Le Con Sert Tôt ( Suite 5 )

- 5 - Pendant qu’il me parle, il fourre ses doigts dans mon vagin, les tourne, me les donne à sucer :
- Tiens, gouttes toi !
Je le branle, il bande toujours un peu mou, mais je vais y arriver. Il me redresse, passe au-dessus de moi, me met sa queue en bouche. Dégueulasse, il ne l’a pas lavé, je le suce quand même. Je m’applique, passe ma langue sur le bout du gland, absorbe la bite en entier. J’atteins mon but. Sa queue gonfle, durcit, il bande de plus en plus, il va pouvoir me la remettre, ça va être bon. Je me mets sur le côté, dos à lui, j’ai les cuisses serrées, je lui présente mon cul, prends sa bite, la met en place au fond de ma fente. D’un coup de reins, il m’emmanche, ça rentre mais c’est pas encore assez dur, ça va pas profond. Après quelques va et vient il sort de moi, me laisse encore sur ma faim. Je me remets sur le dos, reprends sa queue en main, l’active sérieux, il faut qu’il me la remette. Il commence à bander dur, mais malgré ça suit son idée, reprend le cours de son récit.
- C’est un jeudi, le matin je la vois avant d’entrer en classe, lui demande
- T’es toujours d’accord ?
- On fait comme j’ai dit !
Pendant les cours je suis terriblement nerveux, j’y pense, l’attente est insupportable! Dès l’ouverture des portes, je file. J’arrive juste au moment ou elle monte dans le bus. Je lui fais juste un petit signe, il ne faut pas se compromettre ! Pour aller chez elle, il y a 4 arrêts, le trajet dure environ 5 mn. Je descends une station avant, il y a un boulanger. Ca me fait perdre du temps, je regarde ma montre, il est midi 20 quand j’arrive devant chez elle, essoufflé, mon pain à la main. Elle m’a dit de ne pas sonner, elle pourrait ne pas être seule, elle surveillera mon arrivée. Je trépigne devant la grille, je suis impatient, elle doit être là, rien ne bouge. J’allais repartir lorsque la porte s’entrouvre, une main dépasse, un doigt me fait signe d’entrer. Elle reste à l’intérieur, ne se montre pas, referme la porte à clé derrière moi.

Elle est en robe de chambre, je l’embrasse, ouvre et fait tomber la robe de chambre au sol. Elle est nue, mais a gardé sa petite culotte. Je l’écarte, mets un doigt dans sa fente, elle est trempée.
- Tout va bien, il faut qu’on retourne en classe pour 1h ½, comme ça personne ne sera au courant.
Je ne tiens plus, je vais exploser. Elle me prend la main, dit
- On y va ?
On se dirige rapidement vers sa chambre et, tout en marchant, je me déshabille. Blouson, chemise, pantalon, chaussures, tout traîne sur le parcourt. Il ne reste plus que mon slip. Elle a pris de l’avance sur moi, a laissé la porte ouverte, j’entre, la referme. Elle a étendu un drap de bain sur le lit, s’est allongée dessus, a enlevé sa culotte, a remonté ses jambes et ouvert ses cuisses en grand. La position me dévoile son sexe, elle me dit.
Viens vite !
Je vire mon slip, grimpe sur le lit, me mets entre ses cuisses, bande dur. Elle prend ma queue, la place sur l’entrée du vagin. Je me mets sur elle, elle se cambre, décolle les fesses du lit. Je la sens nerveuse, excitée. Je l’emmanche d’un seul coup de rein, ma queue entre en entier sans aucune difficulté, je suis au fond d’elle, mes couilles touchent son cul. Au moment ou je la pénètre, elle fait :
- Ah hoooo !
Je fais deux ou trois va et vient bien appuyés, me bloque au fond, décharge. À chaque contraction de ma bite, à chaque fois que j’envoie mon foutre au fond de son vagin, elle crie
- Oh ah ah !
Je lui remplis le ventre, sa respiration est haletante. Je m’aplatis sur elle, ses jambes retombent, son corps se détend, sa respiration ralentit. Je ressorts ma queue de son vagin, mon jus coule dans la fente, c’est fini. Elle me repousse, se lève, fonce dans la salle de bain. Je reste allongé sur le lit, la bite à l’air, encore raide. Elle revient dans la chambre, prend ma bite, dépose un bisou sur le gland.
La pénétration a été rapide, l’éjaculation aussi, il fallait assouvir l’envie que j’avais d’elle depuis près d’un mois. Je regarde ma montre, il est un peu moins de midi et demi, elle me dit :
- On va manger, baiser, ça m’a donné faim !
