Jeune Puceau À La Campagne (N°3) Les Jeux Continuent
Le tonnerre commençait à gronder, le ciel était lourd de nuages... on rentrait juste à temps à la maison.
Il y avait un homme qui parlait aux parents de Manu dans le salon. Evelyne se tourna vers nous et dit:
-'Ah les garçons, voici le vétérinaire qui va s'occuper des chevaux...Le Dr Elanot vient de loin, il va passer deux jours ici pour examiner les chevaux... Marc il faudra que tu dormes avec Manu, pourrais tu déménager tes affaires de ta chambre?'
-'Oui bien sûr' je répondais enthousiaste.
J'allais dormir avec Manu! mon cur commençait à battre la chamade, je montais les marches quatre à quatre et fonçais dans ma chambre prendre mes affaires, trop heureux de laisser la place au vétérinaire.
Je pris mon sac et passai dans la chambre de Manu, Evelyne avait mis un matelas sur le sol à côté de son lit.
Je posais mon sac dessus. Il y avait maintenant un rideau de pluie qui tombait dehors, le ciel était noir, lézardé de temps à autre par un éclair puissant.
Manu arriva dans la chambre: 'Ça va! t'as pas perdu de temps à bouger tes affaires dis donc'
- Je lui répondais d'un 'Non' enthousiaste agrémenté d'un sourire d'une oreille à l'autre. Il me sourit et regarda le matelas posé sur le sol... 'Tu seras content là de dormir à mes pieds comme un chien?' me dit-il d'un air narquois... je lui répondais du tac au tac: 'Il se peut que je saute sur ton lit au milieu de la nuit pour rechercher un peu de chaleur... mais t'inquiètes je ferais attention de ne pas te réveiller' ...
-'Y'a intérêt!' et on éclata de rire tous les deux, j'avais à présent un nud dans le ventre.
Evelyne nous appela pour qu'on passe à table. Le diner se passa tranquillement, on se jetaient des coups d'oeil furtifs, ricanant bêtement comme deux gamins. Soudain, un éclair tomba pas loin de la maison, suivi d'un tonnerre assourdissant. La maison fut plongée dans l'obscurité.
Le père de Manu dit d'un ton rassurant 'Ne vous inquiétez pas ce sont juste les plombs qui ont sauté.
'D'accord' répondit Manu, 'Tu viens Marc', je tâtonnais dans le noir jusqu'à être à coté de lui, sa main brossa mes fesses par mégarde... une décharge électrique me parcourut le corps, et je sentis un début d'érection.
Il marchait devant moi jusqu'à la porte d'entrée...et s'arrêta. Je ne m'attendais pas à ça et lui rentrait dedans, et mon sexe gonflé dans le slip, se cogna contre ses fesses... Ce qui me fit bander de plus belle!
-'Prends ta veste, et prépare toi à courir'
Il ouvrit la porte, un vent s'engouffra dans la maison et le bruit de la pluie remplissait le hall d'entrée.
Il sortit en courant et je lui suivit. On longea la maison, arrivé au bout il fallait courir tout droit jusqu'au transformateur qui se trouvait contre un mur, sous des arbres.
Je sentais la pluie transpercer tout mes vêtements, il fallait plisser les yeux pour pas être aveuglés. Marc ouvrit la boite et rétablit les plombs, il cria 'Booooordel c'est quoi ce temps'
On retournait en criant et riant sous la pluie battante. La maison était à nouveau éclairée. Evelyne nous attendait dans le hall d'entrée. 'Mon dieu vous êtes trempés! allez vite prendre un bain avant d'attr froid'
On laissait nos chaussures trempées et nos manteaux et montaient en courant et en se chamaillant dans les escaliers...
Manu avait une salle de bain en suite à sa chambre, entièrement carrelée, il y avait une baignoire sur pied, un vieux lavabo, un grand miroir sur pied et un coin douche, qui consistait en un pommeau fixé au mur et rien d'autre; pas de rideau ou de muret, c'était une douche 'ouverte'.
Manu fit couler un bain, 'On devra le partager sinon y'aura pas assez d'eau chaude pour tout le monde, vas-y d'abord, honneur aux invités' me dit-il. Et de rajouter 'En gros, pisse pas dedans' en rigolant.
Pendant que le bain coulait je me déshabillait, enlevait mes vêtements trempés, Manu fit de même.
Je restais en slip, lui en caleçon. J'avais froid et tremblait de la tête aux pieds, mon sexe recroquevillé par le froid, formait à peine une bosse dans mon slip. quant à lui, son caleçon était trempé et moulait les formes de ses fesses et de son sexe.
