Le Con Sert Tôt . Suite ( 3 )

- 3 - Je me lève, me plante devant elle. Elle lève les yeux, me regarde intensément, semble troublée, rougit, je la sens nerveuse, tendue. Je lui prends la main, tire doucement, elle quitte le canapé. Je l’emmène lentement vers ma chambre, elle ne résiste pas, se laisse conduire. J’ouvre la porte, m’écarte pour la laisser passer. Elle hésite un instant, entre, s’avance près du lit, se retourne vers moi, me dit :
- T’as promis de ne pas me toucher et maintenant je suis dans ta chambre !
- J’t’ai pas ! Juste pris la main. T’aurais pu dire non, j’aurais pas insisté !
Je m’approche, la serre contre moi, frotte ma queue contre son ventre, elle doit sentir que je bande. Je cherche sa bouche, sa langue, elle s’accroche à mon cou. Tout en l’embrassant je descends les mains sur la robe, la remonte derrière, serre ses miches sur la culotte. Elle s’écarte, me dit
- On doit pas !
mais descend sa main et emprisonne la bosse du pantalon, la comprime. Je prends le bas de la robe, la remonte jusqu’à sa taille, elle s’écarte de moi, la passe par-dessus sa tête, l’enlève, la met sur le dossier de la chaise. La voilà en petite culotte et soutient gorge. Elle le dégrafe, se retrouve la poitrine à l’air. Je suce ses tétons, glisse ma main dans sa culotte, appuie sur le clito qui dépasse de la fente. Elle enlève ma main, me repousse :
- Tu vas trop vite, laisse-moi le temps !
Elle me regarde, se rapproche de moi, déboutonne ma chemise, l’enlève. Puis elle s’attaque à mon pantalon, le fait tomber à mes pieds. Je me retrouve en slip. Elle regarde la bosse qui le déforme, passe la main dessus, la glisse dans le slip, s’empare du membre. Elle prend l’élastique du slip, peine à le descendre tellement je bande. Je me retrouve à poil ! Ma queue est rouge, raide, le gland violacé. Elle la regarde, dit :
- J’ai jamais branlé un mec !
D’instinct elle caresse le gland, fait coulisser sa main sur la hampe, tire sur la peau.

La voilà qui m’astique, agasse le méat, caresse les couilles. Pour une première fois elle se débrouille bien. Pendant qu’elle me branle, je descends ma main dans sa culotte, titille son clito, elle se laisse faire. Doucement je la pousse vers le lit, elle se retrouve assise. Elle a les jambes serrées, j’att l’élastique de la culotte, la descend le long des jambes, la retire, la jette au pied du lit. Je la prends par les pieds, les soulève, la tourne, l’allonge, tente de lui écarter les cuisses, elle résiste, dit.
- J’suis pas prête !
Je m’allonge le long de son corps, m’appuie sur un coude, embrasse son cou, sa bouche, ses seins, descends la main sur la vulve. Je passe le doigt entre les nymphes, le glisse au fond de la fente. Elle est trempée. Sa respiration est rapide, chaque bisou la fait frémir, elle remue le bassin quand mon doigt touche le clito. Elle a pris ma queue, la serre, comprime le gland à m’en faire mal, je bande dur tellement je suis excité. Elle lâche ma queue, je me redresse, bascule sur elle, force un peu pour glisser mes genoux entre ses jambes, tente de lui écarter les cuisses. Elle résiste puis abandonne, je suis à genoux entre ses cuisses. Son sexe est là, exposé, magnifique, gonflé, le clito bien en vue. J’ouvre les grandes lèvres, prends le clito, le décalotte, fais ressortir le petit bouton rose, le caresse, il grandit, durcit, les petites lèvres deviennent longues et brunes, s’entrouvent.
- J’peux te pénétrer ?
- Pas tout de suite!
J’agasse son petit bourgeon, chaque caresse dessus provoque des soubresauts de son bas ventre, la fait couiner et respirer de plus en plus vite. Elle remue le bassin, se cambre, gémis de plus en plus fort, halète. Ses jambes se replient, ses cuisses s’ouvrent en grand, elle remonte les fesses, les décollent du lit, présente son sexe à hauteur de ma queue. J’attends encore un peu, accentue les caresses sur son corps, ses seins, d’une main tire les tétons, de l’autre continue les attouchements sur le clito, un flot de mouille envahit sa vulve.
Ca y est, elle est prête, je crois que je peux y aller.
- Tu veux bien ?
Dans un souffle elle murmure :
- Oui !
Je m’incline au-dessus d’elle, m’appuie mains sur le lit. Elle prend ma queue, la glisse dans la fente entrouverte, l’appuie sur son trou. Je lui laisse l’initiative. Elle maintient la bite en place, appuie fortement le gland sur l’entrée du vagin, tente de l’introduire en elle. Malgré la pression, le bout arrondi parvient à peine à dilater l’entrée, le muscle résiste à la pénétration. Elle a chaud et semble un peu crispée, me dit :
- Ca va pas rentrer !
Elle tient toujours ma queue, donne des petits coup de reins, remue le bas ventre, appuie la bite, le trou s’entrouvre. Le bout du gland s’enfonce, l’entrée du vagin se dilate un peu, je la laisse faire, c’est en bonne voie, elle me dit :
- C’est trop gros !