Elle file dans la cuisine, je remets mon slip, range mon outillage dedans, la rejoins. Elle qui est si pudique se promène nue dans la cuisine, sans aucune gène. Ce qu’elle est belle avec ses jolis seins fermes et bien formés (ils sont un peu plus développés que les tiens, mais tout aussi fermes), écartés, de belles aréoles un peu rose- brun, des tétons légèrement plus clairs et dressés. J’admire sa chute de reins, ses fesses, son bas ventre, elle n’a plus peur de se trimballer à poil devant moi.
Il choisit ce moment pour arrêter de nouveau son récit. Pendant qu’il racontait, je n’ai pas perdu de temps, j’ai continué à le branler. Sa queue est restée dure, gonflée. Il s’allonge sur moi, écarte mes cuisses, me pénètre direct. Je ferme les yeux, m’abandonne, et comme dans un rêve, je crois être à la place de l’autre, me remémore la scène qu’il vient de me décrire. Il me ramone sérieusement la cheminée, ses couilles viennent battre contre mon cul, je suis très excitée, je l’accompagne, couine de plus en plus fort à chaque coup de queue. Mon cœur bat plus vite, j’ai de plus en plus chaud, ça y est, je viens, crie ma jouissance. Il ne décharge pas, se met à genoux, m’enfile ses doigts dans le sexe, caresse ma toison, les seins, tout y passe !
- J’en étais où quand je t’as joui ?
- Vous alliez vous mettre à table !
- Bien, j’te finirais tout à l’heure, je continue à te raconter :
Son frère est au lycée et ne rentre pas le midi. Je l’aide à préparer les sandwiches, pain, beurre, tranches de saucisson, feuille de salade, rondelles de tomate, elle sort de l’eau du frigo, prend 2 verres, on parle :
- J’ai pas eu mal ! T’es rentré facile !
- J’t’ai pas préparé ! Tu t’es ouverte avant ?
- Pas la peine, rien qu’en y pensant je mouillais !
- J’bandais trop, j’ai pas pu tenir, j’ai tout lâché !
On ne perd pas de temps à table, en 10 mn tout est englouti.
Je regarde ma montre, il est maintenant une heure moins vingt, il nous reste moins d’une demi-heure avant de retourner au collège. Je l’aide à tout ranger, tout est en ordre dans la cuisine.
- Tu veux que je parte maintenant ?.
- Non, viens. Baises moi encore !
- J’vais pas pouvoir tu m’as vidé.
Elle passe la main dans mon slip, constate :
- Tu bandes pas ! J’vais arranger ça ! Dépêche-toi !
On file dans la chambre, elle se retourne vers moi, enlève mon slip, prend ma queue, se colle contre moi. Elle frotte ma bite contre son ventre, la prend en main, la caresse avec application, tire sur la peau, astique le gland, me branle. La bite réagit vite, se redresse, durcit. Pendant qu’elle s’active sur ma queue, je glisse un doigt dans sa fente, le met au bord du trou, l’entre dedans, elle mouille. Je la pousse vers le lit, elle s’allonge sur le drap de bain, écarte les cuisses en grand, s’expose délibérément. Je sais pas si je vais pouvoir, tout à l’heure elle m’a vidé les couilles ! Et dire qu’il y a peu de temps, dans les blés, elle refusait de me montrer son corps.
- Alors tu viens !
Je m’allonge à côté d’elle, commence à la couvrir de baisers partout, m’occupe de sa poitrine, elle durcit, les tétons s’érigent, je les suce, elle couine. Elle ne perd pas son temps, actionne sa main de plus en plus vite, le gland devient rouge, gonflé, la hampe n’est pas bien raide, je bande de nouveau.
- Reviens dans moi !
- Je ne suis pas assez dur !
Je continue à fouiller son sexe, enfile deux doigts dedans, dégage son petit bouton, le caresse, à chaque touche son bas ventre réagit, sursaute. Je tire sur les nymphes, elles s’allongent, brunissent, se plissent, dépassent largement de la fente. Je m’installe entre ses cuisses, plaque ma bouche sur la vulve, aspire sa mouille, ma langue s’occupe du clito, je la glisse au fond de la fente, la rentre dans son trou. Son ventre fait un bond.
- Oh oui !
Elle remue de plus en plus le bas ventre, se cambre, gémis, sa respiration est rapide, elle va au devant de la caresse.
Elle n’a pas lâché ma queue, continue de me branler. Cette fois elle a réussi à me remettre en forme, je bande terrible. Elle me dit
- J’en peux plus, prends-moi ! :
- Mets-toi en levrette !
