Notre Première Partouze
Notre première partouze
Ambre, Marie, Caroline et Émilie, étaient 4 amies de longues date en vacances dans le sud avec 4 amis à elles, Paul, Luca, Matthieu et Marc. Après avoir passé la journée au soleil le groupe se dirigeaient
en soirée.
Il était très tard lorsque les amis arrivèrent à la boîte de nuit et les danseurs commençaient à se clairsemer. Ambre et Paul allèrent saluer le patron et le DJ, puis tous sinstallèrent autour de bouteilles de champagne quils abandonnèrent bientôt pour danser les derniers rocks de la soirée.
En dehors de leur groupe, il ne restait plus dans la boîte quune dizaine dhabitués, ce qui autorisait à la fois plus de liberté et plus dintimité dans les évolutions des couples sur la piste. Les quatre filles furent bientôt invitées par dautres cavaliers que les leurs et les garçons firent danser dautres filles.
Quand le premier slow de la série finale arriva, Marie se trouvait dans les bras dun petit brun de type méditerranéen, sec et vif, qui rockait comme un dieu. Simmobilisant à la fin du dernier rock, il lui lança un regard interrogateur. Elle se rapprocha pour entamer avec lui le morceau plus lent diffusé par la sono. Leurs corps sépousèrent pour profiter de la sensualité de la musique. Il la tenait par les hanches et elle avait les mains sur ses épaules.
Très vite, la petite blonde enfouit son visage contre le torse de lhomme qui était juste à sa taille, ce dont elle navait pas lhabitude. Il resserra son étreinte autour de sa taille, la plaquant contre lui. La chaleur des deux corps alanguis montait vite. Il commença à lui caresser les flancs, saventurant parfois sur ses fesses. Elle fit glisser ses mains sur la poitrine du garçon, non pour le repousser, mais pour en éprouver les formes.
A travers le fin jersey de la mini robe, le garçon comprit vite quelle ne portait rien dautre.
Encouragé par cette audace, il entreprit un massage en règle de la croupe que Marie ne défendait pas, allant jusquà empoigner les globes rebondis pour les frotter lun contre lautre dun lent mouvement sensuel.
Il lui passa un doigt dans la raie, sans insister, mais en descendant très bas, vers le sexe. Elle gémit sous le contact. Les mains féminines descendirent sur les pectoraux, explorèrent le ventre musclé, puis le pubis pressé contre le sien et lérection quelle sentait se développer contre elle. Sans perdre de temps, elle ouvrit le zip, baissa le slip et fit jaillir le membre rigide. Haletante, elle lempoigna pour le masturber profondément. Sa main allait et venait sur toute la hauteur du vit érigé, faisait coulisser la gaine souple sur le muscle dur depuis le bout turgide jusquà la base velue. Lui avait saisi ses fesses par en dessous et les pressait lune contre lautre, entraînant du même coup les lèvres sexuelles qui se frottaient et shumidifiaient sous le contact.
De plus en plus excitée, Marie affermit sa prise sur la verge bandée et sen caressa le clitoris. Le gland turgescent passait et repassait sur le petit bouton dressé, envoyant des ondes de plaisir aux deux corps pantelants. Dune main, elle rabattit le haut de sa robe sur sa taille pour frotter ses seins sur lui. Elle semblait nêtre plus vêtue que dune large ceinture de jersey rouge.
Ny tenant plus, lhomme lâcha sa croupe et passa les mains entre eux. Il lui reprit sa verge pour la guider vers le vagin impatient et lembrocher dune furieuse poussée. Elle exhala un soupir profond sous la pénétration tant attendue. Ils sagitaient en haletant, coïtaient debout, se palpant fiévreusement.
Assis au bar, Luca regardait Marie faire lamour sur la piste. Sachant ce quelle aimait, il sapprocha du couple enlacé.
