Le Con Sert Tôt ( 2 )
Suite.
- 2 - Je suis assise en face de lui, je porte un chemisier et une jupe. Ca fait bien 20 mn quil parle, je lai écouté sans linterrompre. De temps en temps il se désaltère, jai fini ma bière, repose mon verre. Je lui pose la question :
- Tas quand même réussi à lavoir ?
Il ne me répond pas car depuis un certain temps, tout en racontant son histoire, il lorgne mes jambes. À lécouter, je sens que je mouille ma culotte. Mine de rien, pendant quil raconte, jécarte suffisamment les genoux pour lui laisser entrevoir ma culotte, les referme, recommence, remue sur mon siège, remonte la jupe sur mes cuisses. Lhistoire quil me raconte me donne chaud au cul ! Je joue avec le feu en écartant les cuisses, mais écouter son histoire me donne de plus en plus envie de me faire sauter!
Soudain il se lève, et au lieu daller chercher dautres bières, vient devant moi, att mes jambes, les relève, tire, je proteste :
- Oh là, quest cqui tprend ?
Jessaie de me redresser, je me retrouve les fesses au bord du coussin, la jupe remonte sous moi. Il sempare direct de lélastique de ma culotte, tire, je gesticule, ça laide à men débarrasser, il la jette sur le fauteuil, me voilà le cul à lair ! Il me dit :
- Ta culotte est trempée, jvais tenfiler ma bite !
- Vas pas si vite, ouvre-moi !
Il écarte mes genoux brutal, relève la jupe sur mon ventre, plonge la tête entre mes cuisses, colle sa bouche sur mon sexe. Sa langue est en action sur mon clitoris, pendant que ses doigts pénètrent mon vagin. Je couine, mouille, ouvre les cuisses en grand, jai envie, je suis prête.
Je prends sa tête, appuie sa bouche sur ma vulve, il aspire ma mouille. Sa langue lèche mon clito, entre dans mon trou, je ne tiens plus, supplie !
- Prends-moi !
Il se relève, prend un coussin de fauteuil, le met au sol, me retourne brutalement, je me retrouve à genoux sur le coussin et le buste sur le canapé, en levrette.
- Aie, vas-y mou !
Il me burine sauvage, ses coups de queue sont rudes, je mouille terrible, à chaque va et vient il butte au fond de moi. Je transpire, laccompagne dans sa chevauchée, mon cul suit les va et vient de sa bite. Il me ramone dur, passe une main sous mon ventre, ouvre la fente, roule mon clito entre deux doigts pendant quil actionne sa queue dans mon vagin. Je ne tiens plus, crie de plus en plus fort, je donne des coups de cul pour aller au devant se sa bite, il me défonce. Il na que 16 ans, sa bite, en baisant, va encore se développer, grandir, grossir, lannée dernière elle faisait 3,5 x 14, maintenant plutôt 4 x 16 ! Rien à voir avec les dimensions de la bite du fermier. Et dire que je lai dépucelé il y a à peine 1 an. Je sens quil commence à avoir un peu dexpérience ! Il sort de moi, je me relève, il me fout à poil, en fait autant pour lui, sallonge sur le tapis, tient sa bite dressée, mordonne :
- Mets-toi à cheval sur mon dard, plante le dans ta chatte !
Je me mets à califourchon au-dessus de lui, saisie sa queue, la guide dans mon trou, descends, membroche. Et cest parti pour une chevauchée fantastique, je monte et descends sur son pieu. Sans me quitter, il me bascule sur le côté, je serre mes cuisses, je sens bien sa queue coulisser dans mon ventre, il me pilonne sec. Je crie ma jouissance lorsquil se bloque et à chaque soubresaut répand son foutre au fond de mon vagin.
- Oh ! oui oui oui, encore !.
Il ressort, je me mets sur le dos, écarte les cuisses en grand, replie les jambes, me cambre, remonte mon cul..
- Faut que jprenne une douche, t'as foutu plein de foutre sur moi !
- Moi aussi, on va la prendre ensemble !
Je vais dans la salle de bain, il me suit. Je commence par me soulager puis passe sur le bidet pour vider mon vagin et faire une toilette intime. Il me regarde, intéressé, sa bite est devenue molle, pendouille. Je lui dis :
- Tes gonflé dmavoir sauté dessus comme ça !