Elle se retourne, remonte ses fesses, poitrine et bras sur le lit, écarte les jambes, me présente son cul, elle est prête à être emmanchée. Je me place à genoux entre ses jambes, la prends aux hanches, tire pour placer son cul à hauteur de ma bite. J’appuie mon dard sur l’arrière de sa fente, pousse, elle s’ouvre et d’une seule traite, je la pénètre jusqu’au fond de sa gaine.
- Oh là !
Je commence à la buriner lentement, accélère, varie la cadence, prends mon temps. Elle accompagne chaque coup de bite par des coups de cul, suit le rythme, crie de plus en plus fort, m’aide à bien m’encastrer au fond d’elle. J’entends sa respiration, elle halète, a chaud, cambre les reins, je vois son dos onduler au rythme de mon action. Je sens que je vais venir, je l’att aux épaules, m'encastre à fond en elle, m’arrête, grogne, ma bite se contracte, à chaque soubresaut j’envoie mon foutre au fond du vagin. Elle crie :
- Ouiiiiiiii. encore !
et s’écroule à plat ventre sur le lit, jambes écartées, bras le long du corps. Je m’aplatis sur elle, la tire aux épaules, fait encore quelques va et vient, , envoie une dernière goulée, reste la queue dans son antre, je suis bien. Je bande encore, descends du lit, la regarde, sa fente est là, encore ouverte, lèvres gonflées, clito et petites lèvres apparents, dilatés, du foutre coule, elle a vraiment un beau cul. Elle ne bouge pas, sa respiration est devenue calme, elle semble dormir. Son sexe semble disposé à m’accueillir, j’ai envie de la reprendre là, dans cette position, mais on a plus le temps. Elle se relève, et, avant de filer dans la salle de bain se laver, me dit :
- Faut faire vite, on doit être au collège dans 20 mn, il ne faut pas qu’on arrive ensemble pour ne pas éveiller les soupçons.
- C’est pas marrant, on a baisé contre la montre.
Je récupère mes vêtements, me rhabille en vitesse dans le salon, je la vois revenir dans la chambre, toujours nue. Je sorts le premier, l’attends à l’arrêt du bus. La voilà, le bus aussi. On monte dedans, on reste debout, elle me parle à voix basse :
- Cette fois, tu m’as prise par derrière, c’était mieux. J’ai bien senti ta bite et quand tu as envoyé ta dernière giclée au fond de moi, j’ai cru perdre la tête, soudain j’ai manqué d’air, je crois que mon cœur s’est arrêté ! Je n’ai pas ressenti ça quand t’as déchargé la première fois, en arrivant ! Tu m’as bien préparé, je te voulais en moi, c’est tellement bon de sentir ta queue coulisser dans mon ventre, d’avoir cette partie de toi en moi, de sentir ton sperme se répandre au fond de moi. - 5 - Pendant qu’il me parle, il fourre ses doigts dans mon vagin, les tourne, me les donne à sucer :
- Tiens, gouttes toi !
Je le branle, il bande toujours un peu mou, mais je vais y arriver. Il me redresse, passe au-dessus de moi, me met sa queue en bouche. Dégueulasse, il ne l’a pas lavé, je le suce quand même. Je m’applique, passe ma langue sur le bout du gland, absorbe la bite en entier. J’atteins mon but. Sa queue gonfle, durcit, il bande de plus en plus, il va pouvoir me la remettre, ça va être bon. Je me mets sur le côté, dos à lui, j’ai les cuisses serrées, je lui présente mon cul, prends sa bite, la met en place au fond de ma fente. D’un coup de reins, il m’emmanche, ça rentre mais c’est pas encore assez dur, ça va pas profond. Après quelques va et vient il sort de moi, me laisse encore sur ma faim. Je me remets sur le dos, reprends sa queue en main, l’active sérieux, il faut qu’il me la remette. Il commence à bander dur, mais malgré ça suit son idée, reprend le cours de son récit.
- C’est un jeudi, le matin je la vois avant d’entrer en classe, lui demande
- T’es toujours d’accord ?
- On fait comme j’ai dit !
Pendant les cours je suis terriblement nerveux, j’y pense, l’attente est insupportable! Dès l’ouverture des portes, je file. J’arrive juste au moment ou elle monte dans le bus. Je lui fais juste un petit signe, il ne faut pas se compromettre ! Pour aller chez elle, il y a 4 arrêts, le trajet dure environ 5 mn. Je descends une station avant, il y a un boulanger. Ca me fait perdre du temps, je regarde ma montre, il est midi 20 quand j’arrive devant chez elle, essoufflé, mon pain à la main. Elle m’a dit de ne pas sonner, elle pourrait ne pas être seule, elle surveillera mon arrivée. Je trépigne devant la grille, je suis impatient, elle doit être là, rien ne bouge. J’allais repartir lorsque la porte s’entrouvre, une main dépasse, un doigt me fait signe d’entrer. Elle reste à l’intérieur, ne se montre pas, referme la porte à clé derrière moi. Elle est en robe de chambre, je l’embrasse, ouvre et fait tomber la robe de chambre au sol. Elle est nue, mais a gardé sa petite culotte. Je l’écarte, mets un doigt dans sa fente, elle est trempée.
