout mon monde de passer à table, deux jeunes d'un côté, un de l'autre en compagnie de mon mari. Pour la commodité du service, je présidais pour une fois. Ce rôle était en principe dévolu à Jean-Charles. J'amenais une première entrée, je la desservis puis revint avec une seconde. Je commençais par servir un des étudiants qui s'écarta pour me laisser servir le deuxième. Je fis de même en face et je me trouvais entre le jeune homme et mon mari. Que ce passa-t-il à ce moment là ? Je ne saurais le dire avec précision. Jean-Charles, me sembla-til fit un mouvement brusque. Ou bien de l'épaule heurta-t-il le plat que je tenais ? Le résultat fut immédiat. De la sauce coula sur ma robe. Je posais le plat et m'excusant je les avisais que j'allais aller changer de tenue. Interdite je vis Jean-Charles entrer dans une violente colère.
"Ma pauvre amie, vous n'en ferez jamais d'autre ! Vous êtes impossible ! Qu'elle sotte vous faites !"
"Veuillez m'excuser Jean-Charles, dans quelque instant il n'y paraîtra plus je vais me changer et
."
"Et puis quoi encore ! Non mais vous plaisantez ! Vous changer
non mais ! Souillon comme vous vous comportez, c'est hors de question vous risquez de recommencer vos maladresses. Vous allez me faire le plaisir de retire votre robe un point c'est tout !"
"Mais
mon ami, vous perdez tout sens commun !"
"Ne me parlez pas sur ce ton Marie-Hélène ! Continuez ainsi et je vous fesse devant tout le monde !"
"Mais
mais enfin Jean-Charles vous savez bien que
"
"Que quoi ? Rien du tout ! Obéissez !"
Le ton état péremptoire et je vis dans ces yeux qu'il ne plaisantait pas. Avait-il oublié mon absence de dessous ? Je ne le pensais pas. Il ne lui arrivait que très, très rarement d'oublier quelque chose. Alors !... pourquoi m'humilier de la sorte ? Surtout pour une gaucherie si vénielle. Je n'allais quand même pas me laisser fesser devant ces trois blancs becs. D'habitude, je vous l'ai dit, les fessées étaient surtout prétexte à des jeux érotiques. Là il ne semblait pas que ce fut le cas. Je pris sur moi, j'allais faire front. Timidement, je passais les mains derrière moi pour baisser la fermeture éclair, puis me dégageais les épaules et les emmanchures, révélant ainsi ma poitrine rehaussée du soutien gorge (si jamais on pouvait l'appeler ainsi). Après une légère hésitation, les yeux rivés vers le sol, je fis glisser le tissu le long de mes hanches, puis de mes cuisses dénudant le bas de mon corps. Entre mes cils je vis quatre paires d'yeux braquées sur moi.
"C'est bien ma chère, vous pouvez continuer de servir !" lança mon tyrannique époux.
Je le servis donc, puis moi et vite je pris ma place et commençait à manger sans oser lever les yeux. Je faisais durer un peu mon entrée, peu désireuse d'avoir à me lever. Jean-Charles le remarqua évidemment et me proposa avec un sourire indéfinissable :
"Si nous passions à la suite Marie-Hélène !"
