Le Con Sert Tôt ( Suite Et Fin 9 )

J.P s’allonge sur les coussins, tient sa queue dressée. Franck me pousse, me force à l’enjamber en lui tournant le dos.
- Aller, emmanche toi là dessus.
J.P m’att aux hanches, l’autre m’appuie sur les épaules, à deux ils m’obligent à m’accroupir au-dessus du mandrin. Je ne peux pas résister, prends la bite, la guide sur mon trou, me laisse descendre, elle s’enfonce en moi jusqu’à la garde. Maintenant que je suis bien embrochée par J.P, son copain tire sur mes jambes. Je me retrouve assise sur la bite, ça m’oblige à allonger les jambes et à écarter les cuisses. Il me pousse en arrière.
- Qu’est c’que tu veux m’faire ?
- Tu veux pas qu’on t’encule, on va rentrer à deux dans l’même trou!
- Ca peut pas !
- Mais si, y a la place !
J.P agrippe mes seins, les serre à m’en faire mal, me maintient dos sur lui, bien ancrée par sa bite, cuisses largement ouvertes. Son copain se met à genoux entre mes cuisses, agrandit mon trou en y enfilant deux doigts le long de la bite en place. Il dilate l’orifice du vagin, me fait mal. Je proteste :
- Aie, tu vas me déchirer !
Il s’allonge au-dessus de moi, place sa queue contre l’autre enfoncée dans mon vagin, écarte et relève mes jambes, les passe sur ses avant-bras.
- Bouge pas, j’vais t’la rajouter d’dans !
Il pousse, le muscle ne résiste pas, je me retrouve avec 2 queues dans le vagin. Tous deux se mettent à coulisser en moi, ma gaine est dilatée à l’extrême, je mouille en abondance, mon ventre est comblé comme jamais. Ils me ramonent lentement, en cadence, quand l’un est au fond, l’autre est à l’entrée, je couine de plus en plus fort. Je sens que mon pouls bat de plus en plus vite, ma respiration s’accélère, j’ai de plus en plus chaud, mes sens s’emballent. Tous deux viennent de s’arrêter au fond de mon fourreau. Je sens les bites se contracter, les glands enfler, ils râlent, déchargent ensemble, le foutre gicle, se répand au fond de moi, je perds la tête, pour la seconde fois je prends mon pied, et quel pied, crie :
- Ahhhh Ohhhhhhhh Ouiiiiiiiii!
Ça dure une bonne dizaine de secondes, c’est intense, sublime.

