Les Amies De Jocelyne - Marie-Agnes Partie 2

Nous avions rendez-vous vers minuit. A cette heure la clientèle se faisait plus rare paraît-il. A ma demande Jean-Charles m'indiqua comment me vêtir. Il me voulut un peu BCBG, genre bourgeoise qui se dévergonde (d'ailleurs…). D'où, il me fit mettre un corsage assez léger et une jupe un peu étroite découvrant à peine le genou. En dessous rien sauf une paire de bas fumés. Cheveux relevés comme à mon habitude et à peine plus maquillée. Inutile de le cacher, j'avais peur. J'avais la trouille ! Pendant toute l'attente de l'heure fatidique et le trajet, mille fois je pensais à renoncer à ce projet qui ma paraissait surréaliste. Le quartier était un peu quelconque, petit bars, petit hôtel deux ou trois filles sur le trottoirs, un sex-shop, un cinéma porno, un deuxième sex-shop, c'était celui là ! Jean-Charles se gara un peu plus loin. Nous fîmes quelques dizaines de mètres à pied. Mes jambes flageolaient. Une enseigne un peu blafarde illuminait une vitrine que se voulait incitative, bof ! Jean-Charles poussa la porte, et me fit signe d'entrer. Mon coeur s'arrêta et je franchis le seuil des enfers. Devant mes yeux un peu écarquillés se trouvaient des rayonnages garnis de revues, casettes, DVD, objets, le tout classé méthodiquement par type de, comment dirais-je… par type de perversion et de fantasmes. Une première ouverture fermée par un rideau violet sec un panneau marqué "cabines", une seconde obstruée par un rideau rouge sans précisions. Pour achever les tour, il avait la caisse avec le propriétaire des lieux, un beur en fait pas mal de sa personne (je crois que Nathalie vous en a déjà la description). Jean-Charles le salua :
"Bonjour Hassan ! Tu vois l'ai amenée !"
L'homme me regarda, enfin il est plus exact de dire qu'il m'examina, évaluant mes charmes, m'envisageant avec des yeux lubriques. Il nous dit désignant le rideau rouge :
"Vous êtes attendus ! Prenez tout votre temps !"
Jean-Charles se dirigea vers l'ouverture.

Je le suivis collée à ses talons. Il poussa le rideau et descendit un petit escalier. Nous nous trouvâmes dans une pièce en sous-sol à la décoration médiocre, les murs étaient recouverts de tissu imprimé rouge, orange et noir et le sol plastifié imitait sommairement un planché noir. Le mobilier deux canapés au tissu élimé, imitation panthère ainsi que deux fauteuils à l'identique. Une table était au milieu de la pièce. Ajoute à cela quelques spots diffusant une lumière soit crue soit rouge, tu auras une idée de l'endroit de "bon goût" ou je me trouvais, mais je suppose que tu connais !
Trois hommes se trouvaient dans cette pièce deux assis et un debout. Leurs trois paires d'yeux me fixèrent avec indécence. Jean-Charles me fit passer au milieu de la pièce dans la lumière. Il des hommes l'interpella :
"C'est ta femme ?"
J'eus un bref sourire intérieur. Jean-Charles détestait que des inconnus le tutoient… mais il répondit affirmativement.
"Tu ne dois pas t'emmerder avec ! Tu es venu pour nous la montrer ?"
"Oui"
"On pourra tout voir ?"
"Bien sûr !"
L'homme s'approcha de moi. Je n'en menais pas large. Il glissa un doigt dans l'échancrure de mon chemisier, fit bailler le tissu et jeta un œil à l'intérieur avant de conclure :
"Elle à l'air bien foutue ! On pourra la toucher ?
"Oui, bien sûr !"
"Partout ?"
"Oui"
"Et ses fringues ? On peut lui enlever ? On peut la mettre à poil ?"
"Mais oui !"
"Tu entends ton mari, vicieuse, on vas pouvoir te tripoter ! T'as une tête à aimer ça !".
Il me mit une main au creux des reins et me poussa vers les deux autres. Un des deux se leva et sans plus de formalité posa une main sur un de mes seins. Je jetais un ultime regard de supplication muette à Jean-Charles. Il me fit une mimique que signifiait qu'il m'abandonnait à mon destin. L'homme assis devant moi mit une main sur l'un de mes genoux et commença à me caresser la cuisse en remontant et en retroussant ma jupe.
L'autre avait toujours la main sur mon sein. Le dernier sortit tranquillement les pans de mon chemisier de la ceinture de ma jupe, puis il entreprit d'en faire sauter lentement les boutons un à un. Quand il fut entièrement dégrafé, avec un bel ensemble ils en écartèrent las pans. Un sifflement se fit entende :
"Putain les roberts !"
Ils se mirent à les soupeser. L'autre devant avait retroussé ma jupe au dessus de bas. Il avait l'air ravi de ce qu'il voyait :
"Tu as mis des bas ! C'est pour nous exciter, hein que tu as mis des bas ?"
"…"
"C'est pour nous exciter, hein que tu as mis des bas ? Réponds !"
"Oui"
"Dis-le que c'est pour nous exciter !"
"Oui, c'est pour vous exciter que j'ai mis des bas !"
"T'as l'air d'aimer ça faire bander les hommes, pas vrais salope !"
"Oui, j'aime ça faire bander les hommes !"
"Ah ouais ! Alors tien regarde !"
A mes coté un homme ouvrit sa braguette sur lu sexe pas faramineux mais en érection quand même. Un bruit me déchira les tympans. Zzzzziiiiiip !... ils venaient d'ouvrir ma jupe qui tomba vite à mes pied, rejointe immédiatement par mon corsage qui me fut retiré vivement. Les trois hommes s'étaient encore rapprochés. J'entendis le rythme de leurs respirations augmenter. Un des hommes me détacha les cheveux. Je secouais la tête pour faire crouler ma chevelure. Les trois hommes se mirent en devoir de faire comme il l'avait annoncé : ma tripoter partout. Entre les jambes, lss fesses, les sein, les cheveux, le ventre, le dos tout y passa. L'un d'eux demanda à Jean-Charles :
"On peut l'embrasser ?"
"Non, pas sur la bouche !"
"Et les seins on peu lui sucer ?"
"Cela, oui, si vous voulez !"
Des bouches se posèrent sur mes seins et en tétèrent les extrémités. Il y a belle lurette que ma peur c'était envolé. Depuis que j'avais constaté que les hommes pour obsédés qu'ils soient n'allaient être violent et qu'à chaque fois c'était mon mari qui accordait ou refusait le privautés qu'ils souhaitaient.
Maintenant je mouillais….
"Et la chatte on peut lui embrasser ? Elle sent bon !"
"Oui, oui allez-y !"
Ils m'emmenèrent jusqu'à la petite table, m'y firent allonger, poser les talons sur le plateau, plier les jambes et les écarter. Cette fois j'offrais mon intimité dévoilée à leurs yeux libidineux. Ils purent mieux me caresser la vulve. Apparemment ils appréciaient des pubis épilés…. Tour à tour ils me léchèrent la chatte et les seins. C'était bon ! Ils sollicitèrent la permission de me masturber… enfin non, ils voulurent me branler…. Jean-Charles accepta…des doigts me pénétrèrent. Ils s'étaient eux, tous débraguettés et se masturbaient en s'occupant de moi.
"On peu lui mettre un doigt dans le cul !"
"Deux si vous voulez !"
Sitôt dit, sitôt fait !.... un doigt puis, vite, un second virent se loger dans mon anus. Et la farandole reprit. Cette fois ils me firent jouir à leur grande joie aux cris de "elle jouit la salope… la pute… la roulure…".
