Irrésistible, Partie 2

Je venais de finir cette douche assez… mouvementée en enfilant le peignoir qu’il m’avait laissé avant de le rejoindre dans le salon. Un grand sourire sur les lèvres, il me dévisageait sans lâcher mon visage des yeux jusqu’à ce que je vienne m’asseoir sur le canapé.

« Alors, tu vois que ça détend après une journée de travail ! »

C’était impossible qu’il n’ait pas capté ce que j’avais fait dans sa douche. Entre le temps que j’avais mis et surement quelques sons assez indicatifs de mon activité, sans oublier la mise en scène qu’il m’avait laissé découvrir après m’avoir bien tendu, il devait savoir que mes fantasmes nés de ces quelques gouttes de sperme avaient libéré le flot que je tentais de contenir durant la semaine entière. Mais cela avait même plutôt l’air de l’enthousiasmer.

« C’est sûr ! » lançais-je, très légèrement honteux.

Sa main commença à glisser vers la ceinture de son peignoir, et à se rapprocher de cette bosse semblant cacher une bite d’une taille assez conséquente. Ma queue légèrement débandée par l’intense exercice reprit rapidement sa verticalité, et mon excitation repris de plus belle. Je restais comme hypnotisé par ces doigts se faufilant sous sa ceinture en quête de cette énorme tige.

« Tu veux un verre ? »

Je levai brusquement mes yeux de son entrejambe.

« Aller, pourquoi pas » répondis-je en m’asseyant à côté de lui sur le canapé.

Il m’en donna un avant de se servir aussi. S’en suis une discussion, sur nos vies, nos envies… Sans oublier de revenir rapidement à notre vie sexuelle un peu mise de côté à cause des confinements. Il m’expliqua que ça fait maintenant quelques années qu’il n’a plus de mec, mais que ça ne le dérange pas plus que ça, au contraire. Depuis, il enchaine les plans cul avec une fréquence plus ou moins élevée, suivant ses envies. Quant à moi, comme je vous l’ai expliqué plus tôt, je cherchai vraiment à changer de ma main en m’inscrivant sur les applis, où j’ai rencontré Guillaume.

Et très rapidement, on en revient au sujet principal de ma présence chez lui. Le sexe.
J’avais remarqué son petit massage sur sa propre bite en sortant de la douche, et je commençai à avoir vraiment envi de prendre cette tige en main. Tout en continuant à parler, je rapprochais ma main de se jambe, puis remonta lentement sa cuisse. Lui me laissa faire, soulagé que le jeu commence enfin. Ma main arriva au-dessus de cette grosse bosse rigide sous son peignoir, et commença tout doucement des vas et viens. Il passa la sienne sur mes abdos, avant de descendre et d’agripper ma bite. Puis, sans prévenir, il se jette sur ma queue.

« On va voir s’il en reste encore un peu pour moi »

Il découvre entièrement mon torse et mon entrejambe, et engloutit ma queue entre ses lèvres.
Je penche la tête en arrière et ferme les yeux pour profiter de cette fellation divine. Il joue sur mon gland avec sa langue, ce qui me procure un plaisir oublié, et fait monter encore plus mon excitation. Je commençai à perdre contrôle.
Il continuait de s’enfoncer de plus en plus profond sur ma queue, et je lui appuyais sur la tête pour amplifier ses vas et viens, je voulais m’enfoncer au plus profond de sa gorge… Mais je me retirai d’un coup pour l’allonger brusquement sur le canapé avant de chercher un préservatif.

« Sous le coussin, à côté de l’accoudoir ! » me dit-il rapidement, excité au plus haut point.

Je trouvai l’emballage argenté, déchira l’enveloppe avant de m’enfiler cette capote sur ma queue bien dure ; et de présenter mon gland lubrifié à l’entrée de son cul. Il releva son bassin pour me permettre de le prendre en bonne et due forme, avant que je ne commence à rentrer ma bite en lui. La chaleur autour de mon gland n’était vraiment pas désagréable, et cette sensation de palpitation dans tout mon bas-ventre me fit abandonner tout contrôle . D’un coup, j’enfonce ma bite au plus raide dans son cul. La chaleur de son corps, ainsi que la fermeté de ses muscles fessiers me font me demander comment j’ai pu tenir cette année seulement en me branlant… Tout mon corps est inondé de plaisir.
Du liquide séminal perlait de son gland sur le canapé, lui aussi devait en prendre.
Il se retourna face à moi et m’attira vers son torse. La tension que subissait maintenant ma queue qui avait changé d’angle fit grimper mon excitation et je recommençai à le marteler de plus en plus vite. Je devais aussi appuyer plus sur sa prostate car je sentais qu’il commençait à se raidir de plus en plus souvent, nous étions proche de l’orgasme. Je pris sa bite dans ma main et accéléra mon mouvement. Ses mains se crispèrent sur les rebords du canapé et son cul se resserrait de plus en plus…
Son éjaculation précipita 1 énorme jet accompagné d’un autre, et encore un autre qui vinrent s’écraser sur son torse, depuis sa poitrine jusqu’à ma main encore autour de son gland, désormais tout gluant.
Je fis une courte pause afin de profiter de la jouissance de Guillaume au maximum. Mais ce répit ne dura pas longtemps. Son éjaculation avait contracté ses muscles fessiers, ce qui précipita mon envie de jouir à mon tour. En un coup sec, j’enfonça ma bite jusqu’à ce que mes couilles heurtent son bassin, et déversa un flot de sperme dans ma capote. Le premier jet l’ayant déjà bien remplie, les suivants vinrent compléter l’espace libre entre le latex et ma bite en pleine palpitation.

« Et ben ! On dirait qu’on en avait bien besoin ! » Lança Guillaume en reprenant son souffle.

« C’est sûr ! Je ne me souvenais plus à quel point c’était bon de jouir en quelqu’un ! »

Je retirai mon préservatif bien rempli de ma queue en train de se rendormir après cet exercice intense. Celle de Guillaume aussi commençait à perdre sa raideur, mais sans pour autant diminuer significativement de taille

« On va prendre une douche ? »

Tous les deux avec le torse brillant de sperme, on se dirige vers la salle de bain en se disant que cette soirée ne serait que le début d’une longue aventure entre nous.