Le Cadeau 2
Elle est chez elle troublée par ce quil vient de se passer.
Une douche brulante ne suffit pas à la calmer mais son mari va bientôt rentrer et elle essaye de reprendre ses esprits.
Elle se dit quelle est folle, quest ce qui ma pris, je me suis conduite comme la dernière des catins.
Mais dun autre côté, elle avait aimé être attachée, utilisée sans pouvoir résister, elle savait bien quelle naurait eu quun mot à dire pour que tout sarrête mais elle ne lavait pas dit.
Elle ne lui en voulait pas, après tout elle sil y avait quelquun à blâmer cétait elle.
La soirée fut comme dhabitude assez routinière, elle aurait voulu que son mari la prenne sauvagement mais il lavait repoussé arguant dune journée éreintante.
Le lendemain au bureau, elle fit bonne figure mais elle narrêtait pas de regarder son téléphone espérant un message de son photographe.
Ny tenant plus, elle profita dune pause pour appeler.
- Allo, cest moi.
- Salut, comment vas-tu ?
- Bien.
Un silence gêné suivit, aucun des deux ne sachant quoi dire.
- Je voudrais savoir si tu as eu le temps de développer les photos dhier.
- Pas encore, mais si tu peux passer en fin de journée je pense que ce sera fait.
- OK, je passe ce soir.
Elle raccrocha, elle se sentait idiote davoir relancé, il allait croire quelle voulait recommencer et même si cest ce quelle espérait elle ne voulait pas quil la prenne pour une fille facile.
La journée au travail lui sembla interminable et pour une fois elle ne traina pas au bureau.
Arrivée devant limmeuble, elle hésita, fit plusieurs fois le tour du pâté de maisons.
Bon prends ton courage à deux mains, tu es ridicule et puis les passants commencent à te regarder bizarrement.
Quand il lui ouvrit la porte, elle ne put sempêcher de rougir mais elle fit comme si rien ne cétait passé.
Il avait lair un peu déçu, il faut dire que contrairement à la dernière fois sa tenue nétait pas très sexy.
Un jean moulant et un gros pull blanc.
Il linvita à sassoir dans le salon, lui proposa un thé, on aurait dit deux vieux amis.
Il posa devant elle une chemise noire.
- Tu avais lair impatiente, alors jai fait au plus vite, je nai pas eu trop le temps de les retoucher car javais un autre modèle cet après-midi.
Elle nosait pas le regarder, lallusion à lautre fille lavait un peu contrariée.
Dune main hésitante elle ouvrit la chemise, les photos étaient en noir et blanc et il avait tenu parole sur aucune on ne voyait son visage, elle ressentit la même chose que lorsquelle avait regardé la section privée du site de son ami.
Son corps blanc entravé dans des poses suggestives la troublait.
- Elles te plaisent ? moi je les trouve plutôt réussies.
- Je ne sais pas trop, jai limpression que ce nest pas moi.
- Je tassure que cest bien toi, dailleurs si tu doutes jen ai dautres qui devraient téclairer.
Il sortit une autre chemise et posa les clichés sur la table basse. Cette fois pas de doute, on voyait distinctement son visage, la bouche déformée par le sexe de son photographe, sur une autre on la voyait recouverte de sperme, la langue tirée. Elle était fascinée mais elle se sentait trahie.
- Tu mavais juré que tu ne prendrai pas de photos permettant de me reconnaitre.
- Rassure-toi, celles-là sont pour ma collection personnelle, dailleurs si tu ne veux pas que je publie les autres il suffit de le dire.
Elle ne répondit pas, narrivant pas à détacher son regard des clichés.
- Non je tai promis de te laisser les publier, je suis une femme de parole et je te fais confiance mais javoue que je suis un peu décontenancée.
- Tu navais pas lair si décontenancée que ça hier, ose me dire que tu nas pas aimer.
- Ce nest pas ça mais je ne suis pas ce genre de femme qui baise avec le premier venu.
Elle regretta aussitôt ses paroles, elle navait pas voulu le blesser.
- Sympa pour le premier venu, je ne tai obligé à rien maintenant il faudrait mieux que tu ten ailles jai du travail.
- Excuse-moi, je suis désolée ce nest pas ce que je voulais dire.
- Bien sûr, tu sais ça faisait longtemps que je voulais baiser, la petite chefaillon hautaine, allumeuse qui croit quelle est la meilleure et qui méprise ses collègues, alors tires toi jai eu ce que je voulais et tant pis si tu as des remords.
Elle lui jeta un regard noir, se leva et sans un mot elle quitta lappartement en claquant la porte.
Sur le palier elle se sentait bizarre, jamais on ne lui avait parlé comme ça, elle avait envie de pleurer et en même temps elle était en colère. Elle ne voulait pas que cela finisse comme cela.
Sans trop réfléchir, elle sonna à la porte dans lintention de sexcuser.
- Tu as oublié quelque chose ? La voix était agacée et le regard méprisant.
- Excuse-moi si je tai énervé, je ne voudrais pas que tu croies que je regrette ce quil sest passé hier.
Il la fixait méchamment, il lui prit le bras et lentraina dans le salon. Elle allait sassoir dans le canapé avec lespoir de reprendre la conversation mais il len empêcha.
- Tu restes debout face à moi et tu baisses les yeux, tu vas devoir faire plus que des excuses, tu vas voir comment je traite les petites connasses dans ton genre, maintenant tu es libre de partir mais si tu restes je te déconseille de me contrarier. Tu as compris ?
