Classe À L'Armée

Nous venions d'être incorporés pour faire nos classes, nous avions 18 ans. On nous avait mis quatre par chambrée. Sur les quatre, un manquait, il devait arrivr plus tard.
Tout de suite nous avons sympathisé, rigolades, jeux de cartes...
On parlait des filles, et comme j'en parlais, ça excitait les autres...Je donnais de multitudes détails de mes conquêtes et c'était vrai, j'avais du succès avec les filles. Je n'ai pas avoué ce complexe, mais je trouvais mon sexe trop petit, mais je leur ai dit quand même, avec modestie.
Au bout de quelques jours, malgré mon complexe, on revenait des douches complètement nus, avant d'enfiler un short pour passer la soirée. Un de mes compères, qui était de l'autre côté du lit (celui du haut) me demanda plusieurs explications sur telles ou telles choses... Il profita que j'avais les deux mains sur le lit pour me saisir les poignées. J'étais totalement coincés, prisonnier, ne pouvant aller ni plus haut, ni plus bas, ni à droite, ni à gauche. Le lit me barrait la poitrine à la limite de la douleur.
- Qu'est-ce que tu fais là ? lui dis-je
- On veux juste gouter à ta queue ! me répondit-il
- Tu es malade, lui rétorquai-je
L'autre compère, bien orchestré dans la complicité s'était glissé dans le lit du dessous et commença à caresser mon paquet.
- Déconnez pas les gars, je ne suis pas pédé ! leur criai-je.
Je me débattais, mais me tenant ferme, je n'arrivais pas à me dégager de cette prise. Une fois calmé, la caresse de mon voisin du dessous se fit plus précise et mon sexe prit du volume. Jamais je n'aurais imaginé, ne serais-ce qu'une fois, qu'un mec me touche le sexe... Sa main était douce, et très caressante et ma queue de plus en plus tendue. Je n'avais plus le choix que de me laisser faire. Une fois qu'il s'apercut que je bandais fort, il baissa mon short et je me retrouvai complètement nu, la queue dressée devant lui. Je ne le voyais pas, et n'avais que les sensations de toucher.

Celui qui me tenait par les poignets me regardait bien dans les yeux en souriant légèrement. La situation l'excitait, lui aussi.
Je sentis un souffle chaud sur ma bite, et je commençais à aimer ça. Puis mon sexe entra dans la bouche pleine de salive de mon bienfaiteur. Une de ses mains avait bien décalotté mon gland et sa langue s'activait autour de la base de mon gland. Le plaisir montait, et les sensations grandissantes... il me caressait maintenant les boules et me suçait avec délectation. Les poignets toujours bloqués, je fermais les yeux pour me concentrer sur ce plaisir que je découvrais. Jamais une fille ne m'avait sucé comme ça, jamais aussi bien, en tout cas
Mon geolier,deserra sa prise pour me laisser libre, et je restai dans la même position pendant que l'autre s'activait à me pomper.
Quelle était bonne cette pipe !
Le copain qui était en face de moi avait disparu de ma vue et s'était glissé derrière moi. Il écarta les lobes de mes fesses et je sentis sa langue agile me titiller la rosette sensible et vierge. Un autre plaisir montait en moi et j'appréciais aussi cette deuxième caresse. Je bombais même le cul pour qu'il me lèche plus aisément. La pointe de sa langue très active essayait de pénétrer mon anus et lentement y arriva. Quel plaisir méconnu ! ils me tenaient tous les deux par les hanches, l'un par devant, l'autre par derrière où leur bouche et langue s'acitavaient
Celui qui était placé derrière moi se redressa et posa sa queue sur ma rondelle lubrifiée par beaucoup de salive. Sa queue devait être fine car j'ai légèrement senti le passage de son gland. Ce dernier une fois passé, s'immobilisa et lentement explora mon ventre. Une fois qu'il arriva au fond, il commença à bouger et engagea un rythme de metronome. Je m'aggrippais au lit, fermant les yeux, distillant autant de plaisirs nouveaux. Ma sève montait et ne pouvant plus me retenir j'explosais dans la bouche de mon pompeur, qui avala tout le sperme que j'avais. Quel délice ! Je sentis les mains de l'autre se crisper sur mes hanches et un flot de jus arriva simultanément dans mon cul dégoulinant.
Celui qui m'avait pompé quitta mon sexe et profita de mon cul largement ouvert et lubrifié pour me pénétrer et rapidement lâcher sa semence. Le jus coulait le long de mes cuisses. J'étais ereinté, épuisé mais tellement heureux, c'était le plaisir dans sa plus grande expression. Je restais là, immobile, un bon moment, puis je me dirigeais vers les douches pour me laver, la bite et le cul poisseux.
En revenant, je remerciais mes deux camarades de m'avoir fait découvrir ces plaisirs en leur promettant de remettre ça !
Ce que nous fîmes presque tous les jours. Aujourd'hui je suis marié, père de deux s, mais de temps en temps je vais baiser avec quelques potes homos.

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