Le plus neutralement possible, je me levais et desservis. Les regards de mes invités ne quittaient pas ni mes seins que oscillaient au gré de mes mouvements ni mon pubis parfaitement épilé. Ce fut pire lorsque je retournais vers la cuisine. Je "sentis" tous les yeux se poser sur mes fesses nues. Arrivée dans la solitude de la cuisine je puis enfin souffler un peu. Malgré la honte que je ressentais d'être ainsi à demi nue devant de tierces personnes, force était de constater que cela me faisait quand même quelque chose. Une douce chaleur se tenait là tapie au fond de mon sexe prête à l'embraser. Il me fallais garder mon calme, beaucoup de calme pour affronter mon conjoint j'allais avoir deux mots à lui dire. Je pris le plat de résistance et l'amenais. Il ne me restait que l'épreuve du service. Passer dans cette tenue entre les invités me fit tout drôle. Mon ventre et mes seins passaient à moins d'un mètre d'eux. Du coup je ne puis rien faire contre le durcissement de mes mamelons. Je vis que ce détail n'avait pas échappé à Jean-Charles
. De retour à ma place, le repas reprit. Je ne sais pas si c'était à cause de ma tenue ou si les hommes avaient fait un break et il n'était pas question beaucoup de notariat dans les conversations mais plutôt de banalités convenues. Je repartis vers la cuisine pour aller chercher la salade. Ouf !... je me sentais mieux dans la solitude de la cuisine, mettez vous à ma place
. Remarquez, je sentais de plus en plus émoustillée certainement à cause des regards qui se faisaient de moins ne moins furtifs. Je revins donc avec ma salade et servis le premier. J'allais continuer et me plaçais à gauche du deuxième, soit en les deux. Sur le ton de la plus banale conversation un des élèves demanda :
"Dites-moi, maître, peut-on toucher ?"
Le ciel me tomba sur la tête.
"Bien entendu cher ami ! Elle est là pour cela !" venait de répondre Jean-Charles.
Faisant suite pratiquement simultanément à cette réponse qui me laissa statufiée je sentis une main se poser sur mon mollet. Elle remonta vers l'intérieur de mon genou
et continua lentement sa progression vers le haut. Elle dépassa lentement le bas et resta un instant posée sur la chair nue de l'intérieur de ma cuisse. J'avais fermé les yeux pour ne pas voir le regard de l'étudiant, ni celui de Jean-Charles et ce qu'ils pouvaient refléter. J'allais dire "enfin" un doigt vint effleurer ma vulve
puis un second. Inexorablement, je me sentais mouiller de plus en plus. Je crus que mon cur allait s'arrêter quand un doigt vint s'immiscer entre mes grandes lèvres et s'engager plus avant. Tétanisée par la situation, je me mordis les lèvres. Sans obstacle, le jeune homme allait pouvoir constater mon état. Cela ne manqua pas et le doigt s'infiltra. Je fus quand même étonnée, vu le savoir vivre qu'ils avaient manifesté jusqu'ici de l'entendre déclarer :
"Maître, votre épouse est extrêmement mouillée !"
Mon étonnement alla croissant quand Jean-Charles répliqua :
"Cela ne m'étonne pas ! Ma femme est une grande jouisseuse !"
Je dus rougir jusqu'à la racine des cheveux. Il arrivait au plus fort de son plaisir que Jean-Charles m'invective de la sorte, mais jamais au grand jamais cela n'avait été en public. J'avais peine à le reconnaître. Du coup le doigt s'enfila intégralement et parallèlement, l'autre qui était resté sage, se mit à me caresser les fesses. Je me mordis plus fort les lèvres, cette fois pour ne pas lâcher un gémissement. D'un coup et sûrement sur un signe de mon mari les attouchements cessèrent. Je pus reprendre le service. Je fis vite pour le troisième espérant échapper à des effleurements polissons. Peine perdue, lorsque je me plaçais entre lui et Jean-Charles, je le vis silencieusement solliciter comme une permission qui lui fut accordée.
"Mais je vous en prie
." Autorisa mon conjoint.
Cette fois ci une main se posa à l'arrière de ma cuisse et remonta vers ma fesse gauche. Presque instinctivement je desserrais une peu les jambes lui permettant l'accès à mon ventre. Ce fut un pouce qui me pénétra le vagin et non plus un doigt. Le doigt, lui, avait choisi une autre cible, à ce moment là plus fermée. Le doigt entama un savant mouvement de rotation jusqu'à ce qu'une phalange pénètre mon anus.
"Penchez vous avant et prenez appui sur la table !" m'enjoignit Jean-Charles.