Marie était maintenant embrochée à fond par ces deux sexes quelle sentait frotter lun contre lautre à travers la fine membrane qui séparait ses deux cavités ruisselantes. Elle entama un va-et vient sensuel, sempalant tour à tour sur les deux colonnes tendues. Tantôt la verge de devant allait buter au fond de son vagin, tantôt elle revenait se sodomiser plus complètement sur le membre qui la prenait par derrière. Luca lui malaxait les seins, tordant les pointes, et son autre enfileur la tenait aux hanches pour rythmer leur étreinte. A chaque mouvement elle semmanchait plus profondément sur les deux mandrins qui la limaient en stéréo.
La respiration du trio se faisait plus lourde à chaque instant et la belle salope sentit approcher la fin.
Accélérant les ruades de sa croupe, elle les entraîna vers lorgasme. Au même instant elle éprouva les jets saccadés du petit brun qui lui jouissait dans la vulve et le vigoureux épanchement de Luca qui lui déchargeait dans lanus. Les chaudes éjaculations de ses deux amants la firent décoller, elle jouit longuement en bramant comme une biche blessée.
Les deux hommes labandonnèrent enfin et se rajustèrent. Elle prit alors conscience de se trouver seule et nue au beau milieu de la piste. Jetant un regard circulaire, elle prit tout son temps pour rentrer dans sa robe, quelle déroula posément sur ses cuisses trempées, avant de la remonter pour laccrocher aux pointes encore tendues de ses seins.
La performance navait été que peu remarquée par les autres danseurs, bien trop occupés pour profiter du spectacle. Matthieu dansait avec trois filles, qui avaient ouvert sa braguette pour vérifier de visu la taille du membre quelles avaient tout dabord observé, puis tâté, à travers la toile tendue.
Elles nosaient croire que la masse imposante quelles devinaient sous le vêtement pouvait être entièrement constituée de chair chaude et dure.
Une fois le sexe libéré, il avait bien fallu se rendre à lévidence, rien dartificiel, pas de rembourrage trompeur, cétait une barre vibrante ne devant rien quà la nature. Gloussantes, les trois beautés locales échangèrent des regards ravis. La plus dégourdie posa une main timide sur la verge majestueuse, vite rejointe par les menottes de ses deux copines. Elle entamèrent alors un branle à trois, coordonnant leurs mouvements pour émouvoir cette queue quaucune des trois narrivait à encercler complètement.
Matthieu profitait de linstant, se laissant masturber paresseusement le membre par les trois cochonnes. Il avait posé ses mains sur deux croupes nerveuses et regardait dans le vide, se concentrant sur les sensations en provenance de son vit. Parfois, il insérait une phalange dans un sillon fessier accueillant et lune des mains marquait un temps sur sa verge, vite bousculée par les deux autres. Le garçon indiqua que la semence montait de ses reins en balançant ses hanches davant en arrière au rythme de la masturbation. Lénorme tige se mit à vibrer dans les mains menues. Une des filles la lâcha brièvement pour attr un verre sur une table proche. Elle en coiffa le gland au moment même où jaillissait un torrent de sperme. Accentuant la fréquence de leur branle, les trois amies regardaient gicler la liqueur masculine, blanche et épaisse, chaude et visqueuse, dans le calice improvisé. Quand il eut terminé de jouir, lune delle remplit le verre de champagne et elles se le partagèrent en riant.
Dans la cabine de la sono, un CD tournait tout seul. Le DJ baisait Émilie debout. La belle noire était montée demander ses morceaux favoris et aussi soccuper du garçon isolé de la salle par des vitres fumées. Pendant quils choisissaient des disques, elle sétait frottée contre lui, lexcitant peu à peu.
Elle était passée devant lui, effleurant la braguette gonflée de sa croupe dairain, puis incrustant carrément ses fesses contre lérection du garçon. Il lui avait saisi les seins par les emmanchures de la robe de fausse panthère et avait commencé à les malaxer doucement. Ravie, elle ronronnait en tortillant du postérieur pour développer encore la chaude raideur quelle sentait contre elle. Le barreau était vertical entre ses globes fessiers et elle entretenait lérection en le branlant lentement de haut en bas.