- Tout va bien, il faut qu’on retourne en classe pour 1h ½, comme ça personne ne sera au courant.
Je ne tiens plus, je vais exploser. Elle me prend la main, dit
- On y va ?
On se dirige rapidement vers sa chambre et, tout en marchant, je me déshabille. Blouson, chemise, pantalon, chaussures, tout traîne sur le parcourt. Il ne reste plus que mon slip. Elle a pris de l’avance sur moi, a laissé la porte ouverte, j’entre, la referme. Elle a étendu un drap de bain sur le lit, s’est allongée dessus, a enlevé sa culotte, a remonté ses jambes et ouvert ses cuisses en grand. La position me dévoile son sexe, elle me dit.
- Viens vite ! Je vire mon slip, grimpe sur le lit, me mets entre ses cuisses, bande dur. Elle prend ma queue, la place sur l’entrée du vagin. Je me mets sur elle, elle se cambre, décolle les fesses du lit. Je la sens nerveuse, excitée. Je l’emmanche d’un seul coup de rein, ma queue entre en entier sans aucune difficulté, je suis au fond d’elle, mes couilles touchent son cul. Au moment ou je la pénètre, elle fait :
- Ah hoooo !
Je fais deux ou trois va et vient bien appuyés, me bloque au fond, décharge. À chaque contraction de ma bite, à chaque fois que j’envoie mon foutre au fond de son vagin, elle crie
- Oh ah ah !
Je lui remplis le ventre, sa respiration est haletante. Je m’aplatis sur elle, ses jambes retombent, son corps se détend, sa respiration ralentit. Je ressorts ma queue de son vagin, mon jus coule dans la fente, c’est fini. Elle me repousse, se lève, fonce dans la salle de bain. Je reste allongé sur le lit, la bite à l’air, encore raide. Elle revient dans la chambre, prend ma bite, dépose un bisou sur le gland. La pénétration a été rapide, l’éjaculation aussi, il fallait assouvir l’envie que j’avais d’elle depuis près d’un mois. Je regarde ma montre, il est un peu moins de midi et demi, elle me dit :
- On va manger, baiser, ça m’a donné faim !
Elle file dans la cuisine, je remets mon slip, range mon outillage dedans, la rejoins. Elle qui est si pudique se promène nue dans la cuisine, sans aucune gène. Ce qu’elle est belle avec ses jolis seins fermes et bien formés (ils sont un peu plus développés que les tiens, mais tout aussi fermes), écartés, de belles aréoles un peu rose- brun, des tétons légèrement plus clairs et dressés. J’admire sa chute de reins, ses fesses, son bas ventre, elle n’a plus peur de se trimballer à poil devant moi.
Il choisit ce moment pour arrêter de nouveau son récit. Pendant qu’il racontait, je n’ai pas perdu de temps, j’ai continué à le branler. Sa queue est restée dure, gonflée. Il s’allonge sur moi, écarte mes cuisses, me pénètre direct. Je ferme les yeux, m’abandonne, et comme dans un rêve, je crois être à la place de l’autre, me remémore la scène qu’il vient de me décrire. Il me ramone sérieusement la cheminée, ses couilles viennent battre contre mon cul, je suis très excitée, je l’accompagne, couine de plus en plus fort à chaque coup de queue. Mon cœur bat plus vite, j’ai de plus en plus chaud, ça y est, je viens, crie ma jouissance. Il ne décharge pas, se met à genoux, m’enfile ses doigts dans le sexe, caresse ma toison, les seins, tout y passe !
- J’en étais où quand je t’as joui ?
- Vous alliez vous mettre à table !
- Bien, j’te finirais tout à l’heure, je continue à te raconter :
Son frère est au lycée et ne rentre pas le midi. Je l’aide à préparer les sandwiches, pain, beurre, tranches de saucisson, feuille de salade, rondelles de tomate, elle sort de l’eau du frigo, prend 2 verres, on parle :
- J’ai pas eu mal ! T’es rentré facile !
- J’t’ai pas préparé ! Tu t’es ouverte avant ?
- Pas la peine, rien qu’en y pensant je mouillais !
