Dépucelage Champêtre, Découverte Du Sexe Entre Hommes
Marié depuis 10 ans, jai 36 ans et ai toujours eu une vie sexuelle hétéro. Pourtant, depuis plusieurs mois, je fantasme sur une relation avec un homme. Aussi ai-je pris lhabitude de me rendre à VTT dans la zone de létang du Cora en forêt de Saint-Germain près de Paris, très fréquentée par des hommes en quête de plaisirs furtifs. A plusieurs reprises, jai failli sauter le pas mais, à chaque fois, je me dégonflais, sauf une fois où, tombant sur un homme qui se branlait au milieu dun petit sentier et qui ma proposé de le sucer, jai accepté de le « finir » à la main (car il navait pas de préservatif). Ces quelques secondes de branlette mavait énormément excité mais la rapidité de la conclusion mavait laissé sur ma faim
jusquà ce mémorable dimanche 16 mars dernier. Malgré le temps humide et froid, jopte pour un parcours dans la zone habituelle. Malheureusement, il ny a pratiquement personne. Tant pis, jen serai quitte pour une bonne matinée de vélo ! Je pédale depuis 2 heures lorsquune crevaison moblige à mettre pied à terre. Je me trouve alors sur une petite route qui remonte depuis létang du Cora vers un parking situé à lorée de la forêt. Nayant jamais été très doué pour les réparations, je prends mon courage à deux mains pour changer la chambre à air. Je mactive depuis 5 minutes lorsquune voix derrière moi minterrompt : « besoin dun coup de main ? ». Je me retourne et voit un homme bedonnant dune bonne cinquantaine dannée en jogging sapprocher de moi. « Cest pas de refus, je nai jamais été doué pour ça ». « On ne peut pas être doué pour tout » me répond-il en souriant. Il saccroupit alors à mes côtés et prend les affaires en main. Avec une dextérité déconcertante, il retire la chambre à air, localise le trou, vérifie le pneu et installe la nouvelle chambre à air. Il se relève alors et me dit : « il ne te reste plus quà gonfler », ce à quoi je mattèle, ravi de la rapidité de lintervention. Quand jen ai terminé, je me retourne vers lhomme et lui dit : « Cest très sympa de votre part, je ne sais pas comment vous remercier ».
Il me répond alors (je lentends encore) : « ça ne te dirait pas quon passe un bon moment tous les deux ? » Pendant quil prononce ces mots, je maperçois quil se masse explicitement lentrecuisse, ce qui ne laisse aucun doute quant à la nature de sa proposition. Mon cur saccélère brutalement et je ne sais que répondre. Avec un regard lubrique, il insiste : « regarde comment tu mexcites ! Jtai rendu service, à ton tour maintenant. Allez viens, tu vas voir, ça va être bon ». Son ton légèrement directif me trouble et mon regard ne peut se détacher de la forme de son sexe que je distingue très bien dans son pantalon de jogging. Brusquement, je commence à bander. Je me dis : « nous y voila ! Tu fantasmes depuis des mois, franchis le pas ! » De plus, le fait quil sagisse dun homme mur est un plus pour moi. Dune voix qui me semble étrangère, je lui dis : « OK mais cest la première fois. Si ça ne me plait pas, jarrête » (après coup, cette remarque me paraît complètement nulle). Lair ravi, il me répond : « pas de problème, je ne te ferai rien que tu ne veux pas mais je suis sûr que tu vas aimer ! Prend par là, on va strouver un coin plus tranquille » me dit-il en me montrant un petit sentier qui senfonce dans la forêt. Je me relève, prend mon vélo et les jambes tremblantes, partagé entre la crainte de linconnu et lexcitation provoquée par cette transgression, je suis ses conseils. Au bout dune centaine de mètres, il me dit : « Prends à gauche, il y a une petite clairière. Là, on sra peinards ! ». Je prends le petit chemin. Linconnu, resté derrière moi, se met alors à me caresser les fesses par-dessus mon cuissard. Je me retourne et maperçoit que son autre main, entièrement entrée dans son pantalon, sagite de plus belle. Cette vision me trouble. En quelques secondes à peine, je bande comme un âne, bien à létroit dans mon cuissard qui nest pas prévu pour ça. Très vite, nous arrivons à une petite clairière. Lhomme me dit : « arrête-toi, on ny est ». Lorsque je me retourne, il me dit : « tu sais, jai plus lhabitude des femmes mais jaime bien baiser avec un beau jeune homme de temps en temps ! » Sans que jai à répondre, il me prend la main pour la poser sur la bosse qui déforme son pantalon et me dit : « jaime bien diriger, ça te dérange pas ? » « Au contraire », lui répondis-je.