Ayant obéis je sentis une seconde phalange s'enfoncer. Je fis un "ooooh !" faussement outré de femme du monde se faisant peloter. A cette minute, la main de mari se posa sur mes reins et remonta le long de mon dos. Avec une habileté consommée, et d'une main Jean-Charles fit sauter l'attache de mon soutien gorge dont les bretelles glissèrent sur mes épaules et le long de mes bras. Mes seins gonflés étaient offerts à la vue de ceux d'en face. L'un d'eu remarqua : "Madame a de très beau seins !"
Encore une fois Jean-Charles força la note. Les soupesant somme s'il voulait faire l'article il précisa :
"Elle les a très sensibles
elle adore que l'on lui pétrisse !"
Le sourire intéressé des deux autres
inutile de donner des précisions
. Comme tout à l'heure tout cessa d'un coup. Je pus m'asseoir et manger ma salade. Ce fut ensuite l'épreuve du fromage et celle du dessert. Les yeux enfiévrés me suivaient et les mains avides me tripotèrent derechef. Suivant les conseils de mon époux mes seins furent manipulé et même sucés pendant que des doigts me fouillaient le sexe ou pénétraient mon anus. J'allais reprendre ma place brûlante comme la braise quand mon mari m'arrêta :
"Que faites vous ma Chère ! Vous ne méritez pas de dessert vu votre conduite ! Vous allez vous régaler d'autre chose. Passez sous la table et occupez vous de ces messieurs. Vous les finirez tout à l'heure au café".
Hébétée, mais soumise, je me mis à genoux et relevais la nappe en essayant de ne croiser le regard de personne. A quatre pattes, je passais sous la table et m'approchais du premier étudiant. Je commençais à lui ouvrir sa braguette. Il écarta bien les jambes pour que je m'approche et achève de le libérer. Il ne portait pas de slip ni de caleçon. Je ne pus m'empêcher de trouver ce la bizarre. Pour la première fois de ma vie j'allais prendre en bouche un autre sexe que celui de mon mari. Je le pris entre mes doigts, il fut vite en érection et c'est la que je m'aperçus soudainement de sa taille. Il n'avait pas été oublié lors de la distribution des attributs et avait un fort beau sexe. Je le décalottais et y déposait de léger baiser comme pour en éprouver le velours. Puis tout en me cognant un peu le dessus du crâne (tu sais, j'ai fait beaucoup de progrès depuis) je parvint à le prendre entre mes lèvres. Me rappelant des consignes de Jean-Charles (et crois moi, je n'avais pas envie de désobéir, tu sais pourquoi !) je me mis à le sucer légèrement. Il me fallait l'exciter en évitant le point de non retour. Avec mon mari il m'arrivait de repousser l'instant de son éjaculation le plus possible, mais là je ne savais pas à quel point je pouvais faire confiance à son endurance. De toute façon, j'entendis des voix me dire de passer au suivant. A regret, je dois dire je l'abandonnais
sa queue était belle. Doublement surprise
je fus doublement surprise. Tout d'abord lui non plus ne portait pas de sous vêtement et ensuite son membre était encore plu beau. Quand je te dis plus beau
c'est faux, c'est plus long et plus gros que je devrais dire. Je me jetais dessus. Après quelques instants de fellation, je dus m'occuper du troisième. Moins membré que le deuxième, il n'en arborais pas moins une queue du calibre du premier et constante de la soirée, pas de sous-vêtement. Était-ce coutume à l'école de notariat de venir déjeuner sans sous-vêtement, je me promis de me renseigner. Après ce dernier étudiant je voulus passer à Jean-Charles qui me repoussa et disant :
"Non, non ma chère nous verrons cela tout à l'heure. Dévouez-vous à vos invités !"
