Le Con Sert Tôt ( Suite 7 )
- 7- Il ma sauté ce matin et comme il me reste encore 3 jours avant de rentrer dans mes pénates, je décide daller faire un petit tour en ville. Pour ça je prends le bus et décide daller à la bibliothèque rendre les livres que jai empruntés. Tout en faisant du lèche vitrine, japerçois J.P en reflet dans une devanture accompagné par la jeune maîtresse du fermier, celui qui en a une si longue et grosse. La pauvre, si J.P la saute, sa bite doit lui sembler bien ridicule, à elle qui, lannée dernière, senvoyait du 5,5 x 22 alors que son copain est plutôt équipé en 4 x16.
Je me retourne, je ne sais pas sils mont reconnu ou tout simplement nont pas fait attention à moi. Je me demande si je dois les aborder ? Je prends le risque, on verra bien la suite. Je madresse au mec :
- Tiens, bonjour, le monde est petit !
- Qui cest celle là ?
- Audrey, une amie denfance. Ses grands-parents habitent au village ! Quand on était jeune, on a souvent passé des vacances ensembles.
- Elle cest Josie, ma copine, elle habite à la ferme
- Ah oui, la ferme où il y a le hangar, lannée dernière je my suis abrité pendant une averse.
- Quest ce que tu deviens ?
- Je travaille avec mon père, je suis en apprentissage du métier de boulanger. Deux semaines par mois je vais au lycée technique. En ce moment cest les vacances scolaire, donc la quinzaine de travaux pratiques. Tes là encore pour combien de temps ?
- Je repars dimanche ou lundi, cest selon. Je madresse à sa copine :
- Et vous quest ce que vous faites ?
- Je vais au lycée, cest lannée du bac. En fin de semaine, je me fais un peu dargent de poche en servant à la boulangerie.
La conversation sarrête là, je crois bien quelle ma reconnu, bien que, vu les circonstances de notre précédente rencontre ? Ce jour là jétais en jupe et chemisier, alors quaujourdhui je suis en jean et tee-shirt. Ce quelle a surtout vu de moi, cest mon cul et la bite de son oncle qui lemmanchait ! Pour le reste je ne crois pas quelle sen souvienne ! En ce qui me concerne, la seule fois où je lai vue, elle était à poil !
On revient par le même car, eux descendent à la ferme, moi je continue jusquà la place du village, rentre à la maison.
----- Jai passé une bonne nuit, je suis en forme. Pas dintrus comme hier matin, je me suis levé tard, pris ma douche, jai bien révisé. Cest une journée calme, ouf, pas de baise en vue, ça repose. Il est 4 h, je décide daller faire un tour. Je prends le bus. Je nai rien de particulier à faire, si ce nest me détendre, aussi je me promène en ville, fais du lèche vitrine. Je peux rentrer mais cest trop tôt. Je prendrais un bus vers 6 h, ça sera bien suffisant.. Quelle nest pas ma surprise de rencontrer J.P Je lui demande :
- Quest ce que tu fais là ?
- Je rentre, jai travaillé ce matin, javais des courses à faire cet après midi. Et toi ?
- Jai reporté les livres à la bibliothèque, acheté des strings !
- Tu rentres avec moi, Josie mattend à la descente du bus !
Et nous voilà partis. Curieuse, je me mets à lui poser des questions :
- Hier tu étais avec elle, cest seulement une copine ?
- Un peu plus que ça !
- Cest une belle femme. Tu las déjà essayée ?
- Bien sûr, quest ce que tu crois, ça fait un an quon se fréquente !
- Vu laccueil quelle ma fait hier, elle serait pas un peu jalouse ?
- Pas du tout. Enfin je ne crois pas !
- Une question indiscrète ! Comment elle est au lit ?
- Tes trop curieuse ! Faut pas !
Soudain, alors quon passe devant une porte cochère, il me prend la main, me tire vers la porte, louvre.
- Aller entre!
- Ca va pas ! Quest ce qui te prends ?
Je résiste, il est costaud, (cest un mec d1,80 m et dau moins 75 kg ) je me retrouve dans une entrée dimmeuble, des apparts à droite et à gauche, sur un côté un escalier pour monter à létage.
- Quest quon fait là ?
Il me pousse dans une sorte de renfoncement derrière lescalier, devant une porte qui doit être celle de la cave ou du local à poubelles.
- Ici, ça fra laffaire !
Il ouvre sa braguette, sort mandrin et couilles du slip, me dit :
- Suce-moi !
Il a une belle érection, je regarde sa bite, hésite, jai pas envie, pas à la sauvette, pas dans cet endroit.
- Alors tu te grouilles !
