La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1414)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château (suite de l'épisode N°1376)
Et il maccorde une jouissance puissante et soudaine car je ne pensais pas être autorisée à jouir, alors cest un moment encore plus délicieux et passionné à la fois
- Bien, Ma chienne aujourdhui tu vas aller avec Walter et continuer ton éducation de chienne esclave pendant que je vais travailler. Tu me rejoindras cet après midi pour continuer ton travail au sein de ton entreprise. Aller, va Ma belle chienne.
- Oui Maitre, à Vos Exigences
Je quitte donc la Chambre de Maitre et toujours à quatre pattes dans le Château, je me vais en direction du bureau du Majordome. Jarrive devant son bureau et toque à la porte
- Entre Cataleya, Monsieur le Marquis ma prévenu de ta venue ici. Tu vas attendre à genoux que je finisse mon travail et je vais moccuper de toi après et cela durant toute la matinée.
Je magenouille alors dans le coin du bureau, là où il me lindique, baisse la tête et attend les mains derrière le dos, le buste droit, dans une parfaite immobilité. Cela dure un long moment à attendre sans bouger quil termine.
- Approche Cataleya et viens me sucer, mais tu prends ton temps car je veux prendre un maximum de plaisir avec ta bouche de salope, comme tu sais si bien le faire, la chienne, dit-il en baissant son pantalon et caleçon.
Je mapproche toujours à quatre pattes et prends le sexe déjà bien dur du Majordome et commence à le sucer doucement léchant cette hampe veinée. Puis jaccélère mes mouvements avec ma bouche pour bien le sucer en bonne salope que je suis et je commence à être très excitée de la situation. Je fais durer le plus possible la fellation pour lui donner un maximum de plaisir. Il me prend par les cheveux pour senfoncer plus profondément en moi, en gorge profonde et continue ses va-et-vient dans ma cavité buccale de chienne. Jai du mal à reprendre mon souffle mais je peux reprendre une grosse aspiration à chaque fois quil relâche ma tête quelques secondes pour me laisser respirer.
Et demblée, il commence sans douceur à me pilonner la chatte à grands coups de reins puissants, ne tenant pas compte si je prends du plaisir ou pas, il me besogne comme si jétais un simple trou à plaisirs, juste pour se vider les couilles, juste pour soulager son érection à épancher son sperme au fond de mon vagin trempé... Cest tellement bon que, je lavoue, que je sens mon plaisir monter très vite par le fait de ressentir dêtre prise ainsi telle une chienne (lanimal) à même la rue. Et donc je dois faire un travail sur moi-même de retenue pour ne pas jouir dun orgasme dévastateur et non autorisé. Puis, une fois bien baisée sauvagement, Walter se retire aussi pour présenter sa volumineuse bite bien raide devant ma rondelle anale et sans préambule. Ainsi il pousse dun grand coup de boutoir pour sintroduire dans mon cul, sans aucune préparation de dilatation. Et je dois me retenir de crier tellement ce fut douloureux, mais la douleur laisse vite place au plaisir dêtre utilisée comme un simple objet de plaisir, comme un vide-couilles au fond de mes entrailles. Il mencule longuement durant plusieurs minutes dans cette saillie animale, bestiale, claquant mon cul arrondi de fessées fusant sans modération pour finir par jouir au fond de mon cul. Puis il reste ainsi en coït anal, bien planté sans bouger. Son étreinte est dominatrice, menserrant fortement, ses bras passés sous mes aisselles, il empoigne fermement mes seins et je sens encore son souffle dans ma nuque. Je me sens prise, emplie, possédée physiquement et jadore ce moment post-éjaculatoire
Un long moment après il se retire et me présente sa verge mollissant pour que je lui nettoie de diverses souillures, ce que je fais rapidement.
- Bien la chienne tu es une bonne esclave à être utilisée pour se soulager, beaucoup naurait pas sur se retenir de jouir, mais tu as réussi et je ten félicite. Suis-moi maintenant. Là où nous allons, tu auras lautorisation de crier et gémir autant que tu le souhaites. Monsieur le Marquis ma fait par de ton coté masochiste et donc on va voir ce que ça donne au niveau de ton potentiel en ce domaine.
