Karine Et Le Plaisir De La Soumission 6
CHAPITRE 6 : Les vacances, mercredi après-midi soumise à Hugo
On fait une sieste dans lherbe. Hugo dort comme un loir. Jai déjà été me baigner une fois, et me suis rallongée près de lui. Je retourne faire trempette. Je pense « ça sert à quoi davoir une petite amie soumise, salope à souhait si cest pour dormir alors que jattends quil daigne me baiser ? » Pleine despoir, je vois Hugo se retourner, il sest mis sur le dos, mais il continue de dormir. Jai une idée. Je remonte sur la berge à 4 pattes, et sans bruit je mapproche. Je regarde sa bite toute molle, déjà en vacances. « Pas de ça lisette » comme dit mon père « tu es à moi pour encore 2 jours » Javance la bouche et avec mes lèvres, jaspire son gland. Sans les mains. Je suce plus fort, et le gland rentre totalement dans ma bouche. Je baisse un peu la tête, et tout son sexe prend place au chaud entre ma langue et mon palais. Je titille doucement, je tourne ma langue, jaspire. Je fais attention de ne pas le réveiller. Sa bite gonfle et sallonge. Je continue avec ma bouche à jouer avec son membre. Je suis obligé de la laisser sortir, elle est trop grande maintenant. Je maide avec mes mains. Je lui fais une fellation tout en douceur. Depuis un quart dheure que je la suce, elle a atteint sa taille maximum. Je navais jamais remarqué, elle fait dans les 20 cm de long, environ 2.5 cm au niveau du gland, mais elle grossie vers la base, Elle doit bien faire 4 cm à la base. Cest énorme.
Je me mets à rêver. Je me dis quelle ne rentrera jamais en entier dans mon petit cul. Juste la pointe. Faudra que je pense de prévenir Hugo, quand il acceptera de menculer. Jadore le mot « enculer ». Cest bien vulgaire, avilissant. Un homme doit enculer sa soumise. On sodomise une petite amie, mais on encule une soumise. Doit y avoir des sentiments dans une sodomie. Le maître rabaisse sa soumise en lenculant sauvagement. Jai hâte de sentir la bite dHugo forcer mon petit cul.
- « Tu as pensé à te lubrifier le cul ? » Je ne comprends rien. « Si tu nes pas lubrifiée, ça rentrera jamais, ou tu vas gueuler. Attends, je vais taider »
Il est trop gentil avec moi, le comble, je laisse mon petit ami me préparer le cul pour que mon Maître mencule. Je ris doucement de cette pensée salace, je suis vraiment une salope, même si mon petit ami est aussi mon Maître. Je le sens passer ses doigts sur ma fente, et étaler ma cyprine sur mon petit trou. Il recommence 2 fois, il fait rentrer son doigt et masse lentrée. Il rentre et sort plusieurs fois.
- « Masses-toi un peu le ventre pour que leau remonte bien dans tes intestins. »
La bouteille est vide. Il me dit de ne pas bouger. Il va remplir la bouteille et la remet en place. Jai peur
- « 2 bouteilles cest trop ! »
- « Tais-toi, dis-moi si tu as mal » jai encore plus peur. « Masse ton ventre »
Il commence à gonfler. Je masse doucement. La bouteille est vide. Hugo maide à me relever.
- « Ne pousse pas surtout garde tout »
Je mets mes mains sur mon ventre rond. Jai limpression dêtre enceinte. Je regarde Hugo, On rit tous les deux. Il memmène au lac, vers le petit barrage à laval. Je me mets accroupie sur un rocher, Hugo met la tête à côté de mon cul et me dit en regardant mon trou du cul
- «Maintenant ! Pousse fort».
