Le Con Sert Tôt ( Suite 4 )
- Jai écouté son récit jusquau bout, sans linterrompre. Quelle mémoire, que de détails. Une première fois, on en garde toujours le souvenir. Il est assis devant moi et depuis un moment je remarque une énorme bosse dans son pantalon. Pour ma part, ce récit assez érotique me fait mouiller. Il me propose une autre bière, va la chercher et en revenant me sert, me donne le verre, prends le sien, sassoie dans son fauteuil. On ne dit rien, il me regarde, je suis là, jambes croisées, latmosphère est électrique, je sens quil a de nouveau envie de moi. Il pose son verre, se lève, prend le mien, se met devant moi, ouvre son pantalon, descend le slip, libère sa bite et ses couilles. Il bande dur, le gland en est violacé, la hampe est très rouge, gonflée. Il me prend la tête, appuie sa bite contre ma bouche, me force à la gober en entier. Heureusement quelle nest pas très grande !
- Vas-y, suce-moi !
Je mexécute, le suce avec application, il me tient la tête, me rentre sa bite en fond de gorge, métouffe. Je lui caresse les couilles, suce les testicules un par un, il apprécie ma prestation, grogne ! Soudain il quitte ma bouche, tire, me met debout, sassoie dans le fauteuil.
- Approche, tourne-toi, relève ta jupe, viens tembrocher sur ma bite !
Il écarte ma culotte, prends son pieu, le mets en place, je massoie dessus, memmanche. Il est dedans, je monte et descends, mactive, je fatigue !
- Fout toi en levrette sur le canapé, jvais décharger dans ton con !
Je mexécute, il vient derrière moi, remonte la jupe sur mon dos, écarte de nouveau ma culotte, me pénètre dun seul coup, va au fond, me pilonne hard. Arrêt, un soubresaut, il décharge, menvoie une toute petite quantité de foutre, saffale sur moi, je mécroule. Il sort de mon vagin, me laisse pantelante, poitrine aplatie sur le canapé, cuisses écartées.
- Tas eu ton compte !
- Non, jai pas joui !
Je me relève, vais dans la salle de bain.
- Tu viens encore de me baiser ! Tas plus rien dans les couilles !
Ca fait presque 2h que je suis chez lui, jai bu 2 bières, il ma raconté comment il a dépucelé sa copine, baisé en plusieurs fois, fait jouir. Il me reconduit à la porte, avant de louvrir, il membrasse.
- Viens demain à la même heure! Jaurais rechargé !
Je rentre chez moi, mes grands-parents ne sont pas encore revenus du boulot. Je mallonge sur mon lit, repense à lhistoire quil vient de me raconter. Ca mexcite, je mouille, me doigte. Jentends ma grand-mère qui rentre. Je me lève, la rejoint, lembrasse
- Tas passé une bonne journée ?
- Je me suis un peu promené, mais jai surtout bouquiné !
Je passe une mauvaise nuit, jai du mal à mendormir. Je rêve, revients en arrière, repense à mon dépucelage. Pour moi aussi ça a été dur, jai eu mal, mais après cicatrisation, tout cest bien passé, et maintenant jaime la bite et profite des occasions qui me sont offertes pour men faire enfiler une. Dans le courant de lannée, jen ai peu, cest pas facile, faut toujours composer. On ne peut rien faire chez moi ni chez mon copain, on baise souvent dans des endroits insolites, à la sauvette. Mais pendant cette semaine de vacances, jai trouvé une bite disponible, jen profite ! Si jy retourne, cest dans lespoir que cette fois il ne fera que menfiler ! Hier, je lai écouté, ça ma émoustillé, je lui ai permis de tirer un deuxième coup, juste pour lui faire plaisir. Je décide daller le rejoindre. Je mets une jupe, un string, un chemisier et une veste, me parfume. Je suis assez sexy, Jai presque une heure de retard cest normal pour une femme, il faut savoir se faire désirer. Jarrive chez lui, sonne.
- Ah te voilà, jcroyais qutallais pas vnir.
Il est en slip, torse nu.
- Jai hésité, jsuis pas très en forme pour me faire baiser aujourdhui, jsuis venue quand même !
- Entre vite, faut pas trop quon te voit, les voisins risquent de dire à mes parents que je reçois une fille en leur absence!
Je vois le slip qui se déforme à vue dil, la bite risque den jaillir.
