Le Con Sert Tôt ( Suite 6 )

- Cette histoire m’émoustille de plus en plus, je sens que je mouille, tout à l’heure je n’ai pas joui quand il me l’a remise, il est sorti en me laissant sur ma faim, j’ai de nouveau envie de sa queue. Il l’a enlevé alors que j’allais venir, maintenant je veux qu’il décharge dans moi, sentir son foutre tout au fond de moi. Surtout que pendant qu’il parle, il ne perd pas son temps. Ses mains se balladent sur mon corps, dans mon sexe, les doigts entrent et sortent de mon vagin, sa queue entre dans ma bouche. J’ouvre mes cuisses en grand, ma vulve est ouverte. Il est entre mes cuisses, j’attends qu’il me la rentre, mais il prend son temps. Ce qu’il a fait à l’autre m’excite, je vois la scène comme dans un rêve. Il ne dit plus rien, bande terrible, se met au-dessus de moi, je le prends en main, l’attire en moi. Il me pénètre d’un coup sec, me ramone comme jamais, mon ventre va au devant de sa queue, il me l’enfonce profond, s’acharne dans moi. Je gémis, halète, j’ai chaud, mon cœur bat la chamade. Cette fois c’est bon, Il s’arrête, je sens la queue se contracter, le gland enfler, ça y est, il me remplit, je plane, décolle, quitte cette planète, c’est trop fort, je jouis, crie :
- Ah ahaaaaaaaaa, oui, lâche tout !
Quel orgasme ! Je reste là, sous lui, cuisses ouvertes, tout mon corps se relâche, je reprends doucement mes esprits. Il est affalé sur moi, reste dans moi, je sens sa queue ressortir lentement. Je veux qu’il reste en moi, je resserre mon vagin, me colle à lui. Je suis bien sous lui, passe mes bras sur son dos, le maintiens en moi. Sa queue est ressortie, molle, rétrécie, il se lève, je le suis dans la salle de bain. Pendant que je vide mon vagin et fais ma toilette intime sur le bidet, lui soulage sa vessie. Il me regarde, intéressé, va au lavabo, se lave la queue. Je lui demande :
- Je peux prendre une douche ?
- Oui, pas de problème, je t’attends au salon.
Je reviens au salon, ramasse mes vêtements qui traînent au sol, me rhabille.

Il a préparé des bières, je m’installe sur le canapé, il s’assoie à côté de moi. Il a remis son slip, reste torse nu. Il me tend mon verre, j’ai soif. Ca fait plus de 2h que je suis chez lui, il est temps que je rentre. Il m’a raconté ce qu’il a fait avec sa copine tout en me baisant en plusieurs fois, ça m’a tellement excité que j’ai fini par avoir un super orgasme. Je lui dis au revoir. Il ouvre la porte, jette un œil aux alentours, personne, je peux y aller !
Le lendemain jeudi, alors que je termine mon petit déjeuner et m’apprête à tout ranger, on sonne à la porte. Il est 10 h du matin, je n’attends personne et hésite à répondre, mais l’intrus insiste. Finalement je vais voir, ouvre la porte et me retrouve nez à nez avec Franck.
- Qu’est ce que tu viens faire ?
- Te baiser !
Il entre, me repousse dans le couloir, referme la porte. Je me suis levée tard, je n’ai pas encore pris ma douche, je suis robe de chambre. Il l’ouvre, au-dessous je suis en nuisette courte et plutôt transparente, je n’ai pas de culotte.
- Dis donc, t’es à poil !
Il se colle contre moi, soulève la nuisette et plaque sa main sur mon sexe, entre les cuisses, enfile son doigt dans ma fente. Je le repousse, lui dis :
- Enlève ta patte de là !
- T’inquiètes !
- Rentre chez toi. Je vais prendre ma douche !
- Pas la peine, j’vais d’abord te baiser, tu la prendras après !
Il fait tomber ma robe de chambre au sol, me colle le dos au mur dans le couloir. Il sort sa queue, il bande comme un cerf. Il s’écarte de moi, me retourne face au mur, je dois m’appuyer dessus. Il m’écarte les cuisses et arrive à m’enfiler direct son sexe dans le vagin. Il passe une main devant, roule mon clito entre deux doigts, c’est pas possible, il va m’avoir, je commence à mouiller, proteste :
- Ah non, j’aime pas qu’on m’force !