Je refis trois ou quatre fois "le tour"
puis mon mari m'interpella pour que je serve le café. Je redoutais ce moment, tu peux me croire, où il allait falloir que je les suce devant les autres et cette fois à fonds. Je redoutais mais même temps cela me chauffais bien le minou. Le plus "naturellement" du monde, malgré leur semi nudité les trois invités prirent place au salon, un dans une fauteuil et les deux autres sur un sofa. Jean-Charles prit un fauteuil qui faisait face à l'assistance. Une fois le café servit, je jetais un il à mon époux, un peu comme lui demander la conduite à tenir. Du menton il me désigna celui du fauteuil. Les yeux rivés au sol, je me dirigeais vers lui. Il écarta les jambes. Je m'agenouillais en leur milieu et prit timidement le sexe en mains. M'approchant avec réserve, je déposais un léger baiser sur le gland luisant.
"Ne faites pas de manière ! Montrez leur comme vous savez être gourmande !"
Cet ordre venait de Jean-Charles, j'embouchais le membre et je me mis à le sucer en m'appliquant. Quelque soit la tâche, j'aime bien "bien faire", alors là tu penses
. Il ne put se retenir bien longtemps. En fin de compte il y avait un certain temps que j'exerçais mes activités buccales. Il gémit un :
"C'est boooonnnn
avaaaale !"
Je savais que c'était ce que mon mari désirais
j'ingurgitais et déglutit
. Il m'en restait deux
. Je repris l'ordre de dessous la table et passais au plus gros. Il m'emplissait bien la bouche, elle était grosse, elle me mettait en chaleur. Il couina lorsqu'il m'emplit la bouche de sa sauce. Le dernier
et se serait la fin de l'épreuve avilissante mais terriblement grisante. Mes lèvres, mes joues ma langues prièrent possession de cette bite avec flamme. De temps à autre le garçon m'appuyait sur la tête pour que son dard aille jusqu'à ma gorge un peu comme le faisait Jean-Charles. Celui-là me la faisait aller moins loin
. Quand il eut dégorgé son liquide séminal, il complimenta
mon époux :
"Votre épouse ne se défend pas mal du tout !"
J'entendis avec panique, Jean-Charles dire qu'il espérait me voir encore faire des progrès. Je me relevais et soudain je me sentis gauche dans mon propre salon. Nue et idiote au milieu des quatre hommes. Cette sensation ne dura pas. Jean-Charles y mit fin :
"Messieurs
allez-y !... prenez là !... tous les trois en même temps comme convenu ! Traitez comme une salope
!"
Qu
que
qu'avait-il dit
. Pren
prenez là !.... Co
comme
comme une salope
. Tr
trois
trois en même temps
cela voulais dire
.
Je n'eus même pas le temps de penser davantage. Je fus attrapée vite fait, bien fait et là, je remarquais seulement que les type étaient encore en érection. L'un d'eux s'allongea sur la moquette, le mieux membré. Je fus poussée vers lui, sur lui. Obligée de m'agenouiller au dessus de lui. Les autres me maintenaient pendant que le dernier m'ouvrait le sexe et y engageait le sien. Mon intimité était trempée et
et ooooohh !... que ce fut bon d'être prise par une grosse verge
non une grosse queue
bite
pine
Mon habituelle réserve éclata et moi aussi, je me laissais aller, dans tout les sens du terme. Sur lui et à gémir comme une femelle couverte. Je n'eus pas longtemps le loisir d'apprécier l'instant. Je fus poussée en avant et des mains séparèrent mes hémisphères. J'avais vu dans les films ramenés par Jean-Charles du son sex-shop préféré ce genre de pratique. En cachette j'avais essayé avec deux doigts. Mais là rien à voir
deux chibres allaient me remplir. N'ayant aucune pratique, je restais immobile attendant