Remarque, eux aussi étaient limite. Je sentis un liquide chaud sur mon ventre. Jean-Charles fut dépité :
"Ah non ! Pas comme cela ! Jouissez-lui sur la figure !"
L'homme secoua son sexe dégonflé dans l'espoir que les ultimes gouttes me tachent la figure. Les deux autres furent plus "performant". Avertis, ils finirent de se branler au dessus de moi pour me souiller de leur semence. Jean-Charles m'ordonna de ne pas bouger. Pendant que les inconnus se rhabillaient je restais dans ainsi offerte le ventre agité de soubresauts tellement j'avais envie que l'on m'enfile. J'entendis les hommes souhaiter me revoir. Un laconique "peut être" leur répondit. Je pensais que Jean-Charles allait me prendre cette fois. Que nenni ! Je l'entendis héler Hassan. Quand celui-ci fut descendu et eut prit la mesure du spectacle qui s'offrait à lui, j'entendis tétanisée Jean-Charles m'ordonner :
" Fais une pipe à Hassan !"
Dans un état complètement second je me levais de sur la table et m'agenouillais servilement devant l'homme.
Je fus sidérée… par la taille de ce membre (je crois que Nathalie vous en a parlé aussi). Des comme cela, en vrai, jamais je n'en avais vu. Même ceux des étalons de la soirée de Jean-Charles faisaient piètre figure. Je ne fis pas prier davantage et embouchait cette belle pine brune. Je lui taillais une pipe avec autant de sensualité et autant de volupté que s'il s'était agit de celle de Jean-Charles. Je luis bouffais le gland, les couilles… suçant, léchant, branlant….
"Elle fait ça bien !" entendis-je.
J'essayais de l'avaler complètement… non !... trop longue… je fis le maximum !
L'animal se cabra… j'aspirais… tout… j'avalais…tout.
Dans un état de frénésie indescriptible je voulus sucer celle de Jean-Charles qui sèchement me lança :
"Un peu de tenue, Marie-Hélène nous verrons cela tout à l'heure à la maison !"
Quel culot après ce qu'il m'avait à faire !
Hassan transmis à Jean-Charles le contentement des participants. Lui aussi souhaitait notre venue une prochaine fois surtout vu la fin en apothéose pour lui. A la hâte je remis mes vêtements et j'entraînais mon époux vers la sortie et le pressais de faire vite, mais vite pour rentrer chez nous. Il fallut qu'il me prenne deux fois, dans le vestibule puis sur le pallier en haut du grand escalier et qu'il me sodomise une fois dans notre chambre cette fois, pour que je commence à être très légèrement assouvie.
Le lendemain un peu déboussolée par ma propre conduite j'errais un peu en faisant le point. Cette aventure m'avait troublée et je dois bien t'avouer que ce trouble persistait un peu comme quelque chose d'inavouable que l'on tente d'enfouir au plus profond de soi sans y parvenir et sur lequel on revient sans cesse. Je revoyais tout avec précision, les lieux, l'ambiance, ces types…. Mais je crois que ce qui me dérangeait le plus c'était de m'avouer que… j'avais aimé.
Le summum de cette tendance était que ce fut mon mari qui organise tout et qui permette à ces inconnus de me dégrader dans ce lieu crapuleux. Je me doutais… j'espérais, en fait, que Jean-Charles veuille renouveler cette équipée dans la lubricité. Je pense qu'il est inutile de dire que mon accord, si tant est qu'il me soit demandé, était acquis par avance. J'avais envie de me soumettre complaisamment à ces mains, ces doigts, ces bouches.
Je ne fus ni surprise, ni déçue lorsque Jean-Charles, après m'avoir demandé d'exprimer mes sentiments sur la soirée de la veille, me demanda si dans l'absolu, je souhaiterais recommencer l'expérience. D'abord, avec un faux sérieux je lui répondis que comme toute bonne épouse, je me conformerais à ses souhaits. Ensuite avec un langage plus cru, je l'informais que sa cochonne d'épouse était prête à satisfaire tous ses fantasmes. Il se fi charmeur pour me répondre sarcastiquement :
"J'ai beaucoup apprécier vous voir vous compromettre ainsi, surtout que vous avez eu l'air d'en raffoler. Je vous ai dit l'autre jour que vous alliez devenir la plus grande salope de la ville… vu votre comportement, je vais vraisemblablement faire de vous une belle putain !"
Avant de lui enfoncer ma langue dans sa bouche, je lui murmurais tendrement :
"Tout ce que vous voudrez, mon salaud de mari !"
Quelques jours plus tard, juste avant le dîner, je l'entendis téléphoner dans son bureau. Passant la tête par l'ouverture de la porte pour lui signifier que le repas était prêt, il me fit signe de rester. Sa conversation reprit :
"… samedi prochain… mai oui, pourquoi pas !"
"…"
"… plus si c'est possible !"
"…"
"…le double !"
"…non, non aucun problème…. Eh bien entendu… même heure que l'autre fois…. A samedi mon cher Hassan !"
Remettant dans l'ordre les morceaux due puzzle téléphonique, j'eus peur de comprendre. Mes craintes se confirmèrent quand Jean-Charles me confirma :
"Puisque vous avez aimé, samedi prochain nous retournons au sex-shop ! Hassan m'a demandé si j'étais toujours d'accord pour plusieurs participants masculins. Vous avez certainement entendu ma réponse, ils seront le double…. Cela ne vous dérange pas j'ose espérer !"
Six hommes… six hommes qui allaient me tripoter, me fouiller, me souiller….mes reins et mon ventre s'embrasèrent. Je confirmais encore une fois être complaisante à ses désirs. Je passais les quelques jours nous séparant de la fin de la semaine dans un état second. Le soir fatidique arriva. Je lui demandais si je devais me vêtir comme l'autre fois. Il avait d'autres idées en tête. Depuis sa rentrée de l'étude, je dus, comme de temps à autre quand se préparaient des galipettes, rester en porte-jarretelles. Il savait que cela contribuait à m'échauffer le sang que de déambuler dans cette tenue. Après dîner il me conseilla de laisser mes cheveux défaits et d'adopter un maquillage plus soutenu. Comme je reposais la question vestimentaire, il ramena de son bureau un carton à l'enseigne d'un magasin du centre ville. Il contenait un imperméable, enfin un genre d'imperméable ou de ciré noir en vinyle. Je trouvais que cela faisait très… Catwoman… ou très pute…. Devant mon air interrogateur et incertain, il soutint avec aplomb :
"Je pense que vous êtes d'accord avec moi ! Vous n'avez besoin de rien d'autre !"
D'une voix un peu tremblotante j'en convins. Maître d'H allait exhiber son épouse nue sous un ciré (ou presque) dans un sex-shop.... Ce vêtement était, comment dire… sur mesure… pour mon activité nocturne, mais sûrement pas pour protéger d'une plus battante. Quand je l'eus passé je m'aperçus de la catastrophe. Déjà, il m'arrivait au dessus du genou, ensuite le boutonnage de devant s'arrêtait mi-cuisse. Si l'on ajoute un col très, très largement ouvert, cet habit ne devait être fermé que sur à peu près une soixantaine de centimètres, et encore…. En cas d'intempérie, le col pouvait se rabattre… ce soir il faisait beau…. Pour couronner le tout, l'arrière était doté un double pli fendu du bas jusqu'à la limite des fesses. Un bouton devait maintenir la fente fermée. Il avait été supprimé…. "M'admirant" dans la glace, je ressentis un bouffée de chaleur. Si ce était le maquillage pas encore assez appuyé, je "cadrais" parfaitement avec l'endroit où allait me conduire Jean-Charles. Comme l'autre fois, Jean-Charles gara la voiture un peu à l'écart histoire de me faire marcher un peu, devant lui qui avait les yeux fixés sur l'arrière prometteur de mes cuisses découvertes à chaque pas par la fente indiscrète.