- J’bandais trop, j’ai pas pu tenir, j’ai tout lâché !
On ne perd pas de temps à table, en 10 mn tout est englouti. Je regarde ma montre, il est maintenant une heure moins vingt, il nous reste moins d’une demi-heure avant de retourner au collège. Je l’aide à tout ranger, tout est en ordre dans la cuisine.
- Tu veux que je parte maintenant ?.
- Non, viens. Baises moi encore !
- J’vais pas pouvoir tu m’as vidé.
Elle passe la main dans mon slip, constate :
- Tu bandes pas ! J’vais arranger ça ! Dépêche-toi !
On file dans la chambre, elle se retourne vers moi, enlève mon slip, prend ma queue, se colle contre moi. Elle frotte ma bite contre son ventre, la prend en main, la caresse avec application, tire sur la peau, astique le gland, me branle. La bite réagit vite, se redresse, durcit. Pendant qu’elle s’active sur ma queue, je glisse un doigt dans sa fente, le met au bord du trou, l’entre dedans, elle mouille. Je la pousse vers le lit, elle s’allonge sur le drap de bain, écarte les cuisses en grand, s’expose délibérément. Je sais pas si je vais pouvoir, tout à l’heure elle m’a vidé les couilles ! Et dire qu’il y a peu de temps, dans les blés, elle refusait de me montrer son corps.
- Alors tu viens !
Je m’allonge à côté d’elle, commence à la couvrir de baisers partout, m’occupe de sa poitrine, elle durcit, les tétons s’érigent, je les suce, elle couine. Elle ne perd pas son temps, actionne sa main de plus en plus vite, le gland devient rouge, gonflé, la hampe n’est pas bien raide, je bande de nouveau.
- Reviens dans moi !
- Je ne suis pas assez dur !
Je continue à fouiller son sexe, enfile deux doigts dedans, dégage son petit bouton, le caresse, à chaque touche son bas ventre réagit, sursaute. Je tire sur les nymphes, elles s’allongent, brunissent, se plissent, dépassent largement de la fente. Je m’installe entre ses cuisses, plaque ma bouche sur la vulve, aspire sa mouille, ma langue s’occupe du clito, je la glisse au fond de la fente, la rentre dans son trou. Son ventre fait un bond.
- Oh oui !
Elle remue de plus en plus le bas ventre, se cambre, gémis, sa respiration est rapide, elle va au devant de la caresse. Elle n’a pas lâché ma queue, continue de me branler. Cette fois elle a réussi à me remettre en forme, je bande terrible. Elle me dit
- J’en peux plus, prends-moi ! :
- Mets-toi en levrette !
Elle se retourne, remonte ses fesses, poitrine et bras sur le lit, écarte les jambes, me présente son cul, elle est prête à être emmanchée. Je me place à genoux entre ses jambes, la prends aux hanches, tire pour placer son cul à hauteur de ma bite. J’appuie mon dard sur l’arrière de sa fente, pousse, elle s’ouvre et d’une seule traite, je la pénètre jusqu’au fond de sa gaine.
- Oh là !
Je commence à la buriner lentement, accélère, varie la cadence, prends mon temps. Elle accompagne chaque coup de bite par des coups de cul, suit le rythme, crie de plus en plus fort, m’aide à bien m’encastrer au fond d’elle. J’entends sa respiration, elle halète, a chaud, cambre les reins, je vois son dos onduler au rythme de mon action. Je sens que je vais venir, je l’att aux épaules, encastre à fond en elle, m’arrête, grogne, ma bite se contracte, à chaque soubresaut j’envoie mon foutre au fond du vagin. Elle crie :
- Ouiiiiiiii. encore !
et s’écroule à plat ventre sur le lit, jambes écartées, bras le long du corps. Je m’aplatis sur elle, la tire aux épaules, fait encore quelques va et vient, , envoie une dernière goulée, reste la queue dans son antre, je suis bien. Je bande encore, descends du lit, la regarde, sa fente est là, encore ouverte, lèvres gonflées, clito et petites lèvres apparents, dilatés, du foutre coule, elle a vraiment un beau cul. Elle ne bouge pas, sa respiration est devenue calme, elle semble dormir. Son sexe semble disposé à m’accueillir, j’ai envie de la reprendre là, dans cette position, mais on a plus le temps. Elle se relève, et, avant de filer dans la salle de bain se laver, me dit :
- Faut faire vite, on doit être au collège dans 20 mn, il ne faut pas qu’on arrive ensemble pour ne pas éveiller les soupçons.
- C’est pas marrant, on a baisé contre la montre.
