La Mission 8
Les hommes étaient sur le bord de la piscine, ils bavardaient et riaient et de temps en temps buvaient leur bière.
Nous étions allongées sur nos transats et nous caressions lentement. Javais mouillé le coussin, tellement je coulais. Javais terriblement envie de jouir mais je navais pas le droit de le faire.
Jétais à coté de deux filles qui partageaient mon sort. Lune delle était la lécheuse de bites, lautre la lécheuse de couilles et moi, on mavait donné le rôle de lécheuse de cul. Je ne sais pas qui avait le rôle le plus enviable. Ceci dit, je venais à peine darriver et on mavais déjà fait jouir une fois.
Nous devions attendre les ordres.
- Les gars, ça vous dirait un petit spectacle ? Ces dames sennuient, je pense. Occupons les !
- Ouais, quest ce que tu veux ?
- Ben on va leur faire faire un petit show pour nous, pendant que nous buvons notre bière. Et lavantage cest quon peut leur demander ce quon veut.
- Pas mal !
Bernard vint vers nous et plaça des coussins par terre. Puis, il installa la fille quils appelaient le lécheuse de bites allongée sur les coussins et les jambes repliées et écartées. Puis, vint la fille qui léchaient les couilles, il lui dit de lécher le minou de lautre fille elle était donc à quatre pattes devant elle. Et enfin, moi.
- Ma belle, aujourdhui tu ne vas que lécher des culs. Tu te mets derrière elle. Attend je lui retire le plug.
Nicolas, vint laider, il plaça ses mains sur les fesses de la fille et écarta, pour aider Bernard à sortir le plug. Puis Bernard me le donna à lécher avec un regard conquérant. Il était très content de lui. Nicolas, me tenait les cheveux en arrière. Pour mieux montrer aux autres.
- Nicolas, je te présente, ma lécheuse de cul personnelle. Elle me le fait très bien, tu vas voir. Tiens, ouvre la bouche, ma belle. En voilà un peu, pour toi. Je sais que tu attends.
Jétais révoltée. Je le laissais faire, mais je fulminais intérieurement.
- Vas-y lèche le bien, il est tout chaud, il sort du cul de la salope devant toi. Ca lui a bien élargit le cul, pour quon puisse lenculer tout à lheure.
Et il me pris les cheveux pour me mettre le plug dans la bouche. Il me baisait la bouche avec. Je commençais à baver, il allait vite et loin. Jétais vraiment son objet.
- Tiens, ma belle, attend, je lui remets un peu, tu vas te régaler. A la fin cest toi qui réclamera de lécher tout les cul que tu verras, tellement tu aimeras ça.
Il lui remit lentement, tourna le plug dans son cul et me le remis dans la bouche. Jean sétait approché, il appuyait la tête de la fille devant moi sur la chatte de lautre. La première avait du mal à tenir, on lui avait commandé de ne pas jouir. Elle crispait le visage.
- Vas y lèche lui la chatte, elle est coulante, tu vas boire tout son jus. Rentre ta langue dans sa chatte comme un petit sexe et lèche lui le clito. Et toi, je tinterdis de jouir, sinon, tu auras à faire à moi.
Romain qui ne participait pas encore, avait pris un caméscope et filmait la scène. Jean caressait les seins de la fille allongée en appuyant dessus et en lui pinçant les tétons de temps en temps. Elle allait craquer, cétait sur. Je pense que Jean le faisait exprès.
Nicolas, écartait toujours le cul de la fille devant moi, pendant que Bernard entrait le plug et le sortait pour me le faire lécher.
Moi aussi je dégoulinait. Bernard avait écarté mes cuisses avec son genoux, ma chatte était ouverte et je sentais un filet couler. Je voyais aussi celui de lautre fille. Elle était aussi très frustrée de ne pas pouvoir se laisser aller.
Nicolas jouait avec le cul de la fille pendant que Bernard faisait aller et venir le plug dans ma bouche. Il louvrait et le refermait. Il était distendu, cétait indécent. De temps en temps, il mettait ses deux pouces, pour élargir un peu plus. La fille avait le nez sur la chatte de la fille. Jean lui fit relever un peu la tête.
- Tire la langue salope. Je vais diriger ta langue sur son clito. Et toi, sale gouine, je tinterdit de jouir, tas compris !
Elle gémissait, à la . Jean prenait la tête de la fille devant moi et lui faisait faire de petits allers retours sur le clito, lentement. Romain, ne ratait pas une miette du spectacle.
- Tire la langue toi aussi, me dit Bernard.
Je tirais la langue et il fit aller ma tête sur toute la raie de la fille de haut en bas, Romain zappait de la chatte de la fille allongée au cul que je léchais. Bernard me positionna devant le trou de la fille que Romain élargissait toujours en écartant avec ses mains. Et Bernard me fit faire des allers retours de plus en plus profond dans le cul de la fille. Jétais humiliée de servir dobjet à ce type.
La fille devant moi léchait de plus en plus vite le clito de la fille allongée. Celle ci criait et allait venir, elle haletait et Jean accentuait en lui pinçant les tétons de plus en plus fort. Elle allait avoir un orgasme incroyable.
Elle nentendait plus ce quon lui disait, je pense quelle se foutait bien de la punition pour avoir jouit sans autorisation. Et certainement Jean avait-il envie de la punir.