A l'exception d'Hassan, la boutique était vide. Il me salua avec un air de convoitise en me disant "que j'étais très sexy et que cela m'allait beaucoup mieux".
D'un ton moqueur qui me déplut il me balança :
"Ils t'attendent ! Amuses-toi bien !"
Je me préparais à répondre vertement. Jean-Charles le sentit et me poussa vers l'entrée du sous-sol. Mon cœur se remit à battre la chamade…. Je descendis.
Comme prévu six hommes attendaient. Un murmure parcouru le groupe quand j'arrivais en bas de l'escalier. J'en reconnus deux de la fois dernière. En habitués, ils vinrent vers moi et commencèrent à tourner autour de moi m'estimant en connaisseur.
"Tu t'es fait belle ce soir !"
"Je vous plais ?"
"Beaucoup !" répondit-il en se touchant la queue avec ostentation à travers son pantalon. Il invita les autres….
"Venez ! Amenez-vous ! Vous allez voir comment elle est gaulée !"
Ils firent le cercle autour de moi, je me sentis toute petite. J'entendis :
"Tu t'appelle comment ?"
Je répondis mécaniquement :
"Marie-Agnès !"
Voilà…. Marie-Agnès venait de naître…. Désormais, il y aurait Marie-Hélène, la digne épouse de Maître d'H et … Marie-Agnès la salope, la pute, la nympho soumise et complice des désirs pervers de son époux débauché.
Bien qu'ils l'eurent vite retroussé, écarté, ouvert, mon vêtement me fut rapidement ôté. Les mains se tendirent et se posèrent sur moi pour me peloter agressivement. Les habitués faisaient l'article !
"Et en plus son mari veux bien qu'on lui mette les doigts dans le cul !"… murmures approbateurs.
"Son mec veut qu'on lui jouisse sur la gueule !"… re murmures approbateurs.
Comme l'autre fois, il eut la table… les mains, les doigts les bouches, les langues… doublement….
Comme l'autre fois, je fus léchée, fourragée, pétrie, malaxée… doublement… et je connus l'orgasme à quatre reprises. Cette fois, tous sans exceptions virent achever de se masturber au-dessus de moi individuellement ou par deux ou trois visiblement ravis de profaner une belle femme docile. J'en avais plein le visage, dans les cheveux, sur les joues, les yeux, la bouche, le front, le menton.
Comme l'autre fois, je dus rester sur la table, tordue par l'envie, pendant que les types se reculottaient et partaient. J'entendis des "A bientôt", des "Salut la belle !", des "C'est quand même un morceau !".
Comme l'autre fois, j'entendis Jean-Charles appeler :
"Hassan ! Viens voir !"
Comme l'autre fois, mon mari demanda de tailler un plume au tenancier. Je suçais encore avec plus d'application cet énorme mandrin qui m'emplissait la bouche et en ingérait toute la semence.
Jean-Charles dut, cette fois également se surpasser pour combler son épouse insatiable. Il le fit avec honneur.
En partant du magasin, je l'avais entendu dire "A dans quinze jours !". Donc rendez vous était pris. J'en demandais confirmation à Jean-Charles dès le lendemain. Je la reçue….
"Vous voyez bien, ma chérie que vous y prenez goût ! Allez avouez que vous aimez cela !"
J'avouais…. Je dus, aussi, avouer que la verge d'Hassan me plaisait. J'avouais…. Je dus, AUSSI, avouer que j'aimerais l'avoir ailleurs que dans la bouche. J'avouais…. A cet aveu fut répondu :
"Ma chère tout se mérite…."
C'était clair, il me faudrait aller plus loin. Je risquais une question sur le nombre de participants. Jean-Charles me répondu qu'ils seraient aussi nombreux que la fois dernière, six clients. Je le questionnais au sujet du terme "client". Jean-Charles fut amusé de la question :
"Mais; enfin Marie-Hélène ! A quoi pensez-vous… Hassan est un commerçant. Non seulement, je le rétribue pour vos petites exhibitions, mais lui, vous met aux enchères parmi ses bons clients. Les six présents sont les six qui paient le plus cher pour pouvoir vous tripoter."
Je fus un peu effondrée, tout cela se faisait pour de l'argent…effondrée mais aguichée…. Quinze longs jours plus tard, j'étais prête et agitée. Cette fois, je ne portais que des dim-up noirs sur des talons aiguilles. Le tout (si l'on peut dire) sous mon unique ciré. Cette fois j'avais sur le maquillage. A mon sens, et celui de Jean-Charles, je faisais pute. Comme lorsque nous étions seul chez nous et que je souhaitais recevoir de fervents hommages de mon mari. La différence était que je me fardais ainsi pour la première fois à l'extérieur. Pas un instant je ne songeais que je pourrais être reconnue et qu'un client d'Hassan pourrait faire partie de nos connaissances.
Tout se déroula dans la même fièvre érotique que les autres fois. Il y avait cette fois un des hommes de la première séance et un de la deuxième. Quand je dis " Tout se déroula…", je veux dire pendant une bonne partie de la soirée. Jusqu'à ce que j'entende :
"Marie-Hélène branlez-les !"
Je mis un tout petit instant à percevoir que cela m'était adressé. Puis mes mains partirent à l'aveuglette… et se refermèrent sur deux sexes en érection. Tour à tour ils voulurent tous passer dans mes mains aussi délicates que manucurées. Le message était passé. Les moins vaillants firent se finirent au-dessus de ma face qui reçut leurs témoignages gluants. Jean-Charles ordonna :
"Branlez les deux derniers au dessus de votre figure !"
Docile j'amenais les bites des deux plus résistant au dessus de moi et les astiquais sensuellement. Je crois à entendre leurs râles qu'ils avaient atteint leurs limites et je me préparais à un nouvelle douche de sperme improvisée quand une nouvelle fois la voix de mon cher et tendre se fit entendre :
"Branlez les au dessus de bouche !... et ouvrez là en grand !"
Je crois que je faillis jouir à cette demande…. Les deux types avaient compris ce voulait Jean-Charles. Ils visèrent… l'intérieur de ma bouche, ma langue….
"Avale salope !"
Oui, oh que oui… oh que oui j'avalais, cherchant mon mari du regard, juste pour voir s'il était fier de son épouse. Il l'était…. Comme une récompense, ce fut le tour d'Hassan.
Juste, mais tout juste avant de partir, la porte était déjà ouverte, quand mon mari se retournant dit à Hassan :
"Je vous rappelle pour une autre fois ! La prochaine fois, ma femme sucera, dites le à vos clients !".
Énorme sourire d'Hassan qui dut songer sur le champ que ses tarifs allaient augmenter. Je voulus savoir si Jean-Charles était sérieux de vouloir me faire sucer des inconnus dans cet endroit médiocre. Il l'était. L'idée lui en était, soi-disant, et je n'en crus pas un mot, en me voyant avaler le foutre des deux hommes. Il ajouta :
"Et puis… cela vous choque peut-être sur l'instant !... mais, telle que je vous connais, dans deux jours vous vous serez faites à l'idée et vous frémiriez d'impatience de tailler des pipes, salope comme vous l'êtes !".
Ces déclarations vulgaires n'aveint pour but que m'exciter et de bien marquer ma complicité et aussi ma soumission. Tout était accepté d'avance donc….