Je récupère mes vêtements, me rhabille en vitesse dans le salon, je la vois revenir dans la chambre, toujours nue. Je sorts le premier, l’attends à l’arrêt du bus. La voilà, le bus aussi. On monte dedans, on reste debout, elle me parle à voix basse :
- Cette fois, tu m’as prise par derrière, c’était mieux. J’ai bien senti ta bite et quand tu as envoyé ta dernière giclée au fond de moi, j’ai cru perdre la tête, soudain j’ai manqué d’air, je crois que mon cœur s’est arrêté ! Je n’ai pas ressenti ça quand t’as déchargé la première fois, en arrivant ! Tu m’as bien préparé, je te voulais en moi, c’est tellement bon de sentir ta queue coulisser dans mon ventre, d’avoir cette partie de toi en moi, de sentir ton sperme se répandre au fond de moi. - 5 - Pendant qu’il me parle, il fourre ses doigts dans mon vagin, les tourne, me les donne à sucer :
- Tiens, gouttes toi !
Je le branle, il bande toujours un peu mou, mais je vais y arriver. Il me redresse, passe au-dessus de moi, me met sa queue en bouche. Dégueulasse, il ne l’a pas lavé, je le suce quand même. Je m’applique, passe ma langue sur le bout du gland, absorbe la bite en entier. J’atteins mon but. Sa queue gonfle, durcit, il bande de plus en plus, il va pouvoir me la remettre, ça va être bon. Je me mets sur le côté, dos à lui, j’ai les cuisses serrées, je lui présente mon cul, prends sa bite, la met en place au fond de ma fente. D’un coup de reins, il m’emmanche, ça rentre mais c’est pas encore assez dur, ça va pas profond. Après quelques va et vient il sort de moi, me laisse encore sur ma faim. Je me remets sur le dos, reprends sa queue en main, l’active sérieux, il faut qu’il me la remette. Il commence à bander dur, mais malgré ça suit son idée, reprend le cours de son récit.
- C’est un jeudi, le matin je la vois avant d’entrer en classe, lui demande
- T’es toujours d’accord ?
- On fait comme j’ai dit !
Pendant les cours je suis terriblement nerveux, j’y pense, l’attente est insupportable! Dès l’ouverture des portes, je file. J’arrive juste au moment ou elle monte dans le bus. Je lui fais juste un petit signe, il ne faut pas se compromettre ! Pour aller chez elle, il y a 4 arrêts, le trajet dure environ 5 mn. Je descends une station avant, il y a un boulanger. Ca me fait perdre du temps, je regarde ma montre, il est midi 20 quand j’arrive devant chez elle, essoufflé, mon pain à la main. Elle m’a dit de ne pas sonner, elle pourrait ne pas être seule, elle surveillera mon arrivée. Je trépigne devant la grille, je suis impatient, elle doit être là, rien ne bouge. J’allais repartir lorsque la porte s’entrouvre, une main dépasse, un doigt me fait signe d’entrer. Elle reste à l’intérieur, ne se montre pas, referme la porte à clé derrière moi. Elle est en robe de chambre, je l’embrasse, ouvre et fait tomber la robe de chambre au sol. Elle est nue, mais a gardé sa petite culotte. Je l’écarte, mets un doigt dans sa fente, elle est trempée.
- Tout va bien, il faut qu’on retourne en classe pour 1h ½, comme ça personne ne sera au courant.
Je ne tiens plus, je vais exploser. Elle me prend la main, dit
- On y va ?
On se dirige rapidement vers sa chambre et, tout en marchant, je me déshabille. Blouson, chemise, pantalon, chaussures, tout traîne sur le parcourt. Il ne reste plus que mon slip. Elle a pris de l’avance sur moi, a laissé la porte ouverte, j’entre, la referme. Elle a étendu un drap de bain sur le lit, s’est allongée dessus, a enlevé sa culotte, a remonté ses jambes et ouvert ses cuisses en grand. La position me dévoile son sexe, elle me dit.
- Viens vite ! Je vire mon slip, grimpe sur le lit, me mets entre ses cuisses, bande dur. Elle prend ma queue, la place sur l’entrée du vagin. Je me mets sur elle, elle se cambre, décolle les fesses du lit. Je la sens nerveuse, excitée. Je l’emmanche d’un seul coup de rein, ma queue entre en entier sans aucune difficulté, je suis au fond d’elle, mes couilles touchent son cul. Au moment ou je la pénètre, elle fait :
- Ah hoooo !
Je fais deux ou trois va et vient bien appuyés, me bloque au fond, décharge. À chaque contraction de ma bite, à chaque fois que j’envoie mon foutre au fond de son vagin, elle crie
- Oh ah ah !
