Une Belle Mère Avide De Sexe (2)

Cette histoire avec Gabrielle m’avait retourné. Jamais je n’avais éprouvé autant de plaisir à baiser. Les jours suivants, nous nous échangions des textos comme des gamins sauf que leurs contenus étaient très chauds. Elle m’excitait. Elle me donna rendez vous un soir de semaine où Caroline sa fille était au tennis. Le point de rendez vous était le centre de fitness qu’elle gérait depuis quelques années. Quand je suis arrivé, le parking était désert, seule sa voiture et une moto grosse cylindrée étaient présentes. Je poussai la porte entrée de la salle de sport, j’avançais doucement vers la pièce où il y avait tous les appareils de musculation, quand j’entendis des gémissements. Elle était là, en levrette sur un banc de muscu et derrière elle, Rachid le moniteur de musculation. Il la prenait sauvagement, j’entendais sa peau claquer sur le cul de Gabrielle. Elle était si belle, si excitante. Son chemisier entrouvert, me permettait de voir son opulente poitrine gainée dans un soutient gorge zébré rouge. Rachid n’avait même pas pris le temps de la déshabiller. Elle portait encore sa jupe remontée sur ses hanches, il avait dégagé son string assorti pour lui fourrer sa pine. Je bandais.
Gabrielle me vit et me demanda de m’approcher dans un soupir de plaisir. Là, face à elle, ma belle mère déboutonna mon jeans et y fourra ses doigts délicats. Elle sortit ma queue pour la branler en me regardant droit dans les yeux. Rachid, accéléra et lui ordonna de prendre ma queue en bouche. Elle ne se fit pas prier. Elle avala goulûment ma grosse bite, mon gland grossissait dans sa bouche. En la voyant se faire prendre, et en regardant ses jolies jambes fines et ses talons aiguilles, j’avais la trique. Elle me léchait la queue comme un sucre d’orge, elle passa ses mains sur mes couilles, les caressa, et glissa doucement ses mains entre mes fesses pour me titiller la rondelle. Elle suçait mieux que Caroline, on sentait bien l’expérience dans chacun de ses coups de langue.

Et tout d’un coup Rachid s’arrêta, vint à côté de moi. Il présenta sa tige à Gabrielle qui s’empressa de la prendre en bouche avant qu’il ne gicle tout sur son visage. Il me tapa sur l’épaule et me dit : « A ton tour de la sauter »
Je mis derrière elle, et là j’eu la surprise de voir son anus dilaté. Rachid ne lui avait pas seulement défoncé la chatte, mais il l’avait aussi bien enculée. Je glissai doucement mon gland entre ses fesses, il était encore tout gluant, et là je sentis la main ferme de Gabrielle qui me poussa le cul. J’entrai alors d’un coup sec et viril. A mon tour je la sodomisais. Elle m’offrait une vue splendide sur son cul et sur sa rose tatouée. Une main sur sa croupe de chienne, l’autre sur le clito, je lui limais le ventre et elle criait de plaisir tout en branlant Rachid. Je déchargeais tout en elle. Mon jus coulait le long de ses fesses. En même temps avec mes doigts j’avais suffisamment excité son clito pour la faire jouir de plaisir dans cri rauque.
Rachid quitta assez rapidement la salle, me laissant seul avec ma belle mère. Tous les deux nous profitions de l’occasion pour aller nous doucher. En nous caressant nous continuons à nous embrasser. Nous étions devenu complètement accro l’un à l’autre. Je sentais bien que Gabrielle allait m’apprendre encore d’autres plaisirs sexuels.