Débuts
Débuts dans la profession..
En revenant du lycée, je pris un chemin inhabituel. Il y a bien longtemps de cela, javais dix huit ans, mais je me le rappelle comme si cétait hier. Jempruntais le boulevard, il y avait du monde, les boutiques, les petites échoppes attiraient les chalands. Je métais arrêté devant les photos dun cinéma, par hasard, sans arrière pensée. Jentendis une voix derrière moi: « tu veux venir voir le film? ». Je nen avais pas plus envie que cela, mais le souvenir de nos jeux avec Jean me revint tout à coup et je compris la raison de linvite, presque inconsciemment. Je me retournai et regardai le solliciteur. La quarantaine, sympa. Sans plus réfléchir, jacceptai sans connaître vraiment le titre du film. Nous pénétrâmes dans la salle et attendîmes que nos yeux shabituent à lobscurité pour choisir une place. Il me poussa finalement vers le fond, au bout de la rangée, vers le mur. Au début, il ne se passa rien, jobservais du coin de lil. Puis son bras passa derrière et mentoura les épaules. Il se rapprocha et vint contre ma joue, je me laissais faire. Il senhardit, me caressa la joue et la nuque. Il se pencha à mon oreille: « Tu vas souvent dans les cinés avec des inconnus? »
- Non, cest la première fois.
- Ca te plairait que je te fasse des choses? Reste sage et ne dis rien, laisse-toi faire, tu vas voir. Tu tes déjà branlé?
- Oui.
- Et tu as branlé quelquun dautre?
- Non. Je mentais un peu mais mon expérience était limitée.
- Eh bien je vais te montrer tout ce quon peut faire si tu aimes. Son autre main avait glissé sur ma cuisse, sy promenait, la caressait, descendait vers mon genou, remontait. Elle se glissa sur mon ventre et commença à faire glisser la fermeture de mon pantalon. Un doigt, puis deux sy insérèrent. Il ouvrit tout grand et glissa sa main dans mon slip, me saisit le sexe, le serra et le sortit. Je bandais depuis un moment déjà et mabandonnai à ses caresses.
- Jaime ta petite queue, elle est bien dure et quand je la serre à la base elle durcit encore plus. Tu veux que je te fasses jouir me demanda-t-il e n se relevant, tu vas me cracher ta queue dans la bouche, mais avant, tu vas me dire si tu veux quon se revoie. Tu sais dans un ciné, on ne peut pas faire grand chose. Dans les toilettes de celui-ci, cest pas sûr. Tu me plais bien et je pourrais encore tapprendre des choses et puis jaimerais bien te voir tout nu et te caresser. Tu veux bien?
- Oui mais ce nest pas facile peut-être, où on pourrait aller?
- Chez moi, je suis seul et je nhabite pas très loin. Si tu veux, dans ce cas, on y va tout de suite.
Jacceptai sa proposition. En effet nous ne mîmes que dix minutes pour arriver chez lui. Dans lascenseur, il me prit dans ses bras et membrassa. Une fois entré, il me fit déshabiller, en fit autant et mentraîna dans sa chambre. Il ouvrit le lit, me fit coucher et se pencha sur moi. Il me saisit le sexe, je bandais aussitôt. Il me branla doucement et dans la position dans laquelle il était, son ventre près de ma tête, je vis son sexe prendre du volume, je lattrapai et lattirai vers ma bouche. La position ne dura pas. Il vint sallonger contre moi, mentoura de ses bras. Nos ventres se touchaient, nos queues dressées se touchaient. Il me caressait, me palpait, me pinçait les seins, descendait vers mes fesses, me les malaxait. IL roula, me mit sur lui et écarta mes deux globes en membrassant à pleine bouche. Il mécarta les fesses et ses doigts savancèrent vers mon trou. Je ne connaissais pas cette caresse. Je me bloquait un peu. Il le sentit:
- Naie pas peur, ça fait partie de ce que je veux te montrer. Décontracte-toi, je vais faire entrer mes doigts lun après lautre, tu vas aimer cela après. Tu sens, tu aimes? ça te fait bander encore plus dur. Change de position, mets ta tête en bas et suce moi pendant que je te caresse encore le cul, je tatt la queue aussi et je caresse tes boules, fais moi pareil.
Notre jeu durait, jen avais presque mal au ventre de ne pas pouvoir juter. Il devait être dans le même cas car au bout dun moment, je sentis ma bouche envahie dun jet salé et abondant. Je mabandonnais aussi et lui crachais dans la bouche. Nous restâmes un bon moment ainsi couchés. Le plaisir avait duré si longtemps que je nen avais plus envie. Nous nous quittâmes non sans quil mait fait jurer de revenir le lendemain.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!