Un jet deau sort de mon cul sous pression. Des crottes sortent en même temps. On rigole. Je pousse trois fois, plus deau dans mon cul. On revient sur la berge, Hugo a rempli la bouteille. Jallais me remettre en position quand je sens que jai envie de faire caca. Je pousse un peu et de leau sale coule le long de mes jambes. Hugo me dit
- « Ecarte un peu les jambes et pousse doucement tu tes pas encore vidée »
Je rougis à ces paroles, je pousse ça coule encore. Ça pue. Hugo verse de leau propre sur mes fesses et mes jambes et me dit de reprendre la position. Il ma rempli le cul encore trois fois, presque sept litres deau. A chaque fois, leau que jai évacuée était mêlée de crottes. La dernière fois, il me dit
- « Ton petit cul est propre, il est prêt. »
Il me regarde amoureusement et me demande doucement :
- « Mon amour, tu es déjà une petite salope exhibitionniste, masochiste et soumise, tu es certaine de vouloir devenir aussi une enculée ? »
Je rougis, prends son visage entre mes mains, je lembrasse fougueusement, ma langue fouille sa bouche.
- « Je nai quune envie, devenir ton enculée, alors prends mon cul, soit le premier à me posséder par là. Je suis à Toi »
Je me mets à 4 pattes, la tête et les seins appuyés au sol, les genoux bien écartés, le dos cambré. Je mets mes mains sur mes fesses et les écarte.
- « Prends moi le cul, mon Amour, je ten supplie, ENCULE MOI ! »
Hugo se met à genoux derrière moi, passe sa main sur ma fente prends de la cyprine me lubrifie la rondelle, crache sa salive sur mon trou du cul, létale à lintérieur. Je nen peux plus de lattendre. « VIENS » Je sens le gland contre mon orifice, il appuie, de plus en plus fort, dun coup le gland est passé. Je nai pas mal, je suis soulagée, Il appuie encore. La bite senfonce et dilate mon anneau, ça brule un peu, ça ne rentre plus, Hugo ressort, et dun coup de rein plus puissant, senfonce jusquà la garde. Je crie de surprise, de douleur, et de bonheur. Hugo me lime doucement le cul. Il finit chaque pénétration dun coup de rein plus puissant pour finir de menculer. Jadore ça, même si la douleur est intense à chaque fois.
- « Je taime mon Hugo, vas-y encule-moi bien, je suis ta soumise, défonce-moi le cul, explose-moi la rondelle, fais-moi gueuler en menculant, et prends ton pied dans mon cul sans toccuper de moi »
Je nai pu me retenir de dire les mots entendus dans les films pornos. Hugo se déchaine, je jouis rapidement, il a compris ce que jattendais de lui. Il me laboure les reins, je sens ma rondelle se dilater. Mon visage et mes seins frottent sur lherbe à chaque va-et-vient de sa bite dans mon cul. Je vais avoir des marques. Je suis son enculée. Je sens Hugo se crisper sur mes hanches, je sens son sperme jaillir dans mes intestins. Cest chaud. Je sens bien son sperme en moi. Sa bite ressort de moi, il sallonge sur le dos près de moi. Je reste dans la même position, je récupère, les fesses relevée, genoux écartés, anus béant.
Je nentends pas les étudiants revenir après leurs repas de groupe.
- « Putain, quest-ce quil ta mis dans le cul. Il est totalement ouvert. Une vraie porte de grange »
Les paroles mettent plusieurs secondes à parvenir à mon cerveau. Jai envie den rire, mais quand je réalise que ce nest pas Hugo qui vient de les prononcer, jessaie de bouger pour cacher mon anus dilaté, mais jai mal, jai encore quelques spasmes de jouissance. « Aide-moi Hugo sil te plait » Il me met en chien de fusil. Le cul en direction dHenri qui naïvement dit
- « Il ne se referme pas encore, tu croix quil va rester comme ça combien de temps ? »
Malgré la brulure de mon cul, je ne peux mempêcher de rire. Henri sapproche de moi et essaie de me soulever.
- « Viens dans leau tu seras mieux. »
Hugo se lève et aide Henri à mamener au lac. Je reste allongée au bord, je sens leau rentrer dans mon conduit, puis petit à petit mon anus se ferme, la brulure sapaise. Je rejoins les autres, on se baigne et chahute dans leau pendant une heure. Je regarde Hugo avec les autres. On est nu et eux en maillot. Je ris. Je me dis que sils pouvaient partir maintenant, Hugo pourrait menculer encore une fois
Cest méchant, ils sont adorables. Quand je pense quils me voient nue depuis près de quatre mois et que je ne men suis jamais aperçue.