« Tinquiète pas, on va faire ça en douceur. Commence par me caresser la bite ! », réplique-til. Timidement, je commence à masser sa protubérance tandis quil continue à me malaxer les fesses tout en continuant à parler. « Tu sens comme je bande pour toi ? Ca fait une heure que jtourne dans le coin, jétais à deux doigts de me branler. Taimes que jte caresse ton ptit cul, hein, taimes ça ! » Attelé à ma tâche, je ne réponds rien et continue à caresser cette queue quil me tarde de découvrir. Justement, lhomme mappuie fermement sur lépaule pour me faire agenouiller, la tête face à sa bosse. « Sors ma quéquette ! » me commande til. Lentement, je baisse son pantalon, sous lequel il ne porte pas de slip. Son pubis parsemé de poils gris mapparaît. Je poursuis mon geste jusquà ce que sa tige me saute au visage. Quelle merveille ! Sa queue, plutôt fine et de taille moyenne, se tient très droite. Son gland rose pâle est bien décalotté et laisse séchapper un filet de liquide séminal. Une légère odeur de mâle en rut achève de faire tomber mes dernières inhibitions. Je descends son pantalon jusquaux genoux et empoigne cette queue que je branle sans retenue. Lhomme est ravi. « Jai une belle quéquette, hein (cest la première fois que je réentends cette expression depuis lécole primaire) ? Elle te plait ? Goutte-la, prend-la dans ta bouche ». Comme aimantée par cette queue palpitante dressée devant moi, ma bouche sapproche. Je commence par lembrasser à la base, puis ma bouche remonte lentement le long de cette colonne de chair jusquà ce quelle atteigne le gland que je suçote avec gourmandise. La peau est douce et tendre. Son goût menchante et marrache un soupir de plaisir. Lhomme me saisit la nuque et enfonce toute sa longueur en moi, puis à coups de reins, impose son rythme en se branlant littéralement dans ma bouche. A deux reprises, il me dit : « je sens tes dents, fais gaffe ». Au bout dun cours moment, les gémissements que jarrache à mon sucé mindiquent que je maitrise enfin la technique.
Lhomme senfonce de plus en plus loin dans ma bouche soumise jusquà ce que mon nez bute contre son pubis. Ce traitement brutal me provoque quelques haut-le-cur mais je me laisse faire. Au bout de quelques minutes de ce traitement, les râles se rapprochent, me signifiant que lhomme est au bord de la jouissance mais non ! Se retirant soudainement de ma bouche, il me dit : « cest trop bon, on va faire durer le plaisir ! ». Tout en se branlant, lhomme présente ses couilles à ma bouche « Lèche-moi les burnes, jadore ça ! » Je mexécute et commence à lécher ses couilles bien pleines avec application. « Jai 10 jours de jus à vidanger, tu vas voir ça va dégorger, vas-y lèche les bien, fais les reluire ! » Ses commentaires accentuent mon excitation qui est maintenant à son apogée. Par peur de jouir, ma main qui sactive sur ma bite depuis un moment cesse son mouvement délicieux. « Lèche-moi aussi derrière les couilles, fourre-moi ta langue partout, cest trop bon ! » A un moment, lhomme savance jusquà ce que ma langue atteigne sa raie. Je me retire brusquement, pas décidé à lui prodiguer cette caresse. Malgré une insistance de sa part : « lèche-moi le cul, allez, cest cque jpréfère ! » Voyant que je refuse catégoriquement, il abandonne sa proposition (et oui, il sagit dune histoire vraie et je ne veux omettre aucun détail !). Il me dit alors : « bon, il est temps de passer aux choses sérieuses, fous-toi à poil ! ». Ce que je fais, non sans mal, portant un cuissard court sur un cuissard long. Le froid me saisit, faisant quelque peu retomber mon érection. Délaissant délibérant ma queue, il me demande de me retourner alors quil se branle vigoureusement. « Quel cul, ça muscle le vélo ! » dit-il en se collant à moi. Il se met à faire coulisser sa pine dans ma raie. Mon érection revient aussitôt. Très rapidement, lhomme me souffle : « je veux tenculer ! » Depuis le début, jespérais entendre cette phrase. Dans un râle, je lui réponds : « oui, prends-moi ! » Ravi de ma réponse, il me fait répéter : « Prends-moi, encule-moi, fourre-moi ta bite dans le cul ! » Avec le recul, je suis un peu honteux quand je repense à ces propos mais ce sont les miens.
