Un Gamin Pour Une Veuve
J'ai 38 ans, mon mari décédé depuis trois ans dans un accident de voiture, me laisse seule avec un de 10 ans. Nous sommes en été, et, les parents de mon mari ont invité mon fils à passer des vacances dans leur villa sur la côte.
Je n'étais pas favorable, car sans lui, je m'ennuie. Mais, lui était volontaire et je ne peux pas me permettre de m'y opposer car, d'une part, ils sont très gentils, et d'autre part, légalement, ils en ont le droit.
Une semaine après le départ de mon gamin, je décidais d'aller chez des amis, qui m'avaient invitée plusieurs fois, et je n'avais pas pris le temps de satisfaire leur requête. C'était l'occasion !
Un coup de téléphone, je prends la voiture et finalement, arrive chez eux. Reçue à bras ouverts, je suis acceptée comme une reine. Leurs s du même âge que le mien, sont partis en colonie de vacances. Seul, un neveu de dix-huit ans, Sébastien leur tient compagnie. Un garçon de taille moyenne, blond, les yeux bleus très clairs, un visage lisse dépourvu de barbe, le teint hâlé qui me regarde, depuis mon arrivée, comme une bête curieuse. Chacun de mes déplacements est épié par ce regard angélique. Gênée, au début, puis m'y faisant, je décidais d'en rajouter un peu ; dans ma démarche et dans l'application de l'ouverture de mon chemisier que je décoltais de plus en plus.
Les deux premiers soirs, Sébastien, m'accompagnait jusqu'à la porte de ma chambre, m'embrassait sur la joue et me lançait des "bonnes nuits", puis rentrait dans sa chambre. Décidément, il me plaisait ce petit bonhomme ! Et en pensant à lui, je m'apercus qu'il m'excitait. Je me l'imaginais, nu, sans poils, le sexe droit, entrain de se caresser...A cette pensée, je sentais mon sexe gonfler et se mouiller... Quand même, il n'a que dix-huit ans, me dis-je ! Je n'arrivais pas à trouver le sommeil et décidais de redescendre au salon pour trouver un libre dans la bibliothèque. En passant dans le couloir, j'apercus un rai de lumière qui passait par la porte entrouverte de Sébastien.
Vétue d'un chemise de nuit assez légère, lentement, je m'approchais de son lit, et m'assis sur le bord.
- Qu'est-ce que tu lis ? lui demandais-je.
- Oh... rien... des conneries ! Rétorqua t-il
- Je peux voir ? répliquais-je
- Si tu veux, répondit-il en me tendant son livre.
Je saisis celui-ci et en quelques lignes lues en diagonales, je m'aperçus que c'était des histoires érotiques.
- Tu aimes ce genre de lecture, Seb ? Moi, je n'en n'ai jamais lu, lui dis-je en mentant.
- Eh bien, moi j'aime bien, dit Sébastien.
Le drap qui le recouvrait, décrivait un petit chapiteau au niveau de son bas-ventre et il ne pouvait le dissimuler. Je décidais de me lever pour le quitter et au moment où j'allais l'embrasser, ma main se posa, comme par hasard, sur sa déformation. Malgré le drap, je sentis un petit membre raide comme du bois. Trop excitée, je laissais ma main sur son petit paquet en le matant bien dans les yeux.
Surpris, il dégagea ma main, comme par reflexe. Je ne voulais pas abandonner la partie, là, maintenant... j'osais une deuxième tentative, et glissais ma main sous le drap ; il était entièrement nu. Sa peau totalement imberbe laissait ma main glisser sur son ventre musclé.. Cette main continua son périple et descendit plus bas, rencontra quelques poils éparses et arriva sur sa tige dressée. Doucement, lentement, je caressais ce petit membre au long prépuce... Sébastien s'abandonnait et me laissais faire. Ses yeux se fermèrent, comme pour mieux profiter de cet instant.
Rapidement, je dégageais complètement le drap qui me gênait, et pus admirer cette petite queue si mignonne. J'entrepris de la décalotter délicatement, et entre deux doigts je la branlais très doucement. Il se mit à respirer très fort et à gémir de plaisir.
N'y tenant plus, je me penchais et goba son gland et me mis à le sucer comme un sucre-d'orge. J'enfonçais toute sa tige dans ma bouche et me régalais, faisant tourner, par moment ma langue autour de la base de son gland, puis le reprenant bien en engloutissant tout. J'avais presque oublié ce goût de queue, puisque la dernière que j'ai sucé, c' était celle de mon mari, il y a trois ans.
Qu'elle était bonne, cette petite bite de puceau, et quel régal pour nous deux. Lentement je m'appliquais à le pomper avec beaucoup de salive, pour que ça glisse bien et je caressais ses petites boules magnifiques.
Se sentant trop inactif, il tira sur ma chemise de nuit et tenta de me l'enlever. Sans quitter ma succion, je déplaçais mon corps mon l'aider et très maladroitement, il finit par me l'enlever. Comme lui, je me retrouvais entièrement nue sur le bord de son lit. Il me caressait les épaules et sa main inexpérimentée descendit vers mes fesses, que je bombais pour mieux l'accepter. Ses doigts parcourèrent ma raie, effleurèrent mon anus et allèrent jusqu'à ma chatte inondée. Ses doigts glissaient aisément sur ma fente, et finirent par trouver l'entrée de mon vagin. Il les enfonça le plus possible, j'étais heureuse et mouillait comme une salope. Je le suçais toujours et nous bougeâmes nos corps, de façon à s'étendre sur le lit, et nous nous retrouvâmes en position 69. Il souleva une de mes jambes et entreprit de glisser sa tête pour atteindre ma vulve. Il se mit à lècher goulument ma chatte inondée de cyprine tout en me triturant mes petites lèvres et mon oeillet vierge. Que c'était bon, ce retour au plaisir.
Je pinçais bien les lèvres pour profiter de cette petite bite décidément bien vigoureuse et me laissais lècher avec délice.
Sa verge se mit lentement à ramollir, alors que je l'avais toujours en bouche. Et une fois, la fièvre retombée, il se dégagea de mon étau pour remonter à mon niveau et se blottir dans mes bras. Une heure après, tout excité et remonté Sébastien se manifesta et... je vous raconterai cette suite véridique plus tard...
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