En nageant, je me dirige vers lautre rive. Je grimpe, puis devant leur manque dintérêt à mon égard, je méloigne. Occupés à jouer, ils nont pas remarqué mon départ. Jhésite, je vais vers la gare. Je prends la piste des orties. Je souris, les gamins ont taillé un petit passage, je ne me fais presque pas piquer. En arrivant, je reste dissimulée, japerçois des gens sur le quai, je regarde lheure, le train ne va pas tarder. Jallais faire demi-tour pour partir, mais je nai pas vraiment de raison de rester cachée. Certains mont probablement déjà vue nue lors de mes précédentes exhibitions, alors
je décide de rester. Je vais discrètement massoir sur un rocher au bord de la voie. Je devine lextrémité du quai avec les passagers qui attendent, un buisson le masque, ils ne peuvent plus me voir, par contre je vois bien les rails. Les 2 chauffeurs, eux, vont me voir de loin en arrivant. Lexcitation monte lentement au fur et à mesure que lheure darrivée approche. Je ne vois pas encore le train, mais je lentends. Jai encore le temps de partir. Je ne bouge pas.
Je vois quelque chose entre les arbres au loin. Cest le train. Sils avaient des jumelles les passagers pourraient me voir. Le train se rapproche, il est sur la dernière ligne droite, encore 2 kilomètres. Les chauffeurs doivent mavoir vue. La loco ralentit. Elle sarrête à 5 mètres de moi. Au même endroit que dhabitude. Les chauffeurs sortent et se dirigent vers moi. Provoquante, je reste assise, mais pour leur faire face, je ne déplace quune jambe, et tourne mon bassin. Je suis assise maintenant face à eux, les cuisses écartées, je sens mes petites lèvres sentre-ouvrir. Ils sont à un mètre seulement.
- « Bonjour, que faites-vous par là Messieurs ? »
Je reprends les mots quils avaient utilisés quand ils mavaient surprise la première fois.
- « On se promène, Il fait si chaud quon sest dit quon trouverai peut-être une jolie petite salope à poil qui aurait envie de nous sucer. Et vous ? »
Ils jouent mon jeu, je leur souris
- « Moi, je me repose un peu, je viens de me faire prendre le cul pour la première fois, et comme jai aimé, je me dis que étant seule les prochaines semaines, il faudrait que je trouve deux bonnes âmes compatissantes pour soccuper de mon petit trou avant quil ne redevienne trop étroit. Vous connaissez ce genre de personne ? »
- « Tout à fait, mais pourquoi pas maintenant ? »
- « Désolée, mais jai vraiment trop mal au cul. Je viens de me faire dépuceler lanus et jai encore mal. Pas aujourdhui »
Jadore ma provocation
- « Tu te fous de nous ? Montre ton cul quon vérifie »
Jhésite, puis je me lève, tourne le dos aux hommes, je me penche en écartant les jambes et jatt mes chevilles sans plier les genoux. Je leur présente mon cul et ma chatte en gros plan
- « Cest pas la pudeur qui tétouffe toi. Tu fais la pute ? »
- « Tas déjà vue une pute toujours pucelle toi ? Tes con ou quoi ? »
Je reçois une paire de gifles sur le cul. Mes yeux se remplissent de larmes. Vexée, je dis
- « Si vous avez envie de me baiser, je vous conseille dêtre un peu plus doux. Vous ne trouverez pas souvent une petite salope comme moi, avec un beau cul une belle gueule, un corps de rêve, prête à se faire enculer et à sucer gratuitement. En plus je nai pas beaucoup servi, je nai eu quun seul mec avant vous alors méritez moi ! »
Si Hugo mentendait il le prendrait très mal, mais il veut me faire faire des cochonneries, alors ces deux hommes seront parfaits.
- « Daccord désolé, tu veux quoi pour quon te mérite ? »
- « Des renseignements sur ce train et de laide. »
- « On ne taidera pas à fuguer » répond-il du tac au tac ;
- « Ce nest pas ce que je veux. Jaimerai faire le voyage aller-retour gratuitement mais à poil. Je veux mexhiber devant les passagers, je veux me masturber devant eux, me laisser toucher aussi, mais je veux que mon pucelage soit intact au retour. En échange, je vous offre ma bouche et mon cul, pour mon cul dans quelque jours jai encore trop mal »
Le mec siffle, estomaqué par ma demande.