Il matt aux épaules, appuie, moblige à maccroupir devant lui. Il place sa queue devant ma bouche, me tient la tête, me force à louvrir, jabsorbe la bite en entier, elle est au fond de ma gorge, métouffe. Il la ressort, je la prends dans une main, la fait coulisser doucement sur la hampe, pendant que de lautre je caresse et soupèse les couilles. Je passe ma langue autour du gland, mapplique, le mouille. Le gland grossit encore sous mon action, devient rouge violet, la tige raide et dure se contracte, les couilles remontent. Cest un signe que je connais, il est prêt à gicler, je ne veux pas quil se vide dans ma bouche. Jarrête de le sucer, ouvre mon sac, prends une capote, léquipe vite fait. Cest pas croyable, malgré la situation, le risque de se faire surprendre, ça mexcite, je sens que je mouille terrible, sa bite me fait envie. Je me relève, descends mon jean juste sur le haut des cuisses, lui tourne le dos, écarte un peu les jambes, mincline, mappuie sur le mur, cambre les reins, lui présente mon cul, tourne la tête vers lui.
- Cest ça qutu veux ?
Il nhésite pas, écarte ma culotte, me prend aux hanches, tire vers lui et dune seule poussée memmanche direct au fond, par derrière.
- Hé, doucement !
Mais ça rentre sans forcer tellement mon sexe, bien lubrifié, est facile à pénétrer. Il me ramone, ses coups de butoir sont rudes, je ne peux pas mempêcher de couiner. Il me lenfonce jusquà la garde, va de plus en plus vite, me pilonne sauvage, sacharne dans moi, je naccompagne pas, je subis, fatigue.
- Salaud, taurais pu éviter de men foutre !
Cest fini, il reste en position, sa queue ramollit, il la retire, range son outillage. Je me redresse, un peu de sperme coule hors de mon vagin. Je maccroupis, prends un kleenex dans mon sac, en fait un tampon que je fais pénétrer dans ma gaine encore ouverte. Jespère pouvoir récupérer tout son foutre, sinon je vais devoir rentrer avec une odeur de baise qui ne trompe personne, surtout pas ma grand-mère Je le jette à côté de la capote, remets ma culotte en place, remonte mon jean, ferme ma ceinture.
On ressort, je crois que personne ne nous a vu ou entendu, quelle chance. Cest un coup rapide, vite fait, debout, sans préambules, ça a duré un peu plus de 5 mn, je crois une éternité Jai pas regardé ma montre ! Seule la femme de ménage va découvrir les traces de notre passage !
- Tas soif, jte paye un pot ?
On entre dans un café, on a encore du temps devant nous. On sinstalle à une table. On discute, parle de ce quil vient de me faire :
- Ten avais envie ! Jsuis rentré facile !
- Pas du tout. Jme suis laissée faire, jai pas joui ! Pourquoi tas viré la capote ?
- Pour sentir ta mouille sur ma queue !
- Tes content, tas tiré ton coup!
- Tes trop bandante, pas pu résister !
- Tu mas pas dit. Ta copine, cest toi qui lui as fait sauter la pastille ?
- Recommence pas avec ça, ça ne te regarde pas !
- Aller, soit pas bégueule, tu peux me dire, cest moi qui ta initié !
- Cest de la vielle histoire !
- Alors, raconte ! Elle était vierge ?
- Non, elle navait pas 15 ans, un copain un peu plus vieux quelle.
- Elle a quel âge maintenant ?
- Comme toi et moi, 18
- Avant que tu la rencontres, elle avait quelquun ?
- Non, elle ma dit quelle navait pas baisé depuis son dépucelage. Elle a perdu ses parents dans un accident il y a un an et demi ! Depuis elle a été recueillie et vit chez ses grands-parents, à la ferme.
Oh la menteuse ! Lannée dernière elle se faisait troncher par son oncle dans le hangar ! À cause de ma curiosité, ce jour là jy ai eu droit en même temps quelle ! Ce mec aime se taper des filles jeunes, elle et ensuite moi. Depuis personne ne men a enfilé une aussi grosse et longue.
- Dis-moi, elle baise bien ?
- Elle aime la queue, on ne sen prive pas ! Et je peux te dire quelle y va ! Elle arrive à me crever !
- Tes vide, ce soir tu pourras pas assurer, quest ce que tu vas lui dire ?
- Tinquiètes, jai déjà rechargé ! Et puis elle sy connaît pour faire durer et mamener à jouir en même temps quelle ! Et cest pas sûr quon baise, on peut pas chez moi et chez elle cest pas facile. Son oncle la surveille, prétend quelle est trop jeune pour avoir un petit copain. Une chance, un escalier sépare sa chambre des autres chambres, on peut se voir en cachette sans quil le sache ! Je passe par la grange, elle déverrouille la porte en bout du couloir, de là je peux arriver dans sa chambre sans me faire voir. Je passe la nuit avec elle et je file tôt le matin pour aller au fournil.
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