Puis, elle avait appuyé ses mains sur une console inutilisée, les pieds largement écartés, les fesses tendues vers larrière, les reins cambrés. Lhomme sétait déboutonné en un éclair, faisant jaillir à lair libre sa virilité exacerbée. Retroussant la robe sur les hanches de sa partenaire, il avait découvert ses deux sphères débène et sétait immiscé entre elles, senfonçant dans le vagin ruisselant quil entreprenait maintenant à grands coups de verge. Tête rejetée en arrière, Emilie ahanait de plaisir au rythme de lenfilage postérieur quelle subissait avec délice. Le garçon la tenait aux hanches et limait puissamment, enfonçant son membre gorgé de sève entre ses parois intimes lubrifiées par la jouissance montante.
Le frottement du gland dans son étroit conduit lamena bientôt à lorgasme. Elle se plia en deux, au paroxysme de la volupté, il en profita pour la pénétrer davantage, sans ralentir sa chevauchée fantastique. Il lembrochait maintenant de plus en plus vite, allant buter au fond du sexe féminin à chaque ruée en avant. Elle se mit à contracter spasmodiquement ses muscles intimes pour lui masser la queue et déclencher son plaisir. Leffet fut presque immédiat et elle jouit à nouveau tandis quil lui tapissait les muqueuses de foutre. Se déversant à longs jets dans le fourreau musclé qui lui aspirait littéralement le nud, il plaqua contre lui le torse de la femme et crispa ses mains sur les seins épanouis alors quil finissait déjaculer.
Pendant ce temps, Caroline nétait pas restée inactive. Elle avait commencé par danser toute seule devant Marc et Paul, écroulés sur les banquettes qui bordaient la piste. Progressivement, sa danse était devenue plus sensuelle, provocation érotique pour les deux mâles qui sirotaient leur champagne en la regardant se déhancher. Ondulant de tout son corps souple, elle leur tendait tantôt sa poitrine, très visible par léchancrure de sa veste boutonnée bas, tantôt son mont de Vénus dont le galbe se devinait sous la mini jupe ajustée. Ses cuisses musclées saillaient par les fentes latérales du vêtement, découvertes jusquà laine par la coupe osée.
Elle fit sauter lunique bouton retenant le tissu sur ses charmes mammaires et les deux garçons découvrirent deux globes fermes aux mamelons durcis qui se balançaient sous leur nez au rythme de la musique. Caroline les recouvrit de ses paumes et les caressa en mouvements concentriques.
Elle laissait parfois apparaître les pointes dardées entre ses doigts, pour les pincer jusquà la limite de la douleur et les exciter davantage. Puis ce fut au tour de la jupe qui, dun coup de pouce sous les pressions qui la retenaient sur les hanches rebondies, ne fut bientôt quun petit tas de tissu que la belle enjamba.
Arquée sur ses talons hauts, elle projetait maintenant son pubis vers ses mateurs attentifs. Se débarrassant de sa veste dun mouvement du torse, elle se trouva nue devant eux, perchée sur ses chaussures à fine lanière, cambrée et offerte à leur lubricité.
Dun geste souple, la perverse saccroupit entre eux et les empoigna à travers leurs pantalons distendus par des triques douloureuses. Elle descendit simultanément les deux fermetures malmenées et sempara des deux chaudes colonnes érigées en son honneur. Décalottant les gland turgides, elle les branla avec ensemble, retroussant la peau jusquà la racine des vits, la faisant coulisser dans ses mains menues pour développer encore le volume des calibres quelle masturbait généreusement.
Quand les deux hommes furent déployés à fond, la fille se mit à quatre pattes sur la banquette pour les recevoir en elle. Elle voulait compenser enfin ses frustrations de laprès-midi en se faisant enfiler en stéréo par ces bites somptueuses. Après un bref regard de concertation, les deux compères passèrent à laction. Paul sagenouilla derrière les fesses offertes et Marc présenta à la bouche pulpeuse un dôme épanoui en guise de bâillon.