Avant cette nouvelle expérience; il se produisit deux événements, un domestique et l'autre professionnel. Sur le plan domestique, nous employions Francine qui s'occupait de l'intendance et un peu de la cuisine (surtout quand nous recevions). Il y avait aussi une femme de ménage qui venait trois jours par semaine. Une entreprise de jardinage venait régulièrement s'occuper du parc. Jean-Charles se mit à vouloir embaucher un homme polyvalent. Un peu chauffeur, un peu bricoleur et surtout majordome. Il le trouva en la personne de John, de mère anglaise en en ayant conservé un peu d'accent et un maintient parfait en toute circonstance sauf lorsqu'il le fallait. Sa présence ma gêna. Je me sentais, à tort ou à raison épiée, même dans ma salle de bain, même dans ma chambre ou parfois je me livrais à quelques plaisirs solitaires. Je ne parvenais pas à percer le mystère de ses yeux impassibles percevant une pointe d'ironie dans ces "Bien entendu Madame" ou "Parfaitement Madame". Je m'en plaignis à mon mari qui conclut que je me faisais des idées et qu'il trouvait John parfait… point à la ligne.
Sur le plan professionnel qui ne m'intéressait que peu, mon mari avait cinq employés un premier clerc, un second plus âgé, pas très loin de la retraite, deux employées aux écritures, femmes mariées sans rien que l'on noter de particulier et une minette secrétaire assurant l'accueil de clients et les réceptions téléphoniques. Cette gamine, nantie d'un fabuleux BTS de secrétariat avait un peu tendance à se prendre pour le nombril du monde. J'allais de temps à autres jusqu'à son étude. Il souhaitait parfois que je sois présente à certain de ses rendez-vous. Oh rassure toi ! Pas comme conseillère… ma présence était, comment dire… invisible… puisque sous son bureau…. Parfois aussi Maître d'H pris d'une envie subite me prenait farouchement sur son bureau, son fauteuil, voir à même la moquette. J'étais certaine que ressortant un peu décoiffée, cela faisait jaser… mais bon !
Il arriva que le premier clerc ébloui par les mirages de la capitale fût débauché par un confrère de mon époux. Jean-Charles chercha un remplaçant. En fait il cherchait une remplaçante. Deux candidates arrivèrent au bout des entretiens sur un pied d'égalité. Mon mari voulut mon conseil. Les photos je vis deux jeunes femmes. Objectivement elles n'étaient pas mal, une blonde, une brune. Pourquoi diable aurais-je dus demeurer objective. Elles me furent immédiatement antipathiques. De plus Jean-Charles m'annonça qu'il allait les départager d'une façon particulière.
"Elles sont prête à tout pour le poste. Je vais en profiter un peu. J'ai trouvé un test "sexe". En toute franchises je vais leur faire répondre à ce test. Elle sauront à quoi s'attendre ainsi. J'embaucherais la plus dégourdie des deux. Je la baiserai certainement un jour… devant vous. Mais ce n'est pas tout. Je ferais particulièrement attention à leur réponses vis à vis d'autres femmes. Vous m'avez tellement parlé de vos débordement de pensionnat que je rêve de vous voir faire…."
Des souvenirs remontèrent… c'est vrai qu'il y avait longtemps que je n'avis pas touché une autre femme. Je pensais ces temps révolus…. La blonde gagna… la mieux… celle que je détestais le plus. Jean-Charles me la présenta lors de son installation. Très blonde, carré court pour les cheveux, une bouche large, très rouge, un genre de physique "drôle de dame" vous voyez…. Mais drôle de dame qui ne déparerais pas la collection de sauveteuse en maillot de bain rouge sur les plages du pacifique… détestable quoi ! Avec en plus un regard qui couvait Jean-Charles d'un air qui voulait dire qu'elle allait le mettre dans sa poche et dans son lit. Dans son lit, je veux bien… et encore tout n'était pas gagné, mais pour le reste Madame Marie-Hélène Agnès d'H était sur son terrain et… comme une louve. Bref ces petits changements meublèrent mon attente jusqu'à un mercredi soir ou Jean-Charles m'avertit :
"Surtout, ne prenez pas froid !... attention aux angines…".
Mon air interdit suscita ce complément :
"Ayez en gorge en parfait état… nous allons chez Hassan ce samedi soir !"
Le tourbillon me reprit de plus belle, les images repassèrent devant mes yeux, les images des trois soirées jusqu'à celles ou des braquemarts laissaient couler leur jus dans ma bouche.
Ce soir là, je me fis belle enfin, je veux dire très allumeuse. J'avais envie de plaire, de faire plaisir et que l'on me fasse plaisir également. Ce fut comme à la dernière date question habillement, juste les bas.
A notre arrivée, Hassan commenta à mon intention :
"Dépêches-toi, ils sont chauds ce soir ! Il va falloir tenir tes engagements… enfin celles de ton mari !"
"Soit sans inquiétude, ce soir elle est gourmande" répondit Jean-Charles.
Le rideau… le minuscule pallier… l'escalier… ses marches… les murmures quand mes jambes leur apparurent… ceux plus fort quand j'arrivais en bas… le battement sourd de mon cœur…. Un client de la première heure était encore là et deux de la dernière séance. Ce furent eux qui m'entourèrent en premier, comme pour bien montrer aux autres ma totale disponibilité. Je sentis une main se glisser par la fente arrière et commencer à caresser mes fesses nues. Ils continuèrent en me déboutonnant par le bas. Les "nouveaux" se mirent à toucher mon pubis et mes cuisses. Lentement le déboutonnage continua réservant l'apparition de mes seins pour la fin. Les "petits derniers" eurent l'air de les apprécier et se mirent vite à l'unisson pour les manipuler et les palper. Mon imper me fut retiré, des mains prirent possession de mon corps. Comme pour mieux en profiter, ils me firent croiser les bras derrière la nuque. Ainsi plus offerte encore, j'étais à leur merci… et j'aimais cela. Il y avait toujours en même temps que ces préliminaires (avant que soit installé sur la table) des échanges de propos graveleux destinés à faire encore monter la température.
"Tu nous as coûté cher aujourd'hui ! J'espère que tu vas tenir tes promesses !"
Il voulait sûrement parler de ma mise aux enchères, avec fellation en point de mire. Je répondis :
"Je tiens toujours mes promesses !"
L'un d'eux s'adressa à Jean-Charles :
"C'est bien vrai, ta salope va nous sucer ?"
"C'est bien vrai !"
"Tous ?"
"Tous !"
"A fonds ?"
"A fonds !"
Les caresses se firent plus intenses… et je fus vite installée à mon poste. Allongée sur le dos sur cette petite table, jambes largement ouvertes pour leur permettre de sonder mon intimité. Plus tard ils lèveraient les jambes encore plus haut et leurs doigts s'enfonceraient dans mon anus. Cette fois on me prit vite les mains qui reçurent des membres virils à manœuvrer. Un homme, queue à la main, s'approcha de mon visage. Pointant son sexe en direction de ma bouche il demanda une ultime fois à Jean-Charles :
"C'est vrai on peut ?"
"Je vous l'ai dit ! Allez-y !"
L'homme eut un mouvement de bassin. Je fermais les yeux et ouvrit la bouche sous la douce poussée d'un gland rubicond.
"Ouvres les yeux sale pute ! Regardes ce que tu fais !" m'invectiva l'homme.
J'avais une bite dans chaque main et une dans la bouche et des tas de mains sur moi et des doigts dans le vagin sans savoir d'ailleurs s'ils appartenaient à la même main. A priori, pas toujours…. Un de ceux que je branlais et qui me pinçait les tétons se rapprocha de celui que je pompais et lui demanda :
"Tu me la prête un peu ?"
