A La Plage
Comme fils de fonctionnaire, j'avais le droit d'entrer dans un centre réservé pour eux.
Et nous nous retrouvâmes une bande de jeune ente 18 et 25 ans, dans un hôtel sur la côte, à St-Raphaël exactement.
L'ambiance était très bonne et rapidement nous avions fait connaissance des filles et garçons en pension dans l'hôtel.
La matinée, nous rangions nos chambres et nous nous adonnions aux pénibles lettres dues à nos parents.
"Tout va bien" "Le ciel est au rendez-vous" "La mer est douce et chaude" "Les cigales chantent..", bref tout ce que l'on peut trouver de banal !
Une fois ces corvées effectuées, nous lisions nos romans ou nous disputions une partie d'échec ou de dames.
Les après-midi, nous nous rendions à la plage, où bronzing et baigande était au programme. C'était pour nous, les garçons, l'occasion de découvrir les corps des nymphettes qui nous acccompangnaient. Leurs maillots deux pièces réduits au plus strict minumum nous excitaient. Nadège, une fille de 20 ans portait régulièrement un maillot rose ce qui faisait ressortir son corps bronzé bien dessiné. Je fixais mon attention sur elle, car elle me plaisait davantage. Aussi je me débrouillait pour être toujours près d'elle et je pouvais, à son insu, admirer toutes les facettes de son corps.
Je crois qu'elle avait deviné mon attrait et en rajoutais pour m'exciter davatange. Elle s'enduisait le corps de crème solaire et passant sur le haut de sa poitrine elle faisait tomber la bretelle de son soutien-gorge, faisant dévoiler subreptissement un sein, qu'elle recachait aussitôt. J'étais fasciné, surtout quand elle repliait ses jambes et que je pouvais voir trois poils s'échapper du maillot.
Une fois que nos connaissances furent bien établies, nous organisâmes des jeux, sur la plage, dans l'eau, nous défiant mutuellement. Pour une partie, nous nous mîmes tous les deux avec Nadège et nous devions rejoindre à la nage, une plate forme située à 300 m au large.
Je la soulevais, elle passa ses bras sur la margelle et je la poussais sur les fesses, pour l'aider, avec une main, me tenant au radeau avec l'autre. Ma main glissa, et mes doigts passèrent derrière l'élastic de sa culotte, appuyant sur sa chatte entrouverte par l'extension de sa gymnastic. J'entendis un "Oh !". Par un rétablissement sur ses bras, elle finit par monter sur la plate-forme et s'allongea aussitôt. Je la suivis et fis de même. Nous étions l'un à côté de l'autre, reprenant notre respiration, les bras le long du corps. Fermant les yeux, à cause du soleil ardent qui nous aveuglait. Nos mains se touchèrent et je sentis sa main se déplacer et venir à la rencontre de la mienne. Les petites vagues de la mer berçaient notre embarcation, nous étions bien.
Le toucher que j'avais eu avec elle, lors de la montée sur ce radeau, m'avait excité et je commençais un début d'érection. Quand soudain, elle quitta la main q'elle m'avait prise pour s'aventurer vers ma cuisse et enfin la poser sur mon sexe maintenant tendu.
- A charge de revanche, cher ami, me dit-elle, il faut bien que j'aille voir ce que toi tu as vu tout à l'heure en arrivant ici !
Je ne répondis pas et lentement, délicatement, je me tournais vers elle, la laissant avec sa prise et je lui roulais une bonne pelle. La fièvre monta aussitôt et je me mis à lui caresser tout le corps. Sa main aggripait toujours mon sexe en érection par dessus mon maillot, c'était très excitant. Je lui caressait les seins, petits mais ferme et bien galbés, puis quand je la sentis toute chaude, ouvrant grand la bouche pour recevoir mon baiser, je glissais ma main sur son ventre musclé et enfilais le bout de mes doigts sous l'élastic de sa culotte de bain.
"J'ai trop envie".
Elle tira sur mon maillot et fit sortir mon sexe de sa prison pour le caresser. Puis dans un mouvement rotatif, elle me fit basculer et passa une jambe sur mes cuisses. Elle écarta l'élastic de son maillot et dirigea avec sa main, mon sexe vers son sexe fièvreux. Celui-ci pénètra lentement mais facilement, et s'enfonça jusqu'à la garde. Hurlant de plaisir son bassin ondulait en s'empalant, elle me cramponnait violemment, voulant atteindre l'orgasme qui ne se fit pas attendre. Je sentis un liquide chaud dégouliner sur ma cuisse et son corps se raidit comme tétanisé. Elle ondula encore du bassin et c'est moi qui lacha tout mon jus dans son ventre. Nous restâmes un long moment dans cette position. Une fois la fièvre retombée, nous décidâmes de revenir sur la plage.
Nous avons fait l'amour, dès que nous pouvions trouver un moment de tanquillité, et aussi souvent que nous pouvions.
Nous nous quittâmes à la fin du séjour et me dit qu'il serait bien de ne plus se voir car elle était fiancée, mais qu'elle n'oublierait jamais ces bons moments.
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