Le Con Sert Tôt (Suite 8 )
Le temps passe, il faut partir. On regagne larrêt des bus, prenons place au fond du bus lun à côté de lautre. Il est loin dêtre plein, tous les passagers sont regroupés à lavant. Le retour dure plus d1/2 h à cause des multiples arrêts. Ca fait 5 mn quon roule. Mine de rien je mets ma main sur sa cuisse, la plaque sur une bosse significative très visible, serre. Personne ne nous regarde. Jen profite pour ouvrir la braguette et glisser ma main à lintérieur du slip, sortir la queue. Je le branle doucement, il ne dit rien, me laisse faire, il bande de plus en plus dur. Jastique le gland, titille le méat. Il remue sur son siège, se penche vers moi, glisse sa main derrière la ceinture de mon jean, la rentre dans ma culotte, la descend jusquà ma chatte, la voilà sur ma vulve. Je glisse en avant sur le siège, écarte bien les cuisses pour lui faciliter laccès à mon sexe. Il pétrit ma moule, louvre, agace mon clito, glisse son doigt entre mes nymphes au fond de ma fente, en entre un puis deux dans mon vagin, les active. Je mouille, il sen aperçoit. Je lui dis :
- Arrête, tu vas me faire jouir !
Il sort sa main de mon jean, je lâche sa queue, il la range dans son pantalon, referme sa braguette.
- Je repars bientôt, demain, si tu veux, trouves un endroit pour quon baise ! Tu me dois bien ça !
- Demain je serais au fournil dès 4 h du matin, ma copine sera à la boutique dès louverture jusquà 1 h. Ensuite elle reprend à 4 h. À partir de ce moment là, jaurais du temps libre. Peut être que, si on peut chez toi, jaimerais. Je dirais que je vais faire un tour chez mon copain !
- Cest pas possible, le samedi mes grands-parents vont au centre commercial faire les courses pour la semaine et reviennent vers 3 ou 4 h. Tant pis, ça sera pour une autre fois. Dommage, tu mas excité, jai très envie que tu me la mettes réel !
On arrive, je me cale au fond du siège, il se lève, se penche, membrasse sur la joue
- Regarde elle mattend.
Il se dirige vers la sortie. Le car sarrête, il descend, je le regarde rouler un patin à sa petite amie. La pauvre, si elle savait quil vient de me tirer ! À son tour dy avoir droit ! Mais il va devoir se laver la queue pour quelle ne saperçoive pas quil vient de baiser, surtout si elle le suce! Sinon !!!
Le lendemain je suis seule laprès midi, mes grands-parents ont pris la voiture et sont partis faire leurs courses. Jai vachement envie de lui, mais il ne pense sûrement pas à moi ! Sa copine doit renter chez elle le midi, ce nest pas loin, environ 500 m, je suppose qu il la raccompagne, ils déjeunent, font la sieste. Il seront de retour à 4 h pour louverture de la boulangerie. Bientôt 3 h, je mennuie, sorts faire un tour, me dirige doucement vers la place du village. Je suis en jupe et sweet, mis une veste car il ne fait pas très chaud. Sil est libre après 4 h, jai plus de dune heure davance, jespère quil naura pas tiré son coup et quil connaît un endroit pour me sauter. Je vais masseoir sur un banc, attends, regarde les gens, personne ne fait attention à moi. Ca fait à peine 5 mn que je suis là, le voilà qui sort et se dirige directement vers la sortie du village. Je nai pas eu le temps de lui signaler ma présence. Moi qui croyait le voir revenir avec sa petite amie, je pense quau contraire il va la chercher. Cest tant pis, raté pour aujourdhui, jy aurais pas droit ! À part le coup quon a tiré hier après midi, je ne lai pas eu en moi depuis le jour où il est entré dans ma chambre lannée dernière. Il est loin maintenant, je ne le vois plus, il faut que je le ratt. Je quitte mon banc, mengage sur une petite route qui rejoint par derrière la voie principale à environ 100 m de la ferme, me dépêche, courre presque, compte le devancer. Arrivée au carrefour je regarde, personne. Il marche plus vite que moi, doit déjà être arrivé. Je reviens sur mes pas, dépitée, passe devant la maison de Franck, continue, décidée à rentrer chez moi ! Japerçois Franck qui vient vers moi, un pack de bières à la main.