Je reviens doucement sur terre, quel orgasme! Je suis anéantie, reste écroulée dos au sol à côté de la poitrine de J.P. Tout mon corps se relâche, mes bras retombent, j’ai les cuisses écartelées, reste embrochée par les 2 bites. Franck, qui s’est aplati sur moi lorsqu’il a déchargé, se redresse, sort de moi. Ce con pose mes jambes, passe au-dessus de moi alors que sa queue finit de se vider. Il me la traîne sur le ventre, les seins, le cou, il m’étale du sperme partout, même sur le visage. Il me dit :
- Dis donc, qu’est ce que tu gueules quand tu jouis, t’es pas discrète !
J’peux pas répondre il vient de me fourrer sa pine dans la bouche. J.P, toujours dans moi, continu de se vider par saccades, à chaque contraction je sens qu’il m’en refile une dose, me remplit, c’est chaud, c’est bon. Sa queue ressort lentement, retombe, du foutre coule dans ma fente. Je resserre mon vagin trop dilaté par les 2 queues, mon trou se referme, j’ai une impression de vide à l’intérieur du ventre.
- J’suis pleine de foutre, j’peux aller me doucher ?
- Bien sur ! Prends ton temps !
Je me relève, titube, me ratt au fauteuil, tiens à peine debout tellement ils m’ont épuisé. Ca me coule le long des cuisses, il en tombe sur le tapis, double dose en une seule fois, quelle quantité. C’est la première fois qu’on m’en injecte autant. C’est aussi la première fois que deux mecs me pilonnent ensemble dans le même conduit, mon vagin ! Je ramasse mes habits, me dirige vers la salle de bain, m’installe sur le bidet,. J’ouvre mon sexe en grand en y introduisant deux doigts de chaque main, tire, l’écarte bien, le maintient ouvert, le laisse se vider, ça coule, j’en ai jamais eu autant. Il n’en sort plus mais il doit en rester le long des parois. Je fais une toilette intime approfondie, eau et savon ! Propre de ce côté, je passe dans la douche, j’en ai besoin. Ce con m’a balancé du foutre partout, ça colle, c’est poisseux, il aurait pu finir de se vider dedans ! J’insiste encore en envoyant le jet dans mes parties intimes, me savonne le corps à fond.
Je suis propre, m’essuie, me rhabille, sèche les cheveux, me recoiffe, je suis maintenant présentable, prête à rentrer chez moi. Je retourne dans le salon, remet mes chaussures. Ils se sont rhabillés, ouvert la fenêtre, ont remis en place fauteuils et table de salon, plus aucune trace de baise, ils sirotent tranquillement une bière.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui, pourquoi pas une bière! Je crève de soif !
Je prends place sur le canapé, croise les jambes pour ne pas laisser voir ma culotte. Ces mecs faut pas les tenter ! J.P me dit :
- Cet aprèm’ je pensais pas baiser, j’avais pas d’endroit. Mais tu t’es pointée. On pouvait pas ne faire que te regarder, t’es trop bandante!
- À deux dans mon vagin, vous avez fait fort !
- C’est de ta faute t’as pas voulu que j’t’encule ! En sandwich, un dans chaque trou, ça aurait été mieux pour toi !
- C’est trop dégueulasse et ça doit faire mal ! J’l’ai jamais fait ! Et si t’avais réussi à m’enculer, plus question que tu m’baises jamais !
Ca fait bien plus d’une heure que je suis avec eux, il est temps que je parte. Tout à la discussion, je ne me suis pas rendue compte que ma présence les fait rebander. Je finis ma bière, Franck se lève, me tend ma veste, je la mets. Je me penche pour faire la bise à J.P. mais l’autre me pousse, je perds l’équilibre, pique du nez, me ratt en m’appuyant sur les accoudoirs. Je me retrouve la tête plus basse que le cul, jambes légèrement pliées et écartées, le visage face à une énorme bosse apparue dans le pantalon. J.P sort sa queue sans hésiter, me prend la tête à deux mains.
- Aller suce !
- Fous-moi la paix !
Pendant que l’un essaye de me rentrer de force sa bite dans la bouche, l’autre retrousse ma jupe, écarte ma culotte. Il me prend aux hanches, m’emmanche direct jusqu’au fond. Il me pénètre à sec, me fait mal, je crie, proteste :
- Aie, non, c’est du viol !
Il me pilonne hard pendant que l’autre me force à le sucer.
Sale goût, foutre et cyprine, écoeurant, dégueulasse. Je ne mouille pas, les subis tous les deux. Il sort de mon sexe, range ses outils, s’assoie dans son fauteuil. J.P libère ma bouche, je me redresse, replace ma culotte, baisse ma jupe.
- Salauds !
Et je m’en vais sans plus attendre, claque la porte d’entrée derrière moi, mécontente. Il est 5 h quand j’arrive à la maison, ma grand-mère est là.
- T’as une sale tête ! Qu’est ce que t’as encore fait ?
- Oh, rien de spécial, je me suis plutôt ennuyée.
- Il y a gros à parier que tu viens de baiser ! Cette semaine, on t’a vu entrer plusieurs fois dans la dernière maison du village. C’est leur gamin qui te saute alors que les parents sont au boulot ?
- Mais non, Mamy, on parle, écoute des disques, regarde des films, c’est tout !
- Ne me prends pas pour une idiote, on ne me la fait pas !

FIN

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