Dune poussée puissante et continue Paul la fourra à fond, dun seul mouvement il lui enfonça la totalité de sa verge dans le sexe. Sous le volume de leffraction, lempalée exhala un profond soupir qui arrondit sa bouche maquillée. Aussitôt, Marc y engouffra son membre bandé, allant buter au fond de la chaude caverne humide. Caroline caressa de sa langue le manche qui lui dilatait les joues et commença illico à le pomper activement. Elle lui suçait le gland en lui astiquant la tige de ses lèvres écartelées. Derrière elle, lépieu de Paul lui défonçait vigoureusement labricot. Les coups de boutoir de son pourfendeur rythmaient sa fellation. Lorsque le mandrin lembrochait, elle était projetée sur le phallus luisant de salive quelle accueillait jusque dans sa gorge.
Coordonnant ses allées et venues, la fille sappliquait à synchroniser le plaisir de ses compagnons, qui le lui rendaient bien. Marc lui palpait les seins, tandis que Paul lavait sodomisée dun majeur fureteur et lui massait la rondelle en cadence.
Les reins en feu devant le spectacle de cette brune magnifique qui soffrait totalement à ses baiseurs, deux garçons du village sétaient approchés et, se débraguettant sans vergogne, ; sastiquaient maintenant le mandrin en contemplant la montée vers le plaisir de ce corps parfait.
Leurs mains entamèrent un ballet frénétique sur leurs lances brandies. Caroline apprécia la situation dun coup dil et les prit en pitié. Se dégageant souplement, elle fit asseoir Paul sur la banquette et sempala aussitôt sur son sexe érigé. Elle le chevaucha énergiquement, montant et descendant sur le membre qui lui ramonait la moule. Marc, debout devant elle, se faisait à nouveau pomper le nud par la bouche sensuelle.
Tendant les bras, la fille empoigna les deux virilités qui lentouraient et les masturba avec force. A grands coups de poignet, presque brutalement, elle découvrait puis recouvrait les deux glands en folie, qui navaient été à pareille fête depuis longtemps, sans interrompre ses succions sur un vit et ses empalements sur lautre.
Sentant monter la tension générale, elle décida de déclencher leur jouissance à tous. Aspirant la verge sucée, elle accentua la pression de ses lèvres et accéléra ses va-et-vient. Dans le même temps, elle serra sa figue trempée autour du pieu de chair qui lemmanchait. Ses mains accentuèrent le branle des deux flamberges locales et elle serra davantage les grosses veines bleues qui les parcouraient. Les réactions ne se firent pas attendre, Marc entoura de ses mains la tête de la jolie suceuse et lui déchargea dans la bouche. Paul appuya sur ses hanches et la sabra au plus profond pour se vider au fond de son vagin contracté. Les deux verges quelle agitait dans ses doigts giclèrent ensemble, arrosant son visage et sa poitrine tendue dépais filets blancs. Fusillée à bouts portant par les jets de sperme qui la remplissaient aux deux extrémités, tapissée de foutre à lintérieur comme à lextérieur, Caroline fut agitée dun violent orgasme et se pâma en avalant la semence de lun, tandis que la liqueur du deuxième débordait de sa conque inondée et que le jus des deux autres coulait sur sa peau bronzée.
Assise sur un tabouret haut, Ambre contemplait la scène en suçant le patron de la boîte qui sétait assis sur le bar pour mieux tendre son engin noueux à la bouche avide. Se branlant le bouton dune main par léchancrure de son short lâche, elle lui pompa le dard de mouvements réguliers de son long cou souple et le fit rapidement jouir sur sa langue experte. Elle se gorgea de sa crème chaude, quelle but jusquà la dernière goutte.
Les quatre amies, sommairement rhabillées, se retrouvèrent au bar pour une coupe de champagne bien méritée. Toutes sentaient lamour et leurs peaux portaient encore des traces de sperme et de liqueur féminine. Elles passèrent ensemble aux toilettes pour se rendre présentables et se remaquiller.
Revenant dans la salle, elles rameutèrent leurs compagnons et le groupe quitta la boîte, laissant derrière lui souvenirs éblouis et vagues regrets que ce fut déjà terminé.
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