- Salut, tu te promènes ?
- Je rentre chez moi !
- Viens, mes parents sont partis chez des amis et rentreront tard ce soir.
- Ok, mais tu ne me baises pas, aujourdhui jai pas envie !
- Comme tu veux !
On arrive devant chez lui, il ouvre la porte. Jentre. Il dépose ses bières dans la cuisine.
- Vas au salon, installe-toi, jarrive !
Jentre dans le salon et là, oh surprise, J.P est installé dans un fauteuil. Je me baisse, lembrasse sur la joue, lui dis :
- Jtai vu sortir, jétais sur le banc, jte croyais parti à la ferme.
- On fait cquon a dit hier ?
- Tas un endroit ?
- Non, mais ici cest bien.
- Cest pas possible, y a ton copain !
- Et alors ! Y peut participer !
- Tes malade ! Tas pas ailleurs ?
- Depuis que je tai revu, ton cul me fait bander !
- Jveux pas qutu msautes ici !
Franck revient avec un plateau sur lequel il y a 3 verres, 2 bières et un coca pour moi. Les deux mecs prennent place chacun dans un fauteuil. Je reste debout, les regarde, leur dis :
- Restez entre mecs, moi jmen vais, salut !
Dun pas rapide je me dirige vers la porte. J.P sort de son fauteuil vite fait, matt par un bras :
- Reste ici, on va te baiser !
- Pas question, laisse moi partir !
Il me prend à la taille, me soulève, me ramène devant le canapé, me pose, dégrafe ma jupe, elle tombe à mes pieds. En même temps son copain Franck sattaque à ma veste, parvient à me la faire glisser des épaules, elle rejoint la jupe. J.P agrippe mon sweet, réussit à le passer par-dessus ma tête, me pousse en arrière, je me retrouve assise sur le canapé.
- Foutez moi la paix !
Je tente de me remettre debout, il men empêche, relève mes jambes, je me débats, il att ma culotte et malgré moi, la retire. Il me tient toujours les pieds et me dit :
- Tes à poil, tauras plus envie de partir.
- Jaime pas quon mforce, laissez-moi !
- Ecarte tes cuisses que jte bouffe la moule !
- Jveux pas quon mbaise !
- Tinquiètes, tes là, tu vas y avoir droit !
Jai le cul à lair, il me tire au bord du coussin, sagenouille, écarte mes cuisses brutal, les maintient repliées au dessus de moi et ouvertes en grand. Il plonge sa tête entre elles, sa bouche entre en action, il aspire mon clito, lenroule de sa langue, la fourre dans mon trou. Et le copain se déshabille, se met à genoux sur le canapé, me prend la tête, moblige à gober sa pine. Me voilà avec la langue de J.P dans le trou et la bite de Franck dans la bouche ! J.P se redresse, écarte mes grandes lèvres, sort mon clito de sa gaine, titille le petit bouton que en émerge, mouvre le sexe en y enfilant ses doigts au plus profond, les fait tourner dedans. Je remue le bas ventre, cambre les reins, ne tiens plus, gémis de plus en plus fort, ils vont mavoir. J.P dit à son copain qui est descendu du canapé et le regarde soccuper de mon sexe :
- A toi, vas-y baise là !
Sans attendre, il remplace J.P, saisie mes jambes, les met sur ses avant bras, sappuie sur le canapé, me relève le cul à hauteur de sa bite, la glisse entre mes lèvres gonflées de désir, la pointe devant mon orifice, membroche dun coup sec. Je pousse un cri de protestation :
- Aïe non, doucement !