Il donna le coup de grâce, en demandant à la fille de prendre le clito entre ses lèvre et de le serrer et le lécher avec sa langue. Il avait lâché sa tête et lui caressait vivement les seins. Elle jouit dun coup, et cria très fort. Elle avait les jambes qui tremblaient et un jet de cyprine séjecta de son vagin. Jean maintint la tête de lautre fille devant en lui disant douvrir la bouche. Romain filmait toute la scène.
Moi on mavait un peu oubliée et tant mieux pour regarder le spectacle. La fille eu plusieurs orgasmes, certainement ce quelle avait contenu. Son vagin se contractait plusieurs fois. Et chaque fois un petit jet sortait. La fille récupérait le jet avec sa bouche tant bien que mal. Et je sentais que cela lexcitait aussi.
Elle se retenait pour ne pas jouir elle aussi.
Lautre fille et moi nosions pas bouger, on était à quatre pattes lune derrière lautre. Bernard remis le plug à la fille devant moi. Et on nous dit de retourner à nos places.
Jean porta la fille allongée dans ses bras très doucement et lemporta à lintérieur.
Romain nous apporta des boissons, et nous nous installions sur les transats. Cette fois ci nous navions pas de consignes, alors nous nous sommes simplement mis à notre aise pour nous reposer. Les hommes se baignaient dans la piscine, et bavardaient. Je me mis sur le ventre dans mon transat et mendormis pour une bonne sieste. Il faisait chaud, le boisson légèrement alcoolisée mavait grisée. Jétais bien et joubliais mon sort. Je nosais pas adresser la parole à lautre fille, de toutes façons, je ne la reverrais pas.
Ils ne me lavaient pas présentée, de même quils ne mavaient pas présentée. Nous étions simplement des lèches quelques choses. Ca accentuait le côté domination de cet étrange après midi. Jouvris les yeux après un moment. Ma voisine nétait pas réveillée. Elle était couchée sur le dos, un bras sur le visage. Elle avait bien entendu la même tenue que moi. Une espèce de tenue de soubrette qui ne cachait rien et accentuait tout. Sa jupe arrivait juste au début de sa petite fente. Son sexe était légèrement entrouvert car elle avait sa jambe repliée.
Ses seins étaient de taille normale, les tétons étaient petits et bien dessinés.
Je la regardais en biais, prête à fermer les yeux si elle les ouvrait. Mon il était attiré par son sexe entrouvert et offert, il était humide certainement de la séance de tout à lheure et de transpiration, car nous étions à lextérieur.
Je ne suis pas particulièrement attirée par les femmes, mais je ne pouvais mempêcher de fixer sa chatte et des idées me traversaient lesprit. Je laurais volontiers léché pour enlever le jus qui en avait coulé, jaurais voulu lui procurer le plaisir quelle venait de procurer à lautre fille avec ma langue.
Elle dormait toujours. Je nentendais plus les garçons, où étaient-ils, je risquais un il
personne. Dun coup ma décision fût prise. Je me mis très doucement en face de la fille à coté de moi en prenant garde de ne pas la réveiller. Et tout doucement, je mis ma langue sur le haut de son sexe, je récupérais une goutte de son liquide. Puis me retirais légèrement. Je relevais la tête, elle navait pas bougé. Je jetais un il autour de moi, les garçons, nétaient toujours pas là.
Je décidais de continuer. Je passais ma langue de haut en bas sur toute la longueur de sa chatte, tant quil métait possible de le faire sans la réveiller. Cétait délicieux. Je dus me mordre les lèvres pour ne pas gémir. Elle bougea légèrement, et écarta un peu plus sa jambe. Je la regardais, elle semblait vraiment dormir. Elle devait rêver dun doux rêve
Elle avait encore ouvert un peu plus sa chatte en bougeant sa jambe, si bien que je pus toucher du bout de la langue son clito découvert. Je le fis très très légèrement, leffleurant à peine. Cette subtile caresse tira un gémissement à ma victime. Mais elle nouvrait toujours pas les yeux, elle bougea un bras, comme dans un rêve profond. Elle avait toujours ce plug au fond de son cul, tout comme moi dailleurs, et je le vis bouger un peu. Cela mexcita encore plus.
Je me retenais cependant, et très doucement, je remis ma langue avec beaucoup de salive sur son clito tendu vers moi. Il semblait appeler mes caresse, je le titillais du bout de la langue, comme une caresse de plume. Il se tendait vers moi, javais envie de le prendre des lèvres.
La fille ouvrit encore plus les jambes, je ne la regardais pas, je savais quelle était réveillée. Cétait le signal, elle acceptait ma caresse, je pris donc doucement son clito entre mes lèvres et le suçotais, laspirais et le léchais avec ma langue. Jétais trempée. Je métais mise accroupie pour être plus à laise et elle avait approché son bassin du bord de la chaise.
Nous ne disions rien, chacune sur un nuage de volupté. Je sentais ce clitoris palpiter sur ma langue, et javais envie de le mordiller, de laspirer encore plus. Je voulais que ma caresse lui procure un orgasme jamais égalé. Et je sentis son clito se tendre et se rétracter, tandis que son vagin palpitais des contractions dun bel orgasme. Elle avait rejeté sa tête en arrière, fermait les yeux, et se mordait les lèvres pour ne pas crier.
Je relevais la tête et me trouva nez à nez avec Nicolas. Il avait assisté à la scène et navait rien dit. Il bandait terriblement. Quallait-il marriver ? Nous nétions pas sensées faire ce que nous venions de faire. Elle avait jouis sans leur permission et jétais sa complice ! Non jétais linstigatrice. Je nosais pas bouger.
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