Elle continue d’essayer de le rentrer, je ne l’aide pas. Mais j’ai un problème ! Ca fait bien 2 mn qu’elle appuie mon gland sur l’entrée du vagin, ça m’excite au plus haut point. Je ne tiens plus, je sens que je vais venir avant d’être dedans. Il faut que je ne la rentre tout de suite. Je lui fais lâcher ma queue et donne un brusque coup de reins. Le muscle entrouvert cède, l’entrée du vagin se dilate, le gland déchire l’hymen. Elle pousse un cri à ameuter le voisinage :
- Aie ya aie aie!
Le gland a franchi l’obstacle, je suis dans elle, je m’arrête, elle pleure. J’enfonce doucement ma queue dans sa gaine, le gland progresse lentement, dilate l’étroit vagin. Je sens la collerette glisser le long de la paroi humide, la queue arrive au fond. J’attends qu’elle s’habitue à la présence de ma bite dans son ventre, puis je commence à faire de lents va et vient. Elle pleure, ferme les yeux. Ses jambes retombent à plat sur le lit, son corps se relâche, elle est allongée sous moi, cuisses largement ouvertes, ses mains sont appliquées sur ma poitrine, me tiennent au dessus de son corps.
À chaque va et vient je m’enfonce un peu plus loin dans son ventre, elle se laisse faire, ne participe pas, se plaint :
- J’ai mal ! Vas doucement !
Elle continue à pleurer, gémis de plus en plus fort à chaque a et vient, sa respiration est rapide. Ca y est, cette fois je suis vraiment au fond, mes couilles touchent son cul. Je prends mon temps, je sens mon gland coulisser le long de la paroi humide, ma queue comble son étroit vagin. Elle sanglote de plus en plus, je la lime de plus en plus vite, m’encastre à fond, arrête. Ma bite se contracte, le gland enfle, à chaque soubresaut je déverse mon foutre au fond de son vagin. Je fais encore quelques va et vient, vide en elle ce qui me reste de sperme, m’aplatit sur elle. Elle est sous moi, ne bouge pas, je laisse ma bite ressortir lentement, elle retombe, je ne bande plus. Elle a les yeux fermés, paraît anéantie, continue de sangloter, sa respiration ralentit. Je roule sur le côté, m’allonge à côté d’elle, ses cuisses restent largement ouvertes, le sperme sort de son vagin, coule dans la raie des fesses. Je me mets à essuyer ses larmes, à l’embrasser sur les parties sensibles de son corps, elle frémit.
- Tu m’as fait trop mal !
Elle se redresse, passe la main sur son sexe. Comme le sperme coule hors du vagin, elle en a plein sur la main, la sent, grimace.
- Je peux aller me laver ?
- Oui, bien sur !
Elle se lève, et là, en plein milieu de la couette, catastrophe. Elle est tachée de sang et de sperme. Je regarde ma queue, elle a des traces de sang et de foutre. Elle sort de la chambre, direction la salle de bain. Je reste dans la chambre, constate les dégâts. Je n’avais pas prévu ça. ! Comment faire pour que ma mère ne s’aperçoive de rien ? C’est l’engueulade assurée. J’aurais dû penser à protéger la couette ! Heureusement que cette chambre est mon domaine réservé, ma mère n’y entre pas souvent, si ce n’est pour changer les draps de temps en temps. Mais il suffit d’une fois.
Elle a pris une douche, revient dans la chambre, une serviette de bain autour des seins. Je suis attiré par son corps comme par un aimant. Je me plaque contre elle, vire la serviette, le contact de son corps nu me fait bander de nouveau, elle me dit :
- Laisse moi me rhabiller !
Je la laisse, m’éloigne, elle se rhabille, j’en fais autant, regarde les dégâts sur le lit, lui demande :
- Comment je peux faire pour enlever le sang et le sperme qui tâchent la couette ?
- J’m’en occupe ! Procure-moi une bassine d’eau froide, un gant de toilette et une grosse serviette.
Je lui ramène le nécessaire, elle se met au boulot, glisse la serviette entre la couette et le drap, les tâches de sang disparaissent mais la couette en sort sérieusement mouillée, la serviette est toute tachée. Pendant qu’elle répare les dégâts, je lui demande :
- Dis le moi franchement, t’es venue pour que je te dépucelle !
- Oui, je savais qu’en allant chez toi j’allais y passer !
- J’m’en doutais, hier j’ai senti que t’ avais envie que j’te pénètre !
- Voilà c’est réparé, il n’y a plus qu’à attendre que ça sèche. Je sais pas pour le sperme, débrouille-toi !
- Merci, heureusement que tu sais comment faire, sinon comment expliquer ça à ma mère ?
- Je me sauve, je dois rentrer !
On s’embrasse :
- Tu m’as fais mal quand tu m’as déchiré!
- Je sais. Tu ne m’en veux pas ?
- Maintenant je sais ce qu’est une bite en érection, comment elle entre et coulisse dans mon ventre. Il faut attendre, l’entrée est trop sensible, ça m’brûle, je saigne encore ! Je ne sais pas quand je pourrais recommencer ! Soit patient, j’te dirais !
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