. Attendant que l'homme ait finit de dompter mon muscle anal. Le fait que Jean-Charles me sodomise souvent fit que la chose fut rapide et l'entrée triomphale
sans coup férir, ni trop de dommages. Mais là
mais là
comme nous toutes, ma chérie, je ressentis cette folle impression d'avoir le bassin plein, rempli, bourré à bloc. J'en restais muette de saisissement, puis muette tout court. Le troisième me faisant relever la tête m'avait mis sa queue dans la bouche. Je pensais à Jean-Charles, spectateur, voyeur, mateur de ma déchéance. Cela me fit mouiller encore plus et je donnais un coup de rein involontaire que mes amants prirent pour de l'impatience. Avec beaucoup de savoir faire, me sembla-t-il, ils se mirent en mouvements
complémentaires
lentement
d'abord. Quand je me mis à pousser des gémissements étouffés, leur rythme s'accéléra. Me sachant vaincue, leurs mains se firent plus fermes sur mes hanches, mes seins gonflés et dans mes cheveux défaits. J'entendis dire que "j'aimais ça !", que "mon mari avait raison", que j'étais "vraiment une salope !", que mon mari ne s'inquiète pas "ils allaient me défoncer la chatte et me casser le cul". Ou était passé le vernis notarial
. Dans une sorte délire irréel, je m'offris aux deux bites qui si frottaient l'une contre l'autre à travers ma fine parfois, je m'offris à celui qui me baisait la bouche. Complètement offerte, je subissais les véritables assauts des trois hommes qui ne se retenaient plus du tout. J'étais saillie à grand coup de rein, plus les phallus me fouillaient les trous, plus des houles de jouissance me parcouraient en même temps que leurs mains. Je jouis une fois
deux fois
cela ne les arrêta pas. Ils continuèrent à m'agresser fougueusement et la vague arriva
une triple vague de foutre
une triple vague de jouissance qui emplit mon corps désarticulé qui savoura lui aussi encore une fois le bonheur.
Tranquillement, les hommes me quittèrent, m'aidèrent à me relever et à m'asseoir dans un fauteuil ou je m'écroulais. Calmement, ils se revêtirent et se préparèrent à prendre congé. Avec chaleur, je les entendis remercier Jean-Charles. Ils virent prendre congé, baise main puis baiser léger sur les lèvres. Mon époux le raccompagna et revint au salon. Il se dirigea vers moi en ouvrant son pantalon. Sa queue surgit. Avec fébrilité, il l'agita devant moi terriblement échauffé, m'expédia un flot de semence sur le visage. C'est là qu'il m'informa, répondant ainsi à mon interrogation, que nos "invités" du jour n'étaient nullement étudiants en notariat. Il avait recruté pour l'occasion, des jeunes hommes participant occasionnellement à des partouzes en qualité d'étalon. Il y en avait même un qui tournait dans des films porno. Il avait tout manigancé, même me faire tacher et ses complices avaient parfaitement tenu leur rôle
on ne plus parfaitement.
"Vous avez été parfaite ma chérie !" me complimenta-t-il avant d'ajouter :
"Vous avez aimé cette petite trahison ?"
Je ne pus réponde qu'affirmativement. Il l'avait bien vu ! Il me demanda ensuite si je voudrais recommencer des telles expériences. Je lui répondis que je ferais tout pour lui faire plaisir, même de telles cochonneries
. Celles là j'allais, peut être, les cacher à mon confesseur. Il fut aux anges et conclut :
"Marie-Hélène, vous allez devenir la plus grande salope de la ville !"
Qu'est ce qui me prit de répondre :
"Si c'est ce que vous voulez
Chiche !"
Dès cet instant tout changea
. Nous étions déjà porté sur la chose
nous devîmes obsédés
. Je le savait subtil et inventif
il fut fécond en luxure et débauche.
