Découverte Du Sexe Entre Garçons En Colo

Mes parents m'avaient envoyé en colonie de vacances au bord de la mer. Probablement pour avoir la paix et passer des vacances entre eux (peut être avaient-ils besoin de se retrouver ?)
En arrivant sur le site on me mit avec gérémy, un minet venant de la région parisienne) blond, les yeux bien bleus, déjà doré par le soleil et très musclé et comme moi totalement imberbe. Nous devions partager la même tente qui était plantée sous un pin parasol. Au bout d'une heure, je décidais de sympathiser avec mon coéquipier sachant qu'il fallait composer pendant trois semaines avec lui !
Plus je le regardais plus j'avais l'impression d'avoir à faire à une fille, son regard , ses manières, sa douceur fébrile. Il venait d'un milieu très bourgeois voire noble et même si il la jouait cool, sa bonne éducation transpirait. Son vocabulaire choisi et son habitude d'aller à la messe le dimanche confirmèrent mon opinion.
Après la fameuse veillée autour du feu, nous allâmes nous coucher et nous nous enfilâmes chacun dans notre drap de couchage étendu sur un matelas à eau.
Je matais ce minet à la peau doré et j'entrçu dans le baillement de son slip, une petite queue blanche avec un long prépuce, et j'ai aussitôt était excité. Pourtant, je ne voulais voir que les filles, les garçons me dégoutaient un peu. Les jours passèrent et malgré notre amitié rene, rien ne se passa...
Puis, un matin, en ouvrant les yeux je découvris que mon voisin avait ouvert son drap de couchage (car il devait avoir eu trop chaud) et je pouvais voir son petit appendice sorti par la jambe de son slip. Je matais cette petite verge et finit par l'admirer, puis, n'y tenant plus j'osais, et du bout des doigts je la caressais. Il bougea légèrement sans que la position soit changée. Je continuais à effleurer cette tige adorable qui peu à peu prit du volume. C'était merveilleux ! Je regardais son visage de temps en temps, et remarquais qu'il dormait profondément. Cette queue fine se redressa donc sous ma caresse.

.. mais bien dressée, elle ne se décalottait pas. Et bien droite et dure sur son ventre elle hoquetait toute les secondes. Je finis par me dégager de mon sac de couchage et j'approchais mon visage dégageant mon souffle chaud sur cet (objet) du désir. Ma langue remplaça mes doigts, et toujours aucune réaction de mon camarade. Je me suis dis qu'il devait être réveillé et qu'il faisait semblant de dormir. Je pris son sexe ente deux doigts, très délicatement et sans le décalotter j'ouvris la bouche et avala sa tige (12-13 cm). Quel régale pour une première bite aspirée, dont j'appréciais le goût en la découvrant. Je mis beaucoup de salive pour bien la faire glisser entre mes lèvres me servant de la pointe de ma langue pour titiller le bout de son gland que je pouvais sentir par l'ouverture de son prépuce dilaté.
Je sentis sa main se poser sur mes cheveux, "que c'est bon, continue comme ça"...
Ne craignant plus de me faire rembarrer, je suçais avidement cette tige magnifique et avec mes doigts je tirais un peu sur son prépuce pour le décalotter. Une fois fait ma langue fit le tour plusieurs fois de son gland captant tout le miéla enduisant son petit gland, puis je reprenais mon va et vient dans ma bouche. Je me délectais depuis cinq minutes quand, soudain il se cambra brutalement, comme si il venait de recevoir une décharge électrique, ses jambes se raidirent et dans un sursaut il cracha plusieurs jets de sperme dans ma bouche. Il se crispa plusieurs fois, alors que je continuais mon aspiration et retomba sur sa couche. Je le suçais lentement maintenant et en pinçant mes lèvres pour bien le rincer de tout son jus. Sa petite queue reprit sa taille du début et je finis par l'abandonner, posée sur sa cuisse.
Nous attendîmes une bonne heure comme ça, sans rien dire ! ! ! L'heure du lever s'approchait mais il restait un peu de temps.
Gérémy se tourna vers moi et me dit "je te remercie, c'était trop bon" puis "c'est ma première fois mais j'en rêvais et j'ai trouvé ça délicieux, merci encore"
Nous passâmes la journée à nos activités diverses, jeux, bains, bateau, promenades.
Nous nous étions évités dans la journée, pour ne pas éveiller les soupçons de notre complicité. Mais dès que nous avons retrouvé notre refuge, une fois deshabillés, à poil cette fois, nous avons fait commun de nos deux sacs de couchage et nous nous sommes roulés des pelles. Une fois bien chaud, nous l'étions car toute la journée nous ne pensions qu'à ça, nous nous sommes caressés et gérémy me lècha de la bouche jusqu'au ventre par petite lappe, pour enfin trouver mon sexe tendu, (frustré de ne pas avoir été satisfait le matin). Il ouvrit grand la bouche et goba mon sexe après l'avoir complètement décalotté. Sa bouche chaude glissait avidement sur mon sexe raide qu'il tenait d'une main. Tout en me suçant, il fit une volte et vint placer sa tige en érection sous mon nez. A mon tour j'avalais ce sexe que je connaissais bien et je profitais de sucer et d'être sucé. Que c'était magnifique ! délicieux ! génial !
Je sentais ma sève monter et j'accélèrais mon mouvement pour que nous déchargions en même temps. Ce qui arriva. Je reçus son liquide sur ma langue et j'avalais chaque jet à chaque saccades et il fit de même en faisant des hummm, humm. Nous restâmes un bon moment comme ça, ne voulant pas lacher la queue de l'autre qui se ramolissait. les quelques poils pubiens que nous avions, nous chatouillaient gentiment le menton.
Nous avons remis ça plusieurs fois toutes les nuits et nous sommes allés biensûr plus loin, mais ça sera un autre récit.