Déborah Trahie Par Sa Collaboratrice

Déborah, belle brune de vingt huit ans est pdg dans une chaine de magasin, dont elle
est la propriétaire. Elle est mariée depuis six ans avec Frank, cadre dans une entreprise
d'informatique. Ils sont très bien financièrement, et ont une entente parfaite sexuellement,
faisant parfois l'amour une grande partie de la nuit. Déborah adore le sexe.
Cependant, depuis quelque temps, après avoir joui ensemble une paire de fois, il lui
arrive de finir sa femme en la suçant ou en la masturbant.
"Ce n'est que passager pense-t-elle. Je ne vais pas prendre un amant pour çà. Je suis
fidèle et je le resterai"
Sylvie, sa collaboratrice, est une plantureuse blonde de vingt cinq ans. Une beauté. SI elle
était lesbienne, c'est avec une fille comme çà que Déborah pourrait faire l'amour. Ce vendredi, Sylvie a pris son après midi pour se rendre chez sa mère malade.
N'ayant que deux dossiers a traiter, Déborah décide elle aussi de prendre son après midi
et quitte son bureau à quatorze heures. A quatorze trente, elle arrive chez elle.
Une fois chez elle, elle se dirige vers la salle de bain, passe un peignoir, et repart vers
le salon. Là son attention est attirée par des bruits venant de la chambre, dont la porte
est restée entrouverte. En fait, ces bruits sont des gémissements, des plaintes, des
petits cris même.
Elle s'approche pour jeter un coup d'oeil, et là, le choc. Sylvie, sa collaboratrice est allongée sur le lit, entièrement nue, les jambes écartées, et Frank, son mari, en train de la pénétrer.
Son sang fait qu'un tour. Que faire. Elle ne peut pas laisser passer çà. D'autant plus que çà
explique les pannes sexuelles de son mari.
Elle rentre comme une furie dans la chambre.Frank fait un bond de l'autre côté du lit les
mains sur la tête.
-Calme toi chéri, dit-il, c'est pas ce que tu crois. C'est un malentendu.
-Sors d'ici, salaud, hurle Déborah, je vais m'occuper de ton malentendu
-Viens ici toi, dit-elle a Sylvie, tu étais en train de te le faire mettre, sale pute.


Sylvie essaie de prendre le même chemin, mais Déborah la saisie, par les cheveux et la ramène sur le lit. Au passage, elle lui met deux gifles. S'engage alors une lutte farouche,
pas pour se crêper le chignon, ni se sortir les yeux, mais chacune voulant se maîtriser.
Et à ce jeu, Sylvie semble plus calme et plus sereine. Elle évite avec assurance les coups
envoyés par Déborah, dont le peignoir c'est complètement ouvert. Elle se retrouve sur le ventre de Sylvie, seins contre seins
Sylvie, toujours aussi calme, glisse une main entre les cuisses de Déborah, jusqu'à sa chatte, et d'un doigt lui caresse le clitoris. La surprise est telle que Déborah se trouve
paralysée.
-Qu'est-ce-que tu fais, s'exclame-t-elle, lève ton doigt.
-Chut, chut, répond Sylvie, calme toi ma chérie, tu vas voir comme je vais te faire du bien.
De sa main libre, Sylvie attire le visage de Déborah vers le sien. Les deux femmes sont lèvres contre lèvres. Sylvie glisse sa langue, et contre toute attente, Déborah entrouve
ses lèvres pour recevoir le baiser. C'est maintenant avec fougue que les deux langues
se cherchent..
Sylvie fait basculer Déborah et la couche sur le dos.
-Laisse toi faire, lui dit Sylvie, je vais te faire l'amour.
Sylvie couchée sur le côté, a rentrée l'index et le majeur dans la chatte de Déborah, et, du pouce lui frictionne le clitoris, complètement sorti de son capuchon. Déborah a la chatte
toute mouillée et toute excitée.
-Mon dieu dit-elle qu'est-ce-que c'est bon, vas y, je t'en prie, tu me fais jouir oui ouiiii.
Tout en la branlant,Sylvie lui suce le bout des seins.
-Tu as aimé, petite salope, tu as vu comme je t'est faite jouir. Tu t'es régalé, je t'ai bien
doigter. Cà y est tu devenu bi. On pourra s'amuser maintenant au bureau quand ont
aura du temps de libre.
-Qu'est-ce-que tu m'as fait du bien, chérie il y a un moment que je n'avais pas joui
comme çà.
Quel orgasme. Pour le bureau, le temps on le trouvera.
Sylvie prend la tête de Déborah, et l'embrasse goulument.
-Je te laisse, lui dit-elle, je pense que tu as un problème à régler avec ton mari. Tu as de
la chance, Déborah, il baise comme un dieu.
Une fois Sylvie partie, Frank s'aventure dans la chambre pour parler à sa femme toujours couchée sur le lit.
-Hors de ma vue, lui dit-elle, et écoute bien, Demain soir on a un soirée. Ne t'étonnes pas
si je ramène un homme à la maison pour me faire baiser, et devant toi. Tu as intêret
d'obéir.
Le lendemain soir, Déborah met une tenue vestimentaire de sa propre ligne de vêtements.
à faire bander un mort.
-Mais c'est pas ton directeur qui s'avance vers nous, dit-elle. Toujours aussi charmant
pour cinquante six ans. On va l'inviter à prendre un verre à la maison après. C'est Jean,
je me trompe pas.
-Non Déborah, pas çà, pas lui, prit-il, tu vas me faire çà?
-Tu n'est pas trop bien placé pour posé tes conditions, dit-elle. Ce soir je m'offre à lui, il
pourra faire de moi ce qu'il veut. Mon corps lui appartient.
-Bonsoir mes amis, vous êtes toujours autant ravissante, madame. Quelle chance Frank.
-Merci, répond Déborah, justement on voulait vous inviter à prendre un verre à la maison.
-Mais avec plaisir, poursuit-il, qu'en vous voulez.
-Allons y de suite, reprend Déborah en prenant Jean par le bras. Allez viens Frank, tu conduiras. Je passerai derrière avec Jean.
Au début, Jean ne comprend pas trop, Frank chauffeur, bizarre. Il commence a comprendre quand la main de Déborah ouvre sa braguette et lui sort le sexe. En un rien de temps sa
queue en érection est avalée par la bouche de Déborah. Jean commence a avoir des
sursauts de plaisir.
-Mais Déborah, on a rien pour s'essuyer, fait-il
-Ne vous en faites pas, je vais tout avaler, et en prime, je vous nettoierai le gland avec ma
langue.