Il fréquentait assez souvent un sex-shop d'un quartier un peu chaud et en revenait toujours munis d'objets particuliers ou de vidéo très explicites. Il revint un jour avec un paquet assez petit sans m'en montrer le contenu. Le samedi à mon grand étonnement, il déclara :
"Demain, je vous accompagne à la grand-messe"
Il se dispensait généralement de cette formalité au grand dam du prêtre qui espérait le voir regagner l'assemblée de ses fidèles. Il me prévint avant de partir à l'office "ni slip, ni soutien gorge". Je tentais de négocier, rien à faire
. Sous un chemisier, plus un tailleur tout passerait inaperçus. Je finissais de me préparer quand il revint avec sa boite. Il l'ouvrit et me dit :
"Votre chapelet Marie-Hélène !"
Il tenait à la main trois boules, genre boules de geisha, qui devaient bien faire dans les quatre centimètres de diamètres.
"Vous ne voulez quand même pas que je mette cela pour aller à la messe ?"
"Mais si, mais si
et encore
du petit côté !"
Comme j'hésitais il me pressa :
"Dépêchez vous !... vous allez être en retard !"
Mortifiée, je mis les boules une à une dans ma bouche, puis les introduisit dans mon rectum. Non content il extirpa ensuite une sorte d'uf d'une taille semblable à celle d'un avocat. Il me le tendit en précisant, mais j'avais deviné que c'était "pour le devant". Je l'enduisis de salive avant de me le mettre dans le vagin. Si je voyais bien "l'utilité" des boules, mis à part l'encombrement, je ne voyais pas l'intérêt de l'autre truc.
Monsieur et Madame d'H, après avoir garé leur véhicule gravirent les marches du parvis de l'église pour le grand messe dominicale, lui, costume cravate et moi tailleur BCBG. Bien sûr les billes situées dans les boules, roulant et choquant les parois me provoquaient des sensations anales on ne plus grisantes. Le prêtre en haut des marches accueillait ses ouailles. Visiblement il fut enchanté de la présence de Jean-Charles qu'il pensait pourvoir désormais compter au nombre de ses fidèles. Tout content il me salua. J'eus du mal à cacher une expression de désarrois. A l'intérieur de mon intimité il me sembla que je venais de ressentir une vibration. J'avais du rêver. Nous entrâmes à l'intérieur de l'église. Cette fois plus de doute, la sensation avait recommencée plus longue. Nous nous levâmes pour l'entrée du célébrant et cela recommença encore plus longtemps. Cette fois la vibration s'était transmise aux deux boules
. Je me penchais à l'oreille de Jean-Charles :
"Vous n'avez quand même pas osé
."
"Chuuuuuut !.... priez
.."
La vibration s'arrêta, puis reprit pendant une bonne partie du sermon. J'essayais de ne pas trop me tortiller sur ma chaise
mais j'étais au supplice. L'envie me tenaillait
. Il arrêta un moment jugeant de mon état afin que je me calme. La pulsation blasphématoire reprit de plus belle à l'offertoire
et s'arrêta. Jean-Charles jouait avec mes nerfs et
mon corps. J'allais communier. L'engin devait avoir une portée limitée. Je ne le sentis que faiblement en revenant à ma place. Malheureusement, plus je la regagnais plus je sentais ses effets. J'avais les seins durs comme de la pierre, je marchais en serrant les cuisses, les fesses... et puis cette honte qui me torturait. Qui me torturait, certes, mais qui m'enflammait à un point indicible. Obligée de maintenir une apparence de respectabilité, je ne songeais qu'à me vautrer dans le stupre et les excès. Enfin la messe fut dite. Jean-Charles remis le diabolique objet en route pour la sortie de l'église. Ce fut un calvaire atroce que d'échanger les habituelles mondanités sur le parvis sans laisser rien paraître. Le prêtre me trouva même un peu pâle. Pâle, je fus sans aucun doute quand je m'agrippais au bras de Jean-Charles, que mes jambes semblèrent se dérober sous moi et que je lâchais un râle enroué. Je venais de jouir à la porte de l'église, un dimanche
au sortir de la grand messe
. Jean-Charles me soutint et rassura les personnes qui nous entouraient :
"Ce n'est rien, un malaise passager
. Une petite chute de sucre dans le sang
."