L'autre se retira d'entre mes lèvres et le deuxième prit la place. Je repris ma besogne avec ce nouveau dard. On me leva une jambe un peu plus haut… ça y était !... un doigts mouillé de salive pressa ma rondelle. Phalanges après phalanges le doigt me sodomisa. Celui qui était à l'opposé des deux autres, et qui bénéficiait du travail de ma main, réclama son du :
"A moi maintenant !"
On me tourna la tête vers lui. Une nouvelle bite se précipita dans ma bouche. Elle sentait fort !
Les caresses manuelles me firent jouir une première fois. Cela les excita un peu plus. Les six queues se relayèrent sur ma langue, s'enfonçant toujours un peu plus loin. Un des hommes s'agita fébrilement. Certaine de la suite, je tournais légèrement la tête sur le côté pour pouvoir absorber sa sauce sans . Il grogna un "c'est booooonnnnnn!" et éjacula. À peine eus-je le temps de déglutir que déjà un autre se montrait impatient de suivre l'exemple de son compère. J'ingérais également cette deuxième rasade de foutre. Les trois derniers se montrèrent un peu plus résistants. J'en avais chacun un en main que je suçais à tour de rôle pendant que le dernier explorait mon entrejambe sans rémission. Je devais bien avoir deux doigts dans la chatte et trois (ou quatre) dans le cul. Je l'entendis même demander :
"Je peux la fister ?"
"Non, pas cette fois !" disconvint mon époux.
Le " pas cette fois" me fit penser en un éclair qu'il y aurait une autre fois…. Cette pensée me fit jouir à nouveau. Les hommes firent encore quelques variations de place qui m'amenèrent pour la troisième fois à l'orgasme. A un moment, deux se mirent face à face et se rapprochèrent de façon ce que leur deux glands se touchent et que je puisse laper et suçoter les deux bites en même temps. Deux en même temps c'était une première. Je regrettais d'être sur le dos et non pas face à eux. J'aurais bien aimé sentir les deux verges entrer carrément dans ma bouche. Je ne savais pas à cette époque, combien de fois, tout comme toi, je pratiquerais cette double activité. Finalement, les uns après les autres les trois hommes jouirent dans ma bouche puis partirent un peu penaud comme dégrisés. L'un d'eux, quand même, vint gentiment me remercier, pour une fois…. comme c'était devenu une habitude, je restais là étendue. Je ni tint plus ma main fila entre mes cuisses et je me touchais le clitoris devenu extrêmement sensible, à la limite du douloureux, d'avoir été tant sollicité. J'entendis Jean-Charles appeler Hassan. J'allais devoir lui faire sa petite pipe habituelle malgré mon début de crampe à la mâchoire. Quand il fut arrivé en bas Jean-Charles lui proposa :
"Baise là ! Elle en a très envie !"
Oh mon Dieu !.... il m'avait dit "tout se mérite"…. il pensait qu'aujourd'hui je méritais une récompense…. Il s'approcha et tranquillement retira son pantalon. Il bandait fièrement. Il m'apostropha :
"C'est vrai que tu à envie de ma queue ?""
"Oui !"
"Dis-le !"
"Oui je la veux ! Hassan mets la moi… mets la moi… enfiles moi…baise moi…!"
"Tu vas être servie !"
Prenant sa queue en main, il m'en frotta le clitoris et l'ouverture béante de ma craquette. Puis il posa son gland à l'ouverture de mon cratère et poussa… longuement. Comme l'a déjà dit Nathalie, ce fut réellement extraordinaire pour une première fois, comme elle, je sentis les parois de mon vagin, pourtant déjà éprouvée, se distendre encore pour pouvoir épouser le chibre qui me fouillait au plus profond. Il ne s'arrêtât qu'une fois au fond de moi. Cette sensation de remplissage était terrible. Terrible mais fabuleuse… et il commença à bouger…. J'étais totalement; terriblement femelle. Je ne demandais qu'à devenir chienne et qu'il me couvre…. Il se rendit compte de son pouvoir et joua avec mon corps. Jean-Charles sans doute très, trop excité perdit de son self-contrôle et sortit sa verge. Il vint vers moi et me la fourra dans la bouche. Oh pas bien longtemps, car il m'expédia vite son jus épais. Hassan le laissa se vider et me travailla de plus belle ses mains serrées sur ma taille ou mes nichons qu'il giflait parfois légèrement. J'allais être rattrapée par le plaisir… intense…irréel….
J'haletais et suppliais d'une voix sourde :
"Ooooh oui ... Ouiiii ....Mon Dieu ... Ouiiiiii Oahhhhhhhhhhhhhhh .... Ahhhhhhhhhhhh ...... Oh mon Dieu ....... Hassaaaan...Arrrrrrrghhhhhhh !..... Vas-y continues."
Ses mouvements de reins se firent féroces me forçant à frémir sous les coups de bite et à aller au devant d'eux.
«Oui, bien au fond ! Comme ça ouiiii… Oui vas-y Hassan c'est trop bon, ouiiii, je vais bientôt partir…, encore…, oui…oui, encore!!!!! Jean-Charles regarde ce qu'il fait à ta pute de femme avec sa grosse pine…. il me remplit…. plus fort…. Aaaah…. Je jouis… Aaaaah!!! »
Un orgasme éblouissant me fit voir le soleil …il se raidit et gronda…. des jets chauds se déversèrent dans mon intimité malmenée.
Il se retira en me laissant en sueur et pantelante.
"Elle est bonne…" paracheva-t-il un peu laconiquement à mon goût.
Il remonta dans son échoppe. Mon époux m'aida à me relever avec galanterie. Le reste le fut moins :
"Je suis très fier de vous Marie-Hélène ! Vous avez été sublime… sublimement salope ! Je vous aime… ainsi…."
"Moi aussi, je vous aime Jean-Charles… je ferais tout pour que vous m'aimiez encore plus et que vous soyez encore plus fière de moi !".
Comme je cherchais des yeux le traditionnel mouchoir de papier qui devait estomper les coulées brillantes qui me barbouillait le bas du menton et l'entrejambe, je fus surprise d'entendre mon cher époux m'avertir :
"Non ! Ce soir vous ne vous essuyez pas ! Je vous veux poisseuse !"
Il me fit signe de remonter et me suivit. Nous allions prendre congé d'Hassan lorsqu'il proposa :
"Ta femme à l'air d'aimer les gros calibres ! Au lieu de venir ici, pourquoi vous ne viendriez pas chez moi… j'inviterais des amis…. Je suis sûr que ta femme aimerais se faire enculer par des grosses queues, pas vrais ?"
"Quelle excellente idée !".
Ce fut mon mari qui fit cette déclaration…. Non content, il poursuivit :
"Quand est-ce possible ?"
"Je pourrais me faire remplacer ici… pas demain… mais dimanche prochain, c'est OK ?"
"Aucun problème !"
Bon d'accord, j'avais fantasmé sur le fait de me faire sodomiser par la formidable pine d'Hassan. Mais de là à passer à l'acte… et puis, il avait dit DES grosses queues…. Marie-Hélène trouva Jean-Charles bien léger…. Malgré tout quand ce dernier lui demanda "n'est ce pas chérie", Marie-Agnès répondit d'une voie rauque :
"Nnn…non…. Aucun problème…."
Au moment de partir, Jean-Charles se frappa le front d'une main en disant :
"Non ! C'est trop bête ! Cela me revient ! Ce ne sera pas possible ce jour là ! J'ai une obligation !"