- « Tas pas peur de te faire violer ? Au fait, la dernière fois tas dit que tu avais 18 ans, en réalité quel âge as-tu ? »
- « Pas de risque de viol, vous êtes là pour lempêcher, et jai eu 18 ans en mars. Ma première fellation a eu lieu ici avec vous. Je me suis faite enculée pour la première fois il y a moins d1 heure pas très loin, à moins dun kilomètre. Si vous êtes ok, vous serez ma première fois à plusieurs, mais pas question de prendre ma chatte. On est daccord »
- « Il faut quon en parle au Chef de train, sans lui ce nest pas possible, alors on sera trois à te passer dessus pour pouvoir organiser ton voyage. »
- « Plus on est de fou plus on rit, alors allez le voir, mais si jai trop mal au cul, faudra peut-être faire ça en deux fois. Une autre question ! Vous pensez que je pourrai faire le voyage plusieurs fois si ça se passe bien ? »
- « Tes vraiment gourmande, toi. Ce sont toujours les mêmes passagers, cest probablement possible. Tu penses à quoi avec ton petit regard vicelard ? »
- « Rien de particulier, jaime mexhiber à poil»
- « Tu disais que tu nas eu quun seul mec et tu veux déjà rester à poil en public toute la journée ? »
- « Cest une bonne idée, je peux être là pour le train de 8h30, et finir avec celui de 17h15, ça fait 6 aller-retour par jour, en échange vous pourrez continuer à me baiser tous les trois tout le mois daoût, je mengage à être à la gare tous les jours au moins une fois par jour pour larrivée du train »
- « Attends là, je vais chercher le chef de train. Polo, va chercher Jacques pendant quelle me fait une pipe » Polo est furieux
- « Des clous, cest à moi de me faire faire une pipe, va le chercher toi-même. Et prends ton temps, jai envie de bien profiter de sa langue »
Je souris, et en plus je vais sucer une nouvelle bite. Jai bien fait de venir.
Polo sort sa queue, je me mets à genoux, et je pars sur une fellation express, je ne voudrai pas être encore à quatre pattes en train de sucer quand le chef de train arrivera.
- « Doucement on a le temps ! Putain que cest bon, doucement laisse en pour demain, putain je vais partir trop vite. »
Polo voudrait que ça dure longtemps ;
Jentends les premiers bruits de pas sur le ballast en recevant les jets de sperme. Je lui vide complétement les couilles, lui montre ma bouche pleine, et avale. Je me relève et fait face au chef de train. Il me regarde des pieds à la tête, enfin plutôt de la chatte aux tétons.
- « Cest pas des bobards ce quil vient de me dire ? Tu te laisserais baiser pendant tout le mois tous les jours, si je te laisse texhiber dans mon train ? »
- « A chaque fois que je viendrai, Oui mais, je dois pouvoir mexhiber sans risque, et sans perdre mon pucelage. Si ça marche vous pourrez tout le mois, même quand jaurai mes règles si vous nêtes pas écurés. Par contre, personne ne touche à ma chatte. On commence quand ? Lundi ? A quelle heure ? »
On a convenu dun rendez-vous, dimanche vers 17h30, lors du dernier trajet de la journée, pour mettre en place les détails de mes exhibitions, et les modalités pour que les trois cheminots puissent me baiser. Puis ils sont repartis vers le train pour discuter entre eux de laubaine. Moi je retourne vers le lac. Il faut que je me rince la bouche discrètement avant dembrasser Hugo. Puis si on est seul je lui ferai une pipe, à moins quil veuille bien me reprendre le cul. Je fais la grimace, jai encore mal.
En passant par les orties, je me dis que je dois être un peu punie en prévision de ce que je vais faire, alors je passe sur les orties les plus hautes en écartant bien les jambes. Je gémis, jai été bien piquée je repars vers le lac, les nymphes douloureuses. Deux étudiants sont allongés dans lherbe, Hugo et les trois autres chahutent toujours, je me glisse dans leau, enfonce ma tête sous la surface pour me rincer la bouche sans être vue. Je vais mallonger dans lherbe à côté des dormeurs. Lun deux prends des nouvelles
- « Tu nas plus mal au cul ? »
- « Cest mieux. Il sest refermé, je vais pouvoir rentrer à la maison bientôt »
- « Oui nous aussi. Je peux te toucher encore ? »
- « Désolée ça suffit pour ce soir »
- « Daccord je vais juste te regarder alors»
Je souris, ferme les yeux et mendors en trente secondes.
