J'Avais Fait Un Pari

J’avais fait un pari



Il y a quelques temps je sortais avec un homme plus vieux que moi, j’en avais trente quatre, et j’étais passionnément amoureuse de lui. A la suite d’un pari, je lui promis que s’il gagnait je ferais tout ce qu’il voudrait, vraiment tout, et il gagna.

Un soir, il me demanda de l’attendre dans le studio qu’il avait loué pour moi. Il me fit mettre un corset en dentelle rouge et un porte-jarretelles assorti avec un string fendu, le sexe en évidence dans l’ouverture, et aussi de porter mes platforms noir vernis d’une hauteur de 16cm, il adore quand je suis en talons hauts.

Il me banda les yeux et sortit. Je commençais à me demander ce qu’il voulait faire. J’étais allongée sur le lit, les cuisses largement écartées, les yeux toujours bandés, je caressais mes seins fermes, un désir immense d’être pénétrée m’envahissait. Au bout de quelques minutes, j’entendis la porte qui s’ouvrait, des chuchotements. Mon homme s’approcha de moi et me dit de ne pas avoir peur. Il m’embrassa goulûment la bouche en me caressant le clitoris, sa bouche descendit vers mon sexe et le lécha.

Tout à coup une queue se glissa dans ma bouche, ne me laissant aucune possibilité de parler. Un homme me maintenait la tête et enfonçait sa bite dans ma gorge. Je sentis des doigts inconnus me triturer les seins tandis que mon ami me léchait toujours la fente.

Je sentais une chaleur étrange parcourir mon corps. L’autre homme me pinçait durement les tétons. On enfonça un godemiché dans mon anus mouillé par la salive de mon ami. Je poussais des gémissements tout en suçant l’énorme sexe dans ma bouche. On faisait aller et venir le gode dans mon anus, j’avais mal et en même temps cela me faisait du bien, le gode dans mon anus, la queue dans ma bouche, le pincement de mes tétons, le léchage de mon clitoris.

Je n’avais jamais connu cela, je me tordais comme une folle. Tout à coup on me souleva, on enleva le gode, et on m’accroupit sur un autre homme, les fesses face à son visage, il me lécha l’anus et on fit asseoir sur sa bite, je fus empalée, je criai de douleur Un autre me fit sucer sa queue pour me faire taire ; on me renversa en arrière, mes cheveux tombaient sur le visage de l’homme qui était sous moi.

J’avais les seins offerts, la chatte offerte. Quelqu’un me malaxait à nouveau les nichons, et, toujours empalée, on écartait mes grandes lèvres et une verge inconnue me pénétra la chatte. J’étais prise par tous les trous, je n’en pouvais plus, j’avais chaud, d’une main je caressais les couilles de celui que je suçais, il gémissait, me frappant de temps en temps le visage avec sa queue. Empalée comme je l’étais, je commençais à jouir, dans mon anus ça brûlait. Le sexe énorme et long frappait au plus profond de moi.

J’avais mal aux seins, pendant qu’on me baisait la chatte, quelqu’un me caressait le clitoris. Je ne savais plus où j’étais. Mon ami m’enleva le bandeau et je vis plusieurs hommes autour de moi. Certains se branlaient. Celui que je suçais était un beau black. Jamais auparavant je n’avais sucé une queue de couleur.

Je trouvais ça bon. Je criais, gémissais, mes seins gonflés de douleur. J’entendais mon ami me dire des mots obscènes : « Vas-y, jouis ! C’est bon d’être possédée par tous ces hommes, hein ? Ta chatte est en feu, salope ! Tu en veux encore, hein, putain ! C’est bon de se faire enculer et baiser en même temps. Oui vas-y, suce bien cette queue, elle est toute à toi, salope ! Oui, écrase lui les couilles, regarde, il a joui dans ta bouche, tu vas tout avaler putain ! Tu vas en avoir dans tous les trous. J’aime voir toutes ces queues te pénétrer, tu es à moi, salope, tu feras tout ce que je voudrai. Dis que tu aimes, dis-le ? » Je n’en pouvais plus, j’essayai de répondre : « OUI, j’aime, j’aime, je veux jouir, je suis une vraie salope. » Je reçus de longues giclées de sperme sur le visage. Puis je sentis le sperme dans mon cul, dans ma chatte, j’en recevais sur les seins, sur le ventre, tous les hommes jouissaient, c’était une orgie de jouissance. Une orgie fantastique. Je jouissais comme je n’avais jamais joui.

Je me masturbai comme jamais je ne l’avais fait, ma chatte encore pleine de sperme. Je n’oublierais jamais ce jour-là…….


Cathy……..