Je lui remplis le ventre, sa respiration est haletante. Je m’aplatis sur elle, ses jambes retombent, son corps se détend, sa respiration ralentit. Je ressorts ma queue de son vagin, mon jus coule dans la fente, c’est fini. Elle me repousse, se lève, fonce dans la salle de bain. Je reste allongé sur le lit, la bite à l’air, encore raide. Elle revient dans la chambre, prend ma bite, dépose un bisou sur le gland. La pénétration a été rapide, l’éjaculation aussi, il fallait assouvir l’envie que j’avais d’elle depuis près d’un mois. Je regarde ma montre, il est un peu moins de midi et demi, elle me dit :
- On va manger, baiser, ça m’a donné faim !
Elle file dans la cuisine, je remets mon slip, range mon outillage dedans, la rejoins. Elle qui est si pudique se promène nue dans la cuisine, sans aucune gène. Ce qu’elle est belle avec ses jolis seins fermes et bien formés (ils sont un peu plus développés que les tiens, mais tout aussi fermes), écartés, de belles aréoles un peu rose- brun, des tétons légèrement plus clairs et dressés. J’admire sa chute de reins, ses fesses, son bas ventre, elle n’a plus peur de se trimballer à poil devant moi.
Il choisit ce moment pour arrêter de nouveau son récit. Pendant qu’il racontait, je n’ai pas perdu de temps, j’ai continué à le branler. Sa queue est restée dure, gonflée. Il s’allonge sur moi, écarte mes cuisses, me pénètre direct. Je ferme les yeux, m’abandonne, et comme dans un rêve, je crois être à la place de l’autre, me remémore la scène qu’il vient de me décrire. Il me ramone sérieusement la cheminée, ses couilles viennent battre contre mon cul, je suis très excitée, je l’accompagne, couine de plus en plus fort à chaque coup de queue. Mon cœur bat plus vite, j’ai de plus en plus chaud, ça y est, je viens, crie ma jouissance. Il ne décharge pas, se met à genoux, m’enfile ses doigts dans le sexe, caresse ma toison, les seins, tout y passe !
- J’en étais où quand je t’as joui ?
- Vous alliez vous mettre à table !
- Bien, j’te finirais tout à l’heure, je continue à te raconter :
Son frère est au lycée et ne rentre pas le midi. Je l’aide à préparer les sandwiches, pain, beurre, tranches de saucisson, feuille de salade, rondelles de tomate, elle sort de l’eau du frigo, prend 2 verres, on parle :
- J’ai pas eu mal ! T’es rentré facile !
- J’t’ai pas préparé ! Tu t’es ouverte avant ?
- Pas la peine, rien qu’en y pensant je mouillais !
- J’bandais trop, j’ai pas pu tenir, j’ai tout lâché !
On ne perd pas de temps à table, en 10 mn tout est englouti. Je regarde ma montre, il est maintenant une heure moins vingt, il nous reste moins d’une demi-heure avant de retourner au collège. Je l’aide à tout ranger, tout est en ordre dans la cuisine.
- Tu veux que je parte maintenant ?.
- Non, viens. Baises moi encore !
- J’vais pas pouvoir tu m’as vidé.
Elle passe la main dans mon slip, constate :
- Tu bandes pas ! J’vais arranger ça ! Dépêche-toi !
On file dans la chambre, elle se retourne vers moi, enlève mon slip, prend ma queue, se colle contre moi. Elle frotte ma bite contre son ventre, la prend en main, la caresse avec application, tire sur la peau, astique le gland, me branle. La bite réagit vite, se redresse, durcit. Pendant qu’elle s’active sur ma queue, je glisse un doigt dans sa fente, le met au bord du trou, l’entre dedans, elle mouille. Je la pousse vers le lit, elle s’allonge sur le drap de bain, écarte les cuisses en grand, s’expose délibérément. Je sais pas si je vais pouvoir, tout à l’heure elle m’a vidé les couilles ! Et dire qu’il y a peu de temps, dans les blés, elle refusait de me montrer son corps.
- Alors tu viens !
Je m’allonge à côté d’elle, commence à la couvrir de baisers partout, m’occupe de sa poitrine, elle durcit, les tétons s’érigent, je les suce, elle couine. Elle ne perd pas son temps, actionne sa main de plus en plus vite, le gland devient rouge, gonflé, la hampe n’est pas bien raide, je bande de nouveau.
- Reviens dans moi !
- Je ne suis pas assez dur !