- Aïe !
En moins de 2 mn, me voilà plantée par sa queue, pilonnée, burinée sauvage. Je couine au rythme des coups de bite Il sacharne tellement quil en transpire. Il sarrête soudain, pas possible, je sens la bite gonfler, il va décharger. Il va trop vite, menvoie plusieurs giclées ! Il sort de moi, je me relève, courre dans la salle de bains, minstalle sur le bidet, me vide, fait une toilette intime. Je reviens, je vois quil a mis une serviette sur le lit.
- Allonge toi sur le lit !
Je métends sur la serviette, il enlève mon string, mécarte les cuisses, plaque sa main sur ma vulve, active ses doigts dans mon trou, je lui dis :
- Tu mas prise à sec.
- Jte finirais plus tard !
Il sallonge à côté de moi, commence à me caresser partout, soigne particulièrement ma poitrine, triture mon clito, enfonce deux puis trois doigts dans mon sexe sans difficulté, sa queue vient de louvrir. Ses caresses sont précises, il choisit les endroits sensibles, je remue le bassin tant et plus, cette fois je mouille, une vraie fontaine. Ma respiration est rapide, jai chaud cest maintenant quil faut quil me la rentre, je suis prête, mais cest trop tard, il ne bande plus, sa queue est molle.. Au lieu de ça, il se met à me parler de sa copine !
- Tu sais, ma copine, après lavoir dépucelé, il lui a fallu longtemps avant quelle maccepte en elle ! Elle voulait plus me voir.
- Non, fout moi la paix, tu mas fait trop mal !
Je lécoute, je naime pas lentendre parler de sa copine alors quil vient de me baiser. Il me prend pour un vide-couilles, je lui demande :
- Tu peux pas me parler dautre chose, tu penses à elle quand tu me baises ?
- Non, en ce moment cest ton cul qui mintéresse, mais cest une manière de texciter pour la prochaine partie de baise !
- Ah, parce que ten prévois une autre !
- Bien sûr ! Jen ai gardé.
- Faut dabord que tu rebandes !
Ses mains se baladent sur mon corps, sa bouche le couvre de baisers, aspire mes tétons, ses doigts me fouillent, mon ventre réagit. Je prends sa queue, pour le moment il bande mou, je vais améliorer ça pour tout à lheure ! Il a tiré son coup sans préambules, mais moi je suis restée sur ma faim ! Je trouve quand même désagréable de lentendre parler de sa copine pendant quil soccupe de mon corps !
Alors que ses doigts sactivent dans mon sexe, font bander mon clito, que sa langue tourne sur mes aréoles autour des tétons, que tout mon corps frémit sous ses caresses, que je suis tendue à lextrême, attends quil me reprenne, il continu :
- Pendant plus de 3 semaines jai essayé. Parfois jarrivais à la coincer, me faire tendre, lembrasser, la cajoler, la peloter, rien à faire elle repoussait. mes avances surtout si je lui mettais la main dans lentrejambes. Mais un jour elle ma dit :
- Jai mis un doigt, jai plus mal ! Donne-moi une capote, demain jte dirais
Jen ai toujours avec moi, je lui en donne une.
- Quest cque tu veux en faire ?
- Ma copine ma dit : Si tu veux savoir si sa bite va entrer sans te faire mal, tu prends une grosse carotte, dau moins 15 cm de longueur et 4 cm de diamètre, lui met une capote.
- Le lendemain je vais à sa rencontre, je lembrasse, lui demande :
- Alors, tas essayé ?
- Trouves un endroit ! Jvais bientôt avoir mes règles !
Comment faire ? On est en milieu de semaine, on a cours, on peut pas les sécher. Je lui dis :
- Demain, après les cours on pourrait aller chez toi.
- Non, y aura mon frère !
- Chez moi cest pas possible non plus, cest trop loin, mes parents rentrent vers 6 h ! On va pas avoir le temps.
- Jai une idée. Demain, pendant lheure du midi, au lieu daller à la cantine on ira chez moi. On aura pas beaucoup de temps, on prendra le bus qui passe ici vers midi cinq. Tu prendras du pain, on mangera un casse croûte ! Au retour il faudra prendre celui qui passe devant chez moi vers 1h1/4 /1 h 20 . À la demie on doit être en classe si on veut pas se faire prendre !
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