Jean n'en peut plus, il envoie son sperme dans la gorge de Déborah en gémissant de
plaisir.
Elle a fait ce qu'elle avait dit. Frank, au volant a tout entendu et des larmes coulent sur ses joues.
Ils arrivent à la villa. Déborah est en pleine forme.
-Allez Frank, sert nous a boire,commande Déborah..
Frank ramène les glaçons et se fige en entrant dans le salon. Au milieu de la pièce, debout et tout nus, Déborah et Jean s'embrassent passionnément. On peut même voir leur langue
se nouer entre elles. Déborah tient la queue de Jean et la branle doucement, partant du
gland jusqu'au couilles. Elle a mis un pied sur une chaise pour bien donner accés a sa
chatte. Jean la fouille sans retenu. Déborah commence a gémir. Elle tire Jean par les couilles, et l'amène vers la table. Elle s-y allonge dessus, écarte les jambes. Jean plonge sa tête entre les cuisses de Déborah.
-Vas y Jean, bouffe moi la chatte, oh putain, passe bien ta langue sur mon bouton, vas y
que c'est bon. Viens voir Frank ce qu'il me fait, comme il me suce bien. Allez, viens chéri
déshabille toi.
Frank enlève ses habits et s'avance vers la table, la queue en érection.
-Quelle queue, çà t'excite de voir ta femme baisée par un autre homme. Fait moi plaisir
prend le par la queue et demande lui de me baiser.
Frank comme un automate, saisit la queue de Jean et la guide jusqu'a la chatte de sa femme.
-Allez y , monsieur, baisez ma femme, elle en a envie, et moi aussi. J'aimerai bien la voir niquer par un autre.
Jean pénètre Déborah jusqu'a ce que ses couilles heurtent sa chatte.
-Oh mon dieu glousse Déborah, vas y Jean, nique moi, profond, s'il te plait. Frank, approche
viens en profiter.
Elle saisit la queue de son mari et l'enfonce dans sa bouche.
-Toi aussi elle est dure, et les couilles bien pleines. Vas y branle toi dans ma bouche, tu
aimes quand je te suce hein, allez régale toi, envoie moi tout dans la gorge, et toi aussi
Jean tout dans la chatte.
Vous allez voir je vais vous les vider vos couilles à tout les deux.
Frank joui le premier.
-Han,hanhanouiou vas y, pipe salope, avale ha ha.
-Moi aussi je viens , enchaine Jean. Tu sens ce que je t'envoie dans la chatte, petite pute.
oua, tu as vu comme j'ai baiser ta femme, tu es cocu maintenant..
-Oh oui ,je joui ,tu m'as eue Jean, salaud, vas y bourre moi. 9à c'est de la baise, oh putan
vous m'avez remplis de sperme de partout.
Jean est toujours dans le corps de Déborah, on le voit qui se crispe, qui pousse des
petits cris.
-Mais tu crache encore, fait remarqué Déborah, c'est un vrai réserve, Tu te vide hein mon salaud. Vas y te gène pas, j'irai me doucher après.
Une fois Déborah parti, les deux hommes, gênes se regardent.
-A propos Frank,commence Jean, les promotions sont en places. Voulez vous passer
à mon bureau lundi.
-Bien sur, répond Frank, j'espère avoir de l'avancement.
-Surtout si votre femme se montre coopérative.
La dessus Déborah sort de la douche nue.
-J'espère que vous avez encore des ressources tout les deux. J'ai envie de me faire
niquer toute la nuit.

Apparemment, c'est une nuit hard qui s'annonce.

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