C'était excitant de deviner les courbes et les formes de ce nu 'habillé'. Je sentais mes joues rougir. Dos à moi,il était entrain de placer nos vêtements sur le radiateur pour qu'ils sèchent. puis il enleva son caleçon qui collait à sa peau. Mon sexe recommença à prendre de la vigueur en voyant cette paire de fesses blanches, poilues et musclées. il prit rapidement une serviette et se la mit autour de la taille avant de se retourner vers moi et se diriger vers sa chambre.
Il avait, contrairement à moi, déjà des fesses 'd'homme', poilues et musclées, quant à moi elles étaient rebondies et imberbes. Comme pour le remercier de cet instant, j'enlevai mon slip au moment où il allait sortir, lui dévoilant mon sexe à moitié gonflé. Il me regarda intensément puis regardait mon sexe et me dit 'Bon bain!' avec un sourire et un clin d'il'.
-'Merci' je lui dis avec le feu aux joues... ça m'excitait et me gênait à la fois de m'exhiber comme ça devant lui mais j'adorais ressentir cette excitation sourde dans mon ventre. Je me plongeais dans la baignoire, le sexe complètement érigé. L'eau chaude me relaxa immédiatement, petit à petit mes muscles se détendait et je reprenais mes esprits.
Je n'arrivais pas à débander, je m'imaginais mille et une histoires de ce qui allait arriver cette nuit... Je suais maintenant, sortait du bain, me séchait, toujours une érection énorme que je cachais à l'aide de ma serviette. Je passais dans la chambre, Manu était assis sur son lit entrain de lire un manga.
-'A ton tour' je lui dis. -'Meeerci'
Il passa devant moi, rentra dans la salle de bains et ferma la porte. Je ne pus m'empêcher de me baisser et regarder par le trou de la serrure.
J'étais entrain de le mater sans qu'il le sache, et j'adorais ça! j'en avais la bouche sèche et les mains qui tremblaient.
Il se remit debout et se plia en avant, passant de l'eau sur ces avant-bras. Il était dos à moi, avait les jambes légèrement écartées pour se retenir de ne pas tomber, je voyais ses deux couilles bien pendre entre ses jambes et voyait ses deux fesses blanches rebondies suffisamment écartées pour que j'entre aperçoive son anus! Je clignais des yeux pour ne perdre une miette du spectacle, je me sentais coupable de le reluquer dans son intimité et pourtant j'avais une érection monumentale qui témoignait du plaisir que j'en tirais.
Il se mit finalement dans son bain, je quittais mon poste d'observation, me séchait et me mettais dans mon lit...nu. Les draps froids qui glissaient sur ma peau me firent frissonner de plaisir. Il y eu un coup de tonnerre et les plombs sautèrent à nouveau.
J'entendais Manu dire 'Et meeerde! les plombs ont de nouveau sauté!'
J'entendis quelqu'un cogner à la porte, je restais dans mon lit, honteux d'être piégé à poil sous les draps.
Evelyne entra avec une bougie. 'Les plombs ont de nouveau sauté et cette fois pour de bon' Je vous allume deux bougies et vous laisse une boite d'allumette'.
Elle se dirigea vers la salle de bains et dis 'Chéri je peux rentrer te donner une bougie?'
Manu répondit avec une voix cassante 'Non! Je suis dans mon bain! laisse la au pied de la porte, Marc n'aura qu'a me l'apporter'
-'Comme tu veux' elle se retourna, me regarda et haussa les épaules, je lui souris. Elle sortit en disant: 'Dormez bien et à demain'
Sitôt la porte claquée Manu me dit à travers la porte: 'Tu peux me filer la bougie Marc j'y vois rien ici'
Je me levais, enfilait un caleçon et ouvrait la porte.
- 'C'est clair j'aurai fait la même chose'. Je pose la bougie sur le lavabo, Manu me dit: 'Tu peux me passer la serviette s'il te plait'. Je prends la serviette posé sur une chaise et reviens vers la baignoire. A ma surprise, Manu se lève et est debout dans son bain, nu devant moi au moment où je lui tends sa serviette. Son corps parait avoir des reflets d'or avec la lumière de la bougie. L'eau dégouline le long de son corps, des gouttes coulent de son sexe et ses couilles qui pendent mollement et lourdement.
