Un Mignon Autostoppeur, Plein De Délicatesse Et De Reconnaissance.

Pour parfaire mon savoir, je me dirigeais en voiture dans le sud de la France pour quelques stages de perfection. J'avais trente ans, et ma voiture roulait bon train, quand j'aperçus un garçon qui faisait du stop. La vingtaine, cheveux longs, les traits fins, le jean' large portant des skates aux lacets defaits. Il ne se fit pas prier et sauta aussitôt dans ma voiture dès que je fus arrêté. Il me confia qu'il y avait longtemps qu'il attendait sur le bord de la route et désespérait de trouver un véhicule qui l'emmènerait en Espagne pour rejoindre sa copine.
Nous roulâmes un bon moment, puis je lui confiais que j'avais une envie pressante et qu'il fallait que l'on s'arrête. Je sortis, fis le tour de la voiture et je sortis ma queue pour m'allèger de cette envie. Mon acompagnateur était resté dans la voiture et attendait gentiment. Je remontais et nous rerprîmes notre route tranquillement.
Quelques minutes plus tard, il me dit : faites attention, votre braguette est restée ouverte. Gêné, j'essayais d'une main de remonter mon zip tout en gardant l'autre sur le volant. Il n'y avait pas beaucoup de monde sur la route mais je fis quelques zig zag sur la chaussée mais impossible de remonter cette foutue fermeture.
"Laissez faire" me dit-l, "continuez à garder votre route, je m'occupe de tout".
Il se pencha, et au lieu de soulever mon zip, il fouilla dans mon pantalon et retira mon sexe au repos. Position qu'il ne garda pas longtemps, car une fois à sa portée il prit dans sa bouche et me suça avec délice. J'avais ralentis ma vitesse, et je crus que j'allais avoir un accident. Que cette fellation était bonne et chaude ! Je vis un petit chemin sur ma doite et j'entrepris de m'y arrêter. Ce que je fis. Je baissais mon siège pour profiter de cette aubaine et laissais mon accompagnateur agir à sa guise.
Pendant qu'il opérait avec sa bouche il avait glisser sa main dans son pantalon et se branlait en même temps. N'y tenant plus je lachais tout mon jus dans sa bouche et avec quelques râles de plaisir il avala toute ma semence.

Avec sa bouche il me rinça ma tige et la remit dans mon slip.
Encore très excité, je le repoussais sur son siège, je baissais le dossier pour le mettre à l'aise, puis je lui dégraffais sa ceinture et il se souleva pour que je fasse glisser le pantalon et le slip à la fois. Sa tige courte mais épaise était droite face à moi, bien décalottée. Je me jetais dessus avidement et avala ce pieu magnifique.
Tout en le branlant, je suçais, caressais, titillais, l'abandonnant pour mieux le reprendre et enfin avec un cri de bête en rut il lâcha sa crème délicieuse. Moi aussi je n'en perdis pas une goutte, et je pinçais mes lèvres pour obtenir l'ultime goutte.
Après cette mise en formen nous continuâmes notre périple. Je le déposais là où il me demanda et il continua sa route pour retrouver sa copine. Je me demande encore aujourd'hui, s'il en a parlé à sa copine ???