Elle M'Arracha La Serviette De Mains
C'était l'année de la canicule. 21 ans apprenti chez un patron électricien, je suis envoyé chez une cliente en pleine cambrousse, qui se plaint que son compteur saute toujours. Comme je viens d'apprendre à équilibrer les phases, je m'y rend seul.
En arrivant, je découvre un manoir un peu vieillot, au milieu d'un parc, où coule une fontaine.
Je frappe, attends deux ou trois minutes puis la porte s'ouvre. Habillée très légèrement, la cliente la quarantaine, me fait entrer avec un sourire significatif dans le hall frais de sa maison.
-Entrez, Monsieur, je suis contente que vous soyez là car je suis ennuyée, le dijoncteur saute sans arrêt et c'est pénible, à force d'avoir à courir pour remettre ce bouton en place. Pouvez-vous faire quelque chose ? Elle passe devant moi, et je peux apercevoir ses formes bien féminines et bien faites, en passant devant une ouverture, et où la lumière filtre à travers le tissu léger de sa robe.
- Voulez vous boire quelque chose maintenant ? de demanda t-elle
- Non, merci, Madame, mais je voudrais travailler un peu avant de me rafraîchir.
- Comme vous voudrez, mais notez quand même qu'il fait trop chaud !
Elle s'enfuit ensuite, me laisant seul devant mon compteur... Je repère les différents appareils de la maison, en descendant au sous-sol, en montant à l'étage dans les chambres, en courant vers la cuisine....Une fois repéré, je m'applique à mesurer chaque intensité et j'équilibre les phases comme on me l'a appris.
De temps en temps la cliente vient me voir, me demandant si elle peut m'être utile, puis s'évanouit dans sa grande maison...
Une fois terminé, je monte, en sueur, à l'étage et la trouve dans sa cuisine en train de préparer des confitures.
-Ca y est, Madame, je crois que j'ai résolu votre problème ! lui dis-je
- très bien , Monsieur, je suis très contente.
- Asseyez vous, Monsieur, je vais vous servir à boire, vous l'avez entièrement mérité.
Elle me sort un panaché du réfrigérateur, et prend un grand verre dans le buffet, de style Louis-Philippe, qui se trouve dans le couloir. S'assoit en face de moi et comence à me raconter sa vie.
Veuve depuis plus de quinze ans, sans , elle s'ennuie, bien que très occupée par tous les travaux du jardin qu'elle entretient elle-même.
- Mon mari était un peu comme vous, la même taille, et ce qui est frappant, le même regard.
Depuis la disparition de celui-ci, personne ne l'a remplacé et m'avoue de n'avoir trouvé aucun être pour lui donner un minimum de plaisir. Mes petits neuronnes, aussitôt me mirent sur la piste ; (si tu as compris, elle n'a pas baisé depuis plus de quinze ans).
Pourtant, elle était encore très désirable et je lui dis. Elle sourit, puis ...
- Monsieur, vous êtes tout trempé, et vopus allez prendre du mal à rester comme ça.
Venez prendre une douche, elle est à l'étage et je vais vous préparer une serviette et un gant.
La chaleur était tellment excessive, que j'acceptais immédiatement. Je finis mon verre, puis montait vers l'étage, où je l'entendais ouvrir une armoire. Elle me désigna la salle de bains, une grande pièce, où il y avait une douche, et posa un drap de bain sur une chaise dans un coin de la pièce.
Je me dehabillais donc, et une fois nu, je règlais le débit de la douche et m'enfila sous le jet tiède de la pomme de douche. Que ça faisait du bien de sentir couler cette eau sur tout le corps... Je restais là un long moment, évitant les gestes brusques pour ne pas me réchauffer et pour, au contraire refroidir mon corps bouillant. Une fois revenu à température normal et après m'être savonné et rincé, je sortis de la douche.
Au moment, où j'allais attr la serviette, elle entra, et je me retrouvais entièrement nu devant cette femme qui sans s'excuser continua à pénétrer dans la pièce en ne me lâchant pas du regard. Regard qui allait de mes yeux à mes pieds, en s'attardant sur mon sexe frippé par l'eau froide.
faisait des gloup;;; gloup, elle se régalait et moi aussi. Elle lâchait sa prise de ses mains et me caressait les fesses et les attirait vers elle comme pour que je m'enfonce encore plus profond dans sa gorge. Elle rejetait ma queue d'un coup de langue et la reprenait avec violence. C'était délicieux !
Me tenant toujours en bouche, elle se deshabilla faisant voler tout ce qu'elle avait sur elle, pour enfin se retrouver nue, entièrement nue. elle se redressa lentement en me lèchant sur toute la longueur de mon corps et vint m'embrasser goulument. Nos corps étaient serrés l'un contre l'autre et mon gland chatouillé par les poils de son pubis gardait toute sa raideur. Elle souleva une jambe, écartant par le fait ses cuisses et vint s'empaler sur mon membre turgescent. Celui-ci baignait dans cet océan de cyprine et glissait allègrement malgré des parois reserrées. Je tenais sa jambre repliée et la tambourinait au plus profond. Elle gémisssait, hurlait.
Appuyé contre le mur, je la soulevais complètement et lui fit replier son autre jambe pour la mettre autour de ma taille, puis m'aidant d'une main, je dirigeais la pointe de mon sexe sur la rosette de son petit trou légèrement écarté par sa position.
La douleur fit place au plaisir, et elle m'incita à aller encore plus fort. Nos bouches étaient soudées, et quand je giclais ma semence au fond du trou elle me serra encore plus fort... Je la maintenais comme ça quelques minutes, puis finis par la déposer sur le carrelage
- Oh! que c'était bien, que c'était divin ! Il y avait si longtemps.... Merci mon chéri !
Depuis, elle m'appelle de temps en temps et me demande si je ne passe pas dans la région. Et dès que cela m'est possible, je m'y rend et nous partageons des moments très forts. Mais cette première fois est à jamais gravée dans ma mémoire.
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