Je suis Walter jusque dans une vaste chambre aménagée en donjon avec un tas daccessoires D/s. Il minstalle sur une des croix de St-André et commence à chauffer mon cul et mon dos à coups de martinet aux lanières de cuir doux. Je commence à appréhender un peu car je connais les orientations de sadisme du Majordome. Je commence aussi à gémir de plaisir sous ses coups de martinet et je sens à un moment que le martinet nest pas le même, il est aux lanières plus dures. Oui ainsi de fait, lintensité aussi à changer, elle est plus intense et décuple mon excitation et mes gémissements de ce sublime mélange simultané de douleur-plaisir. Plus les coups sont intenses et plus je gémis. Sans jamais crier. A un moment, il passe du martinet au fouet et là, la douleur est plus forte, plus cuisante et vive. Et plus il frappe, plus il marrache des cris de douleur mais je tiens par ma volonté de ne pas être sanctionnée mais aussi pour rendre fier le Maitre, qui je le devine, doit savourer ce spectacle en vidéo, étant très certainement filmée
Cela dure un long moment, Walter change de temps passant à dautres dinstruments pour intensifier la douleur et la plus cuisante, cest la badine qui ma faite partir en subspace, en cet état de transe, après plusieurs coups répétés et de même forte intensité. Je sentais partir mes larmes couler sans discontinuer, jusquà que le Majordome stoppa ce traitement...
Walter me laissa un instant reprendre mes esprits et minstalla, sans un mot pour moi, sur la table de gynéco et commença à me branler vigoureusement mon clito en feu et en même temps me doigter sans vergogne ma chatte coulante de cyprine.
- esclave Damien, tu peux partir
Et toi, entre Ma Kajira, entre je tattendais, viens sous le bureau me vider les couilles avant de travailler et dépêche-toi, nous avons un rendez-vous dans 10 minutes
Je mavance toujours en quadrupédie donc sous le bureau du Maitre et je sors de Son caleçon Sa délicieuse Verge déjà tendue et je la prends en bouche mactivant dessus comme la salope que je suis, pour Lui servir de garage à bite et je me dépêche à Lui provoquer une éjaculation ce que je réussis à faire en 5 minutes après avoir accentué mes vifs va-et-vient buccaux, et que ma bouche servit de fourreau accueillant, chaud et humide tandis que ma main lui malaxait les couilles avec douceur. Une fois que jeu le privilège davaler Sa noble semence, et davoir consciencieusement nettoyé Son Vit ramollissant, le temps du rendez-vous était venu.
- Je vous vois depuis le début de notre négociation, dévorer Ma salope des yeux
Et donc pour finaliser notre accord cher ami, si vous le voulez, utilisez-la à votre guise !
- Cest vrai Monsieur le Marquis que depuis que je connais Crystal, jai toujours eu envie delle et si jai Votre accord, je ne vais pas men privé et je vous en remercie vivement.
Lhomme avec un regard gourmand et pervers sapprocha de moi. Il était déjà excité à lidée de pouvoir mutiliser et il était déjà en érection quand sans aucune gêne, il déboutonna sa braguette de son pantalon et sortit sa queue dressée. Puis il la logea, sans demander son reste, dans ma bouche pour exploser ses flots de foutre abondants et saccadés en moins de 2 minutes dans ma bouche dans de longs jets de sperme, tout en me traitant de tous les noms tels que salope, chienne, putain etc
Ensuite, il mexigea de mettre à quatre pattes pour me prendre la chatte avec ses doigts pénétrants, sa bite mollissant à vue dil après son éjaculation. Je neus aucune difficulté à me retenir car il navait pas le savoir-faire pour me donner du plaisir. Ses doigts étaient maladroits et Maitre le constata car cet homme avait plus une attitude de soumis que de Maitre, mais le Noble ne dit rien. Une fois quil eu fini, il signa le contrat et parti sans rien demander, mais remercia chaleureusement le Châtelain
Après être rentré au Château, Monsieur le Marquis me conduisit aux cuisines pour la préparation de Son repas sachant que Marie la cuisinière était malade. Je mactivais donc pour Lui confectionner un délicieux repas et jallais ensuite Le servir dans la salle à manger du Château où le Maître était assis confortablement dans un fauteuil près de la grande cheminée. Une fois que jeu servi Son repas, je me mis en position dattente agenouillée à Ses Nobles pieds. De temps en temps, il me donnait dans Sa main de quoi becqueter et je lapais dans ma gamelle de quoi boire. Le repas dura un bon moment, une fois celui-ci fini, je me dépêchais de faire la vaisselle et de ranger toute la cuisine pour que dès le lendemain, au retour de Madame Marie trouve une cuisine impeccable. Le Noble appuya sur un bouton dune petite télécommande sortie de sa poche. Quelques secondes après lesclave qui était venu me chercher entra dans la cuisine et me conduit au Chenil pour y passer la nuit...
(A suivre
)
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