En Pension
Nos parents nous avaient mis en pension,faute de résultats... Benjamin et moi Gérémie. Nous nous retouvâmes donc dans une école de curés, loins de chez nous. Nous ne nous connaisions pas, mais on nous avait destiné une chambre pour tous les deux, dès notre entrée. Enfin, c'était une chambre pour quatre, mais les deux autres devaient arriver plus tard, deux frères qui venaient des colonies.
Nous choisissâmes chacun notre lit, et nous décidâmes qui aurait le bureau de gauche et de droite. L'entente était parfaite, Benjamin était très sympa, ma taille, mon gabarit. Il était brun alors que moi je suis blond.
Après l'étude du soir nous nous retrouvions dans la chambre vers 9h. Un surveillant passait vers 10h voir si tout allaitet nous ne le revoyons plus jusqu'au lendemain matin. Nous allions, chacun notre tour, nous doucher dans la salle de bains, au fond du couloir. Nous emportions, pour cela, notre trousse de toilettes et notre serviette. Quand nous revenions vers notre chambre nous avions la serviette autour de la taille et nous ramenions nos effets sous le bras. Arrivé dans la chambre, nous enlevions la serviette qui nous servait de pagne et nu comme un verre nous mettions un pyjama.
J'essayais d'aller me doucher en premier, ce qui me permettais de mater Benjamin à son retour. Il se retournait pour enfiler son pyjama et je pouvais admirer ses belles fesses rondes totalement imberbes et bien lisses. Quand il soulevait une jambe, pour enfiler son bas de pyjama, je pouvais apercevoir ses petites boules et le bout de sa petite queue au prépuce pendant. A chaque fois que pouvais profiter du spectacle, je me mettais à bander terriblement.
Quelques jours passèrent, puis, après le passage du surveillant, je dis à Benjamin :
- J'ai envie de baiser !
- Pourquoi, tu bandes là ? me répondit-il
- Oui, terriblement ! continuais-je
- C'est moi qui te met dans un état pareil ?
- Peut-être, mais regarde ma queue comme elle est !
Je baissais d'un coup mon drap du dessus et découvris mon corps entièrement nu, car j'avais pris la précaution de me mettre à poil complètement.
Il fut ipnotisé par la vue de mon sexe en érection. Il ne disait plus rien, surpris et très excité. Je voyais son drap bouger, il se caressais en me regardant.
- Ouah, me dit-il. Elle est mignonne comme tout
- Fais voir la tienne. Lui répondis-je
Il baissa à son tour le drap et baissa en même temps son pantalon de pyjama pour faire sortir sa queue. Les poils de son pubis étaient noirs et frisés et son gland à moitié décalotté.
- Elle est pas mal non plus la tienne. Lui dis-je
Il bandait très fort, à son tour, et sa main dégagea le gland de son prépuce.
Mon gland de forme oblong, le sien plutôt pointu en ogive.
Il se leva, et vint s'assoir sur le bord de mon lit, matant toujours mon sexe raide.
Il tendit la main et le caressa maladroitement mais doucement. Je me laissais faire, sa caresse était vachement excitante. La main d'un étranger sur mon sexe la rendait de plus en plus raide. Il finit par le décalotter entièrement.
Je tendis ma main pour attr le sien, passant derrière le cordon de son pantalon de pyjama. A mon tour je le décalottais et passais mon pouce sur le méat en faisant des petits cercles. Cette caresse l'électrisa et ses jambes se tendirent.
Je lui chuchotais à l'oreille d'enlever complètement ce pyjama pour ête plus à l'aise.
Ce qu'il fit aussitôt. Nous nous branlions mutuellement dans un position acrobatique.
Puis je lui dis : "Donne la moi que je la suce"
- Tu veux ? T'es pédé ou quoi ?
- Non mais, lève toi et donne la moi.
J'étais toujours allongé et il rapprocha sa queue fine adorable près de mon visage. C'était la première queue que j'allais sucer. J'avais vu les filles, dans une cassette porno, comment elles faisaient, et ça me donnait envie d'en faire autant. Il tendait son corps pour que je puisse la prendre et la tenait pour diriger son gland vers ma bouche entrouverte. Dès qu'elle fut à ma portée, j'ouvris grand la bouche et avala son gland. Que c'était bon et étrange, ce muscle rond caoutchouteux sous ma langue.
Sans un mot il remit son pantalon de pyjama et s'enfila entre les draps. Je croyais qu'il avait honte et qu'il me boudait. Je décidais de n'en rien rajouter.
Une heure plus tard, j'entendis "Eh! tu dors ?"
Je répondis "Non, je ne peux pas dormir"
"Moi, non plus! me rétorqua t-il
Mon sexe à moitié débandé reprit sa pleine forme, et je finis par me lever, nu, sur le bord de son lit. Je rejetais ses draps vers le bas, découvrant son corps recouvert de son pyjama, puis j'entrepris de le lui enlever ce surplus et une fois qu'il fut nu, je le caressais partout de la tête aux pieds. Il se remit à bander et il haletait, gémissait sous ma caresse que je voulus le plus douce possible. Je le branlais, lui caressais les boules et continuant je titillais son anus sensible. Il lança un petit cri et bomba les fesses. Il se retourna et remontant ses lobes, il m'offrait ses fesses entrouvertes où je pouvais admirer son oeillet rose et tendre. Je mis un doigt dans la bouche et après l'avoir bien humecté, je caressais sa rondelle qui s'entrouvrit tout de suite. Ma première phalange pénètra facilement et glissait allègrement pour aller plus loin. Je ressortis mon doigt et me pencha pour lui lècher son petit trou légèrement dilaté. Ma langue tournait, s'enfonçait, lubrifiait ce nid délicieux. Pendant dix minutes je lèchais cette rondelle et je m'aperçus qu'elle s'entrouvrait surement.
"Encule-moi" me dit-il "Mais va doucement,s'il te plait"
Il se mit à quatre patte sur le bord du lit le cul en offrande, j'étais aux anges...
Debout derrière lui, la queue raide, je ramenais mon prépuce sur le gland et posais le bout sur sa rondelle. En appuyant légèrement, je sentis mon gland pénètrer, il était très excité... puis en appuyant un peu plus, tout en se décalottant il pénètra d'un coup, franchissant la barrière anale de mon amant, qui poussa un petit cri de douleur. Je m'arrêtais, puis au bout de quelques secondes je repris ma poussée et mon sexe s'enfonça lentement jusqu'au fond. Arrivé au fond, j'entrepris de le limer doucment tout en le tenant par les hanches. "Plus fort, vas-y" me cria t-il... Ma queue glissait bien dans son fond et il gémissait de plaisir à chaque coup de boutoir. "Oh! que c'est bon, ne t'arrête pas"
- Je vais jouir, lui répondis-je
- Met tout au fond, vas-y ! Marmona t'il
Je ne pus me retenir, et je lachais tout mon jus dans le fond de son ventre. Il gémissait, ondulait et quand j'eus envoyé mon dernier coup de rein, avec sa main il me retint par les fesses pour que je reste comme ça immobile, au fond de lui.
Quels moments inoubliables de cette première nuit avec Benjamin. J'avais trouvé le camarade de chambrée idéal. Nous avons fait ensuite des baises extraordinaires que je racontrais plus tard, mais celle ci est inoubliable.
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