Je continue à fouiller son sexe, enfile deux doigts dedans, dégage son petit bouton, le caresse, à chaque touche son bas ventre réagit, sursaute. Je tire sur les nymphes, elles s’allongent, brunissent, se plissent, dépassent largement de la fente. Je m’installe entre ses cuisses, plaque ma bouche sur la vulve, aspire sa mouille, ma langue s’occupe du clito, je la glisse au fond de la fente, la rentre dans son trou. Son ventre fait un bond.
- Oh oui !
Elle remue de plus en plus le bas ventre, se cambre, gémis, sa respiration est rapide, elle va au devant de la caresse. Elle n’a pas lâché ma queue, continue de me branler. Cette fois elle a réussi à me remettre en forme, je bande terrible. Elle me dit
- J’en peux plus, prends-moi ! :
- Mets-toi en levrette !
Elle se retourne, remonte ses fesses, poitrine et bras sur le lit, écarte les jambes, me présente son cul, elle est prête à être emmanchée. Je me place à genoux entre ses jambes, la prends aux hanches, tire pour placer son cul à hauteur de ma bite. J’appuie mon dard sur l’arrière de sa fente, pousse, elle s’ouvre et d’une seule traite, je la pénètre jusqu’au fond de sa gaine.
- Oh là !
Je commence à la buriner lentement, accélère, varie la cadence, prends mon temps. Elle accompagne chaque coup de bite par des coups de cul, suit le rythme, crie de plus en plus fort, m’aide à bien m’encastrer au fond d’elle. J’entends sa respiration, elle halète, a chaud, cambre les reins, je vois son dos onduler au rythme de mon action. Je sens que je vais venir, je l’att aux épaules, encastre à fond en elle, m’arrête, grogne, ma bite se contracte, à chaque soubresaut j’envoie mon foutre au fond du vagin. Elle crie :
- Ouiiiiiiii. encore !
et s’écroule à plat ventre sur le lit, jambes écartées, bras le long du corps. Je m’aplatis sur elle, la tire aux épaules, fait encore quelques va et vient, , envoie une dernière goulée, reste la queue dans son antre, je suis bien. Je bande encore, descends du lit, la regarde, sa fente est là, encore ouverte, lèvres gonflées, clito et petites lèvres apparents, dilatés, du foutre coule, elle a vraiment un beau cul. Elle ne bouge pas, sa respiration est devenue calme, elle semble dormir. Son sexe semble disposé à m’accueillir, j’ai envie de la reprendre là, dans cette position, mais on a plus le temps. Elle se relève, et, avant de filer dans la salle de bain se laver, me dit :
- Faut faire vite, on doit être au collège dans 20 mn, il ne faut pas qu’on arrive ensemble pour ne pas éveiller les soupçons.
- C’est pas marrant, on a baisé contre la montre.
Je récupère mes vêtements, me rhabille en vitesse dans le salon, je la vois revenir dans la chambre, toujours nue. Je sorts le premier, l’attends à l’arrêt du bus. La voilà, le bus aussi. On monte dedans, on reste debout, elle me parle à voix basse :
- Cette fois, tu m’as prise par derrière, c’était mieux. J’ai bien senti ta bite et quand tu as envoyé ta dernière giclée au fond de moi, j’ai cru perdre la tête, soudain j’ai manqué d’air, je crois que mon cœur s’est arrêté ! Je n’ai pas ressenti ça quand t’as déchargé la première fois, en arrivant ! Tu m’as bien préparé, je te voulais en moi, c’est tellement bon de sentir ta queue coulisser dans mon ventre, d’avoir cette partie de toi en moi, de sentir ton sperme se répandre au fond de moi. C’est la première fois que ça m’arrive, je ne sais pas décrire ce que j’ai ressenti. C’est intense, inouï, ça a duré une dizaine de secondes, je crois avoir eu un orgasme, ce qui est certain c’est que j’ai joui. On l’a fait trop vite, mais je ne le regrette pas, c’était trop bon. Il faut qu’on trouve le moyen d’avoir plus de temps.
On arrive au collège, elle entre la première, je la suis à bonne distance. On va chacun dans notre classe, on est juste à l’heure, elle a le ventre plein, moi j’ai les couilles vides
On l’a fait trop vite, mais je ne le regrette pas, c’était trop bon. Il faut qu’on trouve le moyen d’avoir plus de temps.
On arrive au collège, elle entre la première, je la suis à bonne distance. On va chacun dans notre classe, on est juste à l’heure, elle a le ventre plein, moi j’ai les couilles vides
On l’a fait trop vite, mais je ne le regrette pas, c’était trop bon. Il faut qu’on trouve le moyen d’avoir plus de temps.
On arrive au collège, elle entre la première, je la suis à bonne distance. On va chacun dans notre classe, on est juste à l’heure, elle a le ventre plein, moi j’ai les couilles vides
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