Excité Par La Situation, Je Me Mis À Bander Comme Un Malade..
Mes parents m'avaient envoyé en Angleterre pour parfaire mon Anglais.
Reçu dans une famille très sympa, je pouvais sortir le soir, ce qui me faisait goûter à mes premiers moments de liberté, tant désirés à cet âge là.
Les voisins de cette famille recevaient également des Français, et celui qui venait d'arriver était un garçon qui venait du midi de la France , avec son accent typique, il était drôle. La frange sur le front, sa degaine, son sourire en faisait un gars sympathique et attachant. Il s'appelait Hugo.
Nous nous retrouvions presque tous les soirs dans une boîte de nuit où nous draguions les filles, surtout les Petites Anglaises qui n'étaient pas farouches.
Un soir, nous rentrions d'une soirée, un peu ivre, après avoir bu quelques pintes de bière, et nous refaisions, en marchant, le monde que nous prétendions stupide...
Nos maisons d'accueil se trouvaient en pleine campagne et nous devions faire plusieurs kilomètres pour revenir.
Hugo épuisé, et peut être un peu plus saoûl que moi, pénétra dans un pré et s'affala dans l'herbe. Je l'y rejoingnis et m'étala à côté de lui.
- Hugo ! tu ne vas pas vomir ? lui dis-je
- Non, mais je ne tiens plus debout ! me répondit-il
- Repose toi un peu et nous repartirons ! lui rétorquais-je
- Il faut que tu m'aides. dit Hugo
- Ah bon ! pour quoi faire ? lui demandais-je
- J'ai envie de pisser et je n'arrive même pas à ouvrir ma braguette.
- Tu veux que je te la sorte ? interrogeais-je
- Oui, s'il te plaît, balbutia t-il
Les yeus fermés, il était étendu là, les bras en croix, la chemise sortie du pantalon.
- Si tu veux pisser, il faudra que tu te mettes sur le côté, sinon tu vas te pisser dessus !
Pas de réponse, j'entrepris de baisser le zip de la fermeture et je vis une bosse cachée par un slip rayé bleu. Quand j'ai voulu baisser l'élastic de son sous vêtement, je me suis aperçu qu'il bandait.
- Comment tu la trouves ? Hein ?
- Mignonne et hardie, je reconnais...
- Continue à me caresser, j'aime ça...
Je continuais avec ma main à faire des va-et-vient et lui gémissait et se tordait de plaisir.
- Maintenant, fais voir la tienne...
Je déboutonnais mon pantalon et baissais slip et pantalon à la fois, me retrouvant à moitié nu couché dans cette herbe fraîche face à Hugo qui me regardait. A son tour il empoigna mon sexe raide et me branla lentement.
Pour être à égalité, je l'aidais à enlever pantalon et slip pour qu'il se trouve dans la même situation que moi. Nous nous branlâmes un bon moment, interrompant nos gestes pour retarder l'éjaculation, puis reprenions cette caresse divine.
Trop excité, je me mis en position de 69. Je commençais à lècher le bout de son gland et avalais sa petite goutte séminal qui perlait de son méat. J'avalais ensuite ce gland fin et long et j'ai aimé aussitôt. C'était la première fellation que j'administrais et j'en trouvais réellement du plaisir. Il tarda un peu, lui, et je sentais son soufle sur mon sexe... Mais quand il goba mon gland, j'ai cru que j'allais jouir tout de suite. Il pinça mon sexe en sa base ce qui retarda immédiatement la montée de la sève. Mon garçon avait de l'expérience et ça se sentais à sa façon de sucer. Il engloutit tout mon sexe jusqu'au fond de sa gorge et j'en fis autant. Je m'appliquais à le sucer comme lui, lachant sa bite pour lui lècher les boules et reprendre ma succion. Il mouilla un doigt et caressa mon anus sensible et vierge, et au moment où il enfonça la phalange de son index, j'éclatais dans sa bouche tout mon sperme.
J'accélèrais mon mouvement et ma fellation et avec un petit hurlement il éjacula à son tour dans ma bouche. Je bus tout au fur et à mesure et continuais à le pomper de plus en plus lentement, jusqu'à ce que sa bite se ramolisse.
Nous restâmes un long moment, la verge de l'un dans la bouche de l'autre, comme si on ne voulait plus que ça s'arrête. Nous déglutissions par moment, profitant de ces moments privilègiés que je venais de découvrir.
Je m'apprêtais à me rhabiller quand il me pria de ne rien faire et de rester comme ça.
Je lui obéi, et j'attendis comme ça, le sexe à l'air. Au bout de 10 minutes, il s'approcha de moi et entreprit de me sucer ma bite molle, qui se redressa peu à peu et reprit sa forme droite. Mon excitation revint au maximum et je le laissais faire. Puis il se mit à quatre pattes, les épaules dans l'herbe, bombant le cul, il me fit signe de venir le sodomiser. Il cracha dans sa main et étala sa salive sur son oeillet légèrement dilaté.
A genoux, je posais mon gland à l'entrée de sa rondelle et pousssant légèrement, il pénètra dans son ventre. Il se mit à gémir plus fort et lança des "c'est bon vas-y".
Ma queue pénètra jusqu'à la garde et le tenant par les hanches je maintenais la position et entrepris de le limer. La bague de son anus était serrée et à chaque retour mon gland était retenu à sa base. Je le tirais à moi pour aller au plus loin et je sentais mes boules frapper ses fesses bombées. Par un long gémissement, je l'avertis de mon orgasme et je déversais, mon jus reconstitué, dans le fond de son ventre. Ô que c'était bon... Quel pied nous avons pris ce soir là... Tous les soirs jusqu'à la fin du séjour, nous nous rejoignons dans ce même pré et remettions ça en variant nos positions. Il m'initia à la sodomie.
Nous nous sommes téléphonés plusieurs fois, après notre retour en France, mais nous ne nous sommes plus revus.
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