Je reste figé sur place, la bouche ouverte comme un poisson hors de l'eau. Manu se sèche lentement devant moi, je commence à bander, et le tissu de mon caleçon se tend. Dehors le tonnerre gronde toujours. Je vois que Manu commence aussi à bander, il n'y d'autre bruit que celui de la pluie et de l'orage. Une fois fini de se sécher il me regarde et dit: 'Laisse moi aussi profiter du spectacle' en regardant mon piquet de tente. Comme je ne bouge pas, il s'approche, met un genou à terre, passe ses deux mains sur me hanches et baisse mon caleçon.
Mon sexe bondit, libéré, je vois les yeux de Manu s'agrandir, sa bouche s'ouvre légèrement.
Il se relève et me tourne les épaules, on est côte à côte face au grand miroir. Nos deux corps nus se reflètent, celui de Manu musclé et bronzé, à côté du mien plus mince et blanc.
Je ne sais pas pourquoi mais je porte les deux mains à mon sexe pour le cacher comme si mon corps me faisait honte devant celui de Manu. Il écarte mes mains en disant laisse moi voir. Je le laisse faire, restant figé sur place à regarder ce corps. Nos deux sexes sont droits comme des i. Il remet un genou à terre et me regarde en disant: 'Tu me laisse faire?' je déglutis péniblement et secoue la tête de haut en bas sans un mot.
Il entoure mon sexe de sa grande main, j'en ai un frisson de délice qui me fait trembler, je pousse un gémissement de satisfaction. Il me décalotte lentement, tirant doucement sur le prépuce pour qu'il libère mon gland 'Ca va? ca ne te fait pas mal?', je parviens à dire un faible 'non, non, continue'. De son autre main il me caresse les couilles, j'ai peur d'éjaculer sur place mais me retient. Je suis debout face au miroir, Manu à genoux à côté de moi, mon gland sort de sa main à chaque mouvement.
'Assieds toi on sera plus confortables'... Il ne lâche pas ma queue et je m'assieds face à lui, les jambes écartées. nos hanches sont côte à côte et je vois son sexe circoncis se tendre vers le ciel, je ne peux empêcher ma main de l'agripper. Je retiens mon souffle au contact de cette tige dure et chaude, puis je commence à le masturber, bientôt nous prenons le même rythme.... Il n'y a que le bruit de la pluie et de nos souffles rapides et saccadés, je sens mes couilles se contracter alors accélère mon rythme, Manu comprend et lui aussi commence à me masturber de plus en plus vite. Le bruit de nos couilles qui claquent contre nos cuisses résonne dans la petite salle de bains. Manu serre mon sexe plus fort et je jouis en poussant un 'aaah' de bonheur. Des giclées viennent s'écraser sur le sol, le reste coulant sur la main de Manu.
Je sens sa queue avoir des spasmes et la grosses veine qui court le long de sa tige pulse intensément. Je vois son gland expulser de longs jets blancs sur son torse, je suis surpris par la violence de ces giclées, il pousse un grognement presque sauvage... Mes doigts sont couverts de ce liquide chaud, même brulant...
On reste là, à se tenir la queue l'un l'autre, reprenant notre souffle, suants, haletants...
-'Oooooouf je n'ai jamais connu un truc aussi bon' dit Manu
-'Moi non plus...' je me sens tout à coup gêné d'être comme ça, face à face, couverts de sperme et suants.
'Viens, faut qu'on se rince avant d'aller se coucher' Il se lève et se dirige vers la douche, je le suis. On se met sous le pommeau, l'eau tiède vient rafraichir nos corps... Manu prends le savon et me dit 'Vas-y lave moi et je te lave après ok?'
'Ok' Je prends le savon et passe mes mains sur son torse, je sens ses muscles saillants et sens mon sexe qui re-bande. Je le savonne lentement, appréciant chaque courbe que dessine ses muscles, Il se remet à bander aussi. Je me met à genoux et lui savonne longuement la queue, je sens son sexe raidir sous mes caresses et le vois grandir sous mes yeux... Je masse son gland avec ma paume et fais rouler ses lourdes couilles entre mes doigts. 'Retournes toi' Je lui dis, je me relève et masse son dos noueux et ses épaules, prenant le temps de descendre lentement vers ses fesses. Manu écarte légèrement les jambes, presque instinctivement quand j'arrive au dessus de son cul. Je laisse ma main courir sur son cul, puis les lui savonne longuement... il se cambre légèrement et mes doigts glissent le long de sa raie, jusqu'a toucher ses couilles, je remonte la main lentement et lui caresse l'anus du bout du doigt.