Je fus surprise, notre agenda ne recelait rien de prévu. Mon mari me regarda d'un air oblique et s'adressa à Hassan :
"Mais j'y songe, j'ai une obligation ce jour là… certes, mais cela n'empêche pas Marie-Hélène de venir te voir, toi et tes amis…. Je suis sûr que ma présence n'est pas indispensable, vous ferez cela très bien sans moi, non ? Elle sera entre de bonnes mains…."
Sans voix, abasourdie par ce que je venais d'entendre je restais muette. Un sourire vicieux éclaira le visage d'Hassan quand il me dit :
" Mes amis adorent les belles bourgeoises…. Je les choisirais bien montés…. Tu vas voir comme tu vas gueuler quand on va t'enculer à tour de rôle ! J'espère que tu seras très salope… ils adorent ça !".
"Ne t'inquiète pas Hassan, tu l'as vu à l'œuvre !"
"Pour mes amis il faudra que ce soit pire !"
Sur cet avertissement sentencieux, nous partîmes. J'étais partagée entre plusieurs sentiment : la colère de ne pas avoir été consultée, le désir que j'éprouvais encore malgré mes orgasmes successifs, l'angoisse de me retrouver sans mon conjoint, l'anxiété de ce que l'on allait exiger de moi…. j'interrogeais :
"Qu'est ce qui vous a pris ?"
"Je vous ai déjà vu vous faire prendre par plusieurs hommes. Je pense que je vous reverrais…. J'avais envie d'éprouver des sensations nouvelles. Je vous ai adoré dans le rôle de l'aristocrate dévergondée qui s'encanaille au sex-shop. Je veux plus, j'ai une forte envie d'être cocu, ma chère…. Cocu, mais dans l'inconvenance…. Je veux vous savoir livrée à un dévergondage excessif ! Alors rendez vous compte, un gérant de sex-shop et ses amis…. Quelle aubaine ! Sans compter qu'après… vous me raconterez….".
Décidément il était encore plus pervers que je ne le pensais. Où s'arrêterait-il ? Je demandais :
"Vous êtes certain que c'est bien cela que vous voulez ? Que je laisse des types r de moi sans limite ?"
"Vous voyez ! Vous voyez bien que vous vous déjà êtes faite à l'idée !"
Que la semaine allait être longue…. Elle le fut jusqu'au jeudi ou Jean-Charles me téléphona de l'étude sou je ne me rappelle plus quel prétexte. Tout en bavardant je lui demandais s'il n'avait pas envie que je vienne le voir entre deux coquin. Il avait un emploi du temps trop chargé… dommage, je me sentais d'humeur câline, j'attendrai le soir. Il voulu subitement parler à John. Ce dernier ne semblait pas à l'intérieur…dans le garage peut être. Jean-Charles me demanda d'aller à sa rechercher toujours munie de mon portable. Effectivement je le trouvais dans le garage briquant les carrosseries. Je lui tendis l' combiné :
"Mon mari souhaite vous parler !"
Il prit l'appareil et je n'eus que des bribes de conversations du genre : "bien Monsieur" ou "Mais si Monsieur", "avec plaisir Monsieur" ou encore "certainement Monsieur".
"Bien Monsieur, je vous repasse Madame !"
Et il me retendit mon portable.
"Chérie, comme vous m'avez l'air d'humeur… j'ai dit à John de vous sauter ! Vous allez lui repasser le portable et vous le sucerez un peu. Ensuite il vous baisera ! Gardez le portable allumé je veux vous entendre…."
Il m'avait toujours semblé trop poli pour être honnête. Ses yeux m'avaient toujours parut cacher quelque chose. Aujourd'hui j'en étais certaine, ses yeux voulaient dire "toi, un jour tu y passera !". En cet instant je lus dans ces prunelles "tu vois ! je te l'avais dis !". Essayant de fuir son regard, je commençais à ouvrir son pantalon.
"Monsieur souhaite que Madame s'agenouille !"
J'obéis et me mis à genoux à même le ciment du garage. Pourquoi est-ce que j'obéissais… pour deux raisons. Un, je vouais une soumissions particulièrement complice aux désirs malsains de Jean-Charles et aux turpides auxquelles il voulait me soumettre puisque j'y trouvais mon compte…et mon plaisir. Deux, il avait ramené la veille (justement) un martinet. Je vous ai parlé de ses fessées parfois appuyées. Me faisant admirer ce nouvel instrument, il avait dit "c'est pour le jour ou vous serez très désobéissante". La vue des lanières menaçantes ne me donnait pas envie d'être désobéissante… pas du tout. En fait malgré sa cinquantaine, John était mince avait un ventre bien plat et musclé. Il avait un membre pas très gros, mais étrangement long. Je le pris en main, le caressais ainsi que les bourses qu'il surmontait, puis imbibée d'indignité je me mis à le sucer. Je n'entendais que sa respiration, il n'émettait pas un son. Imperturbablement en apparence, je l'entendis dire :
"Oui Monsieur divinement, Madame est experte… elle suce parfaitement…." Puis à moi en me tendant une main :
"Si Madame veut bien se relever… comme vient de le dire Monsieur, je vais avoir l'honneur de la tringler !"
Il me repoussa doucement vers la voiture afin que m'y allonge sur le capot. Il ouvrit mes jambes, la ficelle de mon string ne fut pas un obstacle. Il frotta sa verge contre ma vulve bénéficiant de mon "humeur" du jour et m'enfila. Il posa le téléphone à coté de ma tête. Il avait une manière curieuse de faire l'amour. Elle lui ressemblait : posée, calme presque flegmatique mais terriblement efficace. Sa longue queue butait au fonds de moi à chaque poussée. Toute cette ambiance curieuse et aussi son savoir faire me déclanchèrent trois orgasmes après quoi John s'empara du téléphone.
"Monsieur ! Je crois que je vais jouir… dans la bouche de Madame… avec plaisir Monsieur !"
"Madame, Monsieur souhaite que j'éjacule dans votre bouche !"
Il me tendit encore la main, je me mis vite à genoux sentant l'imminence des jets.
"Madaaamme ! Monsieur insiste pour que je lui dise que Madame suce comme une salooooppppeee !"
Il me remplit la bouche, je n'aurais pas pensé cela de lui….
Quelque seconde plus tard, il avait repris son impassibilité. Peut être avec un rien d'ironie, il me dit :
"Je remercie Madame…"
Je balbutiais un vague "de rein… moi aussi…merci !" et m'enfuis. Jean-Charles revint le soir enchanté de son épouse et de son nouveau majordome. Je l'informais que, quand même, John m'avait baisé pendant près de cinquante minute. Cela amusa mon compagnon, il était visiblement au courant des particularités de son employé. C'est même pour cela qu'il l'avait embauché. Il ajouta :
"Et vous verrez… quand je lui demanderai de vous sodomiser…."
Du coup, je ne vis pas passer le vendredi ni le samedi. Le dimanche se décomposa en deux donc par la faute de Jean-Charles…dévote le matin et pute l'après-midi (comment appeler cela autrement)… Marie-Hélène le matin et Marie-Agnès l'après-midi. Après mes dévotions, trop nouée, je ne pus pratiquement pas manger le midi. Comme je questionnais Jean-Charles sur la tenue à adopter, il me répondit :
"Que portiez vous ce matin à la messe ?"
"Mon tailleur gris perle, un chem…."
"Cela sera suffisant ! Sans rien dessous naturellement, sauf bien évidement porte-jarretelles et bas noirs… les amis d'Hassan doivent apprécier cela ! Laissez vos cheveux défait vous êtes plus… bandante ainsi. Pour le maquillage je vous fait confiance, ils vous attendent… salope !".
