J'Ai Baisé Une Américaine Dans Les Toilettes !

Voilà j'ai 18ans passés et je suis encore au lycée. Plus exactement en internat à Evreux.
Il y a quelques semaines à cause d'un programe d'échange dix américaines sont arrivées au bahut. Rien de particuliers si ce n'est que l'une d'elles a flashé sur moi. Bizarre je ne suis pas du genre à attirer l'attention des filles.

Bref après une semaine, je la croise à un inter-cours (et fait exeptionel elle était seule). La pauvre ne trouvait plus les toilettes (étrange car toutes bien signalées), n'ayant aucun cours je l'accompagne à celle qui sont mixtes (inconsciement).

Alors que j'allais repartir en perm, elle me barre là et se plaque contre moi en m'embrassant. Mon sang ne fait qu'un tour et je lui rend son étreinte, je l'entraine alors dans une des cabines et ferme la porte. Nous nous embrassons pendant une dizaine de minutes, elle relache la pression et se recule autant qu'elle peut pour me regarder.

Elle s'assoit sur la cuvette, préalablement nétoyée, je la laisse me baisser le pantalon et le caleçon, elle se retrouve avec ma verge à quelques cetimètres de sa bouche. Elle la prend et commence à me mastuber, puis l'engloutit dans sa bouche.
La sensation est merveilleuse, mais s'arrète trop vite, elle la recrache prèsque avec dédain.
Nous échangeons nos places, j'ai la tête entre ses cuisses et je lui aspire le clitos et elle aprécit si j'en juge par la quantité de mouille que j'ai avalé.

Plus confiant, je retire ma tête et la tire vers moi par les hanches, elle ne resiste pas et nous voilà mantenant encastrés dans un soupir, elle sur moi. La pénétration s'est faite toute seule tellement nos sexes sont lubrifiés. Elle commence alors à gigoter et à contracter son vagin. La cadence devient infernale, ça va tellement vite que mes couilles remontent et puis ça s'arrete. Je la regarde dans les yeux et je comprends qu'elle s'est arretée pour ne pas crier, mais pas moi.

Je l'att par les cuisses et nous nous relèvons tous deux, lui plaquant le dos a la porte.

Une fois bien calé, je m'applique à un va et vient qui me fait butter contre le fond de son vagin. Je la sent jouir. Son corp est secoué de spasmes si forts que je manque de la lacher, j'attends qu'elle ait reprit son souffle pour la limer cette fois plus doucement, car je sens que moi aussi j'approche du paroxisme.

Mais elle l'a sentit et contracte au maximum son vagin, la pénétrer devient difficile et je ne tarde pas a exploser en elle, lui provocant un second orgasme. Je sors doucement le sexe encore dur, je la repose au sol et me met à lui caresser la vulve. Elle me rend la pareille en me masturbant et nous restons à nous masturber mutuellement en nous embrassant un bon moment.

La sonnerie retentie, nous nous rhabillons et sortons avant que la masse d'élève n'arrive.