- Tu me montres ta culotte, cest pas un appel ça ?
- Pas du tout ! Jy pensais pas !
- Menteuse ! Tas tout fait pour me faire bander !
On est sous la douche, chacun de nous sattarde sur les parties génitales de lautre. Ses doigts me fouillent, ma main astique sa queue. Le voilà qui rebande. Je maccroche à lui, garde un pied au sol, lève lautre jambe, reprends sa queue, essaye de me la rentrer. Je ny parviens pas, mauvaise position, pas assez long, pas encore assez dur, sur une patte je fatigue. Je maccroupis, le suce, le gland grossit, prend de la couleur, la tige sallonge, durcit. Cette fois il est en forme, je me relève, me penche en avant, mappuie sur le mur, lui présente mon cul.
- Vas-y !
Et hop, un coup de rein, il est rentré dans mon vagin et cette fois peut arriver au fond.. Il me burine dur, leau coule sur nous, jaime me faire baiser sous la douche, ça décuple les sensations. Il sarrête, a un soubresaut, le mandrin se raidit, se contracte, ça y est, il va lâcher la purée ! Non, rien, même pas une petite coulée, je suis frustrée, les couilles sont vides. On sort de la douche, sessuie, retournons dans le salon. On se rhabille.
- Tes quand même un sacré salaud, tu fais des infidélités à ta copine en me baisant !
- Pas si con, jvais pas lui dire que jte lai enfilé! Tu mmontres ton cul, cest bien pour que je lemmanche !
On reprend place, lui dans le fauteuil, moi sur le canapé.
- Bon, tu veux savoir si jai réussi à la dépuceler ?
Le lendemain matin je vais au collège. Il est fermé. Je la vois, lui fait un petit signe, elle séloigne, fait semblant ne pas me voir. Déçu de ne pas lui avoir parlé, je rentre à la maison. Après avoir mangé le midi, je vais dans ma chambre, mallonge sur le lit, sort ma queue, bande en pensant à elle, me branle, ça vient, jai chaud, jarrête. Viendra, viendra pas ? Je suis nerveux, elle na pas voulu me parler ce matin, elle doit men vouloir davoir essayé de la prendre. Elle est trop jeune, 14 ½, je fais peut être une grosse connerie. Elle sest laissée mettre le cul à lair, elle doit le regretter. Je regarde ma montre. Une heure un quart, la demie, moins le quart, moins dix, toujours personne, cest vraiment foutu, elle ne viendra pas.
On sonne à la porte, mon cur bat la chamade! Je rentre ma bite, me lève, jai soudain très chaud, je tremble, sorts de ma chambre, respire à fond, me calme, me dirige vers la porte, louvre. Elle est là, un grand sourire, en robe et blouson de cuir noir, petit sac à dos à lépaule.
- Entre ! Tu mas évité ce matin, je croyais que tu nallais pas venir !
- On ne fait rien, tu promets !
- Je suis daccord, cest comme tu veux !
Elle entre, on se dirige vers le salon. Elle quitte son blouson, le met sur le canapé, sy installe, ouvre son mini sac à dos, me dit : .
- Je te ramène ton slip !
- Et tes venue seulement pour me le rapporter, je ne te crois pas !
- Jai bien réfléchi, je ne peux pas !
- Je crois plutôt que tu es venue pour que je te la rentre !
- Ninsiste pas, sinon je men vais !
Je lui sers un coca dans un verre, en prend un pour moi, minstalle dans le fauteuil face à elle. Je suis intimidé de la voir là, en face de moi, je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Si je me lance, elle risque de le prendre mal, de partir.
- Jai pensé toute la nuit à ce que tu mas fait, cest mal, tu mas entraîné trop loin, je ne veux pas recommencer. Tu comprends, jlai jamais fait !
- Pourtant je crois que ça ta plu puisque tu es là !
- Je sais, je men veux, tes caresses mont fait perdre la tête. Cétait trop fort, jpouvais pas résister, jme suis laissée aller, je le regrette. Aujourdhui tout est différent, la nuit a passé, mes sens sont apaisés, mon ventre est calmé, jai bien réfléchi, il ne faut pas, je ne veux pas !
- Pourquoi ? Il faudra bien que tu y passes !
- Pas maintenant, cest trop tôt !
Lire la suite 3
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!