Un Vieux Au Ciné

J'étais un hétéro pur et dur, pourtant, j'avais envie de variante, sans jamais l'avouer.
Je suis un jouissif et dès qu'il m'en était donné l'occasion, j'allais regarder un film X dans un cinéma. Je ne me lasse jamais des pornos, sauf ceux qui sont trop crade.
J'aime les films de DORCEL, raffiné et jamais vulgaire.
Mais les salles, dans les villes, ont pratiquement disparu, laissant place à des cabines dans les sexe-shop. C'est dommage, car rien ne vaut ces salles obscures où les gens se cotoient, s'épient, et quand tout va bien se branlent ou se sucent...
Moi, j'y allais à 18 ans, pour jouir du spectacle de l'écran, et je me masturbais sous la veste ou l'imperméable, en essayant d'être très discret. Mais les autres ne sont pas dupes et presque à chaque fois, il y en avait un qui venait s'asseoir à côté de moi. Il faut dire que j'ai les traits fins et que je fais un peu fille avec mes cheveux mi-longs.
La première fois que je fus dragué, c'était dans une salle, assez grande, et j'avais choisi un siège : le troisième en partant de l'allée. Peu de temps après m'être assis, un homme, la soixantaine, costume trois pièces et cravate, est venu sur le siège à côté. Je me suis bien dit, qu'il y avait beaucoup de fauteuils ailleurs, mais je mettais ça sur le compte de la pénombre de la salle, où, il n'est pas facile de se déplacer... Au bout de 10 mn, les images étaient très chaudes, les filles très belles, les queues très grosses, mon voisin posa sa main sur ma cuisse. Surpris, j'étais désemparé et ne savait que faire : dois-je l'envoyer paître ou le laisser faire. Par timidité et par peur, j'étais tétanisé et ne bougeais plus. Il prit ça comme une acceptation, car sa main se déplaça doucement par petites caresses puis par de plus amples gestes. Il partait du genou et remontait vers ma bosse (je bandais comme un fou), puis redescendais sur l'autre cuisse. Quand il il m'eut bien excité, il baissa la fermeture de mon jean'.

Le geste était précis et sûr. Il n'eut aucun mal à baisser mon zip, et comme je bande droit devant la bosse de mon slip sortit aussitôt par la braguette. Ensuite, il déboutonna avec dextérité le bouton de mon pantalon, pour rendre la caresse plus aisée. Je soupirais et soufflais, gardant mes coudes sur l'accoudoir qui nous séparait. Il tripota le bout de ma queue, toujours prisonnière de mon slip. J'ai cru que j'allais décharger... Il s'arrêta à temps, puis entreprit de baisser ma culotte... Le contact de sa main sur mon sexe me donna des frisson... Il tâtait ma tige lisse et imberbe et descendait me tripoter les boules. Une fois que sa main eut fait sa reconnaissance, il revint sur ma tige, la décalotta avec délicatesse et m'effleura le gland si sensible. J'étais aux anges, et me laissais faire par cette main experte. Sa caresse dura une bonne demie heure, accèlèrant et ralentissant son va et vient. La dernière personne sur la rangée se leva et partit... Il pensa certainement que c'était le bon moment, il releva l'accoudoir et se pencha pour prendre le bout de ma queue dans sa bouche. Il faisait des petits hum..;humm de plaisir, comme un gamin qui mange un éclair...
Sa bouche chaude enveloppait bien mon gland, puis il ouvrit un peu plus ses machoires et s'enfourna mon sexe entier. C'était la première fois que je me faisait sucer... J'avais déjà phantasmé sur une fellation éventuelle mais je ne m'imaginais pas à quel point c'était aussi bon. Il maintenait mon gland décalotté en tirant en arrière avec sa main, et je sentais sa langue lècher, caresser, sucer : c'était divin...
J'étais comme ivre de plaisir, peut être est-ce le parfum délicat qu'il portait... Il se délectait, pinçant ses lèvres en se retirant, rouvrant la bouche pour me reprendre, enfin je sentais la sève monter et je voulus le repousser, mais il tint bon et je fus obligé de tout décharger dans sa bouche. Quel pied, j'ai pris là ! Je déversais ma semence et il continuais à pomper. Il pompait de plus en plus doucement avalant chaque goutte de sperme et par là même me nettoya la tige entièrement.

Quand j'eus débandé complètement, il donna un dernier coups de langue et se redressa sur son fauteuil. Nous regardions la sute du film qui toucha à sa fin et nous restâmes immobiles sans rien dire, attendant le film suivant.
Dès que l'autre film se mit en route, il posa sa main sur la mienne, qui était venue sur mon genou comme un couple peut le faire... Les images à l'écran étaient toujours torrides et mon excitation revenait peu à peu...
Il tirasur ma main pour l'attirer vers lui, et je compris qu'il voulait que je le caresse à mon tour. En me montrant le chemin, je continuais seul et me dirigea directement vers son entrejambe... Sa braguette était déjà ouverte et je n'eut aucun mal à atteindre son sexe enveloppé dans un caleçon.. Il déboutonna le seul bouton de ce caleçon et je fus en contact direct avec son sexe turgescent. Un sexe énorme avec de grosse veines de chaque côté et un gland aussi important, le tout, d'une dureté impressionnante. Une queue qui devait faire facilement ses 20 cm voire plus. Ma main coulissait le long de cette perche chaude qui sortait droit devant. Je matais bien cet engin de plaisir et pensais qu'il était bien trop gros pour mon petit oeillet. Sous cette tige deux boules importantes poilues balotaient avec mon va et vient. Il passa un bras derrière mes épaules et m'incita à me pencher pour le sucer. Ce que je fis, mais je ne pus que prendre le gland dans ma bouche que je suçais comme je pouvais. Je le suçais, l'aspirais, le lèchais tout en le branlant. Ma bouche était pleine mais j'y prenais beaucoup de plaisir...La fellation dura un bon moment, puis je le vis tendre ses jambes, faisant ressortir le maximum son sexe, puis un flot important de jus en sorti. Plusieurs saccades de sperme onctueux jaillirent et j'en avalais le plus possible. C'était mon premier sperme avalé ; c'était abondant et bon.. Mais il jutais tellement que ça débordait de ma bouche et dégoulinait le long de sa tige. Quel jus !
Il me maintenait toujours les épaules, comme si il ne voulait plus que je m'échappe et je restais un moment comme ça la bouche pleine ressentant les derniers soubresaut de son sexe se ramollissant.
Puis lentement, il retira son bras et je pus me redresser. Il sortit un mouchoir plié au carré, le déroula et finit d'essuyer sa queue trempée de jus et de salive. Il se reboutonna le caleçon, remit son sexe pendant dedans puis referma la fermeture de son pantalon. Il se pencha vers moi et à l'oreille, il me dit "Merci, petit, c'était très bien".

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