Elle était devenue blême, le ton, les insultes lavait fait sursauter, elle ressentait de la colère mais aussi de lexcitation.
- Je reste et je vais faire tout ce que tu veux. Sa voix était blanche presque plaintive, elle nosait pas le regarder.
- Commence par te foutre à poil, quand tu viens me voir je veux que tu sois sapé comme une salope, alors enlève moi ces fringues de mémère.
Elle hésita un instant, mais maladroitement elle enleva ses escarpins déboutonna son jean quelle fit glisser le long de ces jambes en se tortillant, elle passa le pull au-dessus de sa tête et se retrouva en sous-vêtements devant son ami.
- Quest-ce que tu nas pas compris par te foutre à poil, ne me fait pas perdre mon temps, enlèves tout.
Elle passa ses mains dans son dos pour dégrafer son soutient gorge et le fit glisser le long de ses bras découvrant sa poitrine, elle mit ses bras devant ses seins dans un geste de pudeur inutile.
- Madame joue les prudes !!! retires tout je tai dit et vite.
Elle avait les larmes aux yeux, mais elle obéit et bientôt elle fut nue.
- Tu vois ce nest pas si compliqué, maintenant tu vas mettre tes mains sur la tête et aller à lautre bout de la pièce en marchant lentement et en remuant ton gros cul.
Elle avait abandonné toute velléité de rébellion, se retourna et marcha jusquau mur den face., elle sentait le regard de son bourreau sur ses fesses.
- Voila une vraie petite soumise, tu fais moins la fière madame la cheffe, si tes collègues te voyaient ils rigoleraient bien.
Les mots ne la blessaient même plus, la honte avait fait place au désir.
- Retourne-toi et met toi à quatre pattes, tu vas venir en face de moi. Bien tu deviens obéissante.
- Oui je tobéis dit-elle dune petite voix.
- Il va falloir que tu en fasses plus que ça, pour commencer à partir de maintenant tu me vouvoies et tu mappelles monsieur, tu as compris.
- Oui Monsieur jai compris.
- Maintenant tu vas tincliner devant moi, la tête sur le sol et le cul en lair, les bras tendus et tu vas rester dans cette position aussi longtemps que je le décide.
Elle resta dans cette pose humiliante de longues minutes, nosant pas relever la tête, elle lentendait marcher dans la pièce, ouvrir des tiroirs, elle avait un peu peur mais pour rien au monde elle ne voulait le décevoir.
Il se plaça derrière elle et elle sursauta quand il lui introduit un doigt dans le sexe.
- Ce nest pas vrai ça, tu mouilles ! je savais que tu étais une vraie salope, il va falloir que je te punisse pour ça.
Elle sentie quil promenait quelque chose, quelle devina être une cravache le long de son dos.
- Ta gueule, tu vas ameuter les voisins, tu vas compter à voix haute.
Chaque coup sur ses fesses, son dos la faisait se cambrer, mais les larmes qui inondaient son visage ne lempêchèrent pas de compter. Cela lui parut interminable mais il sarrêta enfin au bout de trente coups.
- Tu te verrais, tu ne ressembles plus à rien, écartes les fesses avec tes mains, ouvres bien ton cul.
Cette fois, elle hurla lorsquil introduisit un plug dans son trou, elle seffondra mais son Maitre navait aucune pitié.
- Je suis sûr que tu es une pucelle du cul, tu vas garder ce plug et gare à toi sil tombe.
Instinctivement elle serra les fesses.
Il la prit par les cheveux et la mis à genoux, elle comprit ce quil voulait et elle sapprocha pour lui ouvrir la braguette.
Une gifle la fit reculer.
- Je ne tai pas demandé de me sucer, tu es vraiment stupide, tu vas demander lautorisation de me pomper.
- Monsieur, puis je sucer votre bite. Elle ne se reconnaissait plus, elle avait perdu toute pudeur.
- Bien salope sort ma queue et appliques toi.
Elle sorti le sexe dressé de son amant et commença à le lécher tout le long, elle salivait descendait sur les couilles, les prenant en bouche, puis engouffrait la verge quelle pompa goulument.
- Tes vraiment une salope, tu suces comme une vraie pute, descend bien je veux sentir ta bave sur mes couilles.
Elle sétouffait mais comme il lui maintenait la tête elle ne pouvait que gémir.
- Jai toujours rêvé de te baiser arrêtes de pomper et mets-toi en levrette.
Une fois en position, il sintroduit brutalement et commença à la pilonner brutalement ponctuant le tout par des claques bien senties sur les fesses.
Le plug et les coups de boutoirs eurent vite fait de lui procurer un orgasme fulgurant, tout son corps se mit à trembler, elle plaqua les fesses contre le ventre de son amant qui ne tarda pas à jouir en elle.
- Tu es une bonne chienne, maintenant tu vas lécher ma queue et la nettoyer.
Elle sortit sa langue et commença à la passer le long du membre en sappliquant pour ne pas en perdre une goutte.
- Bon pour une première fois tu ne mas pas trop déçue, va prendre une douche et gardes le plug.
Une fois terminée, elle se présenta à nouveau devant lui.
- Rhabille-toi, si tu veux continuer ton éducation de soumise tu reviens demain à la même heure, tu devras porter une robe courte sans sous-vêtements et bien sûr je veux que le plug soit en place. Si tu ne reviens pas ce ne sera plus la peine de me contacter, tu as compris.
- Oui Monsieur, jai compris je reviendrai demain.
- Casse-toi maintenant et ne retire le plug que quand tu seras chez toi.
-
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