Une Belle Mère Avide De Sexe

J’étais tranquille à la maison devant un match de l’équipe de France, quand le téléphone s’est mis à sonner. Caroline décrocha, c’était sa mère : apparemment elle avait cassé sa clé dans la porte de sa maison et elle se retrouvait dehors… Caroline me demanda si je pouvais aller voir sa mère pour lui donner un coup de main. En ronchonnant un petit peu, je pris quelques outils et pris le chemin de chez ma belle mère. Arrivé sur place, ma belle mère Gabrielle m’attendait devant la porte.
Elle m’accueilli avec un sourire qui m’a assez vite fait oublier les passes des bleus. Gabrielle était une belle femme divorcée de 52 ans. Typée méditerranéenne, elle était petite et menue mais ses formes étaient parfaites de quoi faire pâlir n’importe quelles minettes. Elle portait un petit chemisier blanc qui lui serrait la poitrine, un jean slim sombre qui terminait ses longues jambes sur des talons vernis à bouts pointus. Je l’embrassai et en profitai pour sentir son doux parfum.
Après quelques observations, je me suis affairé, à sortir la clé cassée et d’utiliser ma perceuse pour venir à bout de la serrure. Après une heure, j’arrive à ouvrir cette maudite porte. Nous entrâmes, et Gabrielle me proposa à boire. Je m’assis donc dans le canapé dans l’attente de quelques gorgées bien méritées. Elle arriva avec 2 canettes de bières. Elle s’assit à côté de moi et nous trinquions à ma réussite en apprenti serrurier. Après quelques minutes, alors que je m’apprêtais à partir, je sentis la main manucurée de Gabrielle effleuré ma cuisse à plusieurs reprise. Ce qui je dois dire me faisait fantasmer très rapidement. A mon tour j’effleurai sa cuisse, et à ce moment elle décroisa les jambes en me regardant fixement sans dire un mot. Mon cœur battait la chamade, et je sentais le sang afflué dans mon sexe. Je posai plus franchement ma main sur l’intérieur de sa cuisse, et elle se rapprocha de moi m’embrassant le cou et me léchant l’oreille. Son parfum m’excitait et lorsqu’elle passa sa main sous mon t-shirt j’ai cru explosé.

Tout en nous embrassant, je lui déboutonnai son chemisier et le haut de son jean qui laissait alors apparaître une jolie dentelle noire. Quelques minutes plus tard j’étais moi-même en boxer, et elle parcourrait mon torse avec sa langue et ses longs doigts. Sa main s’attardait dans mon boxer. Elle caressait ma tige qui gonflait dans sa paume, on sentait qu’elle avait l’expérience pour faire bander les hommes et que je n’étais pas le premier à passer entre ses cuisses.
D’une main je lui dégrafai son joli soutien-gorge en dentelle noire assorti au string ficelle qu’elle portait. Cette petite ficelle était quasiment invisible entre ses jolies fesses, et l’échancrure laissait devinait une bel entre jambe doux et soyeux. Le push-up libera une opulente poitrine que je m’empressai de lécher et de mordiller, elle avait les tétons bien rouges et tendus de désir. Elle poussait des soupirs de plus en plus intenses, et ses caresses étaient de plus en plus pressantes. Elle se mordait la lèvre du bas, ce qui m’excitait beaucoup. Assise à califourchon face à moi elle m’offrait ses nichons à sucer. Par l’arrière, je glissai une main dans sa jolie dentelle, et senti une chaleur douce et moite. Je lui enfilai doucement un doigt puis un deuxième pendant qu’elle m’embrassait. Elle tortillait au bout de mes doigts et gémissait de plaisir. J’allais et je venais en elle avec mes doigts. Je sentais ma queue se tendre de plus en plus. J’avais envie de la prendre sauvagement.
Je la couchai sur le dos, lui retirai doucement son string ficelle en le faisant rouler comme un scoubidou le long de ses hanches et de ses longues jambes douces. Je plongeais ensuite ma tête entre ses cuisses pour découvrir une chatte bien entretenue. Comme sa fille, Gabrielle avait une toison brune taillée en losange, et des petites lèvres bien baveuses lorsqu’elle était excitée. Sa chatte était large témoignant d’une sexualité débordante. Bien que divorcée, Gabrielle avait sut rester attirante, et elle aimait le cul. Pendant que je lui bouffais la chatte, Gabrielle se tordait dans tous les sens, avec mes doigts en crochet, je la pénétrais pour lui titiller le point G pendant que je lui léchais le clito. Son petit bouton gonflait et elle gémissait de plus en plus fort, me suppliant de la prendre. Elle se mit à 4 pattes, bien cambrée comme une chienne en chaleur, m’offrant une vue splendide sur des fesses fermes et bien rondes. Elle avait le cul d’une jeunette de 20ans, sa rose tatouée sur son épaule droite ressortait avec son bronzage, et mettait en avant sa croupe. En levrette, je lui enfilai ma bite tendue. Je l’attrapai par les hanches et la limai énergiquement pendant qu’elle criait. Ses fesses claquaient contre ma peau en sueur. Elle se cambrait pour attr mes lèvres. Je l’embrassais en lui roulant des pelles. Sa chatte était si bonne. L’empoignant par les cuisses, je la pénétrais encore plus profondément. Elle s’allongea sur le dos et je me glissais une nouvelle fois entre ses cuisses. Son bassin contre le mien. Pendant que je l’embrassais partout, elle me chuchotait qu’elle adorait que je la baise, qu’elle aimait sentir ma queue en elle. Elle me serait contre elle, afin que nos bassins s’entrechoquent pour stimuler encore plus son clito. Je sentais le moment venir où de plus en plus pressante elle m’empoignait les fesses, jusqu’à enfoncer ses ongles quand elle se mit à jouir profondément. Pendant qu’elle gémissait de plaisir, à mon tour je déchargeais tout mon jus dans sa caverne. Je plongeai alors ma tête entre ses deux beaux nichons bien ronds.
Encore en elle, nous nous embrassions, et nous nous caressions. C’est alors que nous revîmes brusquement à la réalité lorsque mon portable sonna. C’était Caro qui s’impatientait. Je m’habillais alors rapidement tout en remerciant Gabrielle du magnifiquement moment que nous avions passé. Elle aussi avait été heureuse et m’a promis que nous allions remettre ça très rapidement. Jamais je n’ai aussi peu regretté d’avoir louper un match des bleus. Depuis, j’allais voir Gabrielle fréquemment mais ça je vous le raconterai une prochaine fois.