Petite chute de sucre dans le sang
monstre va ! Arrivés à la voiture je pus enfin me laisser aller :
"Je n'en peux plus
Je n'en peux plus
Je n'en peux plus
! Vite, conduis plus vite
. Je veux que tu me baises
que tu m'encules
. Vite
viiiiite
. "
Je relevais même, sans pudeur ma jupe, pour me caresser le clitoris. Je jouis deux fois pendant le trajet
surtout qu'il avait remit le vibrateur en marche.
Dans le vestibule, il me courba sur un guéridon, me troussa comme une gourgandine et tira sur le cordon qui dépassait de mon anus. Je sentis mon muscle se dilater lentement, s'ouvrir, expulser lentement la première boule, puis se refermer. Il recommença la traction et de la même manière extirpa la deuxième boule. Je gémis
j'aurais voulu qu'il y en eut une douzaine pour sentir cette sensation d'ouverture et de fermeture de cet endroit douillet. La troisième me libéra le boyau. Je le trouvais bien vide. Pas pour longtemps, puisque que je senti quelque chose de chaud et dur s'y abuter. Le même de mon époux s'engagea hardiment entre mes reins. Je l'exhortais :
"Oh oui
vas-y.! Vas-y salaud
porc ! Encules-moi
oh oui
vas-y
à fond !
"Tu aimes ça putain !"
"Oh oui j'aime ça ! Oh oui je suis une putain ! Oh oui que c'est bon
. Bourres-moi ! Donnes
donnes
."
Je jouis une première fois et tout de suite une seconde. Il avait remis l'uf en marche
. Lui aussi jouit. Je ne l'avais jamais senti aussi gros en moi, sans doute l'effet des vibrations de l'autre conté de la membrane. Il n'arrêtait pas de se vider par saccades. Nous eûmes les jambes coupées à l'issue de cette copulation frénétique. Il conclut :
"Vous aimez cela ! Vous aimez cela n'est ce pas Marie-Hélène
vous aimez la bite !"
"Oui mon chéri, j'aime cela
j'aime la bite !"
"C'est bien ce que je pensais ! Vous n'avez pas finit d'en voir
ni d'en prendre !"
"Comme vous voudrez Jean-Charles
."
Je venais de sceller mon destin et mon époux me savait mûre et disponible.
C'est quelques jours plus tard qu'il y eut un début à ce que j'appellerais nos débordements extérieurs. Un soir en rentrant de son étude, il me demanda :
"Vous savez que, de temps à autres, je vais faire quelques achats dans un sex-shop, que diriez vous de m'y accompagner ?
"Etes vous véritablement que ce soit un endroit convenable ?"
"Assurément non ! Pour une femme ordinaire, l'endroit serait moyennement honnête, mais pour vous il risque de l'être encore moins !"
"Oh vous !... vous mijotez quelque chose !"
"Fine mouche !... vous avez raison ! Que diriez-vous d'une petite exhibition dans un sex-shop ? Entendez-moi bien, je veux dire que c'est VOUS qui allez vous exhiber !"
Mons premier réflexe fut de refuser. Pourtant une petite voix intérieure me dit de rien en faire. Je demandais tout de même :
"Mais mon ami
vous êtes certain de vouloir cela, moi me
. Je n'ai pas la moindre idée du déroulement de cette sorte de chose, et
"
"Ne vous en faites pas ! Je serais là, tout ce passera bien ! J'ai pris rendez-vous avec le patron, il n'y aura aucun problème. Vous n'aurez qu'à vous laisser guider !"
"Je veux bien vous croire, mais je ne suis pas sûre de goûter ce genre de choses et d'endroit ! Au fait, vous avez prévu cela pour quand ?"
"Mais
pour ce soir ! Vous verrez, vous me demanderez d'y retourner !"
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