- J’t’ai pas , tu mouilles !
- Sorts de moi, fout moi la paix, barre-toi !
- ci ou ailleurs, de toute façon tu vas y avoir droit !
J’hésite, réfléchit, c’est mal parti pour moi il m’a déjà rentré sa bite, je suis ouvert, mouille.
Alors, après tout, pourquoi ne pas commencer la journée par une bonne baise. Je lui réponds :
- Attends, j’ai un petit besoin à satisfaire, après tu feras de moi ce que tu veux !
Je vais dans la salle de bain, me soulage, fais une toilette intime. Je ressorts, il n’est plus dans le couloir, il doit être dans la chambre. J’y vais, il s’est déshabillé, allongé sur le lit, se branle tranquillement, sa queue est rouge et raide comme un bout de bois. Je le regarde, ferme la porte, il me dit :
- Fais-moi un 69 !
- Pourquoi pas ?
Je suis en forme ce matin, j’ai passé une bonne nuit, aussi je vais pouvoir me donner à fond. Pourtant je n’avais nullement l’intension de baiser aujourd’hui. J’enlève ma nuisette, me mets au dessus de lui, tête bêche, le suce pendant qu’il m’aspire le clito, me fourre sa langue et fait vibrer ses doigts dans le trou, je mouille terrible. Il me boit à la source, s’y prend vraiment bien, je sens que je viens, je ne vais plus tenir bien longtemps, sa bouche me fait trop de bien. Je ruisselle, jouis, pousse un cri, m’écroule sur lui. Je tente de reprendre mes esprits, maintenant je veux sa queue dans moi. Je me dégage, rampe sur son corps, passe au-dessus de la bite, me penche en avant. Je prends sa pine, la guide vers mon trou, me l’enfile, me redresse à califourchon sur sa bite, elle s’enfonce en moi, je commence une chevauchée effrénée. Il me prend aux hanches, pousse, je me retrouve à genoux sur le lit, en levrette. Le voilà qui m’emmanche, me pilonne hard, je couine, pour la seconde fois je suis partie, mon cœur s’emballe, je transpire, respire trop vite. Je pousse des cris de plus en plus forts, jouis, c’est le moment qu’il choisit pour décharger. Je m’écroule à plat ventre, remonte un peu le cul, il s’aplatit sur moi, ne sort pas, reprend ses va et vient, ondule sur moi, me l’enfonce au plus profond de mon ventre. Il m’a épuisé, je reste là, sous lui, inerte, cuisses écartées, récupère, attends qu’il me finisse.
Bigre que c’est bon ! Il m’écrase, je le repousse, il roule sur le côté sans sortir de moi, m’entraîne avec lui. J’ai les cuisses serrées, il reprend son pilonnage, je l’accompagne, il va m’user. Sa bite se contracte, il en a encore, c’est chaud, c’est bon, je crie, jouis de nouveau. On reste accouplés un long moment, sa bite ressort lentement. On ne bouge plus, on est bien serrés l’un contre l’autre, il me tient chaud. Je regarde mon réveil, il est plus de 11 h. Je me lève lui dis :
- J’vais prendre ma douche.
- J’viens avec toi ?
- Non, rentre chez toi !
- Faut que j’me lave la bite !
- D’accord, mais tu ne me touches pas !
Je récupère ma robe de chambre, rentre dans la salle de bain, il me suit, me regarde faire ma toilette intime. Je passe dans la douche.
- Tu m’laisses te savonner ?
Sans attendre la réponse, il passe avec moi sous la douche. Et le voilà qui s’occupe de mon corps, choisit les zones érogènes, il a les mains douces. Je m’occupe de son outillage, il se redresse. J’ai l’impression qu’il voudrait bien m’en refiler un petit coup avant de partir, mais je le repousse.
- Ca suffit pour aujourd’hui !
On sort de la douche, s’essuie, j’enfile ma robe de chambre. Pendant que je vais dans la cuisine pour préparer mon déjeuner, il retourne dans la chambre, se rhabille, me rejoint. Je lui demande :
- Tu vois pas ta copine en ce moment ?