Lhomme sécarte puis pose un doigt sur ma rondelle. Il réussit à lentrer sans trop de difficulté pour effec des vas et viens réguliers. Il le retire puis je lentends cracher et joindre un second doigt au premier. Très patient et à grand renfort de salive, il prépare mon cul offert à recevoir sa queue que je sens palpiter contre ma hanche. « Tes encore plus étroit que ma femme » me dit-il. Cette phrase achève de me transformer en vraie femelle soumise. Je lui tends mon cul de plus belle. Avant que je lui demande, je lentends déchirer un emballage et, me retournant, le vois enfiler un préservatif. Il me fait mettre à quatre pattes et promène doucement son gland contre ma rondelle. « Détends-toi, je vais y aller doucement !» Sous la pression de sa queue, je sens alors mon sphincter sélargir pour laisser entrer la bête. Bien que la taille sa bite soit de taille normale, je ressens une vive douleur. Malgré mon excitation, ma bonne volonté, ma préparation anale et la vigueur de mon assaillant, il ne parvient à pénétrer quune partie de son sexe. La douleur est trop forte. Au moment où je pense en rester là, lhomme se retire puis se couche sur le dos, le mât à lhorizontal et me dit : « tu vas le faire comme tu le sens, viens tasseoir sur moi ! ». Cette fois-ci, cela se passe beaucoup mieux. Lui tournant le dos et prenant appui sur ses cuisses, je positionne mon anus sur sa pine et lentement mais régulièrement laisse lintrus pénétrer mes entrailles jusquà ce que mes fesses touchent le ventre rebondi de mon enculeur. « Bouge, branle-moi la queue avec ton cul ! » me dit-il dune voix hachée. Je me soulève pour me laisser retomber sur sa bite adorée. De ses mains, il écarte mes deux globes afin de bien voir sa queue me pénétrer. Quel bonheur ! En revivant ces moments, je bande comme un âne. Après quelques minutes, lhomme me demande darrêter. Il me retourne sur le dos et me demande de relever mes jambes en les tenant derrière les genoux puis il sagenouille face à moi. Il empoigne sa bite et la positionne à lentrée de mon orifice. Dun coup de rein brutal, il mempale de toute sa longueur. Je pousse un cri de douleur vite effacé par une sensation dextase. Le regard fixé sur sa queue, il ressort entièrement pour replonger dans mon trou ouvert. Je moffre à ses assauts sans retenue. La vision de ce visage dhomme chauve sactivant en moi me fait prendre conscience du glauque de la situation qui, loin de calmer ma fougue, décuple mon plaisir. Je suis fourré jusquà la garde par un homme mûr que je ne connaissais pas il y a 30 minutes ! Mais au diable les états dâme ! Carpe diem !
Le rythme est de plus en plus rapide. Chaque pénétration est ponctuée dun ahanement de ma part comme de la sienne. Soudainement, il se retire en murmurant dans un souffle : « Jvais juter, jvais juter
! » Il arrache brutalement le préservatif, se positionne à genoux au dessus de mon visage et se branle frénétiquement. En quelques secondes à peine, dans un cri, lhomme marrose de longs jets de foutre crémeux. Jen ai partout, dans les yeux, sur les joues, dans les cheveux. Une fois la source tarie, il tapote sa bite encore durcie sur mes lèvres y laissant les dernières gouttes de stupre. Lorsquil se relève, sa queue a entièrement dégonflé. Mais, pour ma part, je suis toujours aussi excité. Je réalise alors quil ne ma pas touché la bite, sauf par-dessus mon cuissard au début. Tandis quil se rhabille, je me relève et, sans pudeur, me place devant lui pour me branler. Il ne me faut que quelques secondes pour jouir dans un spasme libérateur. Cest une de mes plus fortes jouissances. Très vite, un sentiment de honte menvahit mais le côté cool de mon baiseur me rassure. Alors que je me nettoie avec le kleenex quil me donne, il me questionne, veut connaître mon prénom, mon âge, si je suis célibataire. De son côté, il me dit sappeler Serge, avoir 50 ans (je pense quil a 7 ou 8 ans de plus) et être marié depuis 32 ans Tandis que nous quittons la clairière, lhomme me donne son numéro de portable en me disant : « si tu veux remettre ça, appelle-moi, jhabite pas loin et je suis retraité donc très disponible ». Il me demande aussi, si je veux poursuivre ma relation avec lui, de lui fournir un certificat de séronégativité car « sans capote, tu verras, ça sera encore meilleur pour nous deux ».Depuis ce jour, je lai appelé une fois, la semaine suivante. Nous nous sommes fixés rendez-vous un midi dans le parking situé à côté du lieu de notre première rencontre. Serge ma invité à monter dans sa voiture et, comme je navais pas encore reçu le résultat de mon test, ma dit quil voulait juste que je le suce. Jai retrouvé avec délice la bite qui ma tant fait jouir pour la sucer à fond jusquà ce que Serge se déverse dans ma bouche. Mais cette deuxième rencontre a été trop rapide à mon goût. Heureusement, jai reçu hier le résultat négatif de mon test. Je vais de nouveau lappeler pour un rendez-vous qui sannonce des plus prometteurs !!!
admin
Jan. 31, 2023
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