Mon portrait était tracé, je m'y conformais inquiète quand même. Ce matin, le tailleur, avec soutien gorge et chemisier, aucun problème… mais à même la peau… je montrais avec évidence ce que pas de femmes cachaient d'ordinaire… impossible de tenter de dissimiler le bon tiers de mes gros seins.
En partant Jean-Charles eut le toupet de me dire "Amusez vous bien !" sur quoi il me prévint "Hassan me fera lui aussi son compte rendu. Je me suis permis de le rappeler et de lui dire que vous seriez totalement à sa disposition et celle de ses amis… comme une pute…"
L'adresse où je devais me rendre était située à l'ouest de la ville, un peu plus loin que le quartier chaud où exerçait Hassan. C'était des quartiers anciens pas encore rénovés et disait-on mal fréquentés sinon assez mal famés. Devant ma mise, le taxi à qui je donnais ma destination me dévisagea longuement avant de me demander si l'adresse que je lui donnais était la bonne, si je ne me trompais pas et enfin si j'étais certaine de l'endroit ou je voulais me rendre. D'un ton un peu sec, je confirmais le tout. Ville, centre ville, quartier rénové, quartier "chaud", quelque filles sur le macadam (même le dimanche vers quatorze heures), vieux quartier… peu reluisant… moche…désert… sale… poubelles pleines, renversées…. Le taxi stoppa.
"Vous êtes arrivée ! Vous êtes toujours sûre…." Visiblement inquiet il insista :
"Dois-je vous attendre…."
Je remerciais arguant que je savais très bien ou je me rendais et réglais la course. Fataliste il émit :
"Bon !... c'est comme vous voulez ! J'espère que je ne le regretterais pas !"
Le moins que l'on puisse dire était qu'il ne m'avait pas mis en confiance…. S'il avait pu lire dans mes pensées, il aurait vu, qu'en fait j'étais terrorisée…. Le quartier était on ne peu plus sordide. La consigné était : premier étage porte de gauche. L'escalier de bois grinça un peu et le palier était aussi minable que le reste. Pas de sonnette… pas de nom sur la porte… je frappais…. J'entendis jouer le loquet. La porte s'ouvrit sur Hassan qui me pria d'entrer. Il me reluqua des pieds à la tête et satisfait de son examen, m'embrassa dans le cou avant de se renseigner :
"J'espère que tu es en forme ! Tu vas voir… tu vas jouir comme jamais ! On va te faire hurler !"
Me prenant par la taille il me poussa presque dans le pièce avoisinante. Salon et salle à manger, parfaitement tenus contrairement à l'environnement extérieur. Ce n'est pourtant pas vraiment cela qui m'attira. Mais plutôt la présence des amis d'Hassan. Ils étaient trois…. Un plus jeune que Hassan très baraqué, en survêtement et deux plus âgés en jean et polo. Hassan fit les présentations Aziz, Mounir, et Sabri d'un coté et de l'autre "Marie-Agnès la bourgeoise dont je vous ai parlé qui adore la queue".
Hassan dirigea la soirée :
"Elle aime se foutre à poil devant des hommes au magasin…. Elle va le faire devant nous… mais nous, on ne va pas se contenter de la toucher…" rires gras….
De toute façon maintenant que j'étais là, plus question de reculer. A la réflexion je mis une certaine lascivité dans mon rapide effeuillage puisque ma veste et ma jupe en constituaient les seuls éléments. Du moins les seuls éléments gênants. Leurs yeux se firent de braise. Hassan me demanda de poser un pied sur une chaise et d'écarter les lèvres de mon sexe pour que les autres puissent en admirer l'intérieur nacré. Puis je dus me tourner pour faire admirer mon postérieur. Ils furent plus curieux. Je dus me pencher un peu en avant et séparer mes fesses à deux mains. Pour encore mieux faire admirer ma rosette fripée qui constituait à n'en pas douter une cible privilégiée Hassan vint lui-même écarter mes globes. Il prévint ses amis :
"Il est beau hein ! C'est moi qui l'ai trouvé… c'est moi qui serais le premier ! Après vous pourrez vous en servir !"
J'étais fixée… je regrettais un peu d'avoir pris ses paroles à la légère au sex-shop. Il me fit faire face de nouveau aux trois hommes et me commanda :
"Suce déjà Mounir… nous sommes chez lui !"
C'était celui du milieu, il ouvrit son jean pendant que je me courbais devant lui. Sa verge était encore un peu molle, mais déjà de bonne taille. Hassan m'appuya sur le dos pour me faire mette à genoux. Je me mis à lécher le membre, puis quand sa rigidité fut confirmée je me mis à le sucer lentement. Il eu l'air d'apprécier… en arabe. Hassan traduisit :
"Il dit que tu suces comme une pute !"
De part et d'autre de lui pour tromper leur attente les deux types se mirent nus. Je ne m'étais pas fourvoyée. Le dénommé Aziz avait vraiment un carrure d'athlète et un bite jumelle de celle d'Hassan. Le dernier n'était pas en reste, ouuuuuuhhh ! Il avait dit " Je suis sûr que ta femme aimerais se faire enculer par des "… grosses queues… c'était parfaitement le cas et pour le reste je n'avais pas beaucoup d'illusion à me faire, mon petit cul ne serait plus l'endroit secret qu'il était en arrivant…. Un corps nu se pressa contre mon dos. Hassan, lui aussi était en tenue. Ses bras m'entourèrent et il prit mes seins à pleines mains. Pendant qu'il m'en étirait les bouts il me demanda de branler Aziz et Sabri. Je me retrouvais donc avec une bite dans chaque main et une dans la bouche. Une main d'Hassan se faufila entre mes cuisses et vérifia mon état de moiteur. Le compte rendu fut bref :
"Elle mouille comme une salope ! Elle a envie !"
Pourquoi le nier après tout ! Me prenant par le bras Hassan me fit mettre à quatre pattes sur un gros pouf. Ses trois compères vinrent se mettre debout devant moi. Ce n'était plus l'heure des comparaisons, je me doutais que seules, mes lèvres allaient devoir en mesurer le calibre sous peu. Effectivement l'une après l'autre elles virent me visiter la bouche, puis la luette, puis plus profondément le gosier tant ma disponibilité leur parut acquise. Pourquoi le nier après tout, encore une fois surtout que j'étais préoccupée par autre chose. Hassan avait commencé par me doigter le vagin et ses doigts avaient remonté…. Il avait doucement introduit un phalange, puis deux, puis trois dans mon anus obligeant mon muscle anal à se détendre ou du moins à en autoriser le passage. Il y mit un second… non, plutôt un deuxième doigt et cette fois il les écarta pour m'ouvrir encore. Un troisième doigt vint achever ma béance. Il dit quelque chose en arabe et les trois hommes cessèrent de se presser contre mon visage. En même temps, il me cracha sur l'anus et vite je perçus le contact du bélier qui allait me défoncer. Conscient de son calibre il le fit lentement… doucement… il n'empêche…. Il n'empêche que j'en pris plein le cul…. Malgré sa taille il ne s'arrêta qu'une fois qu'il m'eut emmanchée jusqu'aux couilles. Il m'invita à reprendre mes activités orales. Les trois bites vinrent à nouveau se presser contre mes lèvres et mes joues. Je fis de mon mieux pour les pomper correctement pendant qu'Hassan se mettait posément en mouvement. Posément, certes… mais c'est avec d'amples mouvements qu'il se mit à me sodomiser. D'ailleurs, à quelques reprises il ressortit complètement de mon anus pour s'y replonger avec des han de bûcheron. C'est fois la il m'ouvrait en deux…. Outre le fait qu'il échangeais vraisemblablement des grossièretés en arabe avec ses amis qui riaient beaucoup en l'encourageant il me lançait aussi des insanités destinées à m'avilir encore un peu plus :
"Tu aimes ça, putain te faire enculer ! Je savais bien que tu aimerais prendre de grosses bites dans ton cul de bourge ! Tu vas voir on va tous te niquer la pastille !"