Un bref instant je sens ce cul qui palpite, et vois Manu frémir, ma queue a un spasme de plaisir...
Manu se retourne et dis 'A moi maintenant'... Je lui file le savon, il le fait mousser et à son tour commence à me savonner le torse... Son regard est fixé sur mon corps...à son tour il met un genou à terre et prend mo sexe en main, il la prend des deux mains et les fait glisser le long se mon sexe... la sensation m'envoie un frisson dans toute la colonne...
J'écarte les jambes un peu plus, d'une main il prend mes couilles et fait glisser un doigt jusqu'à mon anus qui se contracte involontairement. Une deuxième décharge qui me fais trembler des jambes.
Manu est en train de me savonner le gland d'une main et de l'autre passe ses doigts dans ma raie...
Je me cambre instinctivement, et comprend le geste de Manu lorsque je lui faisais la même chose... c'est comme si ma raie était parcourue de frissons perpétuels, je sens mon anus palpiter, se contracter et décontracter de plaisir. De ses deux doigts, Manu me masse la rondelle, il tourne en rond lentement la sensation est indescriptible, j'en ai un noeud dans l'estomac... je ne peux m'empêcher de gémir un 'Mmmmmm continue'
Manu continue de masser ma rondelle en surface, mais il masse plus fort.... A cause du savon et parce que je suis cambré, un de ses doigts glisse dans mon anus sans faire exprès.
Mon anus se contracte tout de suite autour du doigt, Je pousse un 'Ooh' d'exclamation sincère, cette sensation incroyable m'étant totalement inconnue jusque là. Son doigt ressort aussi vite qu'il est rentré, Manu me dit tout de suite 'Pardon ça a glissé ça va? je suis désolé je voulais pas'
Pour seule réponse j'éjacule de nouveau et cette fois fort... Manu en est lui même étonné 'Waow ça va??? t'est sûr?' J'ai les joues brulantes de honte et de plaisir partagé... je ne peux que lui répondre un 'oui oui t'inquiètes...tout va bien'
on termine de se rincer et il me dit 'Allons se coucher'. J'ai encore une érection monumentale lorsque je me glisse sous mes draps nu... On se souhaite juste un 'Bonne nuit' avant d'éteindre la bougie.
Une heure plus tard je ne dors toujours pas...Je me lève pour aller pisser à tâtons dans le noir.
Je reviens et m'approche du lit de Manu... Il est littéralement couché sur le bord du lit, il dort.
Il fait étouffant dans la chambre et il fait noir comme dans un four, ou c'est juste moi qui commence à avoir chaud. Je soulève les draps de manu et les repousse sur le côté... à tâtons je glisse mes mains sur le matelas jusqu'a rencontrer sa peau... Mes doigts courent le long de sa hanche et tout à coup je sens la masse de chaire douce et chaude... il bande dans son sommeil. Je le masturbe très doucement puis le coeur battant et la bouche sèche je rapproche mon visage de sa queue.
Je sens les odeurs que dégagent son gland, et ressens la furieuse envie de prendre ce sexe dans ma bouche, de littéralement le manger... du bout du doigt je sens une goutte perler de son méat. Je ne peux m'empecher d'y passer le bout de la langue. C'est comme un déclic au contact, je ne suit plus ma volonté mais mon désir, ma bouche se referme autour de son gland que je suce avec ma langue doucement... Je glisse le long de son sexe le suçant de plus en plus loin et de plus en plus avidement...
Je l'entends gémir, et le sens accompagné le mouvement de ses hanches... Il est réveillé et se laisse faire.
Cela fait tomber toute retenu je lui lèche le gland, sa hampe et descends jusqu'a ses couilles que je gobe avec délectation, les faisant tourner avec ma langue, il respire de plus en plus fort et écarte les jambes pour plus d confort, je ne peux m'empêcher de darder le bout de la langue vers son cul et lui lèche la rondelle avec passion, les odeurs qui s'en dégagent me rendent littéralement fou. Je lèche, bave et puis plante le bout de la langue dans son anus palpitant... il réprime un réel cri de bonheur et je continue de lui bouffer le cul... dans un murmure il me dit 'je..je... vais jouir', je reprends vite sa queue en bouche et le pompe furieusement en lui tirant ses couilles vers le bas... Je sens une ultime contraction avant que de longs jets chauds inondent ma bouche... J'avale tout avec l'appétit d'un affamé.
J'entends un dernier 'Merci' avant de sombrer dans un sommeil profond, repu et extasié...
(suite et fin très bientôt)
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