Il me burine lentement, va tout au fond de moi puis accélère la cadence. Jai terriblement chaud, ma respiration est rapide Pendant ce temps J.P sest foutu à poil, entretien sa colonne de chair, le regarde me baiser, lui dit :
- À mon tour, laisse-moi la place !
Le copain se retire de moi et J.P senfourne aussitôt dans mon vagin et me lime hardiment. Puis ils se succèdent dans moi lun après lautre Cest la première fois que deux mecs soccupent de mon bas ventre de cette façon. Je ferme les yeux, me laisse faire, je ne sais plus quelle bite est en moi, tout va trop vite, la tête me tourne, mon cur semballe, jai trop chaud, nen peux plus, ça y est je suis partie, crie ma jouissance.
- Ecoute la jouir, dire quelle voulait pas quon la baise !
Franck déplace la table, repousse les fauteuils, enlève les coussins, les met sur le tapis, sallonge dessus, tient son mandrin dressé à la verticale.
- Fais la sembrocher !
Sans sortir de moi, J.P me prend sous les fesses, me soulève ( je fais 1,60 m et 45 kg, pas grand chose pour lui qui a lhabitude de soulever des sacs de farine). Je me retrouve les cuisses sur ses hanches, je maccroche à son cou, je suis toujours plantée sur sa bite. Il enjambe Franck, me place au-dessus de son dard. J.P se débranche, me laisse descendre doucement sur la bite de Franck, elle senfonce en moi. Je me retrouve à califourchon face à lui, me voilà partie pour un grand galop, monte et descend sur ce pieu. J.P. menfile sa queue dans la bouche, moblige à la sucer, jaime pas. Il recule, me regarde, passe derrière moi, maplatit sur Franck. Je ne my attendais pas, lui demande :
- Oh là, quest ce que tu fais ?
- Tiens la comme ça !
Franck passe ses bras sur mon dos pour me bloquer, je suis ancrée par sa bite au fond du vagin, inclinée comme je suis je ne peux plus bouger. J.P se met à genoux, écarte mes fesses, salive sur ma rosette, fait tourner son doigt dessus, le mouille, lenfonce dans mon trou du cul, le fait tourner.
- Ne bouge pas, jvais tenculer !
- Pas question, jveux pas !
- Avant faut que jtouvre le fion !
- Tes dégueulasse ! Sorts ton doigt de là, tu mfais mal !
- Jvais ty rentrer ma bite !
Jessaye de me dégager, mais rien à faire, Franck sest enfoncé jusquaux couilles, me serre sur lui. J.P mappuie sur le cou, me tient fermement.
- On va te baiser à deux !
- Non non et non, tas pas compris ?
Il ne tient pas compte de mon refus, suit son idée, remouille mon sphincter, me refourre son doigt dans le cul, le ressort, le remet, le fait tourner, place son gland sur ma rosette. Il pousse, ça souvre, je sens que ça commence à rentrer, ça me fait de plus en plus mal, je crie :
- Aïeiaïeiaïe, pas là, pas ça ! Cest du viol !
Je serre le sphincter, tente de résister, ça rentre malgré moi, je ne veux pas quil mempale !
- Détends-toi, j suis presque dedans !
- Jai dit NON ! Encule ton copain, pas moi !
Il a lair davoir comprit, doit être vexé par ma proposition, renonce à me la rentrer dans le cul, se relève, dit à Franck :
- Je passe dessous ! On va la baiser autrement !
Franck me libère, je me relève vite fait, me précipite pour ramasser mes vêtements qui traînent au sol, il faut que je parte au plus vite, ils me font peur. Les 2 mecs sont debout, bites au garde à vous, lun matt à bras le corps, lautre moblige à lâcher mes habits, les jette au loin.
- Hep là, tu nous a pas fini !
lire la suite et fin N° 9
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