Bien entendu à ces invectives, je ne pouvais ne répondre que des : "Hon… hon… mfffttt…humpff", vu qu'en permanence on me baisait la bouche; l'un d'eux surtout qui me maintenait parfois même par les oreilles. Les deux autres semblaient plutôt s'économiser. Celui qui s'activait farouchement entre mes lèvres, qui était d'ailleurs le propriétaire des lieux se vida brusquement dans ma bouche sans me laisser de temps de répit pour pouvoir déglutir à mon aise. J'en eus donc plein la bouche et j'en laissais échapper un peu. Hassan accéléra son… mon enculage et grogna lorsqu'il me déversa sa semence dans les intestins. Tout cela avait été un peu trop rapide pour moi et puis, il faut dire que j'étais assez contractée au début. Je me sentais un mieux à présent et j'étais prête pour subir les fantaisies qu'ils allaient m'imposer. Ce fut le baraqué, Aziz, qui me fit relever de sur mon pouf. Il me prit par la main et m'emmena avec lui vers le canapé. Il s'y assit joignit les jambes et me fit venir vers lui mes jambes écartées pour me faire comprendre qu'il désirait être chevauché. Je m'agenouillais de part et d'autre de lui. Il prit sa queue en main et la mit au contact de ma vulve détrempée de mouille. Il posa son autre main sur mon épaule. Je compris et m'abaissais…. Huuuuuuummmmm !.... qu'il était gros…que c'était bon de prendre un tel phallus dans le bas ventre… aussi bon que celle d'Hassan du petit coté tout à l'heure. Je fis quelques impulsions de bas en haut pour qu'il puisse prendre ses aises. Cette fois je sentais qu'il me ferait jouir. Je n'eus pas vraiment le temps d'y songer plus longtemps. Une main me poussa dans le dos et je m'affalais sur le thorax d'Aziz. Pratiquement en même temps, ce dernier me prit les fesses à deux mains et les ouvrit. Je me rendis compte que le dernier larron guidait sa pine vers mon anus et qu'il poussait pour me sodomiser à son tour. Je gémis un ouiiiii étranglé. J'allais connaître de nouveau cette double pénétration infernale. Nonobstant la bite imposante dont le volume m'emplissait déjà pas mal le bassin cet énergumène poussa… poussa… sans rémission jusqu'au bout de la longueur. Comme je te l'ai dit tout à l'heure Hassan les avait choisit bien équipés… j'étais remplie, farcie… ravie…. J'avais eu raison de penser que les faux étudiants m'avaient initiée en douceur pour mon premier double. Ce ne fut pas le cas cette fois et les deux hommes ne prirent aucun égard et se démenèrent sauvagement me pistonnant farouchement les conduits jumeaux, alternant ou combinant leurs coups de queues. Voyant que je me mettais au diapason, ils furent encore plus effrénés. A pleine bouche ils me roulaient des patins goulus et baveux à tour de rôle. J'avais le bas du visage mouillé de salive. Ils m'empoignaient brutalement les seins pour les malaxer. Celui de derrière me claquais les fesses de temps à autre en me traitent de "sale putain blanche". Cette sauvagerie eut vite raison de moi, je hurlais ma jouissance sans vergogne… comme une chienne…. Ils me besognèrent encore m'amenant à jouir de nouveau et se vidèrent dans mes orifices. A peine libérée de mes deux assaillants, Hassan s'allongea sur le sol et les autres me poussèrent sur lui. Rapidement celui qui s'appelait Mounir m'investit les reins à son tour et la sarabande reprit. Vous dire tout ce qu'ils m'ont fait… difficile ! Je fus prise quatre fois en sandwich. Deux fois par la paire Hassan-Mounir et deux fois par la paire Aziz-Sabri qui inversèrent les places à chaque double. Entre temps, comme l'avait fait Hassan au début, ils me prenaient selon leur bon plaisir et selon leur orifice de prédilection. Ma bouche et mon cul furent les plus sollicités à ce petit jeu. Combien de fois j'ai joui… aucune idée ! il me semble que je n'arrêtais pas de gueuler mon plaisir et aussi des insanités. J'eus une pensée émue pour mes aïeux qui peuplaient mon panthéon familial et qui avaient participé aux croisades et qui devaient se retourner dans leur tombe devant le spectacle de leur descendante se livrant somme une possédée aux assauts de quatre arabes galvanisés par ma disponibilité absolue. Quand ils cessèrent de se repaître de la bourgeoise dépravée que j'étais et qu'ils furent assouvis et repus ils me désignèrent mes habits en boule à même le sol et me prièrent de vider les lieux sans la moindre indulgence pour mon état. Me raccompagnant Hassan se permit quand même de souhaiter "une prochaine fois"… quel mufle ! Je redescendis au rez-de-chaussée, trempée de sueur, de salive, de mouille et de foutre et appelait un taxi qui mit bien temps à arriver. Le chauffeur, devant ma mise déglinguée, mes bas filés, ma coiffure et mon maquillage ravagés, ma démarche aussi incertaine que si j'avais fait du cheval pendant plusieurs jours, ne comprit pas que nous n'allâmes pas directement au commissariat pour porter plainte. De plus… il s'était mis à pleuvoir… heureusement que la grille du parc était restée ouverte. Il n'empêche que le fait de gravir le perron et d'attendre que Jean-Charles vienne (lentement) m'ouvrir fit que je fus trempée par la pluie. C'est donc parfaitement hideuse que je rentrais dans le domicile conjugal ou je m'écroulais dans le premier fauteuil venu en sanglotant.
Une fois ma surcharge de tension retombée. Je dus raconter dans les grandes lignes ce que j'avais subi et exhiber mes orifices dévastés, écarlates, barbouillés de sperme, boursouflés et encore béants à mon époux ravi. Puis je montais à m'effondrer dans ma chambre ou je dormis… dormis….
Le lendemain le réveil fut laborieux. Brisée, courbatue, des bleus, traces de l'empressement de mes amants de la veille, des élancements au niveau du vagin e l'anus, des crampes de la mâchoire… Madame d'H n'était plus bonne à rien… une ombre. Sans mentir je mis quatre jours pour redevenir potable et … utilisable. Pendant ce laps de temps je dus narrer en détail mes exploits à mon mari. Il voulut tout savoir de ce qui s'était passé et aussi mes réflexions et constats. J'admis que jamais je n'avais jouis autant et jamais aussi fort. Je crois que la peur, son absence, le fait de céder à des inconnus, le coté sordide du lieux avaient décuplé mes sensations. A ma surprise Jean-Charles déclara que je ne renouvellerai pas cette aventure. Du moins pas avec les mêmes partenaires. Il trouva que cela pouvait s'avérer dangereux. Il avait à peu près confiance en Hassan, mais les autres…. Il ajouta quand même :
"Ne soyez pas inquiète ma Chérie, d'autres hommes auront l'occasion de goûter à vos charmes… mais dans d'autres circonstance. Ce que vous perdrez de déshonorante bestialité, vous le gagnerez en perversité libertine…. Votre éducation est loin d'être terminée !"

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