- Non, toute la famille est partie en vacances pour la semaine. On se voit lundi, elle vient chez moi, son frère doit être là. Sinon, on baise 2 ou 3 fois par semaine, le midi, on a un peu moins d’1 h. Ces jours là on ne va pas à la cantine et on se tape un casse-croûte. Chaque semaine on achète moins de tickets de cantine, la différence c’est un plus en argent de poche. Je descends toujours à la station d’avant, il y a des commerçants, je peux ravitailler. Généralement, quand elle vient m’ouvrir, elle s’est déshabillée et est nue sous sa robe de chambre.
Je dépose tout dans la cuisine puis on va directement dans sa chambre. Je la prépare, elle aime les caresses, et quand elle est prête, on fait l’amour. Maintenant elle a appris à me sucer, le fait avec application, je lui en fait autant, elle aime ma langue sur son clito, dans son trou. Souvent on varie les positions, il nous arrive de baiser dans le séjour, dans la cuisine, sur une chaise, appuyée sur la table ou dans la salle de bain. Une fois, en arrivant, je l’ai plaquée sur la porte d’entrée, enlevé sa robe de chambre, retourné et enfilé direct. Ce jour là, je l’ai terminé en levrette sur le canapé. Elle aime se faire sauter, on est loin de la jeune fille timide de l’année dernière. Comme elle ne prend pas la pilule, je mets des capotes, sauf 2 ou 3 jours avant et après ses règles. Elle croit que sa mère a des doutes. Il y a à peu près 4 mois, sa mère prend rendez vous et l’accompagne chez la gynéco. Heureusement qu’elle est restée dans le bureau à attendre et n’a pas assisté. C’est toute nue qu’elle s’est installée sur la table d’examen, pieds dans les étriers et cuisses écartées. Après lui avoir palpé les seins, le ventre, elle s’assoie sur un tabouret, entre ses cuisses, et examine l’entrée du vagin. Elle constate qu’elle n’est plus vierge :
- C’est pas récent ! Tu as quel âge ?
- 15 ½ . Ne dites rien à ma mère
, - Tu es quand même un peu jeune pour avoir des rapports. Puisque ta mère n’est pas au courant, pour ne pas te trahir, je ne vais pas te donner la pilule, mais dis à ton petit copain de toujours mettre des préservatifs !
Elle termine l’examen en lui mettant un spéculum, inspecte l’intérieur du vagin, lui dit :
- Tout va bien. Mais fais attention !
Elle se rhabille, entre temps la gynéco est retournée dans son bureau. Sa mère lui demande :
- Est-t- elle encore vierge ? Certains signes me font penser qu’elle ne l’est plus !
- Ne vous inquiétez pas, ses organes sont en parfait état !
- Vous lui donnez la pilule ?
- Je n’en vois pas l’utilité pour le moment !
On se demande si sa mère a trouvé un préservatif. Pourtant elle prend bien soin de les enfouir dans la poubelle. Ou alors, en remplissant la machine à laver, elle est tombée sur une petite culotte dont le fond est taché de sperme. Ou encore des odeurs de baise, pourtant elle prend soin d’aérer !
Je lui dis :
- Tu sais j’avais 15 ans quand ma mère a su que je me faisais sauter. Un jour j’ai oublié mon sac sur la table de cuisine, elle l’a fait tomber par inadvertance. Il s’est vidé sur le carrelage. Il y avait une boîte de préservatifs. Et alors là !!! Je ne te raconte pas l’engueulade puis la visite chez la gynéco ! Je lui dis :
- Il est temps que tu partes, il va être midi.
Pendant qu’il parle et que je m’occupe à faire de la cuisine, je ne me rends pas compte qu’il bande. Soudain il me plaque le buste sur la table, j’ai les bras en croix. J’essaye de me dégager mais il est costaud maintenant. Il doit mesurer 1,70 m et peser dans les 60 kg, je ne fais pas le poids. Il relève ma robe de chambre sur mon dos, j’ai le cul à l’air, il sort sa bite, me prend aux épaules et m’emmanche. Et le voilà qui me ramone, il me fait du bien, je mouille, crie, jouis au moment ou. il décharge, il en avait encore. Je me redresse, l’oblige à sortir de moi d’un coup de cul, proteste
- Ca suffit comme ça, fout moi la paix, rentre chez toi !
Je le reconduis à la porte, le pousse dehors, la ferme à clé, la baise ça suffit pour aujourd’hui, il faut que je travaille, j’ai le bac en juin.
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