Le Routier 2
- Salut à tous, c'est Rocco. Je suis près de Mâcon. J'ai un colis pour l'Espagne. Du blé avec un bouquet de tulipes et d'oeillets. Le numéro 06 ..........
Quelques secondes plus tard, le portable du chauffeur sonne :
- Salut Rocco ! Je suis sur l'aire de ........, Comment il est ?
- Ah, il est beau comme un ange. Il a un cul !!!!!
- OK , je le prends !
- Eh, pas de blague, c'est un chic gosse !
- Pas de danger ! T'inquiète pas !
- Ca veut dire quoi, blé, tulipe, oeillet ? demandai-je au routier.
- Blé, ça veut dire un mec blond, tulipe que tu suces et oeillet que tu donnes ton cul !
- Quoi ? Vous me vendez ?
- Pas du tout ! Si on n'avait pas baisé, j'aurais rien dit. D'ailleurs, t'es pas obligé. On n'a jamais commis de viol. Je veux bien croire que de temps en temps, on insiste, quand le, ou la passagère est jolie. Mais, si ils veulent pas, ils veulent pas. Vu le panard que t'as pris, j'imagine que t'aimes ça. En plus, si tu veux voyager, ça t'avantagera.
A Feyzin, un autre bahut m'a pris. Ils étaient deux.
- Tiens, mets-toi au milieu, dit le second chauffeur.
Le poids lourd redémarra.
- Vous voulez que je me déshabille ? demandai-je.
- Pas tout de suite ! Répondirent-ils en choeur. Laisse nous regarder tes cuisses d'abord.
- Putain, fit le second chauffeur, une couleur de peau comme ça, j'en avais jamais vu.
Il palpait mes cuisses, les soulevait, remontait jusqu'aux fesses.
- Merde, dit-il, d'habitude je me fais sucer, mais si ta bite et ton cul ont le même goût que là, c'est moi qui te ferait les gâteries. René, j'ai jamais vu ça, on dirait du miel !
Il passa une main sous mes fesses et pris mes boules entre ses doigts. Me prenant par les hanches, il me tira vers l'avant. Je me retrouvai le dos sur le siège, les jambes en l'air et les pieds sur le pare-brise. Je vis que celui qui conduisait avait déjà sorti son membre. C'était pas mal, quoique moins volumineux que Rocco. Le second chauffeur avait saisi les côtés de mon slip et le descendait aussi lentement qu'il pouvait. La main du conducteur caressa ma peau.
- T'as l'air d'aimer ça, qu'on te pelote. On dirait un chat ! Qu'est-ce que c'est doux ! Comment tu fais ?
Le slip était maintenant à mi-cuisses et le second passa sa tête dessous. Il passa une langue baveuse sur ma bite, puis ouvrant à peine ses lèvres, il la fit glisser dans sa bouche. Il me suça comme on fait avec un bâton de sucre. Il avait l'air béat. Quand il reçut mon sperme dans gorge, il l'avala avec délectation. Il me retourna sur le ventre et me poussa vers son collègue. Tandis que je l'embouchai, il me lècha les fesses jusqu'au petit trou.
- C'est incroyable, dit-il. C'est sucré partout ! Merde, tu le fais exprès ? C'est quoi ? Tu fais quelque chose de spécial ?
- Honhh, honhh, répondis-je, la bouche remplie du sexe du chauffeur.
La pipe terminée, je revins m'asseoir entre les deux chauffeurs. Mes fesses collaient au cuir du siège.
- Tout à l'heure, à la pause, on te prendra à deux. T'es d'accord ?
- Pas de problème !
Le deuxième chauffeur se mit à genoux sur la couchette.
Il me prit comme un chien. Son sexe entrait et sortait de mon cul à toute vitesse. Enfin, il éjacula sur mon dos.
- Est-ce que tu viendrais jusqu'aux douches, comme ça ? demanda le chauffeur.
- Pourquoi ? Ca vous exciterait ?
- Ouais, pas mal ! En plus, je t'enculerais sous la douche !
- Et si il y a quelqu'un ?
- Pour moi, c'est encore mieux !
- Moi, j'aime qu'on me regarde, qu'on me caresse, alors..........
- OK, ben on y va ?
- On y va !
La porte du camion s'ouvrit et, complètement nu, je me dirigeai vers les toilettes. Je laissai la porte ouverte et je tournai le robinet. L'eau glissait sur ma peau devant les yeux des passants. Le chauffeur me rejoignit plusieurs minutes plus tard afin de bien m'offrir aux regards. Il me pencha contre le mur de la douche et s'enfonça en moi. Bien à la vue de tous.
- On va jusqu'à Marseille ! Tu continues avec nous ou tu en veux un autre ? Il y a déjà preneur ! On sera pas vexés, si tu changes ! Et puis, tu te feras d'autres copains.
- C'est OK !
- C'est bien ! Franchement, c'est rare de tomber sur un beau gosse comme toi. Alors pourquoi, dans la mesure où ça te gênes pas, ne pas partager.
Un grand type brun, armé d'un plaid à carreaux rouge, le posa sur mes épaules, m'en enveloppa et me porta jusque dans la couchette de son véhicule.
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