Hugo me réveille à 17h, on est seul.
- « Il faut rentrer maintenant »
- « Juste une petite pipe pour tenir jusquà après-demain ? »
Il éclate de rire, cest demandé si gentiment, il baisse le short quil venait de remettre et attend. Je le suce, il se vide rapidement. Il a dû fantasmer en me laissant dormir. Je me relève, att mes vêtements les mets dans le sac, un dernier coup dil pour vérifier si on a rien oublié. Je le regarde et lui dit
- « Prête, on y va ? »
- « Tu ne thabilles pas ? »
- « Tu ne préfères pas que je fasse le trajet à poil ? »
- « Si mais cest aussi dangereux aujourdhui quhier »
- « Jai plus peur pour le mois daoût où je serai seule pour faire le trajet à poil »
Hugo me regarde avec de gros yeux
- « Tu ne vas pas faire le trajet tous les jours à poil quand même ?»
- « Si tu étais là, je le ferai, tant que je naurai pas de problème, je ferai le retour à poil »
Hugo saperçoit quil a peur pour moi, mais cest lui qui a commencé ce jeu.
- « Rappelle-toi mes consignes pour demain, esthéticienne, gynécologue, pas de sous-vêtements, et nettoyage de ta garde-robe. Et je veux savoir toutes les cochonneries que tu fais »
- « Jai commencé un journal sur Word. Je cherche un site sur Internet où je pourrai lhéberger en sécurité et où tu pourrais avoir un accès permanent afin dêtre informé en temps réel de mes perversions. Tu pourras menvoyer un SMS pour des demandes particulières comme
je ne sais pas
par exemple
mimposer de faire une pipe au clochard qui fait la manche devant moi ou bien ... je te fais confiance tu as de limagination. Sinon je mettrai le fichier sur le cloud et je te donnerai le mot de passe.»
Nous croisons peu de monde dans le bois, généralement, ils rigolent de me voir à poil, sauf un couple dont le monsieur était intéressé, mais la femme a lancé « encore cette petite salope. Elle a pas honte »
Comme un rituel, en arrivant à ma rue, je me couche sur le trottoir, encore plus visible que dhabitude et relève mon bassin en attendant mon dernier cunnilingus de la journée. Je suis totalement sur le trottoir, il est impossible de ne pas me voir. Hugo me dit
- « Tu exagères, reviens plus dans le bois, laisse dépasser ta tête et tes seins. Cest trop de risque comme ça. »
Je mexécute, cest vrai que j. Il me suce la moule avec amour et comme dhabitude, à cinq minutes près cest le même rituel, le groupe dinconnus passe à côté de nous quand je suis en plein orgasme. Petite différence aujourdhui, la dernière personne du groupe sest arrêtée, est revenues vers nous, ma regardé en train de jouir. Je lai regardé dans les yeux stupéfaite de sa présence, les mains sur ma bouche pour atténuer les bruits.
- « Tu es vraiment très belle Karine quand tu jouis, mais cest dangereux de faire ça ici, dautres pourraient te voir ».
Hugo sursaute, relève la tête, je reste le bassin tendu en avant attendant sa caresse. Je vois le regard de lhomme se poser sur mon sexe ouvert.
- « Je confirme tu es superbe »
Un dernier spasme me fait gémir et je meffondre dans les feuilles mortes, Immobile. Je ne sais plus qui est cet homme qui vient de me parler et qui ma vue. Du coin de lil, japerçois la voiture de mes parents qui arrive à la maison. Je recule derrière larbre, me rhabille, embrasse Hugo, rentre à la maison sagement. Jespère que ma mère ne devinera pas que je me suis fait sodomiser pour la première fois. Sodomiser, oui, cétait mon Hugo, et cétait vraiment bon.
En franchissant la porte, je me dis, il faut que jaille dans un sexshop pour acheter le matériel pour les lavements. Il faut que je men